Lara Croft et la Cité des Lions
Partie 1
Lara Croft atterrit tout en douceur dans les grandes plaines. Elle détacha immédiatement son parachute de son sac à dos pour ne pas s’emmêler dedans. Avec la légère brise, le parachute sembla lui obéir et elle put sans encombre se libérer du tissu blanc. Une fois debout, et son sac à dos correctement sanglé à ses épaules, elle sut qu’elle était prête pour faire ce qu’elle savait de mieux : partir à l’aventure et découvrir de nouveaux mystères. Elle était toujours aussi belle : son visage radieux et sublime, ses longs cheveux bruns-châtains attachés en une longue natte Elle était habillée d’un superbe débardeur turquoise très court, lui moulant son imposante et magnifique poitrine. Un décolleté était visible. La moitié de son ventre était visible. Elle portait également un mini-short de couleur kaki, et lui aussi était court. Lara aimait être discrète en forêt et dans la jungle : cette couleur la camouflait au milieu des arbres et des écorces. Et elle aimait également paraître jolie, d’où la légèreté de ces tenues. De toute façon, elle ne craignait presque pas le froid. Les quêtes qu’elles avaient effectuées dans la neige, Lara les avaient bravés avec des tenues semblables, à peine plus chaudes. Elle possédait à sa cuisse droite, un étui dans lequel était contenu un pistolet, le meilleur ami de Lara. À sa cuisse gauche, une petite lanière qui supportait un gros et long couteau, qui pouvait autant lui servir à couper de petites branches de buissons ou à égorger un brigand. Pour finir, elle portait une solide paire de chaussures de marche.
Lara leva son regard dans le ciel. Le soleil était haut, et elle distingua un petit avion qui semblait s’éloigner d’elle : on l’avait déposée ici, et maintenant, c’était à elle de faire le job.
La jeune femme archéologue se retourna : devant elle se dressait une immense jungle sud-américaine, colombienne précisément. Les recherches qu’elle avait effectuées lui avaient permis d’apprendre l’existence d’un ancien temple présent dans cette jungle, qu’apparemment personne n’avait jamais explorée. Lara voulait découvrir quelle civilisation y avait un jour vécue. Et peut-être découvrirait-elle d’anciens trésors inestimables. Mais elle n’était ni stupide et ni imprudente : après les aventures qu’elle avait déjà vécue, Lara savait que, peut-être, des créatures étranges ou une tribu pouvaient se montrer hostiles. C’est pourquoi elle s’était bien équipée. Ses amis avaient prévu de venir la chercher en hélico, à cet endroit même, dans trois jours, limite de ses provisions.
Après un ultime regard au ciel, avec l’avion qui s’effaçait dans le ciel à travers les nuages, Lara Croft décida qu’il était temps de se mettre en route. Elle s’engagea donc dans la jungle, épaisse et touffue, mystérieuse et colorée.
Les premiers cents mètres furent faciles, car la végétation était clairsemée et relativement peu importante. Lara n’eut même pas besoin d’utiliser son couteau, marcher lui suffisait amplement. Mais après deux kilomètres de progression irrégulière, Lara se rendit compte que la végétation devint plus dense. Il lui fallut maintenant couper les buissons épineux qui lui barraient la route, et faire attention où elle mettait les pieds, car elle avait entr’aperçu deux ou trois serpents mortels. Elle transpirait devant les efforts fournis, les perles de sueurs glissant entre ses seins énormes. Elle parcourut des centaines de mètres, voire même des kilomètres. Puis au détour d’un énorme buisson qu’elle démolit à coups de couteau, Lara tomba sur des ruines.
Ces ruines lui étaient totalement étrangères. Jamais elle n’avait vu de telles merveilles. Les blocs de pierres ressemblaient à des colonnes, choses qu’elles n’avaient observées seulement chez les romains. Cependant, on y voyait tout de même la marque des régions sud-américaines, semblable aux Mayas ou aux Incas. Attirée par ces vieilles ruines, Lara entreprit de les observer attentivement. Des marques y étaient gravées, peut-être mêmes des inscriptions. Des inscriptions d’une langue primitives, peut-être humaines ! Quelle aubaine ! Cet endroit avait donc été habité !
Lara Croft entendit du bruit derrière elle, un léger de bruit de brindille qui se brise sous le poids d’un pied ou d’une patte animale. Elle se retourna. Et eut la bouche bée.
Devant elle se tenait trois lions, mais pas trois lions normaux. Ces lions-ci étaient debout, se tenant sur leurs pattes arrière, mesurant environ 2 mètres et des poussières. Leurs pattes avant, s’il était possible d’appeler ça ainsi, ressemblait davantage à des mains griffées. Leurs regards étaient portés sur la jeune femme. Les trois lions étaient grands et musclés, d’énormes masses musculaires et de chair vives. Autre point important : ils portaient tous trois des pagnes, signe d’une intelligence pudique et donc proche de l’humain. Contrairement à des lions classiques, ceux-ci n’était pas de couleur dorée ou orange, mais sombres comme l’écorce d’un arbre.
Quand Lara fit volte-face, ils commencèrent à grogner. La jeune archéologue n’eut guère le temps de comprendre ce qu’étaient ces créatures, car elle comprit que sa vie fut en danger devant ces brutes hostiles. Elle dégaina son pistolet en une fraction de seconde et fit feu. Le lion le plus proche fut touchée et s’effondra sur le sol. Mais les deux autres, aussi rapides que la lumière, se jetèrent dans les buissons alentours et semblèrent disparaître. Lara brandit son pistolet, prête à tirer à la moindre occasion. La créature qu’elle avait prise pour cible semblait morte, elle ne bougeait plus et du sang rouge foncé sortait de sa blessure.
Alors que Lara tournait régulièrement autour d’elle, essayant de distinguer les lions hostiles, elle sentit soudainement une présence dans son dos. Elle eut à peine le temps de se retourner qu’elle reçut une grosse gifle qui la surprit et lui fit mal. De surprise, elle lâcha son arme et fut projetée à deux mètres d’elle. Elle tomba sur le sol, le cul sur le sol. Devant elle faisait face deux énormes lions humanoïdes, baraqués comme des catcheurs dopés. L’un d’eux eut le réflexe de donner un coup de pied au pistolet de Lara, qui valdingua à une dizaine de mètres de la scène. Lara se sentit soudainement moins sûre d’elle. Elle dégaina son couteau, mais un des lions qui s’était approché d’elle la désarma avec une facilité déconcertante et projeta l’arme loin dans un buisson, rejoignant le pistolet abandonné. Lara prit soudainement peur. Sans armes, elle avait peu de chance de vaincre deux pareils monstres.
Le lion proche d’elle rugit, puis grogna quelques mots, que Lara put comprendre :
— Toi tuer frère ! Vengeance sur toi !
De sa puissante patte avant, il attrapa Lara Croft par le bras et la souleva jusqu’à la relever. Une fois debout, elle tenta de prendre la fuite, mais le lion la retint, bien plus fort que la jeune femme. Il jeta son sac à dos un peu plus loin. La créature sembla remarquer quelque chose, ses yeux étaient rivés sur la poitrine impressionnante de Lara.
— Toi femelle ? grogna-t-il sous forme de question.
Lara n’avait pas l’intention de répondre, mais les deux lions comprirent qu’ils n’étaient pas du même sexe qu’elle. Elle ne voyait pas vraiment quelle différence cela faisait. Celui qui l’avait attrapée l’amena près d’elle, jusqu’à ce que son corps soit collé à celui du lion humanoïde. Lara fut donc coincée contre son agresseur. Ses mains frôlèrent le torse musclé du lion, et elle put admirer la puissance et la grandeur de la bête. Cette dernière fit tourner la brunette sur elle-même, jusqu’à ce que ses fesses fussent collées contre le pagne du lion. Lara prit peur quand elle sentit une énorme masse molle se frotter contre ses fesses. Était-ce non, impossible !
Le second monstre s’approcha également, jusqu’à se trouver en face d’elle. La jeune femme pouvait distinguer attentivement la noirceur rougeâtre de sa peau, et ses yeux jaunes brillants d’une lueur étrange. Ses pupilles se dilatèrent. Lara sentit également que la masse molle du premier lion qui lui frottait les fesses commençait à durcir rapidement, et surtout à grossir. Maintenant, il n’y avait plus de doute : c’était sa bite que le monstre agitait ! Mais c’était un engin énorme, semblait-il, avec une taille pareille ! Le lion lui faisant face avait maintenant une grosse bosse sur son pagne, signe que lui aussi semblait très excité par quelque chose, et Lara avait bien peur que ce quelque chose ne soit elle ! Outre le fait que la jeune chercheuse avait un peu peur, elle était forcée de reconnaître que la nature avait bien gâté ces deux bêtes.
Mais elle n’eut guère le temps de réfléchir davantage : le lion qui lui faisait face leva sa patte avant, semblable à une grosse main griffée, et la posa sur la poitrine de Lara.
— Hééé, me touche pas avec tes sales pattes, sale bête ! s’écria la jeune femme.
Le lion n’écouta pas, et attrapa le débardeur de Lara. En un éclair, il tira avec force en arrière. Le débardeur fut complètement arraché, et Lara, qui ne portait jamais de soutien-gorge, car ses gros seins tenant déjà naturellement, se retrouva avec tout le haut du corps totalement nu. Elle comprit qu’ils ne la laisseraient pas tranquille, alors elle s’agita et se débattit pour s’échapper, donnant coups de pieds et poings. Mais même si Lara était une femme forte et entraînée, les deux lions humanoïdes étaient bien plus féroces et puissants que la brunette. En un instant, celui qui se frottait à elle attrapa ses deux bras, et les joignit dans son dos. Puis il lui maintint les deux poignets ainsi, l’empêchant de se servir de ses mains. Lara s’agita une nouvelle fois, mais cette fois-ci, elle ne pouvait plus rien, la force de ses agresseur étant trop importante.
— Humaine pas bouger, sinon humaine mourir ! grogna le lion qui la maintenait prisonnière.
Lara décida que se battre était inutile devant une telle démonstration de force. Elle cessa ses agitations. Les deux lions ricanèrent.
— Toi te laisser faire ! Nous te faire du bien ! Et peut-être après nous te laisser partir.
Lara sentit son sang refroidir. Se laisser faire ?
— Quoi ? Je ne comprends pas ! demanda-t-elle en espérant une réponse plus compréhensive.
Le lion lui faisant face sourit, ou plus exactement, eut un rictus.
— Nous baiser jeune humaine !
— Non ! Lâchez-moi ! cria Lara.
Elle s’agita de nouveau, mais ses mains empoignées par son agresseur dans le dos l’empêchaient vraiment de tenter quelque chose. Seuls ses seins s’agitèrent, ce qui eut pour effet d’attirer le regard du gros lion de devant sur sa poitrine. Ce dernier posa une main sur ses seins, et les caressa doucement, puis les tripota plus durement.
— Non, s’il vous plaît, laissez-moi partir, supplia la jeune archéologue.
Ils ne l’écoutèrent même pas. Le lion qui la maintenait posa son autre main griffée sur son mini-short. Comme son compère, il tira d’un coup, et le petit short fut réduit en miettes. Lara n’avait plus rien d’autre que son petit string rose pour protéger sa pudeur. String qui rejoignit rapidement le mini-short et le débardeur déchirés sur le sol. La jeune femme était désormais complètement nue devant ses deux agresseurs dotés de mauvaises intentions.
La créature faisant face à Lara retira ensuite son pagne, et là, la jeune femme réprima un hoquet de stupeur. Un énorme chibre très épais lui fit face, d’une longueur atteignant les trente centimètres sans aucun doute, et épais d’au moins dix centimètres ! Lara n’avait jamais vu une telle bite, même chez les quelques amants qu’elle avait eu lors de ses aventures et réceptions bourgeoises. Elle était de couleur sombre, entre le noir et le rouge, comme la peau de ces lions. Elle ne possédait pas de glands, elle se terminait simplement comme un tuyau, en pointe. Sans ce phénomène étrange, on aurait dit une grosse bite de Black. Lara pouvait y voir de grosses veines palpitant d’excitation à l’avance.
Lara leva les yeux et vit le regard que lui rendait le lion. Un regard lubrique, avec des pupilles totalement dilatées. Il posa sa patte sur son chibre, et commença lentement à se masturber, en prenant soin de mater Lara sous toutes ses formes.
Le monstre derrière elle fit de même, et Lara put sentir une autre énorme bite, semblant tout aussi épaisse et longue, venir se caler entre ses fesses. Pour Lara, c’était quand même incroyable d’avoir un tel sexe longeant la raie de son cul ! Si cela avait été un humain, et dans une chambre de son manoir, nul doute que Lara aurait dit oui à une belle aventure sexuelle, mais là, en pleine jungle, au milieu de ruines, entourée de deux gros lions humanoïdes
Le gros lion se frotta quelques instants entre ses fesses, se branlant allégrement et sans gène. Puis il baissa son sexe, et Lara sentit cette masse dure tâtonner vers sa chatte épilée. Elle supplia son agresseur de ne pas faire ça, mais il ricana. Puis il poussa.
— Haaaa ! cria-t-elle.
L’énorme bite s’enfonça lentement au fond de son vagin. Elle était tellement épaisse qu’elle frottait toutes les parois vaginales, et donc toutes les zones érogènes de son anatomie. Immédiatement, Lara cria de douleur devant la largeur du mandrin. Il cogna contre son utérus, signe qu’il ne pouvait aller plus loin. Son vagin sembla s’agrandir devant une telle entrée, car le lion avait entré un peu plus des deux tiers de son sexe dans sa chatte. Bien sûr, il continuait à coincer les poignets de Lara dans son dos, l’empêchant de bouger. Son autre griffe était posée sur les hanches de la jeune femme.
Après cette pénétration forcée et terriblement grosse, Lara sentit le lion se mettre en action. Il recula son bassin et rentra à nouveau au fond de sa chatte. C’est ainsi qu’il mit en route son mouvement de va-et-vient, commençant à baiser sa nouvelle femelle. Son sexe était hors-norme, et Lara le sentait parfaitement bien coulisser au sein d’elle. Durant les premiers mouvements, elle ressentit surtout de la douleur. L’épaisseur de son sexe lui irritait les lèvres, et les parois de son vagin semblaient oppressées devant une telle montagne de chair. Mais après deux minutes de baise debout, la douleur disparut peu à peu. Comme si le corps de Lara s’habituait à la taille du mandrin qui la défonçait. Elle n’eut aucun répit, mais c’était mieux quand elle ne souffrait pas.
Le second lion se masturbait toujours, observant son compère malmener la jeune femme. Il attendait patiemment son tour, et Lara savait qu’elle allait devoir encore passer à la casserole dès que celui qui la baisait aurait terminé. Néanmoins, avec trois minutes de baises supplémentaires, son comportement changea. Le monstre qui la tringlait ne lui faisait plus mal du tout. Elle sentait la chaleur monter, comme si son corps réagissait bien au traitement de son agresseur. Sa chatte commença à perler un peu de mouille, et l’archéologue eut la surprise d’apercevoir que son excitation augmentait. Le gros lion lui ferait-il du bien ? Son corps semblait le confirmer. Et à mesure que la bête redoublait d’effort pour tringler Lara, cette dernière se sentit de mieux en mieux. L’énorme chibre du monstre raclait toutes les zones érogènes de son vagin, titillant son excitation. La créature sombre donnait de gros coups de boutoir à Lara, et après encore quelques instants, celle-ci lâcha son premier soupir de plaisir, qui devint rapidement un petit gémissement. Toujours maintenue par son agresseur, Lara ne pouvait pas bouger hormis rester debout, mais l’idée de fuir commençait à disparaître devant un tel traitement
Au moment où Lara gémissait plus fort, le lion lâcha ses poignets, puis ses hanches. Il se retira d’elle, et elle fut surprise. Il la poussa, sans lui faire mal, mais suffisamment fort pour qu’elle tombe au sol. Le second lion, qui s’était masturbé jusque là, s’agenouilla près de la jeune femme, et la fit mettre à quatre pattes sur le sol verdoyant et terreux. Le monstre se plaça derrière Lara et l’attrapa par les hanches. Elle se laissa faire, car elle voulut savoir au fond d’elle-même si ce second lion était tout aussi performant que le premier. Lorsqu’il la pénétra d’un seul coup, elle sut que oui.
Maintenant que sa chatte était un peu habituée à la taille de ces sexes, Lara sentit le plaisir grimper plus rapidement qu’avec la créature précédente. Il fallait aussi avouer que ce lion-là était un peu plus virulent, la position le permettant. Il la violentait sauvagement, donnant de gros coups de bite au fond de sa chatte. La sauvagerie de la scène excitait Lara, qui avait pour habitude de dominer dans les relations sexuelles, étant une aventurière exigeante. Mais ces mâles-là étaient différents. Plus sauvages, plus puissants, plus virils.
Les grosses mains du lion lui entouraient toutes ses hanches, en faisant le tour complet. Lara prit conscience de la masse des monstres qu’elle venait de rencontrer. D’où sortaient ces bêtes humanoïdes qui parlaient, et violaient les jeunes femmes de la jungle ? Mais elle n’eut pas de temps pour y réfléchir, car sur un coup de bite mieux placé que les précédents, Lara ouvrit la bouche et un cri de jouissance en sortit.
— Haaaaaa, ouiiiiiiii ! hurla-t-elle, en levant la tête au ciel.
Sa chatte explosa de mouille, la bite de son violeur la baisait trop bien pour qu’elle puisse contenir ce plaisir barbare qui lui faisait honte. Le lion profita de sa jouissance pour lui tripoter les seins, et caresser son corps brûlant.
— Humaine jouir ! Femelle aimer ça !
Il redoubla de vitesse et de sauvagerie, défonçant maintenant Lara comme une putain des rues. Cette dernière s’abandonna au plaisir et enchaîna trois orgasmes, jouissant comme elle n’avait jamais joui de sa vie jusqu’ici. Elle ne pensa même plus à s’échapper des griffes de ses deux agresseurs. Elle ressemblait à une chienne soumise, là à quatre pattes, en train de se faire monter par un lion humanoïde hyper sauvage.
Le lion, justement, la baisa environ dix minutes, puis l’autre, qui était resté en retrait, marmonna quelque chose dans une langue que Lara ne connaissait pas, surement la leur. La créature qui la tringlait stoppa, puis retira son sexe du vagin de l’archéologue sexy. Il tira sur les cheveux de Lara, elle cria mais dépêcha de se relever pour ne pas perdre de touffes de cheveux. Les deux gros lions l’entouraient à présent, elles se sentaient minuscules au milieu de leurs masses musculaires. Ils la tripotèrent quelques instants, des griffes venant titiller sa chatte, ses seins, ou même son anus. Puis l’un d’eux s’allongea sur le sol, sa grosse bite dressée et fière. L’autre poussa Lara, et lorsqu’elle fut située au dessus de son compère, le lion appuya sur ses épaules pour la forcer à s’agenouiller. Elle finit empalée sur l’énorme bite qui attendait. Lara poussa un couinement de plaisir, tandis qu’elle posait ses petites mains sur le torse dur comme de l’acier de son amant bestial. Cette position ne lui déplut guère, car elle se sentait moins soumise, elle y était davantage habituée avec ses amants humains. Mais les lions ne s’arrêtèrent pas là, à sa grande surprise.
Le second lion, libre, s’agenouilla derrière la jeune femme. Il l’attrapa par les hanches, comme l’autre, et Lara se sentit très entourée. Le lion frotta sa bite contre les fesses de Lara et buta contre son anus. Cette fois-ci, la panique gagna la jeune femme, qui voulait tout sauf subir une sodomie, qui plus est en double-pénétration. Lara se débattit en s’écriant :
— Non, pas ça, vous êtes trop gros !
Mais les chefs, c’étaient eux, et ils allaient le lui prouver. Tandis que le monstre qui occupait sa chatte renforça sa prise sur ses hanches, celui qui avait calé sa bite sur l’anus de la jeune archéologue attrapa violemment ses bras et les joignit dans son dos, comme dès la première pénétration. De son autre main griffée, il attrapa la tresse de Lara et tira dessus, pour lever son visage au ciel sans nuage. Lara s’agita encore quelques instants, mais elle comprit qu’elle était dans l’incapacité totale de se défaire de leur emprise, car ils étaient tout simplement bien plus fort qu’elle. Elle se sentit soudainement faible et toute petite devant leur puissance.
— Toi arrêter bouger, femelle ! Nous baiser toi à deux ! grogna le lion.
La jeune femme nue hurla quand il commença à enfoncer son énorme sexe dans son cul.
— Haa, noon ! Oh mon Dieu, j’ai mal !
Ils ne firent pas attention à ses protestations et ses cris de douleur. Le lion s’enfonça lourdement en elle, son sexe dilatant violemment sa rondelle et pénétrant ses intestins. La largeur du sexe du monstre était en train de détruire l’anus de Lara, elle hurlait sa souffrance. De toute sa vie, elle n’avait probablement jamais eu aussi mal qu’à cet instant présent. Il était très lion le plaisir qu’elle avait ressenti quand les lions l’avaient prise par la chatte. La seconde bite était ancrée bien au chaud dans son vagin, et Lara pouvait sentir les deux bites presque collées l’une à l’autre, mais dans deux canaux différents. Jamais elle n’avait subi une double-pénétration, et encore moins avec deux sexes de trente centimètres de longueur et dix d’épaisseur. Elle pria, tandis que celui qui l’enculait venait d’entrer son gourdin entier : Lara avait maintenant trente centimètre de bite monstrueuse au sein de son rectum, ce qui la faisait hurler en permanence, sans compter les trente centimètres déjà présent au fond de son vagin. Mais ce fut dix fois pire quand les deux lions se mirent en mouvement.
Les deux bêtes commencèrent leurs mouvements, et si le début fut calme, cherchant à trouver la position leur convenant le mieux, ils en vinrent vite à leur sauvagerie habituelle, celle qui avait tendance à faire jouir la belle aventurière. Sauf que là, elle ne pouvait prendre part au plaisir. Elle était en train de se faire prendre en sandwich, complètement offerte à deux fous de sexe qui s’en prenaient violemment à ses orifices. Ils l’écrasaient violemment, celui du dessous la maintenant contre elle avec force et détermination, tandis que celui du dessus lui liait les mains dans le dos et lui tirait les cheveux. Jamais Lara ne s’était sentie si faible, humiliée et soumise. Son cul se faisait déchirer, et sa chatte gonflait. Son visage affichait un air de douleur mêlée à de l’incompréhension, et ses seins se frottaient au torse si dur et si puissant du lion. Lara commençait à avoir du mal à saisir ce qu’elle subissait. Elle divaguait un peu.
— Aaah ! Non, pitié laissez-moi !
Mais les lions ne l’entendaient pas ainsi, et à chaque fois que la jeune femme les suppliait, eux ricanaient et la défonçaient encore plus violemment.
— Nous avoir prévenu toi que nous venger frère mort ! Toi souffrir, toi femelle à nous !
— Nous montrer à toi que mâles commander ! Toi être salope !
Lara criait, mais le plaisir était maintenant venu se glisser entre deux hurlements de douleur. La douleur était très forte, mais sa condition de salope soumise lui plaisait : elle aimait se faire violenter, en fait ! Elle était en train de le découvrir derrière sa semi-conscience et les énormes coups de bite qu’on lui mettait. Etre prise par deux lions géants dotés de deux énormes bites la rendait folle de joie, mais jamais elle n’oserait l’avouer, même à elle-même. Du moins pour l’instant. En plus, elle ne pouvait pas s’enfuir, complètement dominée par ses deux agresseurs, et cela l’excitait davantage !
La vitesse qu’atteignirent les deux lions était maintenant impressionnante. Ils mêlaient vivacité et force dans leurs coups de boutoir. Lara ne représentait plus qu’un garage à bite pour eux, et elle en avait conscience malgré son combat de ne pas trop subir. Leurs chibres rentraient et sortaient de ses orifices à une allure défiant la nature. La rondelle de Lara ne ressemblait plus à rien, détruite comme jamais à cause de la sodomie profonde, et elle se demandait si sa chatte n’allait pas imploser devant une telle épaisseur de chair en elle ! Et les deux lions la retenaient toujours en otage, la violant sauvagement comme si elle représentait l’une de leurs congénères féminines. Les mains toujours dans le dos, baisée comme jamais, Lara bavait de jouissance dans un maelstrom de douleur et de honte. Elle ne sut dire combien de temps elle fut la cible de ces deux lions étranges et sauvages.
Puis au bout d’un long moment, les deux lions ralentirent, et celui qui lui liait les poignées la lâcha, et se retira de son cul non sans lui arracher un hurlement de douleur. La bête du dessous la repoussa et Lara tomba sur le sol, détruite et dans un sale état. Mais ce n’était pas fini pour les lions.
L’un d’eux attrapa la chercheuse par ses cheveux et tira, jusqu’à ce qu’elle s’agenouille devant lui et se retrouve face à un chibre tellement massif qu’elle en resta une nouvelle fois impressionnée. Le lion releva son joli visage, puis commença une lente masturbation. Lara voulut s’agiter et protester, mais elle n’en avait plus la force : elle parvenait à peine à se maintenir à genoux. Et sans son amant qui lui tirait les cheveux, elle serait probablement retombée sur le sol.
Au bout d’environ vingt seconde, le gros chibre du lion tressauta étrangement, comme atteint de spasme. Puis ce fut l’explosion. De grosses et longues giclées de foutre blanc atterrirent sur le visage angélique de l’aventurière qui ferma les yeux sous cet assaut liquide. Les giclées furent nombreuses, et importantes, et il en fallut peu pour que Lara ait le visage recouvert de sperme. Elle lâcha un hoquet de surprise devant tant de semence masculine, et eut soudainement du respect pour cette bête. Cette dernière était en train de littéralement redécorer le visage de Lara en le recouvrant de foutre chaud. Puis il ne tarda guère à terminer son office. Lara avait l’impression d’avoir déjà le visage entièrement recouvert de foutre, et le second lion n’avait même pas commencé. Elle sentit la main griffée quitter ses cheveux, puis une autre personne l’attrapa au même endroit en relevant de nouveau sa tête. La seconde vague de foutre fut tout aussi importante, et Lara comprit que son visage serait vraiment recouvert de sperme animal. Lui aussi crachait d’énormes giclées de foutre laiteux et brûlant. Il termina au bout de plusieurs longues secondes. Lara commença, à sa grande surprise et sa grande honte, à se délecter de tant de semence sur son visage. Jamais elle ne s’était aussi femme qu’aujourd’hui. Même si ces deux monstres l’avaient violée et sauvagement malmenée, elle était forcée de reconnaitre leurs talents pour le sexe.
Lorsque le second lion lâcha sa chevelure, Lara eut le tournis et chuta sur le sol, à moitié comateuse. Elle eut tout juste la force de retirer le foutre qui lui collait les yeux. Elle put entrouvrir les paupières et voir les deux lions, leurs grosses bites à l’air, l’observer en ricanant et parler dans leur langue. Elle se sentait de plus en plus faible, et se demandait si elle n’allait pas tomber dans le coma, mais non, Lara était forte et elle tint bon. Au moins, se dit-elle, ils avaient fait leur affaire et s’en iraient, maintenant.
Les deux créatures remirent leur pagne, puis attrapèrent une très longue et grosse branche, d’environ trois mètres. Là, la jeune femme les vit y attacher d’épaisses cordes, puis ils emmenèrent la branche près d’elle. Là, elle sentit qu’on attrapa ses deux mains, qu’on les ligota. On lui enleva ses grosses chaussures de marche, et ses chaussettes. Puis on lui attacha également les chevilles. Enfin, d’un coup, sans qu’elle comprenne vraiment, elle fut soulevée dans les airs, mais seules ses mains et ses chevilles étaient en l’air : les deux lions venaient de l’attacher à la branche, et la transporteraient ainsi, comme un morceau de viande prêt à être rôti.
Lara comprit qu’ils avaient d’autres plans pour elle, et que leur promesse de la laisser partir n’avait été que mensonge. Sa situation ne fut pas entièrement noire : dans l’état où était son cul, elle aurait été incapable de marcher. Du coup, être transportée comme ça fut préférable à une marche forcée.
Qu’allait-il advenir d’elle ?