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La visite de Christophe – Chapitre 2

La visite de Christophe - Chapitre 2



Lisette se dirige tout de suite vers lévier et commence à nettoyer la vaisselle qui traîne sur la paillasse. Par derrière, Luc soulève la jupe et empoigne les deux globes fessiers.

— Attention, vous allez me faire casser les bols.

— Ça, cest ton problème, ma petite.

Il continue de patouiller le postérieur. Elle a compris. Elle pose son éponge, écarte les jambes en séloignant un peu de lévier et sagrippe au bord en se penchant en avant.

— Cest gentil, merci.

Il la serre, une main sur laine, lautre sur un sein. Il samuse à lagacer en pinçant le téton à travers le tissu léger du chemisier. Elle frotte son cul contre la grosseur du sexe. Les préliminaires dans le salon les ont émoustillés. Il sécarte. Elle tourne la tête et, rassurée, sourit en le voyant baisser le pantalon et brandir une queue raide. Il promène lengin sur le cul, dans la raie, lanus. Aujourdhui, il a envie de la baiser, pas de la sodomiser. Il sait quelle préfère. Il se baisse sur les jambes.

— Ecarte les cuisses sil te plaît.

Elle obéit. Le gland est à la hauteur de son sexe. Il lhumidifie entre les lèvres de sa vulve et le présente à la porte du vagin. Nul besoin de pousser, elle sen charge et il entre sans coup férir. Le con épouse les formes de la queue et lenserre dune étreinte douce. Il la maintient aux hanches et entame le va et vient damour. A chaque coup de boutoir, Lisette est coincée contre lévier. Dune main, elle essaye de caresser la joue de Luc. Il accélère le rythme. Elle est obligée de sagripper des deux mains au rebord de la cuvette de faïence. Elle exhale des soupirs à chaque poussée:

— Han Han Han

Sa tête dodeline. Il ne la tient que dune main. De lautre il joue avec le clitoris. Ses gémissements samplifient:

— Oui Oui Oui

Il sent la montée de la sève dans la tige. Il ne retient pas son plaisir et termine par de violents coups de reins qui la soulèvent de terre.

Calmé, Il la serre contre son cur. Ils soufflent et peinent à retrouver un rythme normal de respiration. Il la libère et remonte son pantalon.

— Tu es vraiment une chic fille. Merci du plaisir que tu me procures.

Elle rougit sous le compliment. Il rabat la jupe sur ses fesses et la tapote. Elle se tourne vers la porte et questionne:

— Quest ce quils font à coté ?

— A ton avis ?

— Tu crois quil la

Tiens? Elle le tutoie? Luc néglige de lui en faire la remarque. Il est daccord.

— Sûrement oui. Tu peux le dire, va, Christophe baise Elodie, enfin jespère.

— Comment? Tu espères?

— Oui, jespère!

— Ça ne te fait rien?

— Pourquoi devrais-je être jaloux? Quest-ce quon vient de faire? Laissons cela. Comment trouves-tu Christophe?

— Cest un joli garçon.

— Nest ce pas? Cest ce que me dit Elodie. Il te plaît?

— Ben

— Et tu sais, toujours daprès Elodie, il baise bien.

Elle rougit nosant répondre.

— Si tu veux, je peux taménager un entretien particulier avec lui.

— No euh!

— Tu naimerais pas quil te fasse des câlineries?

Lisette ouvre la bouche pour acquiescer, mais un reste de pudeur la bloque. Luc nest pas dupe.

— Allez, nai pas honte! Sois franche avec toi-même.

Elle rougit pour avouer:

— Je ne dis pas non.

— A la bonne heure! Eh bien, cest daccord. Monte dans ta chambre, je te lenvoie dès que possible.

— Merci.

Lisette lembrasse sur la joue. Elle va partir mais se ravise. Elle a une question à poser.

— Quest ce quil y a? Que veux-tu?

— Dites, tout à lheure?

Terminé le tutoiement?

— Quoi tout à lheure?

— Vous Tu

— Tu peux me tutoyer, je le permets. Que veux-tu me demander?

— Tu Sur ses fesses

— Pourquoi je lui pelotais le cul? Parce quil aime ça.

— Oh!

— Tu aimes bien quon te caresse les fesses, non? Pourquoi un garçon serait-il différent dune fille?

— Je Je ne Non, tu as raison.

— Alors? Où est le mal?

— Vous Tu euh Tu las Euh en

— Enculé, sodomisé? Oui!

La révélation la fait réfléchir.

— Tu sais, ce nest pas cela qui en fait un homosexuel. Christophe est un garçon tout à fait normal et très capable de satisfaire une partenaire. Elodie me la assuré ainsi quune amie, Fabienne qui jespère viendra bientôt nous voir. Veux-tu toujours que je te lenvoie?

— Oui, sil vo te plaît.

Elle a des difficultés à le tutoyer. Cela lui passera.

— Je pense que tu sauras le retenir.

— Je pense aussi!

Elle se sauve, traverse le salon en riant et grimpe les marches. Au milieu de la montée, elle sarrête, quémande lapprobation dElodie qui la lui donne volontiers dun sourire. Sa jupe vole sur les cuisses que Christophe admire au passage.

Luc sort de la cuisine en se rajustant. Ils nont pas enfilé des perles ces deux là, pense Christophe qui essaye de simaginer son ami baisant la fragile jeune fille.

— Il na pas lair en forme, déclare le maître de maison. Ça ne va pas?

— Ne te moque pas de lui. Tu sais très bien quil a toujours besoin dun temps de récupération après lamour!

Leur liberté de parole met le garçon mal à laise. Il admet que Luc lui laisse baiser Elodie et que celle-ci accepte que son mari lencule, mais cela le gêne horriblement quand lun deux le fait remarquer à lautre. Cest de la pure hypocrisie, Il le sait, mais on ne se refait pas. Elodie insiste:

— Jai trouvé quaujourdhui il était un peu distrait.

— Ah? Quest-ce qui te préoccupe si fort?

Elodie attend une réponse qui ne vient pas. Cela lamuse de le taquiner. Il prend si vite la mouche, cest un vrai plaisir!

— Il navait pas la tête à ce quil faisait. Il y avait longtemps que tu nétais aussi rêveur, nest-ce pas Christophe? Ah! Je me rappelle, la dernière fois cétait lors de ta première visite quand nous avons embauché Sylvie, notre ancienne bonne. Cest Lisette qui te fait cet effet?

Luc renchérit:

— Nest ce pas quelle est mignonne?

— Il est de cet avis! Il ma avoué quil aimerait la baiser!

Christophe rougit de plus en plus et se sait plus ou se mettre.

— Sans blague? Elodie ne te suffit plus?

— Il faut croire que non. Que veux-tu, je nai pas lattrait de la nouveauté, moi!

Christophe de plus en plus gêné éclate:

— Vous avez fini? Si ça continue, je ne viendrai plus!

— Allez, calme-toi. Il nest pas interdit de se moquer gentiment de ses amis non?

Luc ajoute:

— Tu sais, cela métonnerait que Lisette te renvoie, si daventure, tu allais, par hasard, lui rendre visite dans sa chambre. A par cela, que deviens-tu?

— Oh! Toujours la même routine, rien dintéressant, à part quelques visites, de courtoisie, à Fabienne

Il sarrête brusquement au milieu de la phrase. Elodie ny prend garde:

— Visite de courtoisie, évidemment, évidemment Est-ce quelle va bien? Cela fait un bout de temps quelle nest pas venue nous voir. Rappelle-lui notre invitation permanente quand tu la reverras.

Christophe na pas entendu. Ses yeux fixent le palier du premier étage, là où Lisette a disparu il y a quelques minutes. Il repense à ce que vient de dire Luc. Il lui propose daller baiser Lisette! La vision de sa main sagitant sous la jupe de la jeune fille, sa culotte blanche épousant indiscrètement les formes de son cul, ses cuisses nues dans lescalier, tout cela se mêle. Le rouge monte à sa figure. Il est écarlate. Il sagite sur sa chaise. Un sourire se dessine sur les lèvres dElodie. Elle demande, feignant de ne pas remarquer son trouble:

— Tu rêves? Je te disais dinviter Fabienne quand tu la reverras.

Il se rend compte brusquement quElodie lui parle.

— Quoi? Ah oui, je ny manquerai pas.

Ny tenant plus, il se lève. Le couple échange un clin dil complice. Luc interroge faussement étonné:

— Où vas-tu? Tu pars déjà?

— Euh Non Puis-je monter euh Dans à la salle de bain!

Elodie arbore un large sourire.

— Cest çà, à la salle de bain. Tu peux monter, et dis-lui que nous navons pas besoin delle pour linstant.

— Dire à qui?

Luc lachève dans un rire:

— A la salle de bain pardi!

Il grimpe lescalier quatre à quatre pour échapper à leurs quolibets.

Luc essuie ses larmes:

— Eh ben! Il est pressé!

— Nous navons pas été très charitables.

— Bah! Lisette le consolera.

Il sassied près dElodie:

— Ça ne te donne pas des idées?

— Quoi?

— De penser que là haut ils feront lamour, enfin jespère.

— Tu es obsédé, ma parole!

— Nélude pas ma question.

— Bien sur que si, cela me donne des idées à moi aussi.

— Viens dans mes bras.

Elle se blottit contre lui. Un brûlant baiser les unit. Sans cesser de sembrasser, ils se déshabillent mutuellement avec une hâte fébrile. Entièrement nus, toujours enlacés, ils sallongent sur le canapé et se possèdent sauvagement. Dans la mêlée on ne peut plus dire qui possède lautre. La bataille dure longtemps. Ils roulent du canapé sur le tapis sans cesser de faire lamour, chacun à tour de rôle prenant le dessus sur lautre. Enfin, épuisés mais repus, ils restent sur le sol, étendus sur le dos cote à cote les jambes écartées, se tenant par la main. Luc essuie son front trempé de lavant bras.

— Pffuuit! Et ben!

— Tu nas pas aimé?

— Ne dis pas de bêtises. Pourquoi nest-ce pas toujours comme ça?

— Que veux-tu, nous sommes des animaux complexes, nous, les femmes.

Il se relève:

— Rajustons-nous un peu. Cela fait désordre.

— Tu aurais honte? Toi?

Il hausse les épaules, ramasse ses vêtements éparpillés et se rhabille, imité par Elodie

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