Episode du chasseur (en attendant le loup)
Nous connaissons tous cette histoire, avec un petite fille et un méchant loup.
Nous avons tous été bernés, cette histoire est toute autre.
Il existait effectivement une petite fille, toujours coiffée d’un foulard rouge, d’où son surnom. Elle vivait seule avec sa mère, en lisière d’une forêt. Leur moyen d’existence était les champignons qu’elles ramassaient et revendaient. Elles allaient donc tous les matins à la cueillette, puis faisaient les marchés l’après midi.
C’était un bois tranquille, peu fréquenté, et elles n’y faisaient que de rares rencontres:
— un chasseur grand et fort, qui aurait pu être le père du chaperon.
— un loup aux pouvoirs magiques, dont celui d’être immortel ou de parler, et qui veillait sur la sécurité de ce lieu.
Ils étaient tous les deux très gentils, et elle avaient plaisir à les croiser et discuter.
Le dimanche elles rendaient visite à la grand-mère de la petite, qui habitait à l’autre bout de la forêt.
Des années passèrent ainsi, jusqu’au jour où le chasseur vit le chaperon solitaire:
— Bonjour ma jolie. Tu es seule, ta maman est malade?
— Bonjour chasseur. Non, elle va bien mais elle se fatigue à venir ici. Alors elle a décidé que j’étais assez grande pour venir toute seule.
— C’est vrai que tu es grande, et très belle. Ca te fait quel âge maintenant?
— Je vais bientôt faire vingt ans.
— Vingt ans! Comme le temps passe, dire que je t’ai connue toute petite. C’est quand ton anniversaire?
— Dans deux mois.
— J’aurais quelque chose à te montrer pour fêter ça, une chose que tu n’as jamais vue.
— C’est quoi chasseur, dis moi.
— Patiente petite, attends tes vingt ans.
La petite insista et le chasseur céda. Il lui parla d’un beau champignon qu’il avait entre les cuisses, et qui poussait en quelques secondes. Elle voulu le voir sans attendre et il accepta après qu’elle lui ai juré de n’en parler à personne.
Il ouvrit son manteau puis son pantalon. Elle vit alors comme une saucisse qui pendouillait. Aussitôt cette saucisse se raidit, grossit, s’allongeât, se relevât, jusqu’à se dresser à la verticale. Ca ressemblait effectivement à un superbe champignon, un large pied d’environ vingt centimètres de haut, surmonté d’un superbe chapeau en proportion. Le Chaperon resta quelques instants bouche bée, admirative, puis se ressaisit:
— Oh chasseur, c’est magnifique! Comment tu fais ça?
— Il n’y a rien de secret, c’est la nature qui fait que le sexe d’un homme s’épanouit devant une belle fille. Tu n’en as jamais vu?
— Non, c’est la première fois.
— Tu peux le toucher si tu veux, il ne vas pas te mordre.
Elle était subjuguée, et avança sa main sans même réaliser ce qu’elle faisait. Elle se saisit de la hampe à pleine main:
— Oh chasseur, il est gros ton truc, il est dur, il est chaud.
— Il te plait? Tu peux lui faire un câlin si tu veux.
— Ca veut dire quoi?
— Viens, suis moi à ma cabane, je t’expliquerais.
— Je voudrais bien chasseur, mais je n’ai pas le temps; il faut que je remplisse mes paniers.
— On peut s’arranger, tu viens avec moi et puis je t’aide pour finir ta cueillette.
— Non, je préfère le contraire. On ramasse d’abord, et s’il me reste du temps tu m’expliqueras ce que je dois faire.
— Jure moi que c’est vrai, et que tu ne me tends pas un piège.
— Oh chasseur, ce n’est pas gentil. Je te jure que si on finit de bonne heure je ferais tout ce que tu veux.
— Ok, alors ne perdons pas de temps.
Il se rhabilla, et il se mirent à l’oeuvre pour chasser les champignons. Les paniers furent vite complets et ils les amenèrent pour les déverser dans une petite carriole qu’elle trimbalait pour entreposer sa récolte. Celle-ci était pleine maintenant, et il leur restait du temps. Ils allèrent alors à la cabane, à l’abri des regards indiscrets bien qu’improbables.
Le chasseur enleva son manteau, baissa son pantalon, s’assit sur une chaise, et fit repousser son champignon. La jeunette était à nouveau émerveillée devant ce miracle, et il savait qu’il pouvait en profiter:
— Viens ma petite, mets toi à genoux entre mes jambes, et caresse moi.
Elle aimait bien le chasseur, avait confiance en lui, ne voulait pas lui déplaire, et elle s’exécuta. Il la guida pour bien s’occuper de son champignon, puis l’éduqua sur ce qu’était le sexe d’un homme, le gland, la hampe, les testicules, le sperme, et aussi d’autres mots plus cochons comme bite, queue, couilles, foutre, j’en passe et des meilleures. Il lui expliqua aussi la bandaison, l’éjaculation suivie d’un coup de mou.
Elle écoutait tout sans cesser de caresser ce long manche qui la fascinait. Ses attouchements étaient de plus en plus délicieux, il sentait son plaisir venir et lui fit plaquer sa main sur son bourgeon. Elle sentit les spasmes de son sexe, et un liquide chaud se répandre en plusieurs fois dans sa main. Elle était surprise bien que prévenue, presque pétrifiée, et il la rassura:
— Ne t’inquiète pas petite, laisse ta main, puis quand ma queue sera calmée tu pourras me caresser à nouveau, étaler mon sperme sur mon manche.
Elle ne voulait que lui obéir, et fit comme il disait. Elle lui lustra la colonne puis regarda sa main couverte de son foutre. Il la sentait à sa merci, et poussa plus loin son audace:
— Tu peux lécher ta main, il est bon mon jus, goûte et dis moi.
Elle obéit une nouvelle fois, lécha, fit la grimace, lécha à nouveau, sembla apprécier puis nettoya toute sa main. Le chasseur la regardait faire de ses yeux cochons, ravi de la voir ainsi soumise:
— Oui, c’est bien petite coquine, il te plait mon sperme?
— Oui chasseur, c’est un peu salé mais j’aime bien.
— Alors tu vas me lécher la queue si tu en veux encore.
— Oui chasseur, je vais bien te nettoyer ta bite.
Elle s’appliqua à la lui mettre toute propre.
Il avait débandé, se rhabillait:
— Ca t’a plu chaperon?
— Oh oui chasseur, c’était trop bien, on pourra recommencer demain?
— Mais bien sûr, tous les jours si tu veux.
Ils se quittèrent en se promettant de se revoir.
Le lendemain il l’aida dès le matin pour sa cueillette. Il faut dire qu’elle passait la journée entière dans le bois, sans rentrer chez elle, se nourrissant de fruits qu’elle récoltait, et buvant à un ruisseau. A midi la carriole était pleine, et ils avaient tout l’après midi devant eux après un bon déjeuner dans la cabane.
Elle avait hâte que le chasseur lui remontre son sexe, et lorsqu’il fût dressé devant elle, elle ne se fit pas prier pour le sucer. Le début était hésitant, malhabile, mais sous les conseil du chasseur elle fit des progrès très rapide, le pompait admirablement, en gorge profonde; vraiment douée la petite. Son amant était aux anges de cette bonne pipe, ne retenait plus ses mots:
— Oui, c’est bon salope, pompe petite garce, salope.
— Ca te plait de m’insulter?
— Excuse moi, mais quand je bande je ne me contrôle pas.
— Ne t’excuse pas, si ça t’aide à bien bander je veux être ta salope, ta garce, tout ce que tu veux.
— Ok salope, et tu peux m’insulter toi aussi. Mais en attendant suce moi.
Elle s’appliqua à lui faire une turlute de rêve, jusqu’à qu’il sente sa sève monter. Il la repoussa:
— Attend petite, je vais jouir. Tu n’as jamais vu un homme éjaculer?
— Non chasseur, je te l’ai dit, je n’ai jamais vu de queue avant la tienne.
— Viens, je vais te montrer
Ils sortirent de la cabane et il se branla énergiquement en se motivant:
— Jouis salope, jouis putain de queue, montre lui ce que c’est un mâle, montre lui ce qu’elle recevra quand elle te sucera à fonds, ou quand tu te la feras. Et toi chaperon, regarde bien petite vicieuse, tu vas avoir un beau spectacle….
Il jouit rapidement, de nombreuses giclées, la première à plus de deux mètres, les autres de plus en plus courtes, jusqu’à couler sur son gland:
— Alors petite, ça t’a plu de me voir faire?
— Oui chasseur, c’était beau, mais c’est dommage de gaspiller ton sperme ainsi. J’aurais bien aimé le lécher comme hier, c’était bon.
— Ne t’en fais pas, je te le donnerais les autres jours, et puis il doit m’en rester dans la tige, si tu veux sucer!
Elle s’accroupit dans la seconde et pris son sexe en bouche. Elle le suça, l’aspira, pressa la verge et les couilles pour tout récupérer jusqu’à la dernière goutte. Le chasseur était ravi:
— Oh chaperon, tu es géniale ma chérie. Et toi tu aimes te masturber?
— Mais je ne peux pas, je n’ai pas un sexe comme toi.
— Je sais bien, mais tu peux te caresser toi aussi, te donner du plaisir. Viens je vais te montrer.
Ils rentrèrent dans la cabane, et il la fit se déshabiller. Elle était magnifique, grande, mince, d’adorables petits seins, de larges hanches, des reins bien cambrés, des fesses rebondies et charnues, de longues cuisses fuselées; seule sa chatte n’était pas visible, cachée par une épaisse toison blonde bien entretenue.
A suivre…
