Soirée pyjama. 3/4
Suite.
— Nous allons sceller notre secret en buvant chacune ce philtre d’amour, le nectar du mâle ! À la vôtre les filles !
Chacune boit une gorgée de son sperme dans le verre, je n’y coupe pas et goûte donc la semence de Thomas, mon propre frère.
— Mia, s’exclame Rachel, il ne reste plus que toi. Toutes doivent y passer pour être sûr de son silence ! Ne crois pas y échapper !
— Mais il est exténué, regarde-le ! Lui rétorque-t-elle.
Elle s’étend à côté de mon frère et frotte son bras gauche sur le bas-ventre du mâle. Puis d’une main tremblante, caresse très doucement sa poitrine. Rachel se rapproche, un sourire aux lèvres, se saisit de la main de Mia et la pose sur la verge en berne.
— Si tu veux le faire bander, c’est ici que ça se passe ! S’emporte Clarisse.
Mia se redresse sur un coude. Son visage est si près du sexe de mon frère qu’il doit sentir son souffle sur sa peau. Elle se décide enfin et baise tendrement le gland flapi du bout des lèvres.
Sa bouche s’ouvre et emprisonne le gland puis l’aspire maladroitement. Elle ne sait pas bien s’y prendre mais laisse son instinct de femme agir. Elle enfourne un peu plus loin la teub qui commence à se réveiller lentement et intensifie sa succion.
Un frémissement parcourt le corps de Thomas. De légers gémissements trahissent le réveil de son désir et l’extension prodigieuse de sa queue recommence.
Mia abandonne la bête mais un grand filet de bave relie ses lèvres au pieu dressé. Elle est étonnée du résultat de sa prestation et en fait part bruyamment à ses copines.
— Regardez les filles ! J’ai réussi à le faire bander à nouveau !
Elle fixe mon frère dans les yeux, comme en extase devant la terrible érection mais un peu tétanisée en pensant à ce qui l’attend.
— Thomas, je t’offre ma virginité. Je vais m’initier ce soir sur ta belle queue !
Mia passe une jambe par-dessus le corps de Thomas et s’assoit sur son ventre, je vois sa petite chatte toute rose sans aucun poil pubien.
Elle redresse d’une main le rostre de mon frère et commence à se rapprocher, frotte sa vulve sur la bite bien dure, en caresse ses fesses tout en enfonçant tout doucement un doigt dans sa chatte, elle est si mouillée que des gouttes brillent déjà sur la queue de mon frère.
Elle hésite quelques instants, attendant que Thomas la pourfende d’un coup de reins, mais il lui laisse l’initiative.
Elle glisse le gland violacé entre les lèvres intimes de sa vulve et soudain pourfend son fourreau sur le glaive tendu. Un rictus de douleur défigure son visage à l’instant fatidique, mais il ne lui faut pas longtemps pour que toute la lame d’airain ne suive. Du sang tache la peau fine de ce jonc vigoureux.
Ses cris augmentent, deviennent de plus en plus aigus à mesure qu’elle prend un plaisir immense à s’empaler sur la verge de mon frère.
— Putain que c’est booonnn ! J’ai l’impression qu’il va me déchirer le ventre !
Elle hurle son plaisir comme une hystérique, et fait un véritable rodéo sur le jonc vigoureux.
Pendant ce temps, Rachel et Clarisse ont repris leurs petites habitudes et se masturbent mutuellement, jouissant l’une après l’autre, Anja et Zaya qui ont suivi leur exemple ne tardent pas à suivre.
La cyprine coule à flots, la transpiration fait briller les corps dénudés ! Ça sent le stupre et la sueur.
Je suis la seule qui échappe à cette orgie, profitant du spectacle.
Mia s’accroche à la queue comme pour rattraper le temps perdu par rapport à ses copines.
Elle saisit ses seins et les triture dans tous les sens, caresse la queue et les boules de mon frère entre ses ruades en gémissant de plus en plus fort jusqu’au moment où elle se crispe sous la montée de l’orgasme. Un cri de victoire jaillit de sa bouche sous le plaisir immense que lui procure la queue blanche.
Complètement figée, le bas-ventre en fusion, la bouche ouverte sur un souffle haletant, elle éprouve un vertige qu’elle n’a jamais connu. Elle se laisse emporter par cette jouissance dévastatrice qui vient pour la première fois de sa vie de la poignarder.
Tout son corps est en transe, les jambes vacillantes, elle s’écroule enfin sur mon frère pour reprendre ses esprits.
Il ne la repousse même pas quand elle l’embrasse à pleine bouche. Et quand enfin elle libère son corps, réapparaît devant nos yeux son chibre vigoureux où brille à sa surface le liquide de l’amour de quatre filles ultra chaudes.
Clarisse me regarde en soulignant à la ronde :
— Pour parapher notre contrat, il ne manque plus qu’une signature. Sophie, il ne reste plus que toi à utiliser son stylo. Montre-nous de quoi tu es capable !
— Mais… Mais c’est MON FRERE !!!
Je ne dis pas que je ne suis pas attirée par lui. Quand je vois ce que mes copines ont déjà tiré de lui, je me demande s’il pourrait encore supporter une autre fille, surtout sa sur !
Il faut dire qu’au point où j’en suis dans la perversion, il n’y a plus qu’un pas à franchir pour devenir une vraie salope.
Clarisse me houspille :
— On attend !
— Peut-être, mais c’est vrai étalon !
Rachel surenchérit.
— Et je t’ai bien observée, tu n’as pas arrêté de te doigter et de te tripoter pendant qu’on s’éclatait sur sa teub !
— Mais c’est pas la même chose que de forniquer avec lui ! J’ai quand même un peu de morale !
Rachel vient me chercher, me guide jusqu’à la couche de Thomas et me force à m’asseoir à côté de lui. Elle s’empare de ma main et la pose sur cette excroissance de chair.
Je ferme mes doigts autour de cet axe qui a perdu un peu de sa vigueur et entame une masturbation lente et un peu hésitante. Qu’est-ce que je suis en train de faire ?
Cette situation incestueuse est incroyable mais terriblement excitante. Thomas me regarde d’un regard suppliant en grognant. Je n’ose pas aller plus loin.
— Sophie, pas toi ! C’est un péché, tu ne vas quand même pas ?… Ooohhh !!! Et puis zut, au point où j’en suis !
Clarisse s’agenouille, elle met sa main sur ma tête et me force à venir au contact de la verge de mon frère, m’invitant à continuer.
Au point où j’en suis, je cède aussi….. Lentement, je baisse ma main pour décalotter son prépuce et donne des coups de langue sur son gland, comme on suce une glace.
La fine peau est si exacerbée par tout ce qu’elle a déjà subi que la réaction est pratiquement immédiate. Thomas rebande à fond !
Je fais des gestes d’une douceur et d’une lenteur extrême, voulant profiter au maximum d’un tel bélier.
Les copines se délectent du tableau que nous formons et les Smartphones fonctionnent à fond.
Je prends mon courage à deux mains et avoue à mon frère :
— Depuis tout à l’heure, je suis sur les charbons ardents de voir mes copines faire du rodéo sur ta pine ! Tu as beau être mon frère que j’aime mais je ne peux pas passer à côté d’une telle teub. Je n’en reverrai peut-être jamais d’autres d’un tel calibre, je veux ta bite ! Je veux m’exploser la chatte sur ton manche de pioche !
— Mais je suis ton FRERE ! Tu n’as donc plus aucune morale ? Grimace-t-il. Puis il murmure (et moi aussi)
(A suivre)