Cela eut lieu la veille du jour de lexécution dans la soirée. Un des membres du conseil des anciens vint trouver la prisonnière pour lui expliquer le document quil voudrait la voir signer. Bien entendu, Adya refusa en disant que jamais elle ne pourrait jamais accepter cette sanction horrible pour une faute quelle navait pas commise. Lhomme la quitta alors en disant quil ne fallait jamais dire jamais 1 heure plus tard environ, un autre homme entra dans la hutte porteur du même document mais ce nétait certainement pas un des vieillards du conseil des anciens. Au contraire, il devait avoir tout au plus 40 ans, cétait un beau colosse brun au regard de braise, il devait mesurer environ 1m90 et lon devinait à travers sa chemise cintrée ses muscles impressionnants. Il regardait Adya avec le regard dun oiseau de proie ayant repéré un mulot très appétissant pour son dîner.
— Je mappelle Razak dit-il alors dune profonde voix de ténor, cest moi qui doit te violer demain mais avant je veux que tu signes ce papier
— Jai déjà dit que je ne le ferai jamais répondit Adya avec lénergie du désepoir
— Tu es une petite chienne rebelle répondit lhomme en souriant mais ne tinquiète pas, jen ai déjà maté des plus vertueuses que toi ; et tout en disant cela, il ouvrit la porte de la cellule dAdya et pénétra à lintérieur
— Arrêtez ! Sécria Adya, vous navez pas le droit !
— Chienne, sache que jai tous les droits sur toi, y compris celui de tester la marchandise avant de la consommer demain et cest bien ce que je compte faire
Non voulut répondre Adya mais avant quelle puisse continuer Razak la gifla avec une telle force quelle en tomba par terre à ses pieds. Il ne la laissa pas se relever, la prit par la taille et la jeta sur son lit comme un vulgaire fétu de paille. Il posa alors son genou sur sa hanche de manière à lempêcher de se relever et, sortant de la corde de sa poche, il lutilisa pour attacher ses poignets et ses pieds aux sommiers du lit. Elle était donc totalement à sa merci. Comme Adya narrêtait pas de crier, lhomme la bâillonna également. Il se mit alors à la gifler sur tout le corps en lui disant que quand il en aurait fini avec elle, elle serait une bonne chienne obéissant à son maître. Il lui enleva alors son pantalon et elle voulut crier mais son cri fut étouffé par le bâillon. Mais lhomme lavait tout de même entendu et il lui tira alors violemment ses beaux cheveux en lui disant que désormais elle ne parlerait plus que quand elle en aurait lautorisation et pour bien se faire comprendre, il lui donna une gifle magistrale sur ses fesses nues. Adya sentit alors les larmes lui monter aux yeux, à la fois de colère et dimpuissance face à son bourreau.
Mais Razak était maintenant en train de lui enlever sa culotte et Adya, à sa propre honte, en ressentit un soulagement car pendant ce temps il ne la battait plus. Lhomme se mit alors à lécher sa chatte, doucement dabord puis de plus en plus rapidement et en même temps il commença à titiller son clitoris. Pendant ce temps, Adya ne pouvait sempêcher de continuer de pleurer mais lhomme lui donna alors en plein visage une gifle pire que toutes les précédentes et il lui ordonna darrêter de pleurer et de sourire si elle ne voulait pas en recevoir une pire encore et Adya obéit et sourit à sa grande honte. Razak recommença alors à la lécher et Adya sentit quil était très doué et expérimenté car elle commençait malgré elle à éprouver du plaisir à ce traitement.
Lhomme le vit et il lui dit quelle était sur la bonne voie et quelle ne pourrait bientôt plus se passer de ce plaisir. Il commença alors à lui introduire un doigt, puis deux de plus en plus rapidement dans sa chatte vierge. Sous leffet de ce traitement, Adya sentit monter en elle un plaisir comme elle nen avait encore jamais ressenti, cétait incroyable ! Mais lorsquelle sentit quelle approchait de lorgasme, soudainement Razak sarrêta. Il lui enleva alors son bâillon et lui dit :
— Tu aimes ça, chienne, cest bien. Maintenant, je veux que tu me dises que tu veux ma grosse bite en toi !
Adya nen pouvait plus, elle était prête à jouir et elle le voulait à tout prix, elle en avait besoin de sorte quelle répondit dans un souffle : « oui, je la veux ». Lhomme eut alors un sourire carnassier et ce fut la curée, il se jeta sur elle et lemboutit à coups rapides et répétés de sa bite quil avait bien plus grande que la moyenne. Adya, qui perdait ainsi sa virginité, était au 7ème ciel ; elle jouissait comme une folle, elle était trempée et ne voulait quune chose : que cela ne cesse jamais. Elle enchainait les orgasmes à un rythme hallucinant, elle était hors delle-même et se surprenait à dire des mots dont elle ne se serait jamais crue capable tels que : « enfonce la plus loin », « fais-moi jouir encore », « vas-y plus fort, baise ta chienne » et même « prends moi, je suis ta pute maintenant ». Enfin, après peut-être une demi-heure de ce traitement, lhomme se retira mais cela ne satisfaisait pas Adya, elle trempait dans sa mouille et avait les yeux écarquillés comme une démente :
— Je ten prie, continue, jen veux encore, plus lui dit-elle, jaime ta bite et ce quelle me fait ; je ne sais pas comment jai pu men passer jusquici
— Cest très bien répondit Razak, je tavais dit que tu deviendrais une bonne chienne et crois-moi, tu as du potentiel mais ce ne sont que tes débuts et il faut que tu te ménages. Mais demain nous pourrons remettre ça devant tout le village et tu devras faire semblant dêtre prise de force, je suis sûr que ça te fera encore plus jouir ; à condition que tu signes ce document bien entendu
— Oui tu as sûrement raison, rien que de limaginer jen ai déjà la pointe des seins qui se dresse dit-elle avec un petit sourire coquin nouveau pour elle et elle signa le document affirmant quelle acceptait sa sanction
La nuit fut longue dans lattente du lendemain quelle attendait maintenant avec autant de délice quelle le craignait auparavant. Enfin, au lever du soleil, un des anciens vint la chercher pour lemmener sur la place du village où devait avoir lieu son viol. Elle avait du mal à cacher sa grande excitation mais elle parvint néanmoins à garder un air triste et abattu. Mais quelle ne fut pas sa surprise lorsque, arrivée sur la place elle ne vit nulle par son bel Adonis de la veille mais que lancien lui désigna le dénommé Razak comme un vieillard à laspect particulièrement repoussant. Cétait à lui quelle sétait vendue, elle avait été complètement roulée et il était maintenant trop tard pour faire marche arrière.