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La spirale infernale – Chapitre 3

La spirale infernale - Chapitre 3



Je ne reviendrai pas sur l’épilogue du chapitre précédent. Ce fut finalement, avec le recul, un moment assez peu plaisant. Mais l’occasion pour moi d’expérimenter la sodomie d’une manière assez brutale.

Bref… Me voici deux ans plus tard et mon cas ne s’est pas arrangé. Après cette expérience avec papy, je demeurai tranquille un long moment. Je désinstallai l’appli, bien décidé à oublier ces expériences nocturnes et à me concentrer sur ma vie de couple.

Je tins bon quelques mois. Mais la tentation était plus grande chaque jour. Un soir d’ennui ou de solitude, je craquai et réinstallai l’appli maudite.

Très vite des messages… des photos de bites dressées… et mon désir ardent…

Un rendez-vous… puis deux… puis trois… à chaque fois, mon plaisir se faisait plus fort… je dégustai littéralement ces queues, je me concentrai pour profiter de chaque instant, chaque sensation. Je m’appliquai à bien penser à tout, ne pas la prendre en bouche trop tôt, lécher les couilles ou les malaxer, caresser les fesses, prendre les mains de mon partenaire et les poser sur ma tête. Bombarder son gland de mille coups de langues, et pousser sa queue le plus loin possible dans ma gorge malgré quelques hauts-le-coeur. Tout ça dans un seul but: récolter sa jouissance. Sentir sa présence chaude et visqueuse envahir ma bouche et ma gorge. Les yeux fermés, dans un râle de plaisir, avaler chaque goutte au rythme des contractions de sa verge… puis se faire sage la garder un peu en bouche, le temps de nettoyer les dernières gouttes… et partir…

Non loin de me rassasier, mon désir prenait de plus en plus de place et mes fantasmes devenaient de plus en plus hard.

Je songeai de plus en plus sérieusement aux glory holes. J’allai visiter les lieux de dragues sur les parkings la nuit. Mais je n’osai franchir le pas.

Même en allant dans les toilettes d’autoroute, je ne pouvais m’empêcher de fantasmer en pensant à tous ces routiers aux couilles pleines.

C’est probablement ce que j’avais dans la tête, quand en cette fin d’après midi, je pénétrai dans les toilettes de cette aire d’autoroute.

J’hésitai un instant entre la cabine et la pissotière, puis me dirigeai vers cette dernière. Un peu tendu.

Je commençai à uriner quand un autre homme arriva. Il s’approcha de l’urinoir à côté de la mienne et sorti son pénis pour faire son affaire.

De mon côté, j’étais si tendu que je n’arrivais plus à pisser, et comme cela ne suffisait pas, petit à petit mon sexe commençait à bander. J’étais mort de honte. Plutôt que de ranger ma bite et partir tout simplement, je restais tétanisé, avec ma bite à la main qui devenait de plus en plus raide. Je n’osait pas regarder mon voisin d’urinoir, mais je sentais soudain son regard sur moi, et sur mon trouble.

Soudain, sans un mot, il posa sa main sur ma queue et commença à la caresser doucement. Je fis de même.

Il était plus petit que moi, mais sa bite était de belle taille et bien raide. j’étais dans un état d’excitation tellement intense que ma pensé n’existait plus.

Sans un mot, il me fit signe de tête vers une des cabines. Comme un automate, j’y allais, il m’emboita le pas..

Toujours dans le silence, je m’asseyais sur la cuvette. Maintenant je pouvais contempler son sexe. Il n’était pas très long, mais plutôt large. Une épaisse jungle de poils noirs recouvrait ses couilles et son ventre. Il sentait fort le musc et la transpiration.

Sans attendre il projeta son bassin en avant et pénétra ma bouche sans ménagement.

Il commença à me pilonner la bouche. Je faisais de mon mieux pour encaisser l’assaut, il poussait parfois sa queue si loin dans ma gorge que je ne pouvais réprimer des hauts le coeur. Je pouvais à peine reprendre mon souffle, qu’il remettait ça de plus belle. A grand bruits de sucions et autre borborygme il défonçait ma bouche d’où dégoulinaient larmes et filets de baves.

Soudain il marmonna quelque mots dans une langue inconnue, et s’arrêta net. Son sexe se cabra dans ma bouche, libérant une première dose de foutre chaud et salé, puis il l’enfonça dans ma gorge pour une deuxième dose, puis une autre, et une autre.

Il relâcha son étreinte et retira son sexe ramolli de ma bouche encore engluée de sperme.

Sans attendre, et toujours sans un mot il sorti de la cabine, et je restai là essayant de reprendre mon souffle. Encore hébété par ce qu’il venait de m’arriver.

Je ne saurai dire combien de temps s’est écoulé avant que la porte de la cabine ne s’ouvre et qu’un homme y pénètre. Au début, je crus que c’était mon routier inconnu, mais celui-ci était bien différent. La cinquantaine, très grand et très mince. Je m’attendais à ce qu’il ressorte sur le champ, constatant que les toilettes étaient occupées. Mais au lieu de ça, il verrouilla la porte. Se retourna vers moi, et baissa son jogging et son slip libérant un sexe de taille très impressionnante. Lui était complètement imberbe. Aussi silencieux que mon précédent partenaire, il posa sa main sur ma tête et l’attira vers ses couilles. Il voulait que je lui lèche… ce que je fis..

Au bout d’un moment, il me présenta son gland, recouvert d’un long prépuce. Je saisi sa grosse queue,  décalottant son gland et ouvrant ma bouche le plus possible, j’avalais ce monstre.

C’était la première fois que je suçais deux hommes coup sur coup, et je pouvais comparer les différences de sensations. Son goût et son odeur était bien différent de l’autre inconnu. Il était beaucoup moins fort, presque sucré. Sa verge libérait sur ma langue des gouttes de cyprine sucrée.

Son sexe était vraiment énorme, et j’avais toutes les peines du monde à avaler autre chose que son gland. Parfois, il fouettait mes joues de son énorme engin. Je léchais alors sa tige jusqu’à ses couilles, que je prenais dans ma bouche.

Il commença à se branler… de plus en plus vite. La bouche ouverte, je butinais son méat de ma langue. Il baragouina lui aussi un truc avant de pousser un long gémissement accompagné d’un grand jet de sperme qui m’atterri en plein visage. J’avalais son gland pour recevoir le reste. C’était vraiment délicieux.. j’aurai voulu que ça ne s’arrête jamais tellement son goût était agréable.

Il racla mon visage avec son doigt, et le mis dans ma bouche. Il commença à me parler doucement dans une langue des pays de l’est. Peut-être du russe. Il remonta son jogging et disparu.

Cette fois je ne pris pas le risque de voir débarquer un autre candidat et sorti tout de suite du toilette… complètement ahuri, le visage humide de sperme, je venais de sucer deux inconnus… dans des toilettes… une étape supplémentaire de cette longue spirale était franchie…

Je me demande où tout cela mènera…

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