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la vie sexuel d'un jeune manipulateur – Chapitre 1

la vie sexuel d'un jeune manipulateur - Chapitre 1



Bonjour, je suis nouveau sur ce site et ai 18 ans. Jadore le sexe (étant bi, jaime VRAIMENT tout) et écrire. Jai donc décidé denfin sauter le pas et me lancer dans un récit érotique (hétéro, je ne veux pas brusquer quelques homophobes refoulés pour linstant). Je vous préviens davance, lintrigue est longue avant darriver au Graal que beaucoup recherchent, au passage qui fait frissonner lintérieur des caleçons et des culottes, appelons-le comme il se doit : la BAISE ! Parce quon ne va pas se mentir, cest pour décrire cette action que le récit porno a été inventée. Or pour moi, ce qui fait lintensité même dun récit érotique, ce nest pas les mots crus et la sobriété du style. Cest plus comment on amène et crée le suspens, le désir, qui excite ; la description de lacte nest que lorgasme dans laction de la lecture, et plus il est long à venir, mieux cest ! :p

Ce récit est semi réel, semi fictif, à vous de démêler ce qui mest vraiment arrivé ou non Bonne lecture mes bons  ;)

Chapitre 1 : intro

Vacances ! Voici le seul mot que javais à la bouche en sortant de mon lycée, ce vendredi, date de fin des épreuves du baccalauréat. La journée avait été éprouvante, entre le bachotage du matin, le téléchargement des programmes de secours pour calculatrice à midi, et lépreuve de 4h laprèm. Lépreuve avait scotché tout le monde : deux ans denseignement des sciences de lingénieur qui se révélaient être inutile pour le bac. Sur les plus de 500 polycopiés concernant les roulements à billes, les études statiques, les moments de forces et couples donnés par nos professeurs, seuls deux formules étaient nécessaire pour la réussite du sujet, dont une qui nétait même plus au programme. Par chance, grâce à mon travail de « triche » effectué ce midi même, javais ces deux formules, ce qui allait sans doute me permettre dobtenir une excellente note. Donc, un 18, coefficient 8 Mon bac été assuré quoi quil arrive. Je pouvais par conséquent dès lors apprécier cette douce fin daprès midi qui sonnait dans ma tête comme le début des meilleures vacances de vie, où débauche allait rimer avec alcool, drogue et musique électro. Et oui, désolé de choquer les plus vieux des mes lecteurs, mais de nos jours, ces trois choses sont monnaie courante lorsquon a 17 ans. Me voici donc enfin libre. Évidemment, cette liberté ne prenait pas encore tout son sens puisque les résultats du bac nétaient pas encore donnés mais jétais confiant. En sortant de lenceinte de mon lycée, je sortais une cigarette et lallumais pour la savourer devant les grilles de ce bâtiment, chef duvre architectural des années 70, aux vitres qui ne jointent plus, au crépis décrépis, au carrelage déchaussé, aux murs infiltrés qui suintaient lennuie et le désespoir professoral : mon lycée. Je pouvais enfin lui dire adieux sans remord. Non pas que je nai pas apprécié cette période de ma vie, javais rencontré des gens très sympas, des filles très canons (et chaudes !) mais je nen pouvais plus de ce rythme scolaire de gamin, des heures passées assis derrière une table trop petite et bancale à attendre que le prof daigne rendre son cours intéressant ou, au pire des cas, que la sonnerie consente à retentir. Chacune de ces 3 années pourraient être résumée en 1 mot : excitation, déception et plongeon. Heureusement jen avais enfin fini.

Tandis que je madossais au mur de pierre de lautre côté de la rue où se trouvais mon école, plusieurs de mes amis me rejoignirent pour débattre de cet écurant sujet qui ne représentais en rien notre niveau en SI. La discussion séternisait, les redite étaient nombreuses, tandis que dautres de nos amis et camarades nous rejoignaient, formant un nuage de fumée dans la rue. Je discutais avec mon meilleur ami, Raph, quand un garçon de ma classe, Antoine, arriva, suant en raison de sa position dans al salle dexamen. Antoine était sympathique mais sans plus, cétait un mec bien, mais peu intéressant

Laissez moi un peu vous parlez de ma classe. Depuis que je suis dans la section SI, c’est-à-dire depuis la 1ere, la classe est restée inchangée. Voilà donc deux ans que nous formons un groupe très unis. Comme vous vous en doutez, étant en SI, la classe est majoritairement constituée de garçon, et seules quelques filles ont eu le courage dintégrer cette section suintant la testostérone et les blagues sexistes. Pour autant lambiance était très agréable. Malgré que les filles soient souvent persécutées par les mecs, toute la classe sentendait bien et les profs nous considéraient comme lun des meilleurs classes, autant sur le plan du niveau scolaire que celui du ressenti. Bien sûr, si il existe le cliché du geek boutonneux dissimulé derrière son écran, cest quil y une raison. La majorité des 38 personnes de la TSSI étaient loin dêtre des fashionistas ou des bourreaux des curs. Je ne dirai pas quils étaient laids, ou une agression visuelle, mais nous dirons que le style vestimentaire et lhygiène épidermique nétait pas la priorité de beaucoup. Moi, sans vouloir me vanter jai un physique relativement banal mais face la concurrence de ma classe je passe pour un mannequin Abercrombie. Je mesure un peu plus d1m80, une musculature juste ce quil faut de développée, des yeux et des cheveux marrons. On me dit souvent être plutôt sexy avec ce petit quelque chose dans le regard qui fait chavirer tout ceux qui sy égarent. En ce qui concerne mes fringues, je ne suis pas non plus très original, jessaye juste de respecter quelques bases stylistiques ce qui fait la différence avec beaucoup de gens au lycée.

Tout ça pour dire, que quand Antoine intègre notre groupe de commentateur du bac, après sêtre à son tour plaint, il nous annonce ce qui nous fit plaisir à tous : une fête, ce soir, de 23h à horaire indéterminé pour linstant, et sans doute pour toujours. Sauf que moi, je vis le coup foireux arriver. Antoine vivait dans une immense maison dans le quartier richoux de la ville, ce qui signifiait un potentiel énorme pour cette soirée. Or, voici le problème, une fête de classe, cest bien. Une fête de lycée, cest mieux Je memploie donc à faire germer lidée dun projet X à mon camarade. Je le flatte sur son « évidente » réussite au bac, jexalte son sentiment de fierté, jatteste de la véracité des résultats quil a trouvé à lépreuve et lance le concept de bal de promo à la volée. Rapidement, la majorité des gens sont conquis ainsi quAntoine, ses parents étant chez des amis, il avait sa maison pour lui tout seul. Tout sorganise rapidement, la TSSI se met en branle et les relations jouent. Les iPhones sallument pour lancer des invitations sur Facebook et Twitter, les Galaxy silluminent pour emprunter une sono à Alex, une baffle à Cassandra, une table de mixage à Léonard et des néons ultraviolets à Romain Tous les futurs bacheliers vibrent au rythme des sms échangés, divulguant plus ou moins dinformations concernant ce qui sera sans doute LA soirée de lannée. Lorsque je le quitte, Antoine se voit déjà sacré Roi de la Vie Nocturne. Tandis que je rentre chez moi, je savoure ma réussite : le bac, et la soirée. Tout va pour le mieux en cette journée de fin dexamen.

Une fois chez moi, jallume mon PC et me connecte à Facebook. Tous les posts ne parlent que la future fête, toute la sphère virtuelle vit au rythme des publications dAntoine. Je remarque que malgré la réputation de geeks asociaux de la TSSI, beaucoup de gens populaires (aussi horrible que cela puisse paraître, il y a les populaire et les impopulaires dans les bahuts) ont répondus à lappel. Comme tout mec de mon âge jentame alors un diagnostic de la meuf qui sera présente. Je remarque que beaucoup de jolies filles seront présentes, malheureusement beaucoup de beaux gosses aussi, ce qui réduit mes chances de serrer ce soir. Mais je ne me laisse pas abattre, je men suis déjà fait des mieux que ça et jai de la ressource. Mon but pour la soirée à venir : me faire le plus de meufs différentes possibles !

A suivre

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