Je pense que l’élément déclencheur de cette histoire fut le style de bottes quune jeune lectrice de mes chroniques sur Facebook, avec laquelle jai tissé pas mal de liens, avait choisi dacheter… Elle venait de mexpliquer comme elles étaient, elle me les avait montrées, même : un talon en bois, des lanières qui entouraient le coup de pied. Cest alors que mes yeux rêveurs sont tombés sur celles ressemblantes, dune fameuse collègue du service client, Sofia, une tunisienne dallure assez plaisante, et attirant facilement le regard.
La lectrice en question , une certaine Lilya, mavait donc laissé dans un état assez fou dexcitation, sur le lieu de mon travail, suite à une conversation sur Facebook. Et la vision des bottes de Sofia m’y ont fait penser, voilà tout. Vu mon état déjà très inspiré, disons que mon regard devait être très suggestif. Sofia est une stagiaire de lentreprise où je travaille : là depuis le début de l’année scolaire. Je pense quelle a rapidement compris que jétais excité : enfin, plus que d’habitude, car la plupart des hommes sont excités, en la croisant. Elle avait une tunique marron, avec beaucoup de bijoux, et un legging mi opaque, mi transparent, et ses bottes marrons, assorties. Elle aime plaire. Enfin, c’est peu dire : elle aime se faire regarder, et se faire désirer, comme la plupart des jeunes filles, je dirais. Elle doit avoir 19 ou 20 ans, je pense. Bref, là, elle avait son air coquin, satisfaite de me voir dans un état comme çà.
Je déambulais dans l’open space du service client, en essayant d’oublier un peu la fille de Facebook et ses bottes. Et je discutais avec un collègue de Sofia, tout en regardant ses bottes, et ses jambes. Elle est resté silencieuse, puis m’a regardé, en se tournant et en les mettant plus en évidence. Elle sait qu’elle plait. Et elle devient naturellement aguicheuse, quand elle sent un homme un peu faible dans le coin : elle doit avoir remarqué que je suis extrêmement sensible aux bottes. Elle s’est donc immiscée ni vu ni connu dans la conversation avec mon collègue. Nous parlions des routeurs de la région qui déconnaient. Elle a commencé à s’intéresser à ces équipements très techniques qui étaient instables, et dit qu’elle n’en avait jamais vu, bien qu’il y en ait dans le bâtiment même où nous travaillons tous. Et que ce serait bien qu’elle en voit pour mieux répondre aux clients. Son chef était tout à fait d’accord : elle a alors fait en sorte que son chef propose que les gens du service client puisse faire une visite des salles techniques pour mieux se rendre compte. Elle m’a regardé :
– Tom m’avait dit qu’il me montrerait, à l’époque de mon arrivée, mais ça ne s’est jamais fait ! se plaignit-elle avec un petit regard bien salope.
C’est une demoiselle très maligne, qui, visiblement, sait ce qu’elle veut, et elle n’hésite pas à prendre les devants. Son audance – devant son propre chef, en plus – et son regard, avec son petit sourire en coin, ont suffi à me faire raidir de nouveau, même si ma queue était encore un peu raide du souvenir de ma conversation sur Facebook avec Lilya… J’ai dû rougir, voire bafouiller une réponse bidon. Je ne sais pas si son chef a plus ou moins compris ce qu’il se passait. Je pense qu’il y a pensé, mais qu’il est parti du principe que c’était de la pure provocation, comme il s’en passe souvent, sans qu’il y ait de quoi s’inquiéter derrière. Mais je pense que d’après nos regards, de Sofia et de moi, nous avons senti tous les deux, que ça pourrait aller plus loin que de la simple provocation. Jai commencé à réfléchir machinalement, allez savoir pourquoi, sil y avait des caméras dans les salles techniques : mais non, des cameras uniquement dans les extérieurs de l’entreprise. Les salles et les bureaux sont sécurisés par badges, eux. Finalement, Sofia s’est levée, bien lentement, fait un tour sur elle même : elle s’est posé la question de savoir si il fallait qu’elle prenne sa veste, son châle, juste pour que j’aie bien le temps de la regarder, je pense.
– Mmmhh… Il va faire froid, avec les climatisations ? demanda-t-elle presque innocemment.
Je nai pas répondu, de peur de répondre une connerie du genre : « Mais non, ne tinquiète pas». Je l’ai suivie, tout le long du chemin, de trois quarts derrière elle, pour bien pouvoir la mater, ses cuisses, bien moulées sous sa tunique, ses genoux, et ses bottes. J’ai surpris des regards dans les portes vitrées que nous traversions à travers l’entreprise : des regards de satisfaction. Sentir toute cette assurance, chez cette jeune fille, avait le don de m’exciter de façon exacerbée. Nous marchions dans les couloirs, en évitant de croiser les regards des autres collègues, pensant déjà à ce qu’il pourrait arriver. Enfin, j’évitais, moi, en tout cas ; elle, on aurait dit qu’elle était fière, de passer avec sa «victime» appâtée.
Nous navons échangé aucun mot, pendant le trajet. J’avais l’impression que tout le monde nous regardait. Et d’autre part, je savourais le bruit des talons de cette fille que j’allais avoir sous la main, dans quelques minutes. C’était si… excitant ! Ah ! L’absence de discussion : un silence qui veut tout dire. Chacun d’entre nous se faisant certainement son propre film, imaginant ce qu’il pouvait se passer, sentant le désir monter. Nous sommes passés devant le poste de sécurité, à l’entrée de la partie technique du site. J’ai bien aimé leur regard, mi interrogateur, mi envieux d’un technicien qui accompagne une jeune du service client là bas. Je pense qu’ils ont fantasmé, sans se douter que ça allait arriver en vrai. Nous sommes arrivés à l’entrée de la salle la plus reculée du site, là où personne ne va jamais, et j’ai passé mon bras devant Sofia, en lui reluquant les jambes, pour badger et lui donner accès. On aurait dit une princesse à qui on ouvrait son salon. Je suis rentré, un peu hésitant, et je lui ai demandé :
– Tu veux que je te montre les routeurs problématiques, Sofia ? Ou alors je te fais faire un tour du propriétaire ?
– Je préfèrerais avoir un aperçu du matériel qui marche bien, en bonne santé… m’a-t-elle répondu calmement, mais avec un petit air entendu.
Elle a descendu le regard sur ma braguette. Jai adoré : trop forte ! Sofia était donc claire, nette, et précise. A cet instant, je me suis senti tout petit, bien que terriblement excité. Je lui ai souri, puis j’ai pensé à la porte qu’il fallait condamner. J’ai placé un chariot avec du matériel devant la porte, de façon à ce que si quelqu’un venait, il mette du temps à rentrer. Je mettais en place le montage, et elle me souriait, contemplant mes préparatifs pour pouvoir la sauter tranquillement.
Je suis revenu, hésitant, vers elle, le regard fuyant, visiblement très intéressé, mais un peu culpabilisant : sauter une stagiaire dans la boite, quand même ! Elle souriait,et a reculé jusqu’au même type de chariot, où il y avait des routeurs en stock. Puis elle s’est appuyée un peu dessus, comme assise, ses jambes légèrement fléchies. On aurait dit quelle nattendait que ça : elle semblait si sûre d’elle. Je me suis approché, ne sachant pas trop comment j’allais m’y prendre, et j’ai sorti un truc du genre :
– Tu sais, Sofia, c’est du matériel assez ancien quand même… mais il est rodé !
Et j’ai rougi, en espérant que le sous entendu diminue ma gène. Elle a soupiré, écartant un peu les jambes, et faisant crisser ses talons sur le sol.
– Mmmhh… le matériel rodé est le meilleur, bien souvent ! Le plus demandé, et… le plus garanti ! laissa-t-elle échapper plus bas.
Je me suis approché d’elle et j’ai posé les mains sur le chariot, de part et d’autre de ses hanches, mon visage approchant le sien, et une de mes jambes entre les siennes. Je l’ai vue un peu fermer son visage quand même, au moment où j’approchais. Elle faisait la fière, mais avait quand même une certaine appréhension. Mais j’ai senti ses jambes qui m’emprisonnaient la mienne, pour me faire comprendre qu’elle était d’accord. Puis, elle m’a mis la main au paquet.
– Mmmmhh… je te plais, Tom ? lacha-t-elle.
Je me suis redressé un peu, et j’ai laissé ma queue se gonfler entre ses doigts. Elle souriait, en coin, coquine, et allait et venait, ses doigts bien enroulés autour de ma queue. Elle me tâtait bien comme il faut, puis a écarté les jambes. Ses talons crissaient toujours ! Mes mains sont passées du chariot aux cuisses de Sofia, puis sous sa tunique. Je palpais bien ses cuisses légèrement rondes, et sentait ma queue durcir encore plus du coup. J’ai basculé le front contre le sien, lâchant un soupir dans son visage : «Mmmhh… Sofia !» Je navais quune envie : celle de la prendre tout de suite. Et elle devait le sentir dans sa main. Je l’ai prise par le dessous des fesses, en la palpant bien, à travers son legging. Je l’ai assise sur le bord du chariot, puis j’ai relevé un peu sa tunique, tout en commençant à l’embrasser.
– Sofia, tu es sure de ce que tu fais ? lui demandai-je.
Je prends toujours mes précautions, de façon à ce qu’une jeune femme ne puisse jamais dire à postériori qu’elle ne voulait pas. Je me suis avancé entre ses cuisses écartées, et lui ai plaqué ma raideur contre son entrejambe. J’ai remué un peu, et j’ai écouté sa réponse, murmurante.
– Je me fais montrer quelque chose par un professionnel, et par le même biais, je m’assure un avenir certain dans l’entreprise, expliqua-t-elle tranquillement.
Quelle salope, j’ai pensé ! Et j’ai bandé plus fort. Je ne sais pas trop ce qu’elle voulait, ni de ce que je risquais. J’étais à sa merci, entre ses cuisses. Je l’ai embrassée, respirée, regardée, avec ses yeux de salope. Et j’ai commencé à défaire ma braguette : elle souriait comme si elle avait gagné au loto !
J’ai rapidement ouvert mon pantalon, et sorti ma queue de mon boxer, puis je lui ai mis entre ses cuisses, contre son legging, et j’ai passé mes mains sous sa tunique. Je lui ai remonté un peu le tissu, de façon à sentir ses formes, ses hanches, son ventre, ses seins. Je lui ai léché les lèvres, le nez.
Je la sentais frétiller, remontant ses jambes derrière moi, pour m’enserrer, et me coller à elle. Elle remuait son bassin, puis elle m’a regardé.
– Tom, je sais que tu adores mes bottes, mes collants, et ma tunique, mais je vais devoir quitter quelque chose ! dit-elle d’un ton coquin.
J’ai fait non de la tête, puis je me suis penché pour prendre un cutter sur le chariot. Et je lui ai montré.
– J’adore prendre une fille toute habillée, répondis-je.
– Ca va pas, non ? lacha-t-elle, terrifiée.
– Ne t’inquiète pas, Sofia. Je le remplacerai.
– Tu fais gaffe, hein ?
Je l’ai sentie terriblement gênée. Je me suis mis à genoux entre ses jambes, j’ai relevé la tunique et j’ai déchiré le legging, idéalement. Elle était hallucinée !
J’ai adoré sentir son odeur intime, et ses jambes tremblantes, pendant que j’ouvrais le legging. Elle se tenait au rebord du chariot, et on voyait sa gorge serrée, inquiète. J’ai calé ma queue entre ses mollets, et j’ai approché mon visage de sa chatte, recouverte d’un fine culotte noire. Je l’ai prise en bouche, et je la léchée, lentement, humant son parfum. Elle était épilée, mais d’il y a quelques temps. Je me frottais la queue contre ses mollets de façon à ce qu’elle comprenne que je voulais qu’elle me branle avec eux. Et j’ai écarté sa culotte d’un doigt, puis enfourné ma langue. J’ai bien écarté la culotte. J’ai collé mon nez sur son clitoris tout dur, et je l’ai fouillé, avec ma langue, cette petite salope dégoulinante. Je l’ai travaillée, mes mains remontées sous sa tunique, empoignant ses seins dans une sorte de brassière. On sentait bien ses tétons durs. Et j’enfonçais ma langue. Je lui enfonçais d’abord lentement, et en profondeur. Puis j’alternais avec des petits battements latéraux vifs, rapides. Je la sentais comme une dingue ! Puis, je me suis retiré, en la léchant tout le long, et en arrivant la langue sur son clito. Je respirais à plein nez, volontairement, pour que mon souffle la fasse frétiller.
Je lui ai resucée un peu le clitoris, en l’aspirant bien comme il faut, en m’amusant à la faire couiner. Et je me suis remis debout, lentement, en laissant bien ma queue glisser tout le long, entre ses jambes, de façon à ce qu’elle la sente bien. Je me suis relevé, et j’ai redécouvert son visage, qui n’avait rien à voir avec celui, fier, qu’elle arborait jusqu’alors. Là, elle ressemblait à une petit chienne en chaleur, bouche mi ouverte, yeux louchant sur moi, et qui n’attendait que de se faire prendre. Je l’ai prise par les hanches, bien en main, et l’ai retournée lentement, entre moi et le chariot, en lui demandant d’un ton aussi calme que je le pouvais :
– Sofia… J’espère que tu prends tes précautions mensuelles, hein. Car je ne suis pas du genre à aimer le latex. Sinon, on ira à la pharmacie après le taf… lui lâchai-je dans l’oreille.
– Aucun problème, je… j’ai l’habitude, a-t-elle répondu, d’une voix timide, essoufflée.
Cette réponse a fini de me pousser à bout ! Je l’ai calée contre le chariot, dos à moi. J’ai soulevé sa tunique, et glissé de nouveau ma queue entre ses cuisses, mon gland cherchant sa place.
Je l’ai cambrée sur le chariot, ses cheveux tombant de ses épaules le long de son visage. J’ai pris sa cuisse droite, et l’ai soulevée, pour lui caler la botte sur une barre du chariot, de façon à l’ouvrir un peu. J’ai collé mon gland contre sa vulve : je me suis collé dans son dos, et lui respirais à l’oreille, en lui caressant les seins à travers sa tunique, et en commençant à lui écarter les lèvres, avec mon gland gourmand.
Je lui ai caressé la jambe calée, par sa botte, remontant sur son genou, sa cuisse chaude, et crispée d’appréhension. Je suis passé sous sa tunique, rejoignant son clitoris tout dur. Et, le remuant un peu, en lui léchant l’oreille, j’avançais, et reculais, presqu’en elle. J’allais, et venais, écartant à chaque fois un peu plus la demoiselle, qui semblait suffoquer à ce moment : suffoquer d’envie. Et je lui ai glissé à l’oreille :
– Je vais te défoncer, petite salope !
Je pensais quelle allait être surprise, mais c’est plutôt moi qui lai été, surpris, car elle a ricané, à ce moment là, ce qui m’a un peu énervé. Du coup, je l’ai enfilé d’un coup de rein sec ! Je l’ai prise bien à fond, comme pour la punir de ce petit rire ! J’ai entendu un gémissement retenu, et ses talons retomber sur le sol.
J’ai redescendu ma main sur sa hanche, pour bien la prendre en main. Et, en lui titillant le clitoris, j’ai commencé à la pénétrer bien profond, faisant mon passage, collé dans son dos, et lui susurrant à l’oreille :
– Mmmhhh… Sofia ! Depuis le temps que je rêvais de çà !
J’ai commencé à la secouer grave, allant bien loin en elle. Sa tête bougeait, penchée sur le chariot ; ses cheveux se balançaient. Et j’ai regardé son mollet dans sa botte, qui se contractait. J’ai pensé à la fille de Facebook, Lilya, et à ses bottes qui minspiraient. Je me suis dit que c’était comme ça que j’avais eu envie de la prendre, elle aussi, quelques temps avant. Javais du mal à réaliser ce quil était en train de se passer : Sofia était penchée, sur le chariot, les reins cambrés, le legging ouvert, béant, la jambe droite relevée, la botte calée sur la barre, et ses lèvres coulissantes autour de ma queue bien raide. Cela ressemblait à un rêve !
Je me suis bien appuyé sur elle, pendant que je lui remontais entre ses chairs, faisant bien racler ma queue, entre ses muqueuses. J’ai remonté ma main gauche sous sa tunique, cherchant un passage sous l’espèce de brassière lui maintenant la poitrine, pendant que ma main droite continuait à titiller son clitoris. Je lui râlais dans l’oreille, en humant son parfum : je lavais bien en main. C’était une demoiselle à mensurations respectables : 1 mètre 65 environ, pour 50 kilos, je dirais, et une poitrine tout à fait correcte. J’allais et venait, lui faisant sentir au maximum ma queue en elle. Puis, je suis arrivé à son mamelon gauche, que j’ai pris à pleine main, et que je malaxais au même rythme que je la fourrais. Elle gémissait, dans le même rythme, comme si c’était mon jouet. Je la travaillais bien en profondeur, d’abord calmement. Elle prenait le temps d’apprécier… Je faisais juste accélérer ma main, et mes doigts autour de son clitoris. Puis, je me suis penché à son oreille et je l’ai provoqué :
– Sofia, tu… te fais souvent prendre comme çà, dans les salles techniques ?
Jai dabord juste entendu une plainte, et un mot lâché, comme un gémissement :
– Mmmhh Énorme !
C’est moi qui était énorme, à en juger ses gémissements plaintifs, couinants. Je me la suis joué provocant, et elle est rentré dans le jeu. Je ne sais pas si elle mentait ou pas :
– Mmmhhh… A ton avis, Tom ? Pourquoi mon chef me suggère de venir toujours habillée comme vous aimez tous ?
Elle a un peu enjolivé les choses, je pense, sur ce coup. Mais cela m’allait très bien à ce moment là : cela m’a encouragé, et inspiré l’envie de lui donner un bon coup de rein, bien au fond, qui l’a fait sursauter encore sur sa botte à terre, et déplacer le chariot. Celui ci a butté contre la baie des routeurs, en face de nous… Cette salope m’excitait à mort ! Jétais fou ! Je le suis encore en y repensant. J’adorais la fourrer de plus en plus sèchement, donnant maintenant une impulsion, à chaque fois que je l’enfilais. Je savourais voir ses cheveux voler un peu, et entendre son cri à peine retenu, à mesure que le chariot remuait un peu. La température montait : je prenais plaisir à la remuer de plus en plus, la manipulant comme une poupée, prisonnière, embrochée sur moi, avec son allure de pétasse, qui se fait prendre… à son propre jeu ! Je continuais à la prendre de plus en plus fort, lui lâchant le clito, et en venant lui caresser sa jambe, calée sur la botte, qui remuait, fléchissait, transpirait. Je la caressais, et la griffait un peu, pendant que le chariot grinçait sous nos efforts.
J’étais en train de la fourrer bien profond, en la secouant bien fort, et je la palpais de façon à développer ce sentiment excitant, bizarre qui me rendait fougueux : j’étais en train de me faire une petite salope qui ne demandait que çà.
Je me souviens même avoir cherché à croiser son regard voilé, comme toujours dans le reflet de la porte vitré de la baie informatique, derrière le chariot, sur lequel j’étais en train de la prendre. Mais la salle était trop sombre. Je me suis donc contenté de continuer à la démonter, cette Sofia, penchée, haletante, et le visage fermé, qui subissait mes assauts de plus en plus virils. Le fait de la sentir vibrante, voire flageolante, ne pouvant plus guère résister au plaisir qui l’envahissait, à mesure que je coulissais comme un forcené en elle, m’excitait encore plus. Mais j’étais sur ma faim de ne pas apercevoir son visage de salope, grimaçant de plaisir. Je la sentais qui cherchait à se tenir aux bord du chariot, couinante, et sombrante au plaisir que ma queue lui procurait en lui ravageant les entrailles. Je me suis penché à son oreille, m’immobilisant en elle, et je lui ai murmuré, bien grave :
– J’ai envie de voir ta petite gueule de chienne se pincer les lèvres de plaisir.
Je me suis retiré. Je l’ai prise dans mes mains, invitée à se retourner, puis allongée sur le chariot. Je la regardais, bouche entrouverte, regard hagard, les yeux mi gourmands, mi apeurés, et la poitrine respirant rapidement. Je lui ai repris les cuisses qu’elle a immédiatement, instinctivement, écartées, et j’ai senti ses jambes qui s’enroulaient autour de moi, m’invitant à revenir la prendre. J’ai remonté mes mains le long des leggings, sous la tunique. Je l’ai prise bien par les hanches, soulevée, et, en la regardant bien, avec un sourire pervers, je lui ai remise ma queue… bien profondément ! Croiser son regard ma excité encore plus : je la voyais enfin, détectant tous les signes de plaisir qu’elle donnait, se mordillant les lèvres, fermant un peu les yeux, avant de les rouvrir subitement, en grand, au moment où je lui donnais un coup de rein. Elle se cambrait comme une chienne en chaleur sur le chariot !
J’avais mon pantalon baissé, et je sentais les talons de ses bottes calées contre mes fesses nues : j’adorais ! Je pensais encore à ceux de Lilya, et au plaisir que j’aurais en les sentant comme ça, contre moi, en sautant cette lectrice finalement inconnue ! La sensation des talons en bois contre la peau, leur froid contre ma peau chaude et remuante, tout était exquis. J’avais un peu l’impression de baiser Lilya en même temps, d’être dans son ventre à elle, aussi. Mais pour linstant, jétais en train de sauter Sofia : je la sentais se tordre de plaisir. Elle se pinçait les lèvres, pour ne pas gémir comme une folle, et son visage en était rouge, bouffant de plaisir. Les cheveux étaient un peu éparpillés au dessus d’elle. J’ai remonté mes mains sous sa tunique, lui remontant. Et je suis arrivé à sa brassière noire, que je lui ai remontée : j’ai empoigné ses seins, ses tétons tout durs, et je regardais son nombril remuer, au rythme de ma queue en elle.
J’allais et venais, bien large en elle, et j’adorais contempler ce corps de jeune salope, qui se faisait tringler. Mais j’ai eu envie de la sentir un peu plus serrée, plus bridée, pendant que je la prenais, pour la sentir plus… soumise ! Je lui ai pris les jambes par les chevilles derrière moi, et les ai faites passer devant. Puis je les ai retendues, et enfin appuyées sur mon torse : je sentais toute la longueur de ses jambes frémissantes contre moi, et toujours ses bottes, bien calées contre mes épaules, encadrant mon visage. J’adore sentir le contact des bottes, du cuir, contre mon visage, ainsi que l’odeur !!! Bien peu de femme sont conscientes du pouvoir extrême qu’elles peuvent avoir en manipulant certains hommes sur leur point faible, comme moi avec les bottes. J’ai alors remonté mes mains le long de ses jambes bien moulées dans les leggings, et j’ai pris en main les bottes contre mon visage. J’ai recommencé à coulisser en elle, avançant un peu plus difficilement entre ses chairs resserrées. Je l’ai sentie frémir comme une folle : elle a crié !!!
Moi, je savourais les bottes contre mes joues, et je l’enfilais, je la baisais. Je sentais ma large queue remonter dans son ventre bien serré. Je la sentais se crisper, remuer d’un plaisir atroce, sur le chariot. J’ai tourné la tête et j’ai commencé à lui lécher le cuir de la botte, tout en continuant à la fourrer, tout en lui léchant, voire en lui suçant longuement la botte, qui remuait contre mon visage à mesure de mes allers et venues. Je l’ai regardée : cette salope souriait, les yeux mi clos. Elle avait ce sourire de satisfaction, comme si elle savait qu’elle me rendait fou ! Je n’en pouvais plus : je lui ai subitement ré-écarté les jambes, qu’elle a immédiatement remises autour de moi. Et j’ai plongé sur elle, lui prenant la tête entre les mains, et lui roulant un palot mémorable, lui violant la bouche avec ma langue, pendant que j’ai repris mon travail en profondeur, entre ses cuisses ouvertes.
J’ai adoré me plaquer de nouveau contre elle, me laisser peser sur son corps, en continuant à la fourrer bien profondément, sentir enfin son odeur, son visage contre le mien, et la sentir respirer contre moi, en moi, et l’investir totalement, sentir mon torse contre elle, et sentir ses seins remuer brutalement, au rythme de mes propres coup de reins. J’avais l’impression d’une emprise totale sur elle, ses talons en bois bien recalés sur mes reins, comme si elle était agrippée à son plaisir !!!
Je sentais que la jouissance approchait, et j’ai ralenti un peu, en prenant cependant bien soin de la ramoner en profondeur, pour bien ressentir tous les spasmes de jouissance dans son corps, et dans sa bouche. Elle me jouissait dans la bouche. Je sentais son corps se crisper un peu autour de ma queue, et j’ai senti sa gorge comme se serrer : elle s’étranglait un peu, comme si elle ne pouvait plus gérer, pendant que je lui baisais la bouche, et son ventre. Puis ses talons ont vibré, sur mes fesses : je ressentais tout son orgasme, dans l’intégralité de son jeune corps parfait, souillé par mon envie d’homme mûr.
Jadorais ce quil se passait. Je me suis retiré à peine de la bouche de Sofia, et je suis resté juste au dessus de son visage, la regardant dans les yeux, secouée comme jamais, et effleurant son nez avec le mien. Nos respirations saccadées se mêlaient, pendant que je finissais de la bourriner à fond ! Je me suis amusé à rester comme çà, juste au dessus de son visage, pendant que j’ai accéléré comme un fou, comme un forcené. Je me suis mis à la limer en profondeur, et bien en amplitude, ressortant presque entièrement… et la refourrant, histoire qu’elle sente bien qu’elle soit prise totalement ! J’ai bien pris soin de me retenir de jouir, en la regardant, et en la fourrant rapidement, comme cela, pendant près de 10 ou 15 secondes, en savourant les bruits de muqueuses dégoulinantes se faisant limer. Je pense, d’après son regard brillant, qu’elle aimait ces sons autant que moi ! Puis, je lui ai attrapé les cheveux, et je les lui ai tirés en arrière, plongeant dans son cou, lui suçant sa peau matte, et je lui ai asséné quelques puissants derniers coups de queue. Et j’ai explosé en elle, bien au fond d’elle ! J’ai étouffé un puissant râle dans son cou : elle a dû me sentir vibrer, jouissant en elle. Je me suis déversé, plusieurs fois, l’inondant de mon foutre chaud, lui donnant ce qu’elle méritait d’avoir !
J’ai passé du temps à me vider complètement. J’ai senti ma queue dégorgeant plusieurs fois, et j’ai bien pris la peine d’aller et venir, en lui bouffant littéralement le cou, puis en l’embrassant de nouveau indécemment. Je me vidais complètement ! Je me suis redressé au bout d’un moment, puis je lui ai bien resserré les fesses autour de ma queue, avant que de me retirer, histoire qu’elle garde bien tout en elle, et qu’aucune goutte ne s’échappe. Puis, je lui ai souri : elle était étalée sur le chariot, épuisée de s’être faite prendre comme elle ne l’avait peut être pas prévu.
Nous avons passé un moment dans la salle, à nous en remettre, à reprendre notre souffle, à nous rhabiller. Nous avons fait tout cela, sans parler, sans un regard, du fait d’un peu de gêne, sans doute. Elle ne s’attendait certainement pas à se faire sauter avec cette vigueur, et je ne pensais pas autant montrer mon gout pour les bottes, pour les maghrébines, et pour tout le reste.
Le retour à nos postes sest effectué sans encombre notable. J’ai par contre assez apprécié sa démarche, qui se voulait maîtrisée, et donc un peu lente, faisant toujours claquer ses talons sur le sol, alors que Sofia devait essayer de gérer surtout son plaisir encore à fleur de peau. Je la suivais, avec les mêmes regards dans les reflets des portes vitrés, mais sans ambiguïté, maintenant.
Nous sommes repassés devant le poste de garde, et avons essuyé des sourires, des réflexions, des regards accusateurs, mais nous les avons ignorés : il y a tant de ragots dans cette entreprise, sans que personne ne sache si oui, ou non, il se passe quelque chose !