Lorsque l’essuie main fut retiré du visage de Salope, un grand pansement recouvrait son ventre et donc le tatouage. Cela constituerait une surprise pendant quelques temps encore. Elle se releva, fit quelques pas avec ses hauts talons et se sentait réellement salope. Elle mourait de soif et aurait donné n’importe quoi pour avoir à boire. Elle ne savait pas comment poser la question et essaya de résister le plus possible. Au bout d’un moment, de peur de se faire corriger, elle se jeta aux pieds de son Maître, lui embrassa les pieds et se permit de demander.
Maître, s’il vous plait, puis-je me permettre de vous poser une question ?
Oui Salope.
J’ai très soif, puis-je boire quelque chose ?
J’ai plein d’idées de choses à te faire boire mais tu as été sage et docile. Je vais donc te donner à boire. Suis-moi.
L’homme se dirigea vers une armoire dans laquelle il n’y avait que des aliments pour animaux et de petites bouteilles d’eau.
Tu peux te servir en eau à volonté à condition que tu ne boives pas à la bouteille mais que tu la transvide dans ton écuelle. C’est bien compris ?
Oui Maître, merci Maître.
Elle se baissa et embrassa encore plusieurs fois les pieds de son Maître. Elle transvida la bouteille dans son écuelle et la vida en quelques minutes tellement elle avait soif. Après cela, elle leva la tête et aperçut Driss qui embrassait la rouquine tandis qu’elle avait une mais sur sa queue et une main sur celle de Jamal qui lui embrassait le cou. Le spectacle était magnifique. C’est ainsi que Salope les vit monter l’escalier pour aller dans l’une des différentes chambres. Maxime et son Maître étaient restés en bas et regardaient le spectacle avec un sourire jusqu’à ce qu’ils disparurent tous les trois dans l’escalier. Salope regarda donc ses deux autres Maîtres en bougeant son soutien-gorge et les blocs de silicone qui y étaient insérés. Ses tétons commençaient à être douloureux comme si elle faisait une allergie au silicone. Elle hésita un moment pour le dire à ses Maître mais s’abstint et attendrait de voir si cela passerait avec le temps.
Elle avance jusqu’à son Maître à quatre pattes et passa sa langue sur ses lèvres comme une allumeuse. Lentement, elle leva la main vers l’entre-jambe de son Maître et commença à masser sa queue à travers le pantalon. Son Maître ne bougea pas alors elle accéléra légèrement le rythme et la pression jusqu’à l’entendre gémir. Elle défit le bouton, descendit le pantalon jusqu’aux genoux et sortit la queue de son Maître complètement dure. Elle se sentait tellement salope dans cette tenue et avec ses bijoux. Elle avait tellement envie de la queue de son Maître. Elle posa sa langue sur les couilles de son Maître, les lécha et les embrassa pour remonta doucement sa langue sur le dessous de la queue bien tendue puis la décalotta. Elle fit passer sa langue sur toute la surface du gland et joua avec le gland de son Maître qui sembla apprécier à en croire ses gémissements.
Pendant ce temps, elle avait entendu que Maxime s’était levé et se dirigeait vers eux. Elle ne détourna cependant pas les yeux de la queue qu’elle avait en bouche et continua de jouer avec le gland tout en la masturbant lentement. Elle sentit soudain sa jupe se lever et un liquide froid couler dans sa raie. Elle savait ce qui l’attendait et était effrayée et heureuse en même temps. D’un côté sa première sodomie lui avait apporté beaucoup de plaisir mais d’un autre côté, elle avait la chatte complètement défoncée et donc douloureuse. Elle n’avait de toute façon pas son mot à dire et se concentra donc sur le côté positif ainsi que sur la queue qu’elle avait en bouche. Ses va et vient étaient de plus en plus rapide et pénétraient de plus en plus profondément dans sa bouche. Pendant ce temps, elle sentait les doigts de Maxime pénétrer douloureusement sa chatte et du lutter pour ne pas crier de douleur. D’abord, elle sentit un doigt puis deux puis trois. A ce moment, la douleur était terrible. Elle se concentra sur sa fellation pour ne pas y penser et ne pas crier. Elle savait qu’elle ne devait pas sous peine de correction par ses Maîtres.
Elle sentit deux mains sur ses hanches et la queue de Maxime forcer son passage dans sa chatte. Pour éviter de crier, elle tenta de prendre la queue de son maître entièrement en bouche. A chaque mouvement, elle avait l’impression de gagner quelques millimètres. Son Maître était tellement excité qu’il tenait la tête de Salope à deux main et baisait sauvagement sa bouche en enfonça sa queue de plus en plus profondément à chaque mouvement. Pendant ce temps Maxime limait la chatte de Salope. Il avait commencé doucement et avait accéléré progressivement. La brulure intense du début s’était dissipée en laissant une sensation de plaisir à chaque mouvement. Elle se faisait maintenant prendre pour les deux trous. Elle sentait l’orgasme venir dans son ventre et couinait autant qu’elle le pouvait avec une grosse queue en bouche. Elle avait le cur qui relevait mais adorait malgré tout cette sensation. Son Maître fut le premier à se décharger au fond de la gorge de Salope qui faillit s’étrangler mais qui ne gâcha pas une goutte de sperme. Maxime se déchargea au fond des intestins de Salope qui sentit son orgasme moins d’une seconde plus tard. Ils crièrent de plaisir en même temps.
Salope était très heureuse, presque sur une autre planète. Sans qu’on ne lui demande, elle nettoya la queue de son Maître, puis celle de Maxime et pour éviter de salir la maison, racla sa chatte avec son doigt en en bu le contenu.
C’est bien Salope, tu as été parfaite. Nous n’avons même pas eu besoin de t’imposer quoi que ce soit, tu as joué ton rôle de chienne à la perfection. Vas vite voir Jamal, Driss et Octavia dans la chambre d’ami. Tu pourras peut-être t’amuser avec eux s’ils le souhaitent.
Merci Maître, j’y vais de suite.
Elle monta l’escalier et se rendit compte qu’elle était toujours excitée et avait encore envie de sexe malgré son orgasme. Elle se rendit soudain compte que malgré son excitation, sa queue était à peine dure dans la cage et ne lui faisait absolument pas mal. Il fallait vraiment qu’il lui enlève cette cage. Après tout, elle avait été sage et peut-être accepteraient-ils. Elle arriva devant la porte de la chambre d’ami et se demanda comment faire. Elle tenta cependant de frapper doucement à la porte.
Elle entendit Octavia crier et entreprit donc d’entrer. Le spectacle était magnifique. Octavia était nue, à quatre patte au milieu du lit alors que Driss la prenait en levrette et qu’elle suçait Jamal qui était à genoux sur le lit.
Ha, Salope, j’ai une idée de ce que tu pourrais faire. Viens te coucher sur le dos sous moi avec ta tête sous ma chatte et ta queue sous mon visage.
Salope s’exécuta et se demanda si Octavia allait lui enlever sa cage et le sucer. Ce serait tellement bon, même en rêve, il n’aurait pas pu imaginer mieux que de se faire sucer par une femme aussi superbe et dominante à la fois. Elle n’en fit cependant rien. Salope sentait la mouille de sa Maîtresse lui couler sur le visage à chaque mouvement de Driss, ce qui n’était pas forcément agréable.
Masse mon clitoris avec ta langue pendant que Driss me défonce, dépêche-toi !!
Salope releva la tête et entama des mouvements de langue, petits au début puis de plus en plus amples. Par la même occasion, il massait le clitoris de sa Maîtresse et la queue de Driss qui ne semblait pas y être insensible à en croire ses gémissements. Octavia sentit l’orgasme arriver et cria comme si elle était possédée. Elle attrapa les couilles de Salope avec sa main droite et les serra de plus en plus fort. Au plus l’orgasme arrivait, au plus elle serrait sa main comme si les couilles de Salope était placées dans un étau. Salope ne pouvait plus se retenir de crier mais continua malgré tout d’activer sa langue. Driss et Octavia eurent leur orgasme simultanément. Une quantité impressionnante de sperme remplit la chatte de la femme et vint s’écouler directement dans la bouche de Salope qui avala tout pour ne pas salir les draps du lit. Ses couilles la firent souffrir et elle avait les yeux fermés pour mieux contenir la douleur. Elle entendit Jamal se déplacer vers le visage de Salope, avoir un orgasme à son tour et se vider sur le visage de Salope. Son visage était presqu’entièrement recouvert de sperme.
Mets-toi à genoux à côté du lit et surtout, tu ne t’essuies pas le visage. Tu laisses le sperme sécher pour montrer à tout le monde la pute que t’es. Dépêche-toi !
Salope s’exécuta et regarda les trois personnes sur le lit s’embrasser et continuer à se caresser. La scène dura encore quelques minutes puis ils redescendirent tous. Les cinq personnes étaient assises à table et le regardaient.
L’une de tes tâches est de faire à manger et on a faim. Va dans le réfrigérateur et fais-nous immédiatement à manger. N’oublie pas, tu n’as pas le droit de manger ce que tu cuisines, ça nous est réservé.
Salope ouvrit le réfrigérateur et trouva des steaks, de la sauce en sachet et des pommes de terre sous-vide déjà épluchées. Elle fit donc cuire les steaks et rissoler les pommes de terre avec un peu de sauce. Elle trouva les assiettes et les mit à table. La femme le regarda avec un sourire plein de malice.
On va s’amuser un peu !!!
Elle place un petit bracelet en cuir autour de chaque poignet de Salope avec un petit cadenas pour les maintenir fermés. Elle attacha ensuite une petite chaine de quelques centimètres entre chaque bracelet et la cage qui maintenait sa queue en sécurité.
Au début, elle ne comprit pas ce qu’il se passait ni à quoi servirait ces chaines. Elle le comprit cependant très vite. Elle alla chercher les plats dans la cuisine et s’aperçut que les chaines de ces bras étaient trop courtes pour les maintenir horizontaux et ne pas les renverser. Elle essaya de lever les mains au maximum mais cela sembla lui arracher les couilles au point qu’elle poussa un petit cri de douleur. Elle dû traverser toute la maison de cette façon en faisant attention d’en renverser le moins possible. Une fois le service terminé, elle avait très mal au couilles à force de tirer dessus vers le haut mais en plus, il y avait plein de gouttes de sauce sur le sol.
Dépêche-toi de nettoyer le sol avec ta langue. Je ne veux plus voir une seule trace.
Tous rirent de bon cur en observant Salope lécher le carrelage à quatre pattes.