Au bout d’un an, mon mari changea de comportement lors des soirées conjugales. Il se montrait brusque avec mon engrosseur, allant même jusqu’à crier et l’insulter pour l’inciter à mieux gicler en moi. Il s’impatientait visiblement de ce que son stratagème ne produisait d’autres effets que des coulées de foutre sur mes cuisses et quelques cris lorsque l’homme parvenait à me faire jouir.
Un soir que je devais être enconnée, alors que j’attendais comme à l’habitude nue, étendue sur le ventre, j’entendis le Comte entrer accompagné : plusieurs pas se faisaient entendre. Inquiète, je me retournai, mais mon époux s’était approché rapidement et m’avait rabattue contre le lit, couchée sur le dos. Je reconnus derrière lui trois valets. Je me pétrifiai.
– Monsieur ? Qu’est-ce donc ? Faites immédiatement sortir ces hommes !
Le Comte me maintenait les épaules sur le matelas ; un des valets s’avança, se déculotta et écarta mes jambes.
– Monsieur mon époux !!!
– Allons allons madame, c’est la nuit du devoir conjugal, vous le savez bien Notre arrangement habituel ne porte pas ses fruits, nous procédons de manière différente aujourd’hui.
– Monsieur le Comte, c’est indigne ! Je
– Madame, il suffit. Vous ne pouvez refuser le devoir conjugal. Mais peut-être la situation vous embarrasse-t-elle et voulez-vous que j’explique à ces braves hommes pourquoi votre père vous a donnée à moi, en quel état, et comment nous procédions jusqu’à présent ?
La honte me saisis et je me tus.
– Bien madame, voilà qui convient mieux. Ecartez mieux les jambes. Là, parfait. Je vous savais raisonnable.
Son regard brillant se faisait plus insistant qu’à l’habitude. L’odeur l’environnant m’avait ôté tout espoir : le Comte était saoul. Sa perversité aimant à me voir soumise par un autre ajoutée à l’ivresse m’effraya. Je tentai de le raisonner, par un argument que je trouvais moi-même irrecevable, mais à même de toucher l’orgueil d’un aristocrate.
– Pitié, monsieur, comment pouvez-vous souhaiter que votre héritier soit l’engeance d’un valet ? Choisissez un homme mieux né pour cela !
– Ma chère épouse, vous êtes vous-même quelque peu mal née. Peut-être le foutre de l’homme qui vous couvre habituellement est-il trop noble pour vous fertiliser. Nous essayons donc ce soir la semence grossière de ma domesticité.
Mon époux contemplait la scène, les yeux brillants, sa main droite caressant sa verge flasque. J’étais allongée sur le lit, nue, sur le dos, jambes ouvertes, bras écartés. Deux valets, vit tendu, s’étaient placés en file, tandis que le troisième avait commencé à me foutre vigoureusement. Ma condition de femme m’ayant habituée à ne pas décider de l’usage de mon corps, je le laissais me besogner. Le lit s’enfonçait sous la puissance de ses pénétrations, la pièce résonnait de ses grognements ; mon corps bougeait en rythme sous son assaut bestial.
Il finit par jaillir, s’affalant sur moi. Le valet suivant lui laissa à peine le temps de me remplir de foutre avant de l’arracher de moi pour me pénétrer à son tour. Ce fut la même scène : troussage brutal, un corps transpirant pressant le mien, des halètements accélérant jusqu’à sentir son buste s’arquer contre moi, son vit se tendre et décharger. Il se retira, m’enfonça les doigts dans le sexe et m’arsonna sauvagement en expliquant à mon époux :
– De cette façon, le fluide séminal l’inséminera plus sûrement.
Je ne pus m’empêcher de réagir à cette caresse brutale, répondant de mes hanches aux mouvements de sa main. Il n’arrêta que lorsqu’il me sentit me contracter sur ses doigts en mordant mes lèvres pour ne pas gémir. Satisfait, il me lança un regard moqueur : la Comtesse avait joui sous les doigts d’un valet.
Le troisième prit son temps.
Il me contemplait, étendue, haletante, offerte, le sexe débordant de foutre blanchâtre, tout en polissant lentement sa vultuosité. Il finit par se tourner vers mon époux infernal.
– Monsieur, puis-je la mettre dans une autre position ? J’en sais une qui, de source sûre, est plus favorable à la fécondation.
Mon ignoble mari lui répondit en souriant, tirant toujours sur son misérable membre flaccide :
– Allez-y, engrossez-la donc comme vous l’entendez, je veux cet héritier à tout prix.
Le valet me retourna sur le ventre. Davantage de foutre coula sur mes cuisses. Mon mari s’en aperçut.
– Êtes-vous certain de votre fait ? Le liquide vital semble moins rester dans sa matrice dans cette position.
– Monsieur a bien raison. Toutefois, j’ai servi chez un prestigieux médecin qui m’expliqua quelque jour préférer prendre sa femme ainsi pour mieux l’engrosser : la dame, se sentant plus soumise et donc davantage ramenée à sa condition femelle, devient plus favorable à l’engrossage.
– Faites donc, alors, faites donc, mais surtout foutez-la bien : vous tardez à accomplir votre office.
– Mes excuses, monsieur, je vais faire au mieux.
Il m’écarta les cuisses ; je sentis son membre épais se glisser entre mes fesses et descendre jusqu’à mon sexe. D’un coup puissant, il m’enfourna. Son vit, large et long, me rappelait celui de mon cousin. Couché sur moi, il entreprit de me sabrer avec régularité, tout en murmurant suffisamment bas pour n’être ouï de mon époux.
– Vous voilà bien enconnée, madame, vous me feriez bien plaisir en participant un peu.
Suffoquée, je ne répondis pas et m’appliquai à rester immobile. Ma condition de fille déshonorée et de femme mariée me soumettait entièrement aux caprices de mon époux, mais sans doute pas à ceux de son valet.
Il continuait à me posséder, murmurant toujours :
– Allons madame, je sais ce qu’il en est Votre cousin vous fait de bien amicales visites assorties de cajoleries comme le prouvent certaines lettres, dont monsieur le Comte ne sait rien : j’ai pensé que vous auriez souhaité qu’il en demeure ainsi ?
Le cur battant, je réalisai qu’il savait. Le goujat avait, je ne sais comment, volé au moins une des lettres de mon cousin. Je me résignai donc à suivre ses injonctions et entamai un mouvement de hanches pour faciliter sa pénétration.
– C’est bien, madame, c’est bien, mais montrez-moi votre plaisir, montrez à tous ici comment la verge d’un valet satisfait une comtesse
Je n’eus pas à bien me forcer : il avait passé ses mains sous moi et, tandis que son membre me foutait vigoureusement, ses doigts caressaient mon bouton entre mes jambes ainsi que mes seins, pourtant écrasés contre le matelas. Le plaisir me gagnait effectivement, je finis par gémir ouvertement.
Le Comte s’était placé à nos côtés et agrippait mes cheveux.
– Est-elle agréable à foutre, la Comtesse, mon bon ?
– Oui monsieur, excellente, votre épouse est exemplaire, ses cuisses sont faites pour accueillir les verges.
– Foutez-la moi bien, faites-la bien femelle, comme vous disiez
Ce disant, il tirait sur mes cheveux, pétrissait mes épaules, enfonçait ses doigts dans ma chair.
Le valet accéléra le rythme. Je gémis plus fort, tâchant d’ignorer les attouchements de mon époux, me concentrant sur la verge qui me fendait et les mains qui me caressaient.
Brusquement, le valet s’interrompit et se retira.
Mon époux, courroucé, commença à le tancer, mais il s’expliqua.
– Si monsieur le Comte veut bien m’écouter, je pense qu’une autre procédure serait plus efficace pour engrosser madame la Comtesse.
Le Comte s’interrompit, dubitatif.
– En l’enconnant, j’ai senti une certaine résistance de la matrice, laissant craindre un défaut de formation. Le médecin dont je vous parlais m’a souvent demandé de l’aide pour traiter certains vices corporels préjudiciables à la fécondité, mais d’une façon requérant discrétion et habileté. J’ai à chaque fois senti, en opérant, cette résistance dont je vous parlais, présente dans la matrice de la Comtesse. M’autoriseriez-vous à procéder comme le préconisait mon ancien maître ?
Mon époux accepta sans même savoir à quoi il me livrait.
– Je vais avoir besoin de l’aide d’un autre valet, si monsieur le Comte le permet.
Monsieur le Comte le permettait. Monsieur le Comte permettait tout, tant que son épouse était à la fin emplie de foutre et humiliée sous ses yeux.
Le valet en fit allonger un autre (qui triquait à nouveau) sur le lit. Il m’assit sur le dard dressé ; je sentis à peine la pénétration tant son membre m’avait dilatée.
– Maintenant, monsieur le Comte va pouvoir observer l’opération La matrice de la Comtesse doit être repositionnée pour mieux accepter le foutre dont nous l’emplissons ; cela ne peut se faire que par les voies basses, alors qu’elle est déjà enconnée.
Il s’agenouilla alors derrière moi et plaça son vit entre mes fesses. Mon époux haleta.
– Mais N’est-ce pas un péché ?
L’hypocrisie d’un monde soumettant ses femmes à toutes les humiliations, mais se préoccupant de quelques pages de la Bible dans les moments les plus incongrus.
– Ah, monsieur, mais c’est pour la rendre fertile, un péché pour un bien est-il toujours un péché ?
Manifestement non, puisque mon époux se tut et se rapprocha, pour mieux observer les verges auxquelles il me soumettait.
Le valet appuyant son gland contre mon illet.
– Mon vit, pénétrant de ce côté, va recentrer la profondeur de la matrice, mais uniquement le temps de l’insertion. Il est important que je reste encore dans son fondement après la décharge de foutre de l’autre verge, pour que le fluide séminal coule bien au fond d’elle. Lorsque je me retirerai, le fond de la matrice se refermera.
– Faites, faites
La voix de mon époux se perdait dans un étranglement. Il n’avait visiblement pas osé imaginer cela.
– Il faudra aussi, monsieur, que je l’emmanche vigoureusement : mon vit immobile ne suffirait pas, le mouvement est essentiel pour pomper le foutre vers la profondeur de la matrice.
– Mais parlez moins et foutez-donc, bougre !
Il foutit donc.
Il m’inséra lentement sa virilité. Malgré les sodomies régulières de mon cousin, la pénétration me fit souffrir : le membre était vraiment très large. Je geignis longuement, jusqu’à ce que toute la hampe m’eût enfilé le fondement.
Le valet me plaqua contre son torse.
– Monsieur le Comte m’autorise-t-il à la rendre plus femelle, pour augmenter les chances de fertilisation ?
Monsieur le Comte, haletant, suffocant, autorisait.
Le valet commença alors à me besogner. La souffrance irradiait de mon illet dans mon bassin, mon ventre ; je gémissais, geignais, sans toutefois pouvoir empêcher le plaisir de monter : le braquemart qui m’enconnait en même temps ne laissait pas mon corps indifférent.
Le valet agrippa mes hanches.
– Vous voilà catin Comtesse, bien foutue par les valets, bientôt remplie de nos liqueurs, prenez donc nos verges bien profondément
Ce disant, il claquait mes fesses, griffait mon dos, empoignait violemment mes épaules. Secouée par ses coups de vits, je me laissais faire, gémissant, ayant cessé de souffrir, entièrement soumise à ces dards plantés en moi, les sentant coulisser doublement.
Il accéléra. Le valet qui m’enconnait déchargea, je sentis son foutre me remplir. Le valet qui me dominait m’arracha à ce vit encore palpitant, m’écrasa contre le bord du lit en marmonnant à l’intention de mon époux :
– Maintenant monsieur, je dois pomper, le foutre doit bien remonter en elle
Il entama alors une sodomie infernale, telle que je n’en avais jamais connue.
La position au bord du lit pressait mon corps contre le montant en bois : la souplesse du matelas, absente, ne m’épargnait plus la violence des pénétrations. Le valet m’enfilait à chaque fois jusqu’au bout, me faisant crier ; il écartait mes fesses de ses mains pour aller au plus profond. Il se retirait ensuite lentement, pressant mes fesses jusqu’à les rendre douloureuses pour rétrécir mon ouverture. Je ne sais comment mon illet pouvait résister à pareil traitement, tant la pression exercée le rendait étroit. Ce lent retrait me faisait longuement geindre et supplier. Mais, à dire vrai, je ne savais ce que je demandais : mon corps ne pouvait s’empêcher de réclamer cette brutalité, à laquelle me soumettait parfois mon cousin et que j’aimais tant.
Puis il relâchait ses mains et pesait à nouveau de tout son poids, de toute sa force sur moi, me faisant gémir.
– Oh c’est bon monsieur, c’est bon, ça vient, elle va être fécondée, il faudrait seulement s’assurer que le foutre ne s’échappe pas !
Il interrompit brièvement ses mouvements, me souleva (toujours son membre fiché en moi), pantelante, et m’écarta les cuisses. Il me fit enjamber le coin du lit, face à la chambre ; le montant était surmonté d’une boule décorative, d’environ trois pouces de diamètre. Il écarta les lèvres de mon sexe et m’assit sur la boule, puis il recommença la sodomie, moins brutalement.
Mon époux, les yeux exorbités, nous contemplait. Je me voyais dans son regard saturé de perversité gourmande : hébétée, jambes écartée, mi-assise au coin du lit face à la chambre, pénétrée d’une boule distendant mon sexe, maintenant à grand-peine mon équilibre au bord du lit tandis que le valet assis derrière moi continuait à me sodomiser, imprimant à mon corps d’amples mouvements de balancier. Je finis par m’agripper à ses hanches, derrière moi, pour ne pas risquer d’enfoncer davantage du montant du lit en moi.
Je ne savais plus ce qui se passait, entièrement submergée par l’intensité des sensations et sentiments, la douleur, le plaisir montant, l’humiliation, la colère, le plaisir encore de sentir cette sodomie plus douce, mon sexe torturé mais réclamant malgré moi cette pénétration outrancière, oh cette verge qui me foutait le fondement, ces mains pressant mes seins en me faisant gémir, ce foutre encore chaud que la boule empêchait de sortir, la verge la verge oui qui me prenait me possédait butant contre la boule me sodomisant encore, encore, encore, plus profond par pitié encore encore encore jusqu’à ce que je réclame, supplie, quémande, crie et sanglote de plaisir.
A demi-inconsciente, je sentis le valet se planter profondément en moi, me serrant contre lui, et décharger. Son foutre m’emplit le fondement. Il resta ainsi quelques minutes avant de assez étonnamment délicatement m’ôter de dessus la boule et se retirer, me laissant m’effondrer sur le lit. Les différents foutres coulaient de moi lorsque je m’endormis, épuisée, indifférente à tout le reste.