Mémé Josée est plus proche de nous, depuis que nous lui avons raconté, en détail, le dépucelage de Sophie. Notre aïeule se lâche plus facilement et se doigte la chatte sans plus essayer de nous le cacher. Non seulement elle nous mate du coin de l’oil, mais viens aussi nous observer de plus prés. Parfois même elle se laisse aller à une légère caresse sur ma queue ou sur le ventre de ma sour. Pas plus….
Nos parties débridées s’éternisent souvent et ce n’est que le retour imminent de nos parents qui arrête nos branles. Il nous arrive de délirer en imaginant ce qui pourrait se produire si papa et maman nous surprenaient. C’est bon de fantasmer sur les caresses licencieuses que nous voudrions échanger avec nos géniteurs. Ces incroyables chimères nous procurent de folles excitations terminées en vigoureuses décharges de jute et de mouille.
Un après-midi, alors que je viens juste de finir de juter et d’étaler mon sperme sur le visage de Sophie, mémé s’assied à nos cotés en disant : J’ai très envie de te nettoyer la queue, mon grand ?…. Sans attendre ma réponse, elle enfourne ma pine dans sa bouche, la suce longuement, lape les filaments de jute qui y restent accrochés, les avale en me lançant un regard lubrique et se met à me concasser les couilles jusqu’à me faire triquer. Abandonnant alors mon sexe Josée colle ses lèvres à la cramouille ruisselante de ma sour se mettant en devoir de lécher bruyamment son abondante cyprine.
Jugeant lui avoir suffisamment nettoyé la chatte, mémé remonte vers le visage de Sophie et le débarrasse des giclures de foutre qui le souillent. Les petits gémissements amoureux de mon adorable et très vicieuse mamie montrent bien qu’elle se régale intensément en avalant mon foutre. Pas de doute, j’ai bien une authentique mémé salope..
Puis me prenant par le cou et en me roulant un magnifique patin elle murmure : goutte un peu ton jus, mon cour. !!….C’est délicieux non ?
Ses baisers, prodigués par une langue encore toute chargée du goût de mon sperme, m’ont fait chavirer, et ma bite s’est encore plus redressée.
Viennent ensuite ses compliments : Tu sais, mon poussin chéri, c’est la première fois que j’ai le plaisir de sucer un chibre aussi gros et aussi long que le tiens. Il m’envahie vraiment bien toute la bouche. Ce serait fantastique si tu voulais bien me le fourrer aussi dans la chatte. Si tu as envie de baiser mémé, mon chéri, ne te gène pas, vas y de bon cour, bourre moi à fond, mon poussin adoré.
J’aimerai trouver un moyen pour complimenter ta maman de t’avoir fait aussi bien monté. Tu ne penses pas que cette salope exhibitionniste doit aussi doit fantasmer à mort sur la taille de ton paf…Je l’écoute me complimenter, fier, mais pas trop étonné, car ma sour et plusieurs copines m’ont déjà dit à peu prés les mêmes choses sur la taille de ma queue.
Un jour, pour mieux la faire mouiller, je demande à mémé si elle imagine se faire piner par son gendre ou se gouiner avec sa fille. Pas fâchée par ma question, elle me dit qu’elle y a toujours pensé et s’est beaucoup branlée à cette idée. Et toi, mon chéri, rêve tu toujours faire l’amour avec tes parents ? Je lui explique que nous continuons à fantasmer très souvent là-dessus avec Sophie, dont le rêve le plus fréquent est de chevaucher la bite de son papa. Mais comment s’y prendre, comment parvenir à nos fins ? Provoquez des situations équivoques et bien érotiques, me dit elle, insistez, et tu verras, un jour ce n’est pas ton aïeule mais ta maman chérie qui te pomperas le sexe. Tu sais, dit mémé c’est un peu une tradition, ou peut être même est-ce génétique, mais les rapports sexuels consentis ont toujours existés entre les membres de nos familles.
Notre aïeule continue à nous seriner de nous retenir et de ne pas encore baiser ensemble, Sophie et moi. Toujours le même discours : vous aurez tout le temps plus tard. Ça ne sera que meilleur si vous attendez. D’après ce qu’elle nous a avoué, Josée jouit beaucoup plus violemment dans nos étreintes amoureuses qu’avec son défunt mari.
Depuis peu, mamie nous laisse la dévêtir et accepte que nous la voyions nue. Elle est encore un peu gênée car, dit-elle, son corps n’est plus aussi agréable à regarder. Elle est assez mince, pour 1m68. Ses cheveux presque blancs sont fournis et coiffés avec des crans. Elle à un beau visage à peine ridé mais un peu marqué, de femme ayant vécu.. Son petit ventre est à peine bombé. Les os de son bassin et de ses épaules sont bien apparents. Mais dans ses yeux et dans ses gestes se lisent clairement toutes ses débauches et toute sa luxure.
Ma sour et moi adorons lui sucer longuement la chatte et les seins.Ils sont assez gros, et tombants. Les bouts sont marron, longs et rigides, avec de larges aréoles grenues. Leur peau commence à se flétrir et leur masse les faits pendre un peu, mais nous les adorons. En même temps, nous lui titillons la rondelle, en lui enfournant nos doigts. Son trou est petit, tout plissé, brun foncé et cerné de touts petits poils très clairs.
Quand après l’avoir longuement et profondément masturbée, nous retirons nos mains, elle léché amoureusement nos doigts souillés. Parfois ma mémé arrive munie d’un de ses godemichés et elle se ramone longuement la cramouille en s’enfonçant profondément l’instrument en latex. Singulièrement, c’est l’érotisme de cet accouplement contre nature, qui nous excite, bien plus que l’étalement de ses chairs vaginales exposées devant nous.
Sa moule est large. Ses grosses lèvres importantes sont semblables à deux steaks. Le bouton du clitoris, rose plus foncé très proéminent est niché tout en haut des petites lèvres fripées, ouverte sur un orifice vaginal rose orangé, profond et large. Ses poils sont taillés en une petite touffe laissée juste au dessus du con.
C’est impressionnant la quantité de mouille qu’elle fait sortir de son vagin baillant, en s’aidant de son instrument. Tout en lui torturant les seins, nous la laissons finir et se vider royalement. Je m’empare alors du gode et je peux enfin, profitant du jus qui le lubrifie encore, m’en servir pour baiser ma Sophie. Celle-ci, déjà beaucoup chauffée d’avoir assisté au fourrage de sa mémé, n’attends jamais longtemps pour, à son tour, se vider la chatte en gémissant son plaisir. C’est, par godemiché interposé que je pénètre l’intimité de ma pute de sour.
A notre grand bonheur, je pine ma mémé, depuis hier.
Nous étions au bord de la piscine ou mes deux belles garces, se gouinaient sensuellement. Dans leur hâte, elles s’étaient juste contentées de retrousser leurs robes et d’arracher leurs culottes, jetées, à la hâte, par terre, à coté d’elles. Très intéressé je les ai matées sans me cacher, mais sans intervenir. Je bandais devant l’union perverse de ces deux lesbiennes en rut. Plus tard, elles m’ont hélé et, à leur supplique, j’ai accepté de participer à leurs jeux homosexuels. A pleines mains je les ai fait mousser frénétiquement, en leur masturbant alternativement toute la cramouille ou, entre deux doigts, juste la crête du clito. Prenant sa voix grave, de salope en manque, mémé à demandée : Marc, fais moi plaisir, arrête toi, mon poussin, et viens me fourrer avec ton gros chibre. Viens mon chéri, viens vite baiser ta mamie.
Portant mon chibre dressé devant moi comme un étendard, je l’ai préparée, lui demandant de se mettre en levrette, les avant-bras prenant appui sur le matelas de plage, le cul relevé très haut, les cuisses largement écartées, la moule bien dégagée et largement ouverte, la rosette de l’anus bien visible. Ses fesses sont peut être un peu flétries et la peau de son petit bedon légèrement distendue. Sa peau n’a plus le grain délicat et la douce odeur de celle de Sophie, mais à 69 ans je ne la trouve pas trop mal gaulée et toujours très baisable, ma mémé pute.
Agenouillé derrière elle, je frotte longuement mon gland, de son oillet à sa fente entrouverte. Je demande à Sophie de venir me sucer pour me faire encore plus durcir la pine.. Tu te fous de ma gueule, répond elle, si tu viens me niquer à la place de cette poufiasse alors là je te sucerais peut être.
Sans répliquer, j’enfile fougueusement ma bite dans la chougne de mémé. Elle me fait comprendre combien elle apprécie mon intromission en ondulant lascivement des hanches et des fesses. Elle pousse des petits gémissements de plaisir qui montent crescendo. Bien installé je me mets à la pistonner avec des grands mouvements de reins qui me font ressortir presque entièrement et me replongent ensuite dans ses profondeurs vaginales. J’ai une trique d’enfer, cette première baise avec ma chaude aïeule titille mes sens déchaînés. Dans mon cinéma intérieur, je m’imagine que c’est ma mère que je soumets ainsi. Nous copulons agréablement un bon moment, mémé jute et se plaint. On croirait entendre des jappements d’un jeune chiot.
Ces gémissements très érotiques m’excitent, je lui laboure de plus en plus sauvagement le con tout lui perforant l’oillet d’un doigt inquisiteur. Saisi d’une soudaine pulsion, je me retire et, remontant ma tige dégoulinante des sucs de sa chatte, je la pointe vers le trou voisin. Ma verge dure l’encule subitement de toute sa longueur, sans l’en avertir.
Elle tremble, son corps se couvre de gouttelettes de sueur et elle rugit son plaisir en psalmodiant sa litanie : salaud, méchant salaud— tu n’as pas honte d’enculer ta mamie—oh mon dieu, tu me tue—- tu me défonce le cul mon amour, —-putain que c’est bon, —c’est trop bon, —encore, encore, éclate moi, mon chéri, —–viens toi, viens vite, —- dépêche toi, — jutes moi tout, loin au fond du cul.
Stimulé par ses paroles ordurières, j’arrive au bout de ma furieuse chevauchée. Ma bite crache de puissantes giclées de foutre dans les méandres de la cavité anale défoncée de mamie. C’est énorme, géant.
Je viens, pour la première fois, de baiser et d’enculer ma mémé et pour couronner le tout, elle me remercie, en prenant une toute petite voix et en se serrant fort contre moi.
Sophie qui n’a pas voulu participer, mais qui na rien perdu de notre baise, est furieuse. Elle m’accuse de vouloir la rendre folle en sautant mamie devant elle alors que je refuse systématiquement de la baiser.. Tu n’est qu’un pauvre petit connard, tu ne mérites pas tout l’amour que je te portes, s’écrie t’elle, tu es moche et je ne t’aimes plus. N’ayant rien à répondre je laisse sa grand’mère la consoler.
Je n’ai pas pu savoir ce qui s’est passé entre ma sour et mémé, mais Sophie a l’air mieux et accepte toujours de participer sans rechigner à nos activités pornographiques. C’est une petite salope de plus en plus dévergondée que rien de sexuel ne rebute. Un de ses jeux favoris est de me demander de les lécher à tour de rôle, pour les amener, une fois bien chauffées à se laper mutuellement les jus de leurs moules. Elles se mettent tête-bêche et, à grand renfort de doigts inquisiteurs et de langues bien baveuses, elles continuent mon travail et se font gicler la chougne, comme deux bonnes salopes.
Après, pour, calmer mon rut, elles se jettent ensembles sur ma bite et se disputent mes giclées de foutre. C’est tout simplement fan tas ti que.
Une fois, en rentrant du tennis, j’aperçois mémé et Sophie s’embrassant, allongées sur des plaids. Je connaissais bien les jeux de mes deux garces en mon absence, mais le fait de les surprendre m’a tout de suite excité. J’ai pu admirer le cul bien ouvert de ma sour pendant qu’elles s’entredévoraient le con, avec sa mamie, j’ai assisté à toute leur séance en me paluchant sans intervenir. Je n’avais encore jamais vu deux femmes se manger la cramouille et le cul avec autant de joie, d’ardeur et de férocité mélangées. Sophie n’éprouve aucun gène à lécher l’anus de sa compagne ou à plonger sa langue et ses doigts dans ses entrailles. Ce qui me provoque surtout de monstrueuses érections, c’est la différence d’age bien visible entre ces deux corps agités par les contractions provoquées par leur délire orgiaque.
Ma sour n’as pas démordu de son idée fixe et fais toujours tout son possible pour que je la baise. Dés qu’elle en a l’occasion elle s’assied nue, sur moi, et frotte mon gland sur ses lèvres intimes. Pendant que je suces fermement le bout turgescent de ses seins elle me psalmodie tous les mots de l’amour : viens me baiser mon chéri,.. viens carrer ta pine bien profond dans ta petite sour, .je dirais à tout le monde que je t’aimes et que je veux vivre avec toi pour toujours,.. je ne serais plus ta sour mais ta femme. Elle se laisser ensuite retomber sur ma bite dressée. Je dois rassembler beaucoup de volonté pour me retenir de pousser et de l’emmancher à fond. Mais je me tourne un peu et ce n’est qu’une de ses fesses qui s’écrase alors, à son grand regret, sur ma pine érigée.
Ensuite, frustrée de ne pas s’enfiler ma bite, elle se contente de me masturber et ça finis par une explosion de foutre sur son ventre, sa chatoune, ses seins ou sa belle gueule. Mémé qui n’est jamais loin me dit : c’est bien, mon grand, tu te contrôles, tu es maitre de ton corps, continu, résistes le plus longtemps possible. Mais si arrive le jour ou tu ne parviens plus à te contenir, alors appelles moi, attends bien que j’arrive. J’exige d’être présente. Fais le ici, dans la maison que je puisse contempler le visage ravagé de ma Sophie, lorsque, pour la première fois, tu pineras ta sour. Vous verrez, avec l’attente ce sera aussi fantastique que si tu prenais son hymen.
J’avais raison, si ma Sophie, me regardait aussi ardemment pendant tout son dépucelage, c’était bien pour me montrer que, dans sa tête, ce n’était pas le chibre de Serge qui lui envahissait le con, mais bien le mien.. Elle vient de me l’avouer.
Chez moi, nous raconte un matin mamie Josée, lorsque nous sommes devenus ados, la porte de chambre de nos parents n’était plus jamais complètement fermée. Nous ne nous privions pas de les regarder discrètement lors de leurs ébats. Pas du tout gênés. Ils semblaient aimer nous faire profiter de leurs séances de baise très chaudes en nous laissant apercevoir leurs corps nus. Nous connaissions toutes leurs positions favorites et tous les gestes de l’amour. Nous expérimentions tout cela avec mes fréres et sour et nos parents ne se privaient sans doute pas de nous regarder nous toucher et nous branler mutuellement.
Chez ton pépé aussi les parents n’avaient pas d’interdits sexuels, mais cela a toujours été à l’insu des autres que pépé embrochait copieusement sa sour aînée. Il me l’a raconté beaucoup plus tard, en m’avouant qu’il n’avait jamais cessé de la piner plusieurs fois par semaine et que depuis quelque temps ils y avaient aussi associé son mari et leur grande fille Lisa.
Dire que je ne m’en étais jamais doutée. Tu parles d’un vieux pervers lubrique. S’il seulement il m’en avait parlé, j’aurais acceptée avec joie de participer. J’aurai bien aimé partouzer et surtout forniquer impunément, en compagnie de mon beau-frère et sa fille, tout en regardant mon mari niquer sa pute se sour. Vous voyez, il ne faut jamais hésiter devant un bon coup de queue, mes chéris.
Dans notre maison, nous faisions exprès de ne pas baiser discrètement et votre mère nous a espionnés souvent. Ce qu’elle ne savait pas c’est que de lui laisser apercevoir nos sexes, en pleine action, et de la deviner en train de se masturber, nous procurait plein de sensation érotique, de sentiments troubles et des jouissances énormes. Sans jamais la toucher nous avions l’impression de commettre l’inceste pour le plus grand plaisir de tous.
Je l’ai maintes fois matée lors de ses rapports avec ses frères, Laurent et Michel. Vu les belles grosses triques qu’ils se traînent et l’ambiance érotique familiale je n’étais pas étonnée qu’elle se fasse ramoner aussi fréquemment. Et puis, ils n’étaient pas très discrets, alors, la vue de leurs relations incestueuses nous enflammait constamment.
Du coté de ton père, je ne sais pas. Il n’a qu’une sour, Charléne, nous la voyons peu et je ne connais rien de leurs rapports fraternels.
Tiens en parlant de tes parents, eux aussi adorent s’exhiber devant leurs enfants, n’est ce pas mes chéris. Eux aussi laissent leur porte ouverte depuis que vous êtes grands. Tu te doutes pourquoi. Parce que ce sont des vicieux, tes parents, avec pleins de fantasmes incestueux dans la tête. Je vous ai bien vu, avec ta sour, en train de vous toucher en les regardant. Pourquoi alors nous cacher d’eux pour nous branler tous les trois ou pour baiser avec moi, pourquoi ?
Vous m’avez tous deux avoués que vous apprécieriez de pouvoir le faire ouvertement. Ce serait si simple d’attendre leur retour et de les laisser nous choper en plein trio amoureux. Je suis certaine qu’ils adoreraient et viendraient vite participer. Je peux bien te le dire maintenant, je les ai entendus plusieurs fois, lors de leurs baises torrides, qui fantasmaient sur la grosseur de ta pine et sur l’étroitesse de la cramouille de Sylvie. Tu vois bien que sans encore niquer ta sour, tout plein de choses très agréables et vicieuses sont encore possibles, ici même chez toi, avec les tiens.
Et puis, un peu plus tard, mémé a eu des soucis de santé. Sa tête n’allait plus. Ele a du aller dans une maison. Ce fut très dur pour Sophie et pour moi.. Rien à ajouter là-dessus.
A suivre