L’inspecteur Guillaume ouvre les yeux à la première sonnerie du réveil, il est 7h mais il est vanné. Il a passé la nuit en planque. Il s’allume une cigarette tout en s’étirant et en appuyant sur le snooze de l’appareil, la fille à côté de lui dans le lit dort encore la couverture baissée jusqu’aux genoux, une belle toison rousse, de gros nichons bien pâles et une bouche pulpeuse.
Il se lève nu et se sert un café, la machine broie les grains torréfiés, c’est comme ça qu’il ne l’aime pas avec une capsule de merde qu’on nous vend en nous matraquant de pub encore plus merdique.
Il l’avale d’un trait, éteint sa cigarette dans le fond du verre et se douche. Il s’habille rapidement sans trop faire de bruit et se prépare à partir. Il actionne une dernière fois la machine. Deux bras l’entourent et il sent une présence dans son dos, la rousse vient de se lever.
Il avale le café cul sec pendant que la rousse descend ses mains sur le torse du flic et passe ses mains sous la boucle de ceinture.
« J’ai un truc à faire ce matin, mais on reprendra là où on s’est arrêté ce soir » mais la rousse en a décidé autrement, ses mains progressent plus loin dans le caleçon, il sent ses gros seins dans son dos et son souffle chaud dans son cou. Il se retourne et constate qu’elle est entièrement nue, et visiblement bien réveillée. Elle dézippe sa braguette et caresse sa queue qui a pris de la vigueur tout en faisant rouler sa langue dans sa bouche. Il la soulève sur le plan de travail et lui écarte les jambes, sa chatte est brillante, les lèvres sont gonflées et rougies, il plonge sa langue et lèche la superbe moule de haut en bas, en s’attardant sur son clito. La rousse gémit de plus en plus, ses jambes sur les épaules du flic, la tête basculée en arrière.
Il se relève, la queue sortie de sa braguette et la dirige vers le sexe de la fille, il l’enfile, la pilonnant rapidement, comme pour en finir. Elle mouille abondamment cette salope, sa queue glisse comme dans du beurre, il aimerait bien la lui foutre dans le fion. Ses doigts caressent son clitoris, alternant le sens de rotation et accentuant la pression. Elle attrape sa queue et la branle avec sa main pleine de mouille, elle dirige le gland vers le trou du cul brun qui contraste avec sa peau blanche. Il s’ouvre comme une fleur et laisse passer le nud gonflé, la queue progresse dans le fion et les couilles tape contre les fesses. La queue est comprimée par l’anus de la rousse qui martyrise son clitoris. Le flic défonce le petit cul de la fille, elle lèche son pouce en plongeant ses beaux yeux verts dans les siens. Il sort sa queue et l’astique. La rousse descend du plan de travail et coince la queue entre ses deux gros nibards, elle fait coulisser le chibre entre ses seins laiteux, alors que le gland laisse exploser sa jouissance.
Le sperme atterrit sur le menton et parsème le cou de la rouquine qui se lèche les babines pour récolter son « petit-déjeuner ».
Guillaume l’embrasse, remonte son pantalon et claque la porte de son appartement. Arrivé au commissariat du septième arrondissement on l’informe que le prévenu l’attend en salle d’interrogatoire. On lui tend un dossier et il entre dans la pièce ou un homme en chemise froissée l’attend, assis bien droit, les menottes au poignet.
Le dossier qu’on lui a tendu contient des photos. Sur les premières on peut y voir une fille, visiblement de l’est, couverte d’hématome sur le visage et de grosses marques autour du cou. Un il au beurre noir, une arcade éclatée et un visage boursouflé.
Les images suivantes sont très explicites également, on peut y voir un homme et une femme nus, à l’exception des talons de la fille, en train de s’envoyer en l’air, les mains de l’homme autour du cou de la femme visiblement en train de suffoquer. L’homme sur les photos est assis en face de lui.
Il balance les photos en travers de la table en les faisant glisser une par une. Le gars reste stoïque, pas de mouvement de sourcil ou les yeux fuyants. Le flic le provoque, « ça te plaît de frapper les plus faibles sales pervers, t’en as pas assez de ton argent, faut en plus que tu tabasses des femmes », pas un tic de visage, aucun mouvement nerveux, rien… Le gars doit être excellent au poker.
Après 45 minutes à l’asticoter le flic ressort frustré… le mec n’a rien laissé transparaître, et en plus son avocat vient d’arriver, il s’enferme dans la pièce avec lui et coupe toutes les caméras et les micros.
30 minutes plus tard il ressort et on ramène le type dans sa cellule.
Alors que la journée touche à sa fin et que Guillaume s’apprête à rentrer chez lui, un type, la soixantaine, costard, manteau long et gant en cuir remontent l’allée du commissariat en sens inverse. Il sent l’argent et il a le sentiment qu’il est là pour le gars de ce matin, peut-être un second avocat.
Avant de récupérer sa voiture Guillaume envoie un texto à sa femme en lui expliquant que ce soir encore il devait traiter des dossiers au commissariat et qu’il y passera la nuit.
Il gare sa voiture devant l’immeuble et monte à l’étage. La rousse lui ouvre la porte, un ensemble de lingerie vert émeraude. Sur le canapé au fond de l’appartement, une brune se gode allègrement le cul entièrement nu devant un porno où deux filles sucent un seul gars.
Guillaume entre et claque la porte derrière lui.
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Etienne ferme la porte derrière Monsieur Jean Claude qui se dirige vers l’entrée du commissariat du septième arrondissement. En se dirigeant vers l’accueil du commissariat il croisa un policier en civil qui se dirigeait vers la sortie. On l’oriente vers un parloir où il s’installe avec un téléphone au mur comme dans cette série avec les poufs orange en prison. 10 minutes passent avant que Paul s’installe à son tour et se saisisse du téléphone.
— Je suis navré de tout ce qui t’arrive mon cher Paul, le bruit commence à circuler à ton sujet au bureau et cela arrivera aux oreilles du board d’ici peu… j’ai discuté avec Maître Loiseau et le mot d’ordre c’est silence et on cherche le vice de procédure… rien ne sort d’ici sans l’accord de l’avocat d’accord ?
Mr Paul acquiesce d’un signe de tête et son PDG se renseigne sur le traitement qu’on lui donne ici, pas fameux mais correct tout de même.
Après 30 minutes de discussion l’officier escorte Paul en l’attrapant par le bras et Monsieur Jean Claude se dirige vers la sortie. Etienne lui ouvre la porte et il s’installe à l’arrière de la Maybach. Le cuir embaume l’habitacle et le chauffeur fait démarrer le monstre.
« Tout se passe comme prévu, vous avez parfaitement joué votre rôle mon petit, vous irez loin » il se retourne vers la fille assise à côté de lui le visage couvert d’ecchymoses, même défigurée elle reste bandante. Elle a porté une robe noire, fermée sur l’avant qui descend jusqu’à ses chevilles.
« Etienne vous entrerez la voiture au garage svp » 25 minutes plus tard la porte automatique s’ouvre pour laisser passer l’imposant véhicule. Etienne a bien compris le message, il sort de la voiture et ouvre la portière de la fille en lui tendant sa main noir ébène. Les phares éclairent le mur du fond et il vient se placer derrière la fille qui fait face à son patron. Il empoigne ses seins et les caresse à travers le tissu, malaxant et pinçant les deux globes de chair. Sa main descend vers l’entrejambe et caresse son minou alors que l’autre main dégrafe les boutons du haut un par un, découvrant ces magnifiques seins. Elle est maintenant complètement à poil et le chauffeur noir l’embrasse dans le cou tout en lui branlant la chatte et en lui pinçant un téton de sa main imposante.
Elle se retourne enfin et défait la ceinture du chauffeur, libérant un sexe surdimensionné qu’elle branle difficilement. Dans la voiture Monsieur Jean Claude bande sec dans son pantalon, son chauffeur est un champion de la baise et il aime le regarder défoncer des petites putes blanches. La fille est à genoux et semble batailler pour faire entrer le gland dans sa petite bouche, la queue doit bien faire 32 centimètres et est épaisse comme un rouleau de sopalin… elle bave, crache, s’étouffe pendant que le noir lui baise la bouche juste avec son gland. Puis il l’allonge sur le capot, face au puissant patron et la pénètre d’un coup de reins. La fille a les seins écrasés contre le pare-chocs, encaissant l’énorme queue dans son utérus, le chauffeur la pilonne avec force en lui tenant les bras en arrière. Le boss sent l’excitation monter dans ses couilles, le voir la baiser l’excite au plus haut point. Le black est luisant de transpiration, ses muscles saillants impressionnent son patron. La voiture bouge au rythme des coups de reins pendant que la fille crie son plaisir ou sa douleur. Le chauffeur interrompt sa baise et rapproche la fille de la portière du patron qui fait coulisser la vitre passager vers le bas.
Il reprend sa baise dans son minou et elle tend la main pour défaire la braguette de Monsieur Jean Claude, sa queue est humide et bandée vers le haut. Elle le branle avec force pendant qu’elle se fait baiser comme une chienne. Elle regarde son patron dans le fond des yeux, la bouche déformée par le plaisir alors qu’ils partent tous les trois dans une jouissance puissante. Le black éjacule sur les fesses de la fille qui approche sa bouche de la bite du PDG pour qu’il balance son nectar au fond de sa gorge. A peine a-t-elle posé ses lèvres sur le gland qu’il éjecte une belle dose de sperme dans la bouche de la petite salope qui s’en délecte et avale la totalité.
Etienne remet son pantalon et cache l’impressionnante queue dans son caleçon. La fille récupère sa robe et Monsieur Jean Claude la gratifie d’un joli sourire en lui faisant savoir que son chauffeur la raccompagne chez elle.
Alors qu’ils s’éloignent tous les deux, il se dit que la tournure que prennent les événements lui plaît de plus en plus.