Je le vois dans son bureau avec cette femme aux courbes généreuses. Ses seins suivaient le rythme des coups qu’il lui donnait. Je la voyais gémir de plaisir. J’avais l’impression que ça lui donnait plus d’énergie et plus de force. Mon père la baisait encore, encore et encore. Elle était belle dans toutes les positions qu’ils prenaient. J’aurai aimé être à la place de mon père pour pouvoir lui donner autant de plaisir. Il ne la ménageait pas. Elle avait l’air d’aimer ça. Il sortit de sa chatte, enleva son préservatif et se mit à déverser tout son sperme sur son corps magnifique. Moi j’étais dans ma chambre à les mâter. Je me branlais à cette vue excitante, jusqu’à jouir à mon tour. J’avais pris un mouchoir, pour récupérer mon sperme pour effacer les traces de mon voyeurisme.
Cela fait un peu pervers de mater son père en train de baiser des inconnues. Mais, j’ai 20 ans, je suis toujours puceau. Le bureau de mon père est au rez-de-chaussée, mais j’avais une belle vue de son bureau et bien sûr, sur tout ce qui s’y passait. Je suis toujours étonné sur le fait qu’il ne se cachait pas lors de ses ébats. Les femmes qu’il emmenait presque chaque nuit sont toutes magnifiques. Mon père à la quarantaine, mâture, bel homme, il prenait soin de lui, riche. Tout ce qui faisait craquer une femme d’une vingtaine d’années. J’aurai aimé être comme mon père moi je suis son opposé et peut-être une de ses plus grandes déceptions. Je vis ma vie sexuelle par rapport à la sienne. Je sais, c’est triste.
A part cette vie sexuelle pas ordinaire, j’ai une vie des plus ordinaires. Je suis à la fac. Je suis ce qu’on appelle un geek.
« – Bon les jeunes, je ne suis pas du tout satisfaite de votre dernière évaluation. Vous n’avez même pas pu avoir la moyenne, alors que je vous avais prévenus un mois à l’avance. Bon, je vous remets votre copie. Bien sûr nous avons une exception. Félicitations encore une fois à Mr Armant, qui a une note de 18/20», elle me remet ma copie. Je sentis les yeux des autres sur moi, avec de petites remarques comme « fayot », « suceur » et celui qui m’a fait le plus mal « le puceau ».
« Vous devriez penser à prendre des cours de soutien avec Mr Armant », soulignait à nouveau Mme Lorin, professeur d’Anglais.
Après les cours, je me dépêchais de partir, connaissant mes camarades, ils risquaient de vouloir se venger. Soudain, j’entendis une voix m’appeler « Bryan, Bryan, attends-moi sil te plaît ». Je me retournais et je vis Maria courir vers moi. Maria, la belle Maria. Petite brune, avec de grands yeux bleus. Très beau corps et toujours très sexy. Sa poitrine belle et généreuse était toujours bien mise en valeur. J’aurai bien aimé les caresser et les lécher. Son corps me faisait toujours bander, j’avais envie de baiser ma meilleure amie. Ma seule amie dans ce bahut. Je sais que je suis loin d’être son genre.
« – Mme Lorin, nous a bien rabaissés sauf toi. Mais elle avait raison sur une chose, j’ai besoin de cours de soutien. Tu veux bien m’en donner.
— Bien sûr, on commence quand ?
— Si tu peux aujourd’hui ?
— Cela te dérangerait de me rejoindre chez moi ? Ce sera plus facile sauf si tu préfères que je vienne chez toi ?
— Avec ma colocataire, hors de question, je viendrai chez toi.
— OK, viens pour 18 heures, si ça te va ?
— OK, à tout à l’heure.
J’étais super content qu’elle vienne chez moi. Elle était venue une ou deux fois. Je lui ai dit de venir vers 18 heures, cela me laisserait le temps de mettre de l’ordre dans mon bureau.
18h20, je ne la voyais toujours pas. C’est bizarre. Je décidais de descendre les escaliers. Je vis Marthe, notre bonne à tout faire.
« -Excuse-moi Marthe, mais tu n’as pas vu Maria ? Elle était censée déjà arriver.
— Si votre père parle avec elle dans le salon. »
Quoi !
Je déboulais dans le salon et voyais mon père chuchoter dans les oreilles de Maria.
« – Maria je t’attendais, je croyais que tu étais en retard.
— A oui excuse-moi Bryan. Ton père m’a accueilli et comme ça faisait un moment que je n’étais pas venu, on discutait.
— Désolé fils, elle est de si bonne compagnie que je n’avais pas vu le temps passé »
Le regard de mon père était focalisé sur mon amie, principalement sur ses deux attributs physiques offerts à sa vue. Je n’aimais pas ce regard, je le connaissais que trop bien. Ce qui me faisait peur c’est que Maria avait l’air réceptive. Mais putain c’est mon père !
On arrivait dans mon bureau. Avant de commencer les cours, je voulais m’assurer de quelque chose.
« -Mon père et toi vous aviez l’air heureux de vous revoir.
— Hein ? ouais si tu veux. Pourquoi ça te gêne ?
— Je connais mon père et c’est un grand séducteur, donc fait attention.
— Je ne savais pas que tu t’appelais Carine.
Carine c’était le nom de sa mère. C’était sa façon de me dire de ne pas me mêler de ses affaires.
Le cours se passa tranquillement. Maria avait pas mal de lacunes, mais était assez déterminée, c’est ce que j’aime avec elle.
Il était 20 heures passées quand elle partit de chez moi. J’attendais qu’elle rentrât dans sa voiture, pour entrer chez moi.
Ce soir, pas de séances de baise pour mon père. J’avais une envie de baiser, en repensant à Maria. Je me branlais en me souvenant de son corps et en imaginant ce que j’aurai voulu lui faire ou qu’elle me fasse.
Maria continuait de venir pour les cours de soutien. Mon père ne la lâchait pas non plus. Mes journées à la fac étaient comme d’habitude.
Ce soir-là, je décidais d’aller à la bibliothèque. J’avais prévenu Maria, qu’il n’y aurait pas de révision ce soir. Il fallait absolument que je prenne un petit temps pour moi, pour mon travail personnel. Cela m’arrivait des fois de traîner à la bibliothèque, pour travailler. Cela m’aidait beaucoup. C’était calme, il y avait beaucoup de choix au niveau des livres et puis j’avais aussi pas mal de faciliter sur certains services.
20h30, un peu plus de trois heures à la bibliothèque. Je retournais donc chez moi. La maison était calme, comme d’habitude. Je me dirigeais dans ma chambre. Je vis de la lumière dans le bureau de mon père. Apparemment, il a de la compagnie ce soir.
Je sais, ce n’est pas bien de mâter. Mais bon qui saura ?
Je restais devant ma fenêtre à espionner ce qui se passait dans son bureau. Je voyais mon père et quelques secondes après, je vis enfin la fille pour ce soir. Je restais un moment choqué à la vue de cette fille. C’était Maria. Qu’est-ce qu’elle venait faire là ?
Je ne savais pas quoi faire. Soit j’allais dans son bureau pour leur demander des explications, soit je ne faisais rien. C’était ma pote et elle était assez grande pour faire ses erreurs. Mais c’était quand même mon père. Et puis de quel droit mon père s’autorisait à coucher avec mes amies. Avec un peu de chance je me trompais peut-être.
Maria était habillée avec une robe courte qui moulait bien son corps. Mon père avec son éternel costume trois-pièces. Ils buvaient, riaient, se rapprochaient. Mon père l’avait acculée à son bureau. Elle se jeta à son cou, et l’embrassa. J’étais dégoûté à cette vision. Ma Maria avec mon père. Ce dernier entrepris d’enlever sa robe, qui libéra son magnifique corps. A sa vue, Je sentis une réaction au niveau de mon pénis. Je ne voulais pas être excité. Pas devant ça. Il l’embrassait, et libéra sa plantureuse poitrine de son soutien-gorge. Elle s’allongea sur son bureau de tout son long. Pendant qu’il l’embrassait, sa main se frayait un chemin dans sa culotte vers sa chatte. Pour faciliter son accès, Maria ouvrit bien ses jambes. Elle avait l’air d’apprécier. Mon père enleva son pantalon et son boxer et laissa voir son pénis déjà en érection. Maria le prit entre ses mains et se mit à le branler. Le visage de mon père exprimait son plaisir. Il contempla ce corps en train de se tortiller à chaque entrée de ses doigts dans son sexe, je suppose déjà bien trempé. Il l’arrêta ses va-et-vient. Elle s’accroupit face à lui et commença à le sucer. Je ne voyais pas bien ce qu’elle faisait. Moi, je me branlais à la vue de son corps. Je savais que tous les deux prenaient leur pied. Ma main sur mon sexe faisait aussi des va-et-vient, c’était bon mais je suis sûr que si elle s’occupait de ma queue, j’aurai plus kiffé. Une belle femme accroupit devant moi, qui joue avec ma queue avec sa bouche, je me l’imaginais.
L’expression du corps de mon père montrait bien le plaisir que ça lui procurait. Elle finit son travail avec sa bouche. Mon père la plaqua contre la grande vitre qui me permettait de voir tout ce qu’il faisait. Il enleva sa culotte. Il leva une de ses jambes et fit pénétrer son sexe. Sa poitrine sur le verre faisait d’un bel effet. Je suivais ses seins qui allaient de bas en haut. Je continuais mon travail et à cette vue je faillis jouir. Heureusement, j’ai pu me contenir. Mon père était très inspiré avec elle. Ils enchaînaient les positions. Je voyais leurs corps en action, qui montraient leur délectation. Elle était le jouet sexuel de mon père. Il s’amusait à l’entendre gémir, à la baiser sauvagement. Malheureusement, je n’entendais rien. Il sortit en elle, enleva son préservatif, fit entrer son pénis dans la bouche de Maria qu’il baisait jusqu’à évacuation de sa substance blanche transparente. Moi, j’ai pu tenir jusqu’à la fin et je finis par expulser à mon tour.
Après ce bon moment, je ne savais pas quoi faire. J’ai pris mon pied en les regardant. Mais mon père à baiser l’une des filles qui me plaisait, ma seule amie. J’ai toujours en tête son corps mélangé à celui de mon père. Je veux mélanger mon corps au sien. Je veux baiser ma meilleure amie.
J’entendis frapper à la porte de ma chambre. Quand j’ouvris la porte, je vis mon père. Ce qu’il me dit me scotcha sur place :"Je baise ta pote, et tu ne fais rien d’autre que nous regarder. Combien de temps tu comptes rester percher à ta fenêtre à me mater baiser toutes ces femmes ? Ta copine par contre, c’était un régal, une chatte de premier choix. C’est à toi de voir soit je continue à la baiser, soit tu te bouges." Il tourna les talons et partit. Je voulais sauter sur lui et le frapper mais, il a raison il faut que je me bouge.
Mon père le savait alors.