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La tentation d'un quadra – Chapitre 3

La tentation d'un quadra - Chapitre 3



Vendredi 22 novembre 1985, 22h environ

Hélène et moi rentrons du restau. Hélène est mon amie du moment, on se connaît depuis maintenant 3 mois et la relation est plutôt chouette et en tout cas très sexe avec pas mal de complicité mais il n’est pas question de vie commune et d’ailleurs nous avons l’un et l’autre d’autres aventures. Nous n’en avons que plus de plaisir à nous retrouver.

Hélène est grande (1, 70 m), pas vraiment mince (65 kilos) mais elle a une bien belle silhouette. Des cheveux bruns mi longs, aux épaules, une frange sur le front, des yeux noirs, des lèvres pulpeuses et un nez un tantinet trop saillant peut-être. Un beau visage et une peau mate toujours un peu bronzée qui ressort magnifiquement sur les photos que je fais d’elle. Ce soir, elle a mis une jupe, une jupe en cuir, noire et fendue sur le devant, des bas noir, un chemisier blanc, des hauts talons. Elle a mis le paquet ! Elle est craquante… et je craque bien sûr.

Nous entrons dans le séjour, j’ai à peine le temps d’allumer, elle me saute au cou et se plaque contre moi, je dois m’appuyer contre le mur pour garder l’équilibre notre baiser s’éternise. Tout le repas durant, ce ne fut que frôlements, caresses furtives et sages mais pleines de promesses. Dans ses yeux, des étoiles, du désir, dans les miens du désir certainement. A peine assis à la table qu’on nous désignait, elle a pris ma main dans la sienne et serré ma jambe entre les siennes. Ostensiblement, elle a fait sauter les deux plus hauts boutons de son chemisier et entrouvert son col, puis elle s’est penchée vers moi.

Qu’est-ce que tu penses de mon nouveau soutien-gorge ? Il te plaît ?

A vrai dire, de ce soutien-gorge, je ne voyais pas grand-chose. C’était peut-être ça le truc. Mais ses seins me sautaient aux yeux. Plus tard, comme on attendait le dessert, elle me conseilla de laisser tomber ma serviette et de la ramasser. Sous la nappe, j’eus donc droit à une vision rapprochée de ses jambes gainées de bas noirs et surtout de cette bande de peau plus claire au-dessus des bas et comme elle écartait encore un peu les jambes, c’est son bas-ventre complètement nu que j’entraperçus un bref, trop bref, instant.

Après un repas dans cette ambiance, inutile de décrire l’état dans lequel nous nous trouvions

Après un très long baiser et les vêtements déjà un peu en désordre, on s’est séparés le temps de reprendre notre souffle et surtout de profiter de ce désir qui montait encore. La partie salon de mon séjour est située face à la fenêtre, elle comprend un canapé de cuir blanc, une table basse et un fauteuil type relax assorti. Les murs sont peints en blancs, la pièce est assez lumineuse malgré l’ombre qu’apporte le bâtiment qui fait face, celui de mes deux petites voisines. Nous nous asseyons sur le canapé mais je me relève tout de suite pour nous servir à boire.

Alors que je dispose sur un plateau, verres, glaçons et une bouteille de scotch, des bruits divers me parviennent du séjour puis un bruit de chasse d’eau. Mon plateau à la main, je rentre dans le séjour et je me fais agresser, à peine le temps de poser le plateau sur le premier meuble à ma portée. Hélène me bouscule contre le mur, un genou relevé, elle écarte mes jambes. Sa jupe entrouverte laisse voir sa cuisse gainée de noir et les jarretelles assorties, ça ferait une superbe photo mais j’ai bien d’autres préoccupations. On n’interrompt pas un pareil enthousiasme ! Sa main s’agrippe à mon entrejambe, ses lèvres se plaquent sur les miennes, nos dents s’entrechoquent, sa langue force ma bouche, s’enroule autour de la mienne. Sur ma queue, sa main va-et-vient au travers de mon pantalon. Je ne suis pas inactif non plus. Tout naturellement, sous "l’attaque", ce sont ses fesses que j’ai d’abord empoignées à pleines mains mais maintenant ce sont ses seins qui m’attirent.

Son soutien-gorge est vraiment sensationnel : il laisse les tétons à découvert. Les siens sont fort développés, toujours saillants mais ce soir ils sont durs et bien plus gros encore. Au travers du chemisier, ils pointent comme pour le percer. J’empaume ses seins, La caresse est délicieuse : c’est doux, c’est ferme, c’est exactement à la dimension de mes mains. Je sens ses tétons agacer le creux de mes paumes, je les fais rouler, je les pince doucement, je l’entends gémir, sa main se fait plus insistante sur ma queue, elle cherche la boucle de ma ceinture, le zip de mon pantalon. Sa main s’insinue, retrouve ma queue au travers de mon boxer, elle en épouse les contours, ses doigts glissent de la base vers le gland, s’attardent sur son renflement. Du bout des ongles, elle griffe doucement le frein, toujours au travers du tissu. Interrompant notre baiser, elle me regarde droit dans les yeux tout en continuant son petit jeu.

Elle en jauge les effets, je pense qu’elle devrait être satisfaite, ça marche terriblement bien, j’adore. Les yeux fermés, je me laisse aller mais elle est bien plus coquine que ça, elle s’arrête et prends ma main pour la glisser entre ses cuisses par la fente de la jupe et remonte le tout jusqu’à sa chatte. Elle est trempée, brûlante, mes doigts glissent entre ses lèvres, je trouve son clitoris déjà gonflé.

A moi l’initiative maintenant ! Nous échangeons nos positions et c’est elle qui est plaquée contre le mur, la jupe retroussée, son clitoris entre mes doigts. Pour faciliter ma caresse, elle lève une jambe et trouve une chaise pour y poser le pied. Son petit bouton n’est pas vraiment petit, il est même plutôt bien développé. Je l’ai coincé entre pouce, index et majeur. Là, je peux le faire rouler sous mon pouce ou le pincer doucement. J’alterne l’un et l’autre. Au tout début de la caresse, mes doigts glissent tant que je peine à assurer ma prise mais quand j’y parviens, c’est mon tour de la regarder dans les yeux et de guetter sa réaction.

Elle a d’abord fermé les yeux, probablement pour se concentrer sur la caresse, maintenant, ils sont grand ouverts, droits dans les miens. Son souffle est rapide, de plus en plus. Elle halète, elle gémit, ses jambes tremblent, convulsivement elle serre ma main entre ses cuisses, elle ne gémit plus, elle crie. Sa voix est rauque, les mots indistincts sauf ce ouiiiii qui revient plus fort, plus fort encore jusqu’à ce dernier hurlement qui accompagne sa jouissance. Mes doigts sont inondés de son jus. J’en ai plein la main. Les yeux fermés, elle semble chercher son souffle. Je la regarde, je l’admire, elle est belle. Belle de sa jouissance malgré ses traits marqués, les cernes qui se forment sous ses yeux, son rimmel qui fout le camp et les spasmes qui déforment son visage.

Son souffle revenu, elle me regarde à nouveau et c’est l’occasion de sucer mes doigts et de goûter son jus ostensiblement. Je n’y manque pas, puis je lui tends mes doigts qu’elle suce à son tour.

A genoux, les mains sur ses fesses, je bois à la source. Hélène me laisse faire et me tend même complaisamment son ventre en écartant encore les cuisses pour me faciliter la tâche. Mais ce n’est pas vraiment le moment. Elle est encore sur le coup de sa jouissance et comme anesthésiée. Je ne la caresse pas en fait, c’est très égoïste : je me régale de cyprine. Elle en a plein les cuisses et sa chatte coule encore. Je lèche consciencieusement, j’en voudrais plus encore, je m’en enivre, c’est délicieux.

Est-ce vraiment si bon que ça en réalité ? C’est une question que je ne me pose pas à ce moment-là mais maintenant que je relate cet épisode. Non, ce n’est très vraisemblablement pas vraiment bon dans l’absolu. C’est ce que cela représente qui m’excite et me fait tant aimer cette liqueur. Son désir de moi, ce plaisir que je lui ai apporté, ce plaisir en lui-même je crois que je l’aimerais même sans que j’y sois pour quelque chose. Le désir et la jouissance des femmes me fascinent et m’obsèdent.

Je ruisselle de sueur, je prendrais bien une douche !

Je te montre la salle de bains, on la prend ensemble ?

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