Lara Croft et la Cité des Lions
Partie 4
Un peu plus d’une semaine était passée depuis l’enlèvement de Lara Croft. Depuis le premier jour, rien n’avait changé dans sa situation : elle avait été décrétée esclave sexuelle des léonins, une race de lion-homme inconnu jusqu’ici, vivant dans les jungles sud-américaines. Elle se faisait prendre deux à trois fois par jour par de nombreux lions virils et vicieux, en général les plus méritants, d’après leur roi. La seule chose qui changea ces jours, ce fut son comportement. Si Lara avait cherché à s’enfuir et à échapper à son sort au début, à présent, elle jouissait de toutes ces énormes bites rien que pour elle. Il y avait peu de femelle ici, et elle était la cible de nombreux mâles. Ils étaient doués sexuellement et parvenaient à faire jouir la belle à chaque baise. Parfois, c’était elle qui en redemandait !
Mais Lara était quand même exaspérée par une chose : sa geôle. Elle avait espéré qu’avec les jours, et son comportement qui devenait de plus en plus docile, on lui aurait donné au moins un endroit chaud. Mais non, elle était toujours ramenée dans sa prison de caverne, glaciale et humide, sans couverture ni habits. Et comme Lara était nue en permanence depuis plus d’une semaine, elle avait peur d’attraper une maladie ou un coup de froid. La terrible glaceur de la geôle l’affaiblissait également, et la rendait de plus en plus enclin à quitter sa cellule pour retourner sous la chaleur des corps brûlants et bien dur des lions virils. Car quand elle sortait, elle reprenait des couleurs et se sentait mieux, malgré les sodomies, double-pénétrations et éjaculations faciales humiliantes qu’elle pouvait y subir.
Une fois, on l’avait emmenée dans une autre salle, où on l’avait allongée sur un autel. Elle avait eu peur qu’on la sacrifie, après toutes les bites qu’elle avait avalées ! Mais non. Pour la première fois depuis qu’on l’avait capturée, Lara avait vu une léonine rentrer dans la pièce. Oui, une créature femelle, celles qui étaient rares. Elle était plus fine que les mâles, et légèrement plus petites aussi. Elle avait des seins également, mais recouvert d’un fin duvet : normal, c’était une lionne. Elle était presque entièrement nue, elle n’avait qu’un mini pagne en forme de jupe au niveau de la taille. La créature féline l’avait entretenue, c’est-à-dire épilation des jambes et du maillot, des aisselles, etc. Lara avait cru que les coutumes humaines n’étaient pas connues des lions. Mais d’après ce qu’elle avait pu apprendre de la lionne, c’était le roi qui avait demandé cela. Lui semblait assez connaître les humains, donc Lara accepta l’explication. La lionne parlait mal la langue des hommes, mais elle avait fait comprendre à Lara qu’elle aussi, elle était souvent prise par les mâles du temple et des huttes alentours, mais un seul à la fois en revanche. Tout le peuple léonin n’habitait pas uniquement le temple, ils vivaient aussi dans des huttes autour du temple ou dans la forêt. Elle lui avait avoué qu’il devait rester environ une douzaine de femelle, pas plus, et que seulement deux avaient enfanté des femelles pour l’instant. Lara avait demandé si le roi avait une reine. La léonine avait répondu que non, qu’il avait sauvagement baisé toutes les femelles restantes, mais qu’aucune ne lui avait donné un héritier. Leur peuple était en train de mourir, car les femelles manquaient. Lara avait apprécié énormément sa conversation primitive avec le monstre femelle, car c’était la première femme qu’elle voyait depuis son enlèvement. La jeune archéologue lui demanda ce qu’ils allaient faire d’elle dans le futur. Allait-elle rester une femelle à léonins ? La lionne ne sut répondre, on ne la mettait pas au courant des décisions politiques du royaume. La léonine avait également compati pour Lara, car les lionnes n’étaient pas autant baisée et surtout pas aussi violentée que la jeune humaine ne l’était, et encore moins par trois ou cinq mâles à la fois. Lara comprit qu’il n’y avait qu’elle qui était traitée aussi mal et violée aussi fort par les guerriers léonins. Peut-être que les léonins n’avaient tout simplement aucun respect pour une autre race. Mais elle avait répondu en disant qu’elle adorait ça et qu’elle ne voyait pas les choses autrement, ce qui avait passablement perturbé et choqué la lionne. Après cela, elle avait eu droit exceptionnellement à un bain. La lionne lui avait montré une sorte de baignoire en bois, remplie d’eau chaude. Lara accueillit ce bain comme un cadeau divin. Mais la jeune femme était ensuite retournée dans la froideur humide de sa geôle, avec pour seule compagnie le léger ruissellement de l’eau. Puis les jours suivants furent les mêmes qu’à l’accoutumée : sauvagerie, baises, sodomies, et surtout des litres de sperme de monstres
Un matin, Lara se réveilla à cause du froid, trop important ce jour-là. La météo n’avait pas du être clémente avec la région. Elle grelotait sur son lit de paille, nue, à chercher la moindre parcelle de chaleur dans la geôle. Elle n’avait qu’une envie, c’était d’avoir chaud.
Elle entendit le bruit désormais familier d’une clé qu’on insère dans une serrure, puis la porte s’ouvrit. Un léonin entra dans la pièce, muni d’une épaisse corde. À chaque fois qu’on emmenait Lara hors de sa geôle, elle était toujours attachée au cou, parfois aux mains. Comme si les lions monstrueux voulaient s’assurer qu’elle ne s’enfuirait pas. Mais après une semaine à se faire prendre par tous les trous et à en jouir, Lara avait accepté sa condition d’esclave. Ne pouvaient-ils pas arrêter ce rituel ridicule ? Ou peut-être était-ce simplement pour l’humilier ?
Mais cette fois-ci, Lara avait trop froid, elle n’en pouvait plus. Elle voulait simplement avoir chaud. Elle vit, dans le lion qui venait de rentrer, une source de chaleur, en tant que créature à sang chaud. Son esprit subit une cassure et les gestes qu’elle effectua ensuite ne répondirent pas de sa conscience. Elle se leva et se colla contre le lion, qui eut l’air surpris.
— Ah, un peu de chaleur ! murmura-t-elle.
La jeune femme voulut avoir plus chaud, et l’excitation monta. Elle frotta ses seins contre le ventre du lion, qui était plus grand qu’elle. De sa main gauche, elle caressa le torse velu du léonin, dur comme de l’acier. Elle fut admirative, et elle commença à mouiller. De sa main droite, elle toucha le pagne et plus particulièrement la grosse masse molle, qui du coup, commença à durcir méchamment. Son visage était levé vers celui du monstre, et elle l’observait dans les yeux.
— Baise-moi, mon grand, allez !
Le lion ne savait que faire, apparemment, il avait simplement pour ordre de l’emmener quelque part, mais pas de la toucher, probablement. Mais son sexe était maintenant bandé au max, les trente centimètre de sa bite soulevait son pagne avec une facilité déconcertante.
— Humaine arrêter, grommela-t-il.
— Non, je veux que tu me baises ! Je suis ta pute pour cette matinée, allez !
Pour prouver ses dires, la jeune archéologue devenue chienne en puissance se baissa, puis se mit à quatre pattes et tourna dos au monstre. Elle lui présenta sa croupe, et dandina du cul en gémissant.
— Je veux une grosse bite ! lui cria-t-elle.
Il sembla hésiter l’ombre d’un instant, puis soudainement, il ferma la porte d’un grand bruit, puis retira son pagne, son gourdin épais révélé.
— Moi faire couiner toi ! promit-il en souriant de ses crocs.
— J’espère bien, sale bête ! le provoqua Lara.
Le monstre s’approcha d’elle, bite à l’air. Mais alors que la jeune femme s’attendait à se faire pénétrer en levrette, le monstre l’attrapa par les hanches, et la souleva dans les airs. Elle paniqua, mais le lion la cala contre lui, le dos de Lara contre son torse puissant. Là, il la prit par les cuisses et ouvrit ses jambes. Sa bite se leva et il pénétra la chatte de Lara dans cette position. À peine le sexe s’enfonça-t-il en elle qu’elle tira déjà la langue de plaisir. Puis le monstre se mit en mouvement, et un mouvement véloce, baisant Lara rapidement et violemment. Il portait la jeune femme comme si elle ne pesait rien, sa force étant nettement supérieure à celle d’un humain. Cela lui laissait tout le loisir de tringler férocement sa proie. Lara se sentait tellement manipulée physiquement de la sorte qu’elle en jouit.
Elle commença à pousser ses hurlements habituels de jouissance, alors que le monstre continuait à lui défoncer la chatte en l’air. Lara ne contrôlait rien, et c’était ce qui l’excitait à mort : se sentir soumise à ces lions membrés comme des taureaux ! Elle se fit baiser dans cette position durant près de huit minutes, sans que le lion ne paraisse faiblir ou fatiguer. Puis il cessa et la déposa sur le sol. Elle se tourna vers son amant et se colla de nouveau contre lui, ses tétons pointés contre le ventre du léonin. Elle le fixa avec un regard de braise et chuchota :
— Et si je te suçais, mon beau ?
Elle se laissa tomber lentement à genoux, puis avala d’un coup l’énorme chibre épais de son amant. Elle le pompa comme elle n’avait jamais sucé une bite. Elle s’activait rigoureusement dessus, prenant soin de le sucer au deux tiers et bavant pas mal. Elle ne se servait que de sa bouche, ses petites mains étant posées sur les cuisses épaisses du léonin. Bien évidemment, elle regardait son homme dans les yeux, histoire de l’exciter davantage, ce qui avait l’air de marcher puisque le lion essayait de l’insulter :
— Toi être belle salope ! Toi meilleure femelle que les nôtres ! Toi petite garce en chaleur !
Lara ne répondit pas, trop occupée à s’exciter de sucer sa grosse sucette préférée. Elle lui fit une longue pipe, puis elle décida de s’arrêter après quelques minutes, son bas-ventre redemandant une bite. Elle se remit debout, s’éloigna du lion et se dirigeant vers une des parois de la caverne. Elle prit appui dessus, puisse se cambra en montrant son superbe cul au léonin. Elle retourna sa tête en sa direction et lui lança :
— Allez, viens prendre ta femelle qui en redemande !
Le lion courut presque la rejoindre, attrapa ses hanches et la pénétra pour la seconde fois. Lara eut immédiatement un orgasme, et cela ne fit que commencer. Le lion était tellement sauvage et viril qu’il écrasait presque la jeune femme contre la paroi. Ses gros seins pesants furent écrabouillés sous la pression de la paroi, et son cul bien cambré permettait d’accueillir la bite de son amant avec une régularité et une jouissance extrême. Lara se laissa complètement aller aux gros coups de boutoir de sa bête. Le léonin lui démontait la chatte centimètre carré par centimètre carré. Toutes les zones érogènes de son vagin étaient secoués et lui donnait mille plaisirs et mille émotions.
La froideur de la geôle, qu’elle ressentait depuis plus d’une semaine, semblait avoir disparue. Lara avait enfin chaud, elle perlait même quelques gouttes de sueur qui longeaient ses deux obus. Elle ne sentait plus la morsure du froid, et c’était la seule chose qui comptait, avec bien évidemment le plaisir que le lion lui procurait. Ce dernier augmentait sa vitesse et sa puissance à chaque minute qui passait. Lara n’était qu’une salope fourrée, à cet instant précis, coincée entre ce monstre bien membré et la paroi de la caverne.
— Baise-moi ! Baise-moi ! Plus fort ! Plus fort ! hurlait-elle toutes les dix secondes.
C’était probablement le seul ordre que Lara pourrait donner aux lions durant son séjour ici : la baiser plus fort. Elle n’avait aucun pouvoir, aucune considération, si ce n’est être un garage à bites léonines.
Elle criait tellement fort que les lions qui passaient éventuellement dans le couloir de la geôle l’entendaient surement. Le monstre poilu la prit dans cette position durant de très longues minutes, Lara ne sachant dire combien tellement elle jouissait de la sauvagerie de son amant bestial. Elle aurait voulu que ça ne s’arrête jamais.
Mais cela finit tout de même par arriver. Le lion cessa, il voulait changer de position, probablement. Ce fut une nouvelle fois Lara qui prit l’initiative. Comme il avait légèrement reculé, elle se dégagea et se dirigea au centre de la pièce. Elle se remit à quatre pattes sur le sol, cambrant son dos et montrant son cul au monstre. Cette fois-ci, elle voulait se sentir humiliée, soumise. Elle voulait avoir mal, après avoir tant joui. Elle lui lança donc, en espérant se faire comprendre :
— Viens me péter le cul, maintenant ! J’ai besoin de sentir une bite entre mes fesses !
Le léonin se jeta sur elle, mais il ne se mit pas à genoux derrière elle. Il resta debout, au dessus de son dos. Ses puissantes jambes écrasaient le ventre de Lara entre elles. Il se baissa et visa l’anus de la jeune femme avec son chibre. Il lui donna un gros coup de boutoir, qui transperça la rondelle de Lara, la sodomisant profondément. Elle hurla de douleur, puis le léonin se mit immédiatement à l’enculer sévèrement.
Lara avait affreusement mal, mais elle commençait à avoir l’habitude de se faire prendre par le cul, avec le nombre de lions virils qui s’y étaient essayés. Passé les premières dizaines de seconde, elle sentit même le plaisir monter plus haut que la douleur. Elle gémit, puis cria de plaisir peu après. Elle appréciait fortement sa situation de salope soumise et sodomisée, multipliant son excitation sexuelle par dix.
— Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! couina-t-elle. Fais-moi mal ! Sodomise ta pute !
Le léonin attrapa les cheveux de Lara, puis tira. Le visage de la jeune femme fut dirigé sur le plafond, elle ne voyait plus que de la pierre sombre et le visage félin de son amant. De son autre main, la créature humanoïde maintenait Lara par la hanche. Celle-ci se sentait totalement soumise à son amant, et passablement meurtrie par la sodomie violente. Le lion accéléra, achevant la prisonnière une bonne fois pour toutes.
Il la prit un quart d’heure en tout dans cette position, en ne changeant pas d’orifice, continuant à l’enculer méchamment, et même en accélérant avec le temps. Il devint encore plus violent, limant le cul de sa proie avec une importante précision. Sa rondelle explosa, et Lara hurla sa jouissance. Ce fut son tout premier orgasme anal de sa vie, et il marqua le début d’une nouvelle vie pour elle. Une vie d’esclavage sexuel, et de jouissance éternelle. Elle se considéra comme la chienne définitive de ces bêtes si doués sexuellement ! Elle voulait être leur femelle, leur sac à foutre ! Elle jouissait tellement qu’elle en avait perdu la raison. Elle, qui était venue explorer la jungle au début en tant qu’aventurière et scientifique reconnue dans le monde entier, était devenue une vraie petite pute à hommes-lions ! Elle comprit que peu importe son savoir et son intelligence, elle restait une femme, plus précisément une femelle, tout juste bonne à être baisée par n’importe quel mâle bien monté, même un monstre comme les léonins. Et cela lui plaisait ! Énormément !
Lara hurlait, et certains cris avaient du sens :
— Casse-moi le cul !
— Je suis ta pute !
— Vas-y plus fort !
Le lion lui crachait régulièrement au visage, l’humiliant davantage. Et l’excitant encore plus. Lui aussi grognait des insultes :
— Salope ! Moi enculer toi !
— Humaines être garces !
— Toi jouir comme chienne !
Lara enchainait les orgasmes anaux, jouissant en continue par le cul, elle qui n’avait jamais songé qu’elle pouvait être une femme anale. La chaleur avait envahi toutes les parties de son corps, en particulier son cul, brûlant comme la lave. Sa chatte perlait régulièrement quelques gouttes de mouille, tellement Lara était en chaleur. Ses gros obus étaient ballotés dans tous les sens sous les énormes coups de boutoir de son amant. Tout en Lara, à cet instant précis, respirait le sexe et la jouissance !
Vers la fin, le léonin allait si vite qu’elle crut qu’il allait jouir au fond de son rectum. Mais le lion, soudainement, ralentit sa cadence lentement. Puis il sortit son sexe du cul de Lara, délicatement, pour éviter de lui faire mal. Il lui arracha tout de même une grimace. Il tira un peu plus sur ses cheveux, ce qui eut pour effet de la mettre à genoux. La jeune femme se retourna, et fit face à l’énorme chibre de son amant. Toujours en lui maintenant les cheveux, le léonin tira pour faire lever le visage de Lara vers le plafond, une nouvelle fois. Puis il se masturba. Lara commençait à connaître le rituel de l’éjaculation faciale. Elle sourit, se délectant de ce qui l’attendait : une mare de sperme bien chaud sur son visage. Mais aujourd’hui, elle ouvrit la bouche, souhaitant avaler aussi son petit-déjeuner en même temps.
Le lion lâcha la sauce peu de temps après. De puissants et gros jets de foutre s’écrasèrent sur le visage de Lara, qui ferma les yeux. Elle sentit également d’autres puissants jets qui lui remplirent la bouche, noyant sa langue dans du foutre laiteux. Cela dura de longues secondes, jusqu’à ce que la semence du lion soit épuisée dans ses grosses couilles.
Lara ouvrit les yeux, malgré le sperme qui collait à ses paupières. Elle vit à moitié trouble, et voyait le chibre du lion juste devant elle. Elle leva le regard jusqu’à la gueule de son amant, qui la fixait d’un air carnassier. Toujours avec la bouche ouverte, elle s’amusa à faire quelques gargouillis avec le foutre, puis l’avala d’une traite en se léchant les lèvres ensuite, mimant sa satisfaction. Le lion leva un bras et montra l’eau qui ruisselait dans la grotte :
— Toi laver visage ! Moi emmener toi ensuite !
Le lion fit volte-face, cherchant son pagne. Lara se traina à genoux dans le ruisseau et retira le foutre qui était sur son visage. Elle en était encore toute excitée. Le lion revint, bite débandée et pagne vêtu, une grosse corde à la main. Il prit les poignets de Lara, les joignit dans le dos et les attacha solidement. Lara savait maintenant à quoi servaient ces cordes, en fait : à la faire mouiller ! Ces cordes l’excitaient énormément : elle adorait être attachée, et elle le découvrait jour après jour ! Le léonin l’attrapa ensuite par le cou, et la releva ainsi en l’étouffant à moitié. Il approcha son visage du sien et grommela :
— Maintenant, moi emmener toi voir autres léonins ! Eux baiser toi violemment ! Toi aimer ça ! Toi être femelle salope !
Lara mouilla rien qu’à entendre ses paroles : encore plus de bites et de jouissances pour elle. Il se plaça derrière et la poussa en tirant ses cheveux. Lara faillit tomber à cause de son cul en mauvais état, mais elle parvint à boiter douloureusement. Elle savait que la journée n’était pas finie ! Et c’était tant mieux : elle quittait cette fichue caverne glaciale pour de grosses chaleurs sexuelles ! Au moins pour la matinée, en tout cas !