Le jour suivant est un samedi. Je m’accorde un peu de repos supplémentaire. Vers les dix heures je passe à l’atelier ranger un peu et vérifier mon matériel pour la semaine prochaine. Je passe toute l’après midi à démarcher quelques clients qui ont laissé des messages sur mon site. Je finis par décrocher un nouveau contrat chez un particulier friqué, inquiet pour sa collection de tableaux.
Hélène du Tronchay continue à me hanter.
Vers 19 heures je m’invite chez elle par le truchement de mon PC. Le couple reçoit ce soir. Des domestiques recrutés pour l’occasion s’activent à préparer repas et décoration pour une dizaine de personnes, vu le nombre de couverts sur la grande table de la salle à manger. Il y a là deux femmes et un grand black, un cuisinier ventripotent complète le staff. Hélène guide l’installation, déjà prête, dans une courte robe à fleurs qui laisse la part belle à ses jambes fuselées.
Les premiers invités commencent à arriver pour l’apéritif. Je décide de suivre leur exemple et je sors me jeter un verre dans mon troquet favori, puis je m’offre un bon repas dans la meilleure auberge du bled. Je tombe sur des amis et me joins à eux.
Il est près de minuit quand je rentre chez moi. Je prend une douche puis lance mon programme favori. Le dîner chez le baron tire à sa fin. Un à un les convives prennent congé. Le domestique noir se charge du coucher de Monsieur tandis que ses collègues achèvent rangement et nettoyage. Finalement tout ce petit monde s’esquive. Le black est le dernier a saluer la baronne qui le raccompagne.
Arrivé à la porte d’entrée elle saisit la main du type et la plaque sur son ventre. Le gars marque un temps d’arrêt puis esquisse un geste de retrait. La baronne se colle alors lascivement à lui et cherche sa bouche. Elle se met à l’embrasser sans retenue, le gars reste pantois.
La vieille salope profite de son immobilisme pour vérifier sa constitution en plongeant sa main vers son bas ventre, tout en se frottant méchamment à lui. Mais les matures nymphomanes et maigrichonnes ne doivent pas être sa tasse de thé car il la repousse et prend rapidement le large.
Hélène a l’air furieuse. Elle tourne dans tous les sens comme un écureuil dans sa cage. Ce refus ne doit pas plaire ni à son ego ni à son tempérament. Elle file dans sa salle de bain, se déshabille avec des geste saccadés et s’enferme longuement dans le bloc douche. Quand elle émerge elle a toujours l’air énervé. Le fait que ce crétin est refusé un coup de rein facile avec une baronne en rut a du mal à passer.
Elle ne prend même pas la peine de passer un vêtement. Elle file directement dans sa chambre et allume le téléviseur qui s’y trouve, puis elle farfouille dans une boite à chaussure qu’elle sort de sa penderie. Elle en extrait un DVD, le glisse dans la box sous l’écran, et se jette sur son lit. Elle tasse ses coussins dans son dos et lance la projection, confortablement assise.
Je zoome.
A l’image apparaît le logo de Jacquie & Michel . Une fille fort mince et brune, la quarantaine bien avancée est occupée au téléphone dans son bureau . Tiens, tiens. Elle se prénomme Barbara et aime les blacks d’après le titre de l’histoire. La scène dure un peu. La ressemblance avec notre baronne est troublante. Même coupe de cheveux, même silhouette ultra mince. La fille à l’écran porte un espèce de body à mailles qui montre plus qu’il ne cache.
Elle se trémousse sur son fauteuil tout en passant son coup de fil. Hélène du Tronchay la regarde comme si elle voyait son propre reflet dans un miroir. Elle plie les genoux et pousse sur ses pieds pour trouver la position idéale.
A l’écran, quatre blacks ont fait irruption chez Barbara. Ils sympathisent rapidement et l’action s’engage. L’actrice se met à genoux et entreprend de sucer l’assemblée passant d’une bite à l’autre. Madame la baronne commence à se caresser lentement, sa main droite passe du ventre aux cuisses remonte vers ses mamelles avant de se fixer sur sa vulve.
L’excitation prend peu à peu le pas sur sa frustration. Elle masturbe son clitoris tout en jouant avec un téton de son autre main. Pendant ce temps là, la dite Alexina, ayant achevé son exercice préparatoire, se place nue en levrette afin d’accueillir les membres de l’assemblée, tous dans une forme éblouissante.
Hélène du Tronchay se penche vers sa table de chevet d’où elle extrait un gode vibrant de belle taille. La baronne a de l’envie mais aussi du matériel.
Elle lèche goulument le glande caoutchouc tout en continuant à taquiner son bourgeon, pendant que son sosie se fait défoncer l’arrière train tout en rendant un hommage buccal à une bite sombre d’honorable proportion.
La baronne crache sur ses doigts et humidifie nerveusement sa chatte. Elle enfourne immédiatement la bite artificielle jusqu’à la garde dans son vagin et se met à tortiller des reins. Elle branle son clitoris tout en se pistonnant avec véhémence. Je vois un rictus se dessiner progressivement sur son visage.
Son corps se tend et elle explose, agitée de longs soubresauts . A l’écran son homologue éponge sans fin les dards bandés qui la prennent par tous les orifices. Hélène du Tronchay reproduit fidèlement l’activité de son héroïne. Elle est passée à quatre pattes face à l’écran et enfonce de ses deux mains la verge artificielle dans son conduit anal.
Elle le maintient vissé à son cul, projetant de grands coups de reins, tremblante de tous ses membres. Elle continue sa masturbation contre nature bien après que l’actrice a achevé son uvre. Épuisée, elle finit par dégager le gode de ses entrailles et suce consciencieusement le gland souillé par ses sécrétions fécales.
Non seulement Hélène du Tronchay est chaude du cul mais en plus c’est une sacrée cochonne.
