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La terrible vengeance de son ex – Chapitre 3

La terrible vengeance de son ex - Chapitre 3



La terrible vengeance de son ex fiancée Ch 3

Coulybaca

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Cette histoire fait suite à :

La terrible vengeance de son ex fiancé Ch 1 et 2

de Black Demon (Former Fiancée’s Fury – 1 & 2)

, traduite par Coulybaca.

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Lisa Hammond venait de reprendre la classe ce matin même, à peine rentrée de sa croisière de lune de miel.

Ce voyage de noce lui avait permis d’estomper quelque peu les déboires de son mariage et sa nuit de noce et cependant elle savait pertinemment qu’elle ne tarderait plus à devoir affronter le pervers concierge factotum de son établissement, bien décidé à abuser largement de ses charmes.

A son insu, l’histoire s’était nouée un an plus tôt, Rick Hammond, son actuel mari, était alors fiancé à une somptueuse brunette bien déterminée à profiter jusqu’à l’ultime minute de sa vie de célibataire, avant de lier son avenir au beau Rick, véritable caricature du bon américain du sud, collet monté, orgueilleux, soucieux du "qu’en dira-t-on", un tantinet raciste.

Malheureusement, à deux jours de leur mariage, il l’avait débarqué dans sa chambre d’étudiante alors qu’elle se faisait copieusement ramoner par deux athlètes noirs particulièrement bien montés.

Fou de colère il avait immédiatement dénoncé leur mariage, folle d’humiliation elle avait du décommander les festivités, renvoyant les cadeaux avec des mots d’excuse évoquant une raison plausible à ce brusque revirement.

Folle de honte elle avait juré ses grands dieux de se venger si l’occasion s’en présentait un jour !

La chance lui avait enfin souri cette année, sa mère lui avait innocemment signalé le futur mariage de son ex-fiancé avec une certaine Lisa Miles, une jeune et innocente beauté institutrice dans une école primaire de Cranton, une ville voisine.

Le mariage était programmé pour le printemps, apparemment pendant les vacances scolaires.

Vicki travaillait couramment comme assistante dans une chaîne d’hôtel, elle se débrouilla pour être mutée dans l’hôtel de Cranton prétextant devoir se rapprocher de sa mère gravement malade.

Ce mensonge lui permettait par ailleurs d’adopter un horaire très élastique qui devait lui permettre d’assurer l’assistance de sa mère (transports vers l’hôpital, hospitalisations, soins à domicile …..)

C’est par le biais de son boulot d’organisatrice de mariages qu’elle projetait de se venger de son ex.

— "Rick Hammond ……Tu vas pas être déçu du voyage … Je t’ai mitonné un de ces mariages pour ta future et toi …… J’ai pas fini de savourer ma vengeance !……" siffla-t-elle haineusement.

Vicki passa un jour entier à recueillir des informations dans les archives du journal de bord du lycée de Cranton relatant les événements de la vie scolaire.

L’article dans le journal local, relatant leur engagement lui procura les infos nécessaires concernant leur futur mariage : la date, l’église, le lieu de réception, jusqu’aux dates de la croisière sur la méditerranée en guise de lune de miel.

Instruite que Lisa voulait faire les choses rapidement, Vicki proposa son concours pour moitié prix du tarif habituel dans ce domaine.

Elle s’arrangea pour prendre deux semaines de congé afin de mettre au point les derniers détails du mariage.

Vicki savait qu’elle devrait assister l’insouciante jeune future à chaque minute jusqu’au laçage de robe de mariée.

Un frisson de plaisir courut le long de sa colonne vertébrale lorsqu’elle vit un jeune athlète noir toisait du regard la future mariée alors qu’elle enfilait sa robe.

Vicki ne parvenait pas à croire qu’on puisse se montrer aussi naïve et innocente.

"Bordel elle est si pure et saine !….. C’est à faire vomir !….. " marmotta-t-elle en secouant la tête.

Tirant prétexte de l’inondation de son appartement Vicki s’était débrouillée pour se faire inviter par sa nouvelle amie.

Vicki avait évoqué son fiancé par son nom de famille "Carter", ce qui sonnait comme un nom de blanc.

Vicki vit rougir les joues de la future mariée, lorsqu’elle lui présenta Deion Carter, le ramenant du petit aérodrome de la ville où il venait d’atterrir, elle faillit exploser de rire alors que Lisa tendit poliment la main pour saluer Deion, il était évident que la jeune femme n’avait pas l’habitude de côtoyer des noirs, surtout tels que l’imposant athlète noir.

Elle s’était donc installée chez son amie la faisant profiter sciemment de longues nuits d’ébats érotiques après l’avoir bourrée d’aphrodisiaques ce qui, évidemment provoquait une folle tension sexuelle chez son innocente proie.

Bien sur, une fois fiancé Lisa et Rick avaient gauchement fait l’amour, cette nuit là Rick lui avait pris sa virginité, elle n’y avait pris aucun plaisir, ne ressentant que de la douleur alors qu’il éjaculait précocement dans la capote qui lui couvrait la queue.

Mardi, lors de leur quatrième nuit chez Lisa cette dernière errait comme un zombie, le déficit de sommeil augmentait alors qu’elle continuait à enseigner le jour.

Et cette démangeaison implacable, due à la drogue, qui lui embrasait le bas ventre la faisait grimper aux murs.

Le soir de l’enterrement de sa vie de jeune fille, sous l’influence d’un cocktail parfaitement dosé de cantharide et de rohypnol Lisa s’était comportée de façon extrêmement provocante, se frottant comme chatte en chaleur contre les corps dénudés des "chippendales" chargés d’animer son ultime soirée de jeune fille.

En fin de soirée, accompagnée de Deion Vicki avait ramené une malheureuse Lisa titubant dans sa chambre, puis dans son lit où Deion, profitant de son hébétude avait allégrement abusé de sa bouche et de sa chatte au cours d’une longue nuit de débauche qu’elle croyait, le lendemain matin, avoir rêvé tandis que Vicki filmait avec son l’ensemble des ébats passionnés de sa dernière nuit de "jeune fille".

Le lendemain matin, courbaturée, moulue elle avait attribué sa lassitude évidentes aux excès de boisson et de gesticulations de sa dernière nuit de célibataire.

Les cérémonies religieuses et civiles s’étaient déroulées au mieux, calmant les angoisses de Rick qui se persuadait peu à peu que Vicki venait lui manifester son pardon.

Il avait cependant du déchanter rapidement lorsque sous la menace de faire parvenir des photos de Vicki que Lisa avaient prises alors qu’elle était droguée et violée, il avait été obligée de suivre les exigences de Vicki ou d’affronter les conséquences de l’envoi de photos et de cassettes de son viol à tous les invités de la noce.

Il avait tout d’abord du faire absorber à sa jeune épouse une boisson corsée (alcool et cantharide), puis, toute la nuit il avait du assister avec horreur aux assauts répétés endurés par sa jeune femme dans le lit qu’ils étaient censés partager.

Sous l’empire de la drogue et de l’alcool, Lisa délirait oublieuse de tout ce qui lui arrivait, Rick ne pouvait rien faire, les menaces de son ex-fiancée le paralysait totalement. Vicki avait amené avec elle son copain noir nommé Deion.

Ils avaient surgi dans la chambre à un moment gênant, alors qu’il était totalement incapable de pénétrer sa femme tant sa bite s’était rabougrie.

repoussé sur le sofa il avait du subir les sarcasmes de son ex alors que son copain se déshabillait.

Tout d’abord ce bâtard de noir avait enfoui son visage entre les cuisses de Lisa et avait entrepris de lui bouffer le gazon ……. Jusqu’au moment où il fut évident que Lisa jouissait sous ses caresses.

C’est alors qu’il s’était allongé sur elle, sans prendre aucune précaution, sous les encouragements de Vicki qui lui enjoignait d’engrosser sa victime.

Il l’avait tant et si bien baisée que des rigoles de foutre s’écoulaient de sa fente lorsqu’il se retira, Vicki lui avait murmuré à l’oreille alors que la sonnette de la porte tintait.

— "Une autre surprise pour ta femme et toi !…." puis s’adressant à celui qui sonnait à la porte

— "Juste au bon moment monsieur Gonzales !…. Entrez donc !……"

Rick braqua les yeux sur la porte d’entrée alors que Vicki faisait entrer un vieillard ventru qui, à la vue de la somptueuse beauté écartelée sur le lit, s’exclama :

— "Mama mia …… Une véritable colombe !….."

Comme le vieux schnock se dépouillait de ses vêtements, Vicki était revenue au sofa et lui susurrait railleusement :

— "Monsieur Gonzales est concierge dans l’école de Lisa ….. Je l’ai vu reluquer avidement ses appâts un jour où j’avais rendez-vous avec elle à l’école !…..Ill est le seul de son école qu’elle n’ait pas invité à la noce !…… Aussi ai-je pensé bien faire en réparant son oubli !…. Il va prendre sa revanche, ne penses-tu pas ?……Si elle doit se retrouver enceinte après cette nuit, tu devrais prier pour que ce soit de ce gros porc … Après tout le bébé serait blanc !……"

Délirant toujours sous l’emprise de la drogue, Lisa ne voulait qu’une chose …… Sentir une grosse bite dans sa chatte !….. N’importe quelle queue ferait l’affaire tant elle était échauffée !……"

Elle ouvrait en grand les cuisses pour mieux accueillir l’homme qui la chevauchait.

Pendant toute la nuit, Deion et Juan s’étaient relayés pour sauter la chaude jeune mariée, la faisant hurler son extase alors qu’ils la labouraient encore et encore.

Et maintenant, au petit matin, alors que l’effet de la drogue diminuait, elle sortait lentement de son état de sidération, sans encore savoir qui la ramonait avec tant de vigueur. ….. Pour se rendre compte que le vicieux concierge de son établissement, le seul membre du personnel qu’elle n’avait pas invité à son mariage était en train de la sauter !……

Elle avait rêvé de se réveiller au petit matin de sa nuit de noces le corps moulu des assauts de son mari …… Elle s’imagina qu’elle rêvait encore, avant d’entendre la voix familière !….. Celle de ce détestable vieillard, le concierge de son établissement.

Rien ne pouvait être plus éloigné de son rêve d’être aimée de son mari sous les assaut duquel son corps aurait du exulter.

Quelques minutes plus tard, Lisa toujours agenouillée, branlant ses deux spectateurs sentait son estomac secoué de nausées alors que le foutre du vieux salaud gargouillait dans sa gorge, quelques filets de semence s’étalaient sur son menton s’égouttant sur sa poitrine et le haut de ses cuisses.

Les deux bras couverts du foutre que venaient de cracher les bites de Deion et de Rick, Lisa fermait les yeux alors que Juan essuyait sa bite baveuse sur ses joues.

Secouée de nausée, Lisa refrénait difficilement son envie de vomir.

C’est alors qu’elle entendit le vieux salaud lui murmurer :

— "Juan apprendra sa petite prof chérie à avaler la fumée …… Madame Lisa apprendra à savourer la sauce mexicaine de Juan !……"

Consternée elle l’entendit poursuivre :

— "Madame Lisa doit apprendre à avaler tout le foutre pour son retour à l’école !……. Ou bien elle se retrouvera avec le devant de ses jolis corsages couverts de foutre de Juan !….. Juan viendra chaque après-midi aider sa petite prof chérie à nettoyer sa classe, comme ça elle pourra écarter les cuisses pour lui faire plaisir …. Et bientôt Juan lui prendra son dernier pucelage ….. Il sera ravi d’être le premier à lui casser le cul …… Bientôt la petite prof chérie aimera autant sucer Juan que de se faire baiser et enculer chaque jour par lui !……. Peut être même l’offrira-t-il certain soir à ses amis … Elle devrait lui rapporter pas mal de sous !.."

Son avenir était tout tracé : celui d’esclave sexuelle à la solde de ce vieux dégoûtant qui ne tarderait certainement pas à vendre ses charmes à de futurs clients.

Ils avaient alors quitté le lieu de leurs exploits, laissant les deux époux désemparés, sanglotant dans les bras l’un de l’autre, conscients de se trouver totalement désarmés face aux menaces de cet infâme suborneur.

Lisa surveillait distraitement sa classe, c’était, dans l’ensemble de gentils gamins de 10/11 ans soucieux de ne pas attirer l’attention de leur maîtresse en ces jours de reprise suite aux vacances de printemps.

Ils travaillaient calmement, pour la plupart satisfait d’avoir repris les cours, leurs camarades, la routine scolaire journalière.

Cet atmosphère paisible lui permettait de s’interroger sur son sort, elle se demandait comment s’attirer la sympathie du vieil hispanique, afin de le dissuader de mettre en ouvre ses menaces proférées à l’issue de sa tragique nuit de noce.

Il ne lui restait que peu de temps pour développer son argumentation, déjà midi pointait à au cadran de l’horloge mural, ses élèves allaient momentanément la quitter pour se rendre à la cantine scolaire avant de revenir à 13 h 30 terminer leur journée de classe, classe qu’ils quitteraient à 15 heures pour se joindre aux activités choisies, souvent sportives ou ludiques de l’après digestion.

La cloche résonna, en ordre serré, ils abandonnèrent lentement la classe.

Ne voulant pas déroger à ses habitudes journalières, elle ferma la porte dans leur dos et regagna son bureau dont elle débarrassa rapidement le plateau pour y déposer sa bouteille thermos de café et ses sandwichs.

C’est alors qu’elle vit la cliche de la porte tourner, la porte s’ouvrit et Juan, le concierge pervers de l’école, pénétra dans sa classe se h^tant de venir se poster face à son bureau.

Se refusant à le braquer d’entrée, elle voulut se montrer affable et le salua fort civilement :

— Bonjour monsieur Gonzalez. Avez-vous passé de bonnes vacances ?

— Hé oui charmante Lisa. Bien que j’étais impatient de te revoir. De te voir revenir. J’ai tellement envie de reprendre là où nous en étions resté. De jouir de ta bouche. De ta chatte. Et bientôt de ton délicieux petit anus !

— Justement monsieur Gonzalez. A ce sujet je ne pense pas. Que l’on doive. Je me refuse à. Je ne veux plus.

Elle s’avérait totalement incapable de prononcer ces mots terribles qu’elle devrait cependant prononcer un moment donné si elle voulait pousser plus loin son argumentation.

Se levant brusquement il sortit une enveloppe de sa poche qu’il lança devant elle sans un mot.

Déjà paniquée, elle l’ouvrit et en extirpa une lissa de photos, elle se mit instantanément à trembler de rage et d’horreur à la vue de ces clichés.

La première image la représentait la bite de Juan en bouche, celle du musculeux noir enfouie dans sa chagatte alors qu’il, la fourrait à quatre pattes, de prime abord, elle semblait ravie d’être embrochée par ces deux extrémités.

Sur une autre, elle s’empalait d’elle-même sur la bite dressée du musculeux noir, accueillant visiblement avec plaisir son estoc d’une taille invraisemblable dans son étroite petite chatte distendue.

Sur une autre encore elle avait le visage couvert de foutre alors que des bites de ses partenaires jaillissaient des giclées de foutre gluant qui venaient s’écraser sur son visage, dans ses cheveux.

Elle se tassa sur elle-même, elle ignorait tout de ces instantanés, Rick lui avait bien avoué l’existence d’une bande vidéo qui suffirait à les circonvenir, mais entre en connaître l’existence et voir les tirages qu’on pouvait en tirer, il y avait une marge que son imagination ne lui avait pas permis de franchir.

Et voilà que la crudité de ces représentations l’anéantissait totalement, elle ne pouvait en aucun cas laisser diffuser ces images lubriques sur lesquelles elle paraissait plus que consentante, elle paraissait active, participante de son plein gré !

Toujours sans un mot il contourna le bureau et d’un geste impérieux de la main lui enjoignit de s’agenouiller, elle s’exécuta docilement tendant déjà le col pour absorber son chibre.

Il sourit à pleines dents en enfouissant la totalité de sa mentule dans sa gorge, d’instinct, elle adopta les gestes qu’elle avait du apprendre si rapidement lors de sa nuit de noce pour contenter la salacité de ses deux partenaires déchaînés.

Cela faisait maintenant dix jours qu’il attendait avec impatience cet instant, il fut totalement incapable de se retenir et avec force râles et grognements il lui tapissa la gorge de son foutre épais, puis, se reculant de quelques centimètres il lui emplit la bouche de sa semence crémeuse, et comme il l’en avait prévenu lors de leur dernière entrevue, soucieuse de ne pas tacher le devant de son corsage elle dut s’efforcer d’avaler sans coup férir la totalité de son émission spermatique.

Les yeux pleins de larmes, folle d’humiliation, elle se redressa, reprit place sur sa chaise et les épaules secouées de tremblements convulsifs elle s’efforça de reprendre ses esprits.

Juan se saisit d’une chaise et s’installa à coté d’elle, il était déterminé à asseoir définitivement son emprise sur elle.

Il lui servit u godet de café qu’elle prit le temps de siroter lentement, puis il s’en versa un qu’il mit autant de temps qu’elle à déguster.

Puis il lui tendit un de ses sandwichs, le goût âpre et salé du foutre ingéré lui embourbant les papilles elle s’efforça de se restaurer consciente qu’elle devait, pour sa santé mentale, agir le plus ordinairement possible.

Il laissa quelques minutes s’écouler, puis il lui fit signe de se lever, elle obéit passivement, toute velléité de résister brisée par la vue des images qui lui marquaient l’esprit au fer rouge.

— Que portes tu sous ton corsage ma charmante colombe ?

— Un petit soutien-gorge de dentelle.

— Montre le moi !

Misérablement elle déboutonna son chemisier exposant aux yeux de son maître un affriolant retrousse-têtes de dentelle blanche emprisonnant ses tentantes rotondités.

— Enlève-le !

Elle extirpa les bretelles par ses manches, glissa une main dans son dos pour dégrafer la bande dorsale et lui tendit le froufroutant chiffon, lui proposant ses nichons bien ronds, bien fermes qu’il s’empressa d’empaumer rudement.

— Désormais tu n’en porteras plus ! Lui intima-t-il avec autorité.

Elle se contenta de hocher la tête en signe d’acquiescement.

Sur un autre geste elle troussa sa jupe autour de sa taille, un signe d’énervement et elle comprit qu’elle avait mal interprété sa consigne, elle déboucla alors la ceinture de sa jupe qu’elle laissa choir au sol. Elle se tenait droite devant lui chemisier grand ouvert sur ses nibards offerts à sa convoitise, une paire de collants et une petite culotte complétant sa tenue.

Il continua à lui titiller rudement les mamelons tandis que misérablement elle descendait d’un même geste collants et petite culotte assortie à son soutien-nénés. Elle ne tarda pas à les enjamber lui livrant la luxuriance de son buisson doré cachant à peine sa cicatrice féminine.

Un signe encore et elle se courba sur le bureau, écartant les cuisses en grand pour lui offrir un meilleur accès à sa chagatte et ainsi satisfaire au mieux sa lubricité, la bite bien assurée en main, il la percuta d’un seul élan son ventre velu venant tout de go frapper avec un bruit de chair doux son fessier dodu.

A sa grande surprise, il l’avait bourrée jusqu’à l’os sans coup férir, elle comprit alors à quel point sa chatoune devait être trempée.

Imitant son esprit, son corps avait rendu les armes, se conformant de son mieux pour l’accueillir somptueusement, elle réalisait avec stupeur que son corps la dirigeait, l’obligeant à se comporter en véritable salope avide de se faire baiser !

Encore une fois, incapable de freiner sa lubricité il se déversa rapidement à gros bouillons dans sa chagatte chaude et hospitalière.

Elle se redressa péniblement, abasourdie par la fulgurance d’un inattendu orgasme qui l’avait submergée elle se laissa tomber sur sa chaise alors qu’il la prévenait :

— Désormais plus de collants ni de culottes, tu ne porteras plus que bas et porte jarretelles pour les grandes occasions et des dim-up de façon habituelle ! Et fais-moi le plaisir de porter des jupes plus courtes d’au moins 15 centimètres !. Des mini-jupes !. Je te veux disponible et accueillante que ce soit en classe, chez toi ou en ville !.

Sur ces mots il lui enjoignit de lui nettoyer la bite, ce qu’elle fit d’une langue habile au regard de son peu d’expérience, et fourrant ses sous vêtements roulés en boule dans ses poches il la quitta, lui promettant de revenir la voir à 15 heures, lors du départ de ses élèves.

Dans 10 minutes, ses élèves seraient de retour, elle avait juste le temps de ranger son matériel de restauration et de reprendre une attitude conforme à celle d’une enseignante du premier degré dans l’exercice de ses fonctions. L’épaisse purée lui tapissait la gorge et le palais, elle devait convenir que, contrairement à ses souvenirs, cette saveur fortement salée ne l’écourait plus, nulle nausée ne venait lui secouer l’estomac.

Ses élèves de retour, bien que gênée par l’absence de collants de culotte et de soutien-gorge, elle parvint à adopter une contenance ordinaire, dirigeant son après-midi comme elle avait géré sa matinée

A 15 heures, à peine ses potaches avaient-ils quitté la salle que déjà Juan Gonzalez la rejoignait, elle se leva sur un signe de la main et il lui imposa un patin baveux, langue explorant son palais, elle comprit tout de suite que désormais elle devait répondre avec enthousiasme à ses embrassades, et à son tour sa langue s’enroula autour de celle de son maître.

Ce faisant, il avait déjà glissé une main inquisitrice sous sa jupe et malaxait sa figue engageante, elle écarta les cuisses en grand lui offrant un accès des plus aisés à sa fentine, déjà son majeur farfouillait allégrement dans sa caverne embrasée alors que du pouce il lui pétrissait le clito.

Frémissant de la tête aux pieds, elle se laissa aller sur le dos sur le plateau du bureau, invitant son partenaire à l’investir.

— Vite de vous en prie. Prenez moi. Viteeeeeeeeee.

— Je ne comprends pas. Que veux-tu ? Sois plus clair !

Réalisant immédiatement qu’il ne la prendrait que lorsqu’elle emploierait un langage vulgaire, trivial, elle reprit sa supplique :

— Je veux votre grosse bite Juan. Fourrez-moi votre gros braquemart dans la chatoune. Faites-moi jouir. Je vous en prie. Bourrez-moi la chagatte !.

Aiguillonné par ses demandes lubriques, il la fourra de toute sa longueur, plongeant d’un seul coup de boutoir au fin fond de son intimité, tout de suite elle se mit à hululer :

— Oh ouiiiiiiiii. Ouiiiiiiiiiiiiii. Ahhhhhhhhhh. Ahhhhhhhhhhh. Que c’est bon ! Oh mon Dieuuuuu… Encore. Encoreeeeeeeee. Bien à fond. Et le corps secoué de soubresauts convulsifs elle s’affaissa sur le dos, terrassée par un orgasme d’une rare intensité.

Le temps de reprendre ses esprits, de s’essuyer la fentine avec un mouchoir de papier et déjà elle s’entendait enjoindre :

— Tu vas prévenir ton petit mari que demain tu rentreras assez tard. Tu prendras ta carte de crédit. On va renouveler ta garde robe. Tu l’informeras par ailleurs que tu passes le week-end chez moi. Du vendredi soir au lundi matin !

Elle eut la force d’esprit de rester concentrée le temps de regagner son domicile.

Une fois sa voiture garée dans le garage, elle se rua dans sa maison se débarrassa de son sac et de sa veste et s’empressa de gagner la salle de bain, le temps de se laver minutieusement les dents et déjà intégralement nue elle se glissait sous la douche curant avec attention sa cramouille i,o,dée, plus par précaution superfétatoire d’ailleurs que par raison objective, dès son départ en croisière elle avait contacté le gynécologue de bord et s’était fait prescrire une pilule anticonceptionnelle.

L’action amoliante de l’eau chaude cascadant sur ses flancs ne tarda pas à agir, ses muscles se détendaient, elle se mit à sangloter, son esprit se libérant ainsi des contraintes subies cet après-midi.

Ses ablutions terminées, une stricte tenue de nuit enfilée, elle entreprit d’occuper ses pensées en vaquant aux tâches ménagères ordinaires, rangeant la salle de bain avant de descendre préparer le souper.

Vers 19 heures, elle entendit son mari garer sa voiture dans le garage, il ne tarda pas à la rejoindre l’air soucieux.

Il n’était pas sans ignorer qu’en ce jour de reprise elle avait du affronter le tourmenteur à qui son ex-fiancée l’avait livrée pieds et poings liés. Cette reprise de contact l’avait profondément angoissée toute la journée, Toute la journée il avait craint le pire !

Comprenant qu’elle n’entendait pas aborder d’elle même le sujet, il la pressa :

— Alors cette reprise ?.. Difficile ?.. Comment cela.

Elle le coupa alors abruptement :

— Tout à l’heure. Nous verrons ça tout à l’heure !..

En fait elle voulait faire le tri, déterminer ce qu’elle entendait lui révéler.

Devait-elle lui avouer ce plaisir insensé, inimaginable qu’elle avait ressenti ?..

Ne parler que de son dégoût, de ses menaces ?..

De son emprise, sans alléguer sa complaisance, sa veulerie ?..

Perdus dans leurs pensées, ils se restaurèrent lentement, sans prêter d’attention particulière aux mets qu’ils dégustaient, ils n’échangèrent que quelques mots, tous deux conscients de la montée inexorable d’une forte tension.

Enfin ils gagnèrent leur chambre, Rick ne parvenait pas à masquer son impatience, il attaqua :

— Alors ?..

Etendue contre lui, elle frémit et entreprit le récit de son asservissement. :

— Midi à peine sonné, il s’est introduit dans ma salle de classe. Désireuse de ne pas le braquer d’entrée je l’ai accueilli aimablement, le saluant courtoisement. Il me confia alors son impatience de me revoir, pour abuser à nouveau de mes charmes. Comme je me refusais de me plier à son ignoble dictat, il sortit une enveloppe de sa poche et la jeta sur le bureau !

Elle se tut quelques secondes, Dieu qu’il était dur de poursuivre !

— Et que contenait cette enveloppe ?.. Intervint-il, sûr de la réponse.

— Des photos, des photos à faire vomir; me représentant. Me représentant un pénis en bouche. Une autre où deux hommes un noir et monsieur Gonzalez me prenaient simultanément. Une autre encore où ils projetaient des jets de semence sur mon visage et dans mes cheveux. Et bien d’autres encore sur lesquelles j’apparaissais toujours, le visage bien visible. Il semblait, sur toutes ces photos que je participais à cette infecte séance de baise, que je me livrais à eux. Que je participais de mon plein gré. Je compris alors que le piège se refermait sur moi. Que faire ?.. Je ne pouvais le laisser diffuser ces images comme il m’en menaçait implicitement.. Je ne pouvais que me plier à sa méprisable injonction. Sur une geste de la main je m’agenouillais et le contentais avec la bouche avant qu’il ne me possède sur mon bureau.

Elle ne jugea pas utile de développer les conditions de cette reddition, elle n’avait aucune envie de révéler à son mari le plaisir qu’elle avait ressenti à se faire dominer aussi ignominieusement !

— Il m’ a enjoint de te prévenir que je rentrerai tard demain après-midi et que je devais me mettre à sa disposition du vendredi soir au dimanche matin !

— Mais.

— C’est à cause de toi que nous somme plongés dans cette galère, alors je serai toi.

Bourrelé de remord il étouffa ses protestations, bien conscient qu’effectivement l’ignoble vengeance de son ex-promise se poursuivait, comme elle le lui avait prédit d’ailleurs !

Au petit matin, après une nuit tranquille blottie dans les bras de son mari Lisa se réveilla lentement, elle hésita un bon moment à quitter la chaude sécurité de son nid douillet pour enfin se rendre dans la salle de bain pour s’y rafraîchir avant de descendre préparer le petit déjeuner.

Bientôt rejointe par son époux qui ne pipait mot, ils déjeunèrent de concert, en silence, se refusant tous deux à mentionner la journée à venir.

Il partit vers 7 h 30 pour son boulot, sur un court :

— A ce soir ma chérie !

Ne s’attirant qu’une réplique aussi brève.

— Rappelle-toi, je rentrerai assez tard !.. Si tu ne me voies pas arriver, prépare-nous quelque chose à souper !..

Un dernier baiser hésitant et il gagna le garage, elle entendit son moteur vrombir tandis qu’il reculait sur la route pour prendre la direction des lieux de son labeur journalier.

Se remémorant les consignes de son maître-chanteur elle se rendit dans sa chambre et inventoria son armoire et sa commode pour y dénicher la tenue adéquate.

Elle finit pat dégotter une courte jupe de cuir achetée lors des dernières vacances et un sweat-shirt au profond décolleté laissant une bonne moitié de ses nibards en vue, ayant fourré sa carte bancaire dans son sac elle quitta rapidement son domicile pour parvenir vers 8 h 30 sur le lieu de son travail.

Juan ne se manifesta pas avant 15 heures, c’est toujours ça de gagné pensait-elle soulagée.

Dès qu’il l’eut rejointe, sans vergogne, il la fit lever et glissa sa main sous sa jupe inventoriant sa tenue, lui insérant tout de go index et majeur joints dans sa cramouille détrempée. Il la doigta quelques longs instants avant de l’installer allongée sur le ventre sur son bureau. Un coup de boutoir et déjà son pubis velu frappait ses fesses soyeuses, quelques coups d’estoc plus tard, il se vidait en elle apaisant momentanément sa concupiscence.

Le temps de lui lessiver la bite d’une langue agile et déjà, les cuisses dégoulinantes de foutre elle gagnait, en sa compagnie sa voiture garée sur le parking de l’école.

Une bonne vingtaine de minutes plus tard, suivant les indications du vieux Juan elle se garait la banlieue populaire du sud de "Cranton" devant un magasin de lingerie fine.

Assez inquiète, elle le suivit à l’intérieur, il se dirigea directement vers le comptoir et la présenta au gérant :

— Frank. Madame Lisa Hammond. Une bonne petite pute !..

Il y avait quelques mâles rassemblés dans l’arrière boutique qui visiblement tenait lieu de bar.

Ils parcoururent les rayons, choisissant quelques guêpières, des nuisettes, plusieurs micro-jupes, bas, portes-jarretelles et autres brassières affriolantes.

Ils débarquèrent alors dans l’arrière boutique.

— Hey Frank peut-elle essayer ces nippes par ici ?

— Devant les consommateurs ?

— Bien sûr. Tire leur donc 50 $ et ils pourront assister au spectacle !.. Photos et caméras autorisés, mais je veux des copies !..

Manifestement ils étaient d’accord pour cette formule et Juan ne la précisait que pour les futurs mateurs qui acquittèrent leur droit de zieuter sans une plainte, jugeant que le petit lot en valait le coup ! 12 spectateurs à 50 $ par personne, déjà il tirait 600 $ de ses charmes

Lisa était affolée, même dans ses pires craintes elle n’avait jamais envisagé cette possibilité. Se donner en spectacle à une bande de voyeurs pervers qui allaient se repaître de ses charmes les plus secrets. Déjà elle protestait :

— Non. Nonnnnnnnnnnn. Pas ça. Je vous en prieeeee.

Elle ne récolta qu’une violente paire de gifle alors que Juan précisait :

— Y-aurait-il deux gars pour l’aider à se foutre à loilpé ?..

Tout de go deux brutes se précipitèrent, en un clin d’oil elle se retrouva dans la tenue préconisée, cherchant à dissimuler ses nibards derrière ses bras croisés, mains posées sur son buisson doré.

— Sur le comptoir salope ! Hurlait un des spectateurs déchaîné.

Poussée aux fesses, un doigt vrillé douloureusement dans son anus elle dut s’exécuter et escalader le bar, révélant aux yeux de tous son intimité déployée, luisant du jute déposé plus tôt dans sa chagatte engorgée.

Sous l’oil hilare des amateurs éclairés elle eut beau se tortiller en tout sens, se contorsionner follement, à chaque pièce essayée elle dévoilait les muqueuses chatoyantes de ses chairs intimes, ses tétons dardés, ses nibards gonflés de sève.

A plusieurs reprises elle dut descendre de son piédestal pour parader au cour de la foule des buveurs ravis, des doigts fureteurs fouillaient sa moule embrasée, son anus crispé alors que d’autres lui malaxaient les tétons les maltraitant avec rudesse. Elle sentait monter en elle une excitation des plus suspectes.

Enfin l’essayage se termina, les mateurs comblés promirent à Juan de remettre des doubles des leurs images et Cd vidéos à Frank qui les collecterait pour lui.

Vêtue d’un porte-jarretelles retenant des bas rouges sous une micro-jupe noire fendue jusqu’à la taille et d’une brassière rouge si échancrée qu’on distinguait parfaitement ses tétons lorsqu’elle se penchait en avant elle le suivit pour gagner le caisse où l’attendait le gérant, ses emplettes déjà empaquetées.

— Il y en a pour 815 $ !…

— Que préfères-tu ?.. Une fois tes droits de matage perçus il te reste un solde de 215 $ à percevoir !.. Carte bleu ou paiement en nature ?..

— Que proposes-tu en nature ?

— Une pipe et un bon coup de bite dans la cramouille !..

Et voilà, on y était, à peine deux jours après sa mise à disponibilité il la prostituait.. Et elle n’avait pas le choix !.. Elle devait utiliser ses charmes à sa convenance pour acquitter son du !

Et au centre d’un cercle fermé formé par des consommateurs du bar qui avaient ressortis appareils photos et caméras, elle se laissa tomber à genoux, tendit la main et un sourire misérable plaqué sur les lèvres, elle descendit la fermeture éclair de sa braguette.

Quelques instants plus tard, c’est son caleçon qui chutait sur ses chevilles.

Il était doté d’une belle flamberge d’une bonne vingtaine de centimètres qu’elle ne tarda pas à emboucher. Lui empoignant les cheveux il lui immobilisa la tête et s’enfouit profondément dans sa gorge, ses couilles velues frottant contre son menton.

Sous les éclairs de flashs et les objectifs des caméras elle s’efforça de son mieux pour satisfaire son premier "client". Excité comme un poux, il ne tarda pas à lui embourber la gorge et la bouche d’une épaisse gelée de sperme gluant.

Il extirpa lentement sa bite visiblement satisfait de cette première performance.

Juan aussi la contemplait d’un oil radieux, il y avait de quoi, et d’emblée elle s’était conformée à ses voux, ce premier acte de prostitution avait été facile, il en appellerait bien d’autres, cependant il restait à conclure sur un bon coup de bite dans la chatoune !

Veulement elle se coula sur le comptoir, d’un coup de pied ajusté il lui écarta les cuisses, se ménageant u accès aisé à ses charmes.

La figue luisante bien en évidence, le petit oillet charnu vibrant d’émotion, elle se fit aguicheuse, remuant la croupe pour l’inviter à l’investir rapidement.

Elle était consciente que plus vite cette profanation démarrerait rondement, plus vite elle en aurait fini, tout au moins avec lui !

Il s’enfourna dans sa féminité d’un seul coup d’estoc, se mettant immédiatement à coulisser tout à son aise dans sa caverne détrempée.

Sa chatte était tapissé de foutre et de cyprine, elle était à son entière disponibilité, elle donnait des coups de croupe vers l’arrière, s’arquant sur les talons pour approfondire les pénétrations., elle le sentait s’expandre dans son tunnel étroit, déjà il grognait :

— Ahhhhh. Que c’est bon. Hughhhhhhhhhhh.. Que t’es bonne !. Quel coup !..

— Elle gémissait de conceert :

— Ah ouiiiiiiiiii. Mon Dieuuuuuuuu. Je vous en prieeeeeeeeeee. Encore. Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh.

Et dans un ultime et furieux coup de rein il se vida en elle déchaînant un intense orgasme qui la submergea à l’impromptu, la laissa pantelante de plaisir en travers du comptoir !

Hébétée elle se redressa lentement, un signa de la tête et servilement elle se pencha sur son organe mollissant et lui nettoya minutieusement la byroute satisfaite de voir le sourire joyeux, satisfait qu’arborait son maître manifestement enchanté de ses premières armes !

Vingt minutes plus tard, elle garait sa voiture devant un pavillon anonyme relativement proche de l’école, à peine à 300 mètres de cette dernière.

Espérant ne pas trop se faire remarquer, elle le suivit, ils passèrent par le garage où se trouvait une grosse Harley-Davidson, c’est alors qu’il lui donna une clef lui indiquant que désormais elle pourrait parquer sa voiture dans le garage ce qui éviterait à son véhicule de demeurer en évidence.

Puis ils pénétrèrent dans le domicile lui-même , la main sous ses jupes il lui pétrissait la croupe tout en la poussant à l’intérieur.

Avec bonhomie il lui offrit un rafraîchissement qu’ils consommèrent dans la cuisine, puis les paquets à la main ils grimpèrent à l’étage et gagnèrent sa chambre. Une coquette chambre bien entretenue , elle rangea ses emplettes dans une commode et une armoire probablement vidés pour y loger ses effets.

Tandis qu’elle rangeait ses courses, il se déshabillait lentement et s’allongea sur le dos au mitan du grand lit. Elle comprit le message et se dévêtit à son tour, escalada le lit et s’allongea à son coté.

Ils se caressèrent alors mutuellement explorant leurs corps avec avidité, elle manipulait avec quelques craintes son pénis raidi, ses pectoraux, ses fesses, alors qu’il la doigtait avec passion, lui roulant pelle sur pelle.

Enfin le corps embrasé, elle l’enfourcha, saisit d’une main son gland turgescent le guida à l’orée de sa caverne détrempée et s’empala lentement sur son épieux dressé.

Elle s’embrochait sur sa colonne de chair avec d’amples mouvements du bassin, manifestement elle avait inconsciemment décidé de profiter de ces instants de tendresse dans cet ignoble après-midi où elle avait du livrer ses charmes à toutes ces brutes.

L’ambiguïté du caractère de Juan qui se comportait tantôt en infâme maître chanteur, tantôt en tendre amant la bouleversait.

Allo,ngée, elle laissait ses envies se débrider, elle savourait chaque instant de cette lascive opportunité de combler ses fantasmes.

Finalement, en cette fin d’après-midi, l’identité de son partenaire importait peu.

Ravi de la tournure des événements, s’en réjouissant fortement, intimement convaincue qu’elle succombait à ses charmes, il jouissait de l’instant présent sans préjuger de l’avenir de leur relation.

A bout de souffle, le corps secoué de tremblements convulsifs, elle s’affaissa sur lui alors qu’il l’emplissait toute de sa chaude éjaculation.

Ils restèrent longtemps imbriqués l’un dans l’autre reprenant leur haleine et leur esprit

Il enfila une confortable robe de chambre alors qu’elle se rhabillait lentement, ils venaient de partager une douche se lavant l’un l’autre avec minutie.

C’est en prenant un fort café reconstituant qu’il lui fit part de ses dernières consignes :

— Au fait ma chérie, je dois m’absenter ces jours-ci, un stage. Tu ne me reverras pas avant vendredi en début de soirée. Je t’attends ici, vers 18 heures. En attendant, je ne veux pas te griller au niveau de l’école. Bien sur tu n’as plus droit de porter de petites culottes, de pantalons, de collants, et soutien-gorge !.. Tes fringues devront être érotiques sans pour autant s’avérer vulgaires. Robes ou jupes à mi genoux, Chemisiers et brassières bien échancrées révélant tes rondeurs mammaires sans pour autant les exposer en totalité !.. Tes tenues érotiques seront réservées à nos sorties et à mon plaisir ! Ah, autre chose encore. Pour vendredi déniche-toi une tenue de soubrette et achète un tube de vaseline. Tu souffriras moins lorsque je te trouerai le cul !

Rarement journées lui avait paru aussi longues, elle devait s’avouer que c’est avec une certaine impatience qu’elle guettait le retour de son "amant". Elle l’aperçut furtivement le vendredi après-midi, il était donc rentré et elle pourrait bientôt se livrer à lui.

Ses rapports avec son mari n’avaient guère évolués, il semblait q’elle lui en voulait de se retrouver dans cette position inextricable. Manifestement elle le considérait comme le véritable responsable sa situation. Il n’avait pas su la défendre, la préserver !

Quoi qu’il en soit ces deux journées avaient traînés, c’est avec une certaine impatience qu’elle attendait le début de soirée, il se languissait de le retrouver à 19 heures chez lui!

A 19 heures pétantes elle garait sa voiture dans le garage de son maître-chanteur. Ele le rejoignit tout de go dans la cuisine, lui roula un patin baveux puis à genoux elle lui tailla une somptueuse pipe.

Tandis qu’elle s’installait dans la cuisine il gagna le salon et alluma la télé, il avait pour projet de ne pas brusquer les choses, la tension monterait graduelllement jusqu’à l’instant de s’emparer de sa virginité anale.

Enfin des plateaux repas en mains elle le rejoignit et ils soupèrent d’une pizza royale tout en regardant un film policier.

Ils grimpèrent alors à l’étage, il s’étendirent lovés l’un contre l’autre, ecplorant leurs charmes mutuels avec minutie, le corps de Lisa frémissait à chaque attouchement un peu plus appuyé que les autres, alors qu’elle répondait tendrement à ses assauts.

Ses lèvres s’attardèrent sur son torse, descndirent le long de son aine, elle se releva et l’enfourcha franchement lui tendant sa chatoune alors qu’elle embouchait avidemment son gland turgescent. Ils exécutèrent un 69 à la paresseuse, laissant l’excitation grandir entre eux, pour enfin les emporter dans un orgasme demesuré.

Ils restèrent longtemps blottis l’un contre l’autre, puis sans un mot, elle fouilla dans le tiroir de la table de chevet et en extirpa un gros tube de vaseline, elle se disposa alors sur le ventre, fesses relevées sur un oreiller, lui offrant clairement l’accès à ses reins.

Tendrement il entreprit de lui évaser le goulot, majeur et index coulissant avec aisance dans son oillet qui se relaxait doucement.

Il s’attarda quelques instants sur son annelet qui petit à petit se faidait à son sort, admettant de plus en plus facilement ses doigts impatients qui la labouraient profondément.

Enfin il prit place, d’elle-même elle écarta ses globes fessiers opulents et d’un geste d’invite l’encouragea à l’investir.

Le muffle épais de son gros champignon pesa sur son anus crispé, avec une certaine obligerance il admit le visiteur impitoyable, déjà ses sphincters distendus franchis il s’enfgonçait jusqu’à la racine dans son fondement esservi.

Bientôt il la laboura énergiquement, se vidant à grands coups de boutoir au fin fond de ses instestins.

A leur grande satisfaction réciproque, ils avaient tous deux longuement apprécié ce furieux dépucelage anal.

Ils s’endormirent lentement dans le douillet nid amoureux qu’ils s’étaient concoctés.

Ils savourèrent longuement la journée du lendemain, se prenant et se reprenant selons leurs envies profondes, explorant avec méticulosité leurs charmes réciproques jusqu’à connaître tous les rouages et les ressorts les plus cachés de leur sexualité.

Mais le soir arrivait et la partie de poker qu’il avait organisée.

Elle gagna l’étage pour y enfiler l’affriolante tenue qu’il lui avait préparée : sur le front un diadéme en strass étincelant de mille feux, une nuisette dénudant allégrement ses nibards et ses avantages fessiers, le tout porté sur une paire de bas rouges accrochés accrochés à un frou-froutante ceinture porte-jarretelles noire.

L’ensembla paraissait si lascif, si provocant qu’elle préféra emeurer jusqu

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