Après ma nuit avec Raphaëlle et Virginie, j’ai croisé ma jeune voisine enceinte qui m’a fait une remarque qui m’a mise dans l’embarras.
Je file à la boulangerie acheter les croissants pour mes amantes ainsi que du pain frais pour Myriam et pour moi.
En revenant chez moi, je ne peux m’empêcher de fantasmer sur le gros ventre de ma voisine. D’une part, j’aimerais lui faire l’amour, d’autre part, son ventre me donne envie d’être moi aussi enceinte.
Je remonte en vitesse les 6 étages et je sonne chez Myriam pour lui donner son pain. Elle m’ouvre et sourit en me voyant.
Tes copines ont l’air de s’amuser sans toi, me dit-elle, ça fait bien 10 minutes que je les entends gémir. Si vous continuez comme ça, il va falloir m’inviter.
Elle me prend ma main et la glisse sous sa robe pour me faire toucher sa chatte dégoulinante.
J’ai dû ôter mon legging qui commençait à prendre l’eau.
Oui, c’est vrai, tu es trempée, lui réponds-je. Monte prendre le petit déjeuner avec nous, ajouté-je en lui posant un baiser sur les lèvres.
Le temps de prendre ses clefs, de fermer sa porte, nous montons prestement chez moi. En arrivant devant mon studio, j’entends en effet un concert de gémissements. Je tiens la main d’une Myriam encore hésitante, je ne veux pas la laisser fuir, j’ai trop envie d’elle. J’ouvre la porte, je la tire derrière moi et vais poser les croissants et le pain dans la cuisine. Je me retourne et vois mes deux amantes, nues et toutes ébouriffées, qui nous regardent Myriam et moi.
Tu ne nous avais pas dit que tu monterais avec un tel petit déjeuner, ma belle, me dit Raphaëlle.
Oui, elle est belle ta copine, ajoute Virginie. J’ai très envie de la croquer, cette adorable future maman.
Et, joignant le geste à la parole, en lui mordillant le lobe d’une oreille en effleurant les seins gonflés de lait sous la robe.
Sous la caresse, je vois Myriam rougir. Elle n’a jamais eu de relation avec des filles et n’a connu qu’un seul homme dans sa vie, celui qui l’a mise enceinte. Elle se tortille pour tenter d’échapper à Virginie qui joue à la mouche qui la taquine et tente de l’embrasser. Seulement la cuisine est petite, je la bloque devant et Raphaëlle pousse Virginie pour rentrer dans la cuisine et jouer avec notre nouvelle amie.
Voyant cela, je repousse tout le monde :
Allez les filles, libérez le passage, nous retournons dans la chambre, nous aurons plus de place pour jouer.
A regret, Virginie arrête de butiner Myriam et la tire par la main en suivant Raphaëlle dans la chambre. Pour ma part, je les suis en quittant les quelques vêtements que je porte. Quand je rentre dans la chambre à la suite des trois autres filles, je trouve Raphaëlle en train de chercher quelque chose dans son sac à dos. Pendant ce temps Myriam se retrouve dénudée par Virginie qui ne cesse de l’embrasser que pour faire passer la robe de la future maman par dessus sa tête. Elle est belle avec son gros ventre et ses seins gorgés de lait. C’est d’ailleurs cette poitrine qui m’attire et que je commence à téter comme si j’étais un bébé. Je sens du lait dans ma bouche, ce qui fait encore grimper mon excitation.
Raphaëlle se retourne avec dans ses mains 2 ceintures équipées de 3 godes chacune. Elle en tend une à Virginie puis elle prépare la sienne pour l’enfiler : un gode dans sa chatte, un plug dans son cul. Le troisième, je le devine assez vite, elle me le destine. Elle a visiblement l’habitude d’enfiler cette ceinture. Elle aide ensuite Virginie, qui semble moins habituée, à s’équiper de la sienne. Elles s’embrassent puis se dirigent chacune vers Myriam et moi. Virginie entreprend un cunnilingus en règle sur Myriam, pendant que Raphaëlle s’attaque à ma chatte déjà bien humide et que je prodigue une fellation endiablée sur son phallus artificiel.
Après quelques instants de préparation, nos amantes nous mettent Myriam et moi face à face et nous pénètrent de leurs phallus artificiels. Ça ne vaut pas une bonne queue d’homme, mais c’est très doux quand la danse est menée par une fille. Avec Myriam en face de moi, je ne peux m’empêcher de l’embrasser, baiser auquel elle répond sans rechigner, et de jouer un peu avec ses gros seins ballottants.
La voir si ravissante et rayonnante en face de moi, son plaisir qui monte visiblement, ainsi que le mien, que du bonheur. Nos amantes sont redoutables et alternent les changements de rythme et les angles de pénétration. Elles nous liment longuement lorsque enfin, nous éclatons toutes les quatre dans un orgasme retentissant et simultané. Myriam et moi nous effondrons dans les bras l’une de l’autre en nous embrassant. Nos amantes sortent leurs bites artificielles de nous et nous tendent celle qui était dans l’autre pour nous faire goûter nos jus. Nous finissons dans un baiser à quatre avant d’aller prendre le petit déjeuner.
Nous restons toutes nues et Raphaëlle et Virginie gardent leur ceinture en nous disant que la matinée ne fait que commencer et qu’elles vont encore les utiliser.
Le petit déjeuner est calme, nous parlons de choses de filles et d’expériences sexuelles. Myriam, bien qu’enceinte, n’a pas connu d’autre partenaire que l’abruti qui l’a mise en cloque.
Il est beau, il était charmeur quand je l’ai rencontré, mais c’est un vrai connard, nous explique-t-elle. Quand il a su que j’étais enceinte, il a voulu que j’avorte, alors que c’est Monsieur qui ne voulait pas se protéger. Et quand je lui ai dit que je voulais le garder, il a pris ses affaires et est parti s’installer chez sa maîtresse. J’ai su à ce moment là qu’il avait une maîtresse en plus, le salop.
Nous l’embrassons chacune notre tour en lui disant de l’oublier et qu’en attendant qu’elle se retrouve un homme, nous serons toujours là pour elle. Elle répond à nos baisers avant de se lever et de s’excuser, vessie de femme enceinte.
En son absence, nous discutons rapidement pour voir comment nous pouvons l’aider. À son retour, nous cessons la discussion, finissons notre petit déjeuner et retournons dans la chambre.
N’ayant pas encore goûté au jus de Myriam directement à la source, je la lèche avec délectation quand je sens que les deux autres me réservent un traitement spécial : pendant que Virginie se positionne pour me lécher la chatte, Raphaëlle sort un tube de lubrifiant et commence à m’élargir le cul. Une fois qu’elles m’estiment prête, Virginie remonte sous moi et rentre sa queue dans ma chatte. Quant-à Raphaëlle, une fois la première queue en place, elle commence à me pénétrer le cul. Je ne peux m’empêcher de gémir, entre douleur de l’écartèlement de ma rondelle et plaisir de la double pénétration.C’est la première fois que je suis prise par devant et par derrière en même temps.
Une fois les deux tiges en moi, elles commencent des mouvements de piston. Raphaëlle me repousse la tête pour que je reprenne les léchouilles sur Myriam qui est admirative devant la prestation qu’elle a devant elle.
C’est depuis ce jour que pour moi, la meilleure position en amour, c’est une queue dans le cul, une queue dans la chatte et un vagin dégoulinant sous la langue.
Les deux hermaphrodites artificiels accélèrent leurs mouvements, ce qui me fait jouir d’un long cri étouffé par la chatte de Myriam. Elles continuent leurs mouvements en accélérant encore, déclenchant un nouvel orgasme suivi d’un autre encore plus fort et manquant de me faire tourner de l’il. Je n’en peux plus de jouir quand elles cessent leur torture et sortent leurs engins de moi. Je m’effondre sur le ventre de Myriam peinant à reprendre mon souffle. C’était magique, je n’avais jamais éprouvé une telle jouissance.
Quand je me relève après avoir récupéré un peu, Raphaëlle ressort de la salle de bain et vient vers nous pour nous embrasser. Elle regarde Myriam d’un air de prédateur qui va se jeter sur une proie bien tendre. La future maman semblant deviner à quoi pense la tigresse avec son équipement lui dit :
Je suis vierge du cul, je ne pourrai pas encaisser ce que vous venez de faire à Coline tout de suite.
T’en fais pas, ma belle, nous te préparerons bien et bientôt, tu seras aussi souple que nous et tu prendras plein de plaisir par là aussi, lui répond Raphaëlle en l’embrassant.
Finalement, Raphaëlle et Virginie vont à la salle de bain pour retirer leurs équipements et reviennent nues vers nous. Nous nous allongeons toutes les quatre sur le lit pour un moment de tendresse sans sexe. Nous discutons encore un peu avant de faire un somme.
Quand nous émergeons il est déjà midi passé. Nous nous douchons sagement, Raphaëlle et moi chez moi, Virginie et Myriam chez cette dernière. Une fois habillées, nous nous retrouvons en bas de l’immeuble, puis partons manger dans un petit restaurant italien que je connais bien avant de nous séparer et de rentrer chacune chez soi.
Myriam a accouché 3 semaines plus tard d’un petit garçon. Les filles et moi nous relayons régulièrement pour l’aider dans la vie courante. Elle n’est pas lesbienne ni même très portée sur le sexe, mais elle aura quand même droit à la double pénétration quelques mois après son accouchement.