Ce récit est un mélange de vécu (voir auto-stop) et de fantasmes sans doute découlant des conséquence psychologiques de l’histoire précitées. les chapitres suivants sont sans doutes plus poussés et relèvent d’un pur fantasme
On peut évidemment en parler en forum ^^
Pour Laurent, cest naturel
En début de semaine, javais trouvé dans ma boîte à lettre un message laconique de Laurent « Rendez vous mardi midi, dans le café que tu connais, pour finaliser la rencontre de samedi prochain. Apportes avec toi quelques photos des lieux, afin que je puisse mieux mimprégner de lendroit et de ce quil sera possible de faire là bas. Je te promets quelques surprises ».
Le mardi, à midi pile, je lattends devant le café, un album de photos sous le bras. Il ne tarde pas à arriver et nous pénétrons dans lestaminet. Installés à une table, au milieu des autres consommateurs, je commence à lui montrer des photos de lendroit. Je lui fais voir fièrement le petit terrain, bien clos de murs pris sous différents angles. Cest certain on peut y faire ce quon veux. Les murs font environ deux mètres cinquante hauteur et il ny a quasiment pas de vis-à-vis. Il parait visiblement intéressé. Le préau couvert de tuiles avec ses deux poteaux massifs retient également son attention, sur les dalles de graviers une traverse de chemin de fer fait office de banc. Puis nous terminons cette visite photographique par le caveau (cest ainsi que les gens du pays nomment ce genre de local). Cest une pièce pas très grande avec une belle cheminée rustique, dans langle opposé une sorte de bar permet de prendre debout quelques rafraîchissements, le sol est carrelé de larges dalles dardoises dissymétriques. Une vieille poutre traverse le plafond de la pièce. Je range mes photos plutôt satisfait de la présentation des lieux que jai pu faire et le regarde, il semble content de découvrir un tel endroit.
Tout en buvant un café, il sort dune chemise, à laquelle je navais pas prêté attention lors de son arrivée, des feuilles dactylographiées quil me tend pour que jen prenne connaissance. Lorsque je commence à lire, la surprise est totale, jai dun seul coup limpression que le ciel me tombe sur la tête. Je pense que je dois changer de couleur. Cest totalement surréaliste, jen ai le souffle coupé, rien que le titre me laisse pantois.
Sa voix me ramène à la réalité, calment mais fermement, il me demande de lire avec attention les pages et de les signer si je suis daccord. Pour une surprise, cest une surprise, il mavait dit lors de précédents échanges quil nétait pas très au fait de ce genre de rapport, mais là, force est de constater, quil doit avoir fait certains progrès dans ce domaine ou alors quil sest fortement documenté sur la question.
Je regarde les pages, et commence la lecture du document
CONTRAT dESCLAVAGE
-0-0-0-0-0-0-0-0-0-0-0-0-
Esclave n. et adj.
1. Personne qui est sous la dépendance absolue dun maître
qui peut en disposer comme de tout autre bien.
adj. Un peuple esclave.
Par ext.
Personne qui subit la domination, lemprise de quelquun.
Article 1 : Laurent accepte que Pierre devienne son esclave
Article 2 : Pierre se résigne et reconnais désormais comme Maître, Laurent
Article 3 : Dans le présent contrat les prénoms sont désormais remplacés pour Laurent par « MAÎTRE » et pour Lesclave cité à larticle 2 par « SLAVE 1852 ».
Article 4 : Dès la signature du présent contrat « MAÎTRE » a désormais tous les droits pour dresser « SLAVE 1852 » à sa guise.
Article 5 : Seul le « MAÎTRE » peut juger du degré dobéissance ou de désobéissance de « SLAVE 1852 », et employer à cet effet tous les moyens de punition et de coercition qui lui sembleront adaptés pour rendre « SLAVE 1852 » plus docile.
Article 6 : lorsquil sera en présence de « MAÎTRE », « SLAVE 1852 » ne devra porter que ce que lui impose son « MAÎTRE ».
Article 7 : En labsence dordre, « SLAVE 1852 » devra rester entièrement nu afin de ne rien dissimuler de son intimité et de montrer sa totale dépendance et appartenance vis-à-vis de son « MAÎTRE ».
Article 8 : « MAÎTRE » interdit désormais à « SLAVE 1852 » tout plaisir, et se réserve en conséquence le droit de lui en dispenser sil estime que « SLAVE 1852 » le mérite.
Article 9 : « MAÎTRE » pourra confier « SLAVE 1852 » à toutes personnes qui pourraient parfaire son éducation, sa totale dépersonnalisation. Ceux-ci auront alors les même droits sur « SLAVE 1852 » que son « MAÎTRE ».
Article 10 : « SLAVE 1852 » reconnaît que son « MAÎTRE » possède désormais tous les droits sur son corps et accepte sans aucune discussion possible dêtre totalement avili marqué et puni sévèrement si son « MAÎTRE » le juge nécessaire.
Article 11 : Chacune des deux parties « MAÎTRE » et « SLAVE 1852 » disposent dun délai de vingt quatre heures pour dénoncer le présent contrat. Passé ce délai celui-ci prend pleinement effet.
Article 12 : Le présent contrat est conclu pour une durée illimitée, et seul le « Maître » peut procéder à sa résiliation, notamment en cas de vente ou de rétrocession de lesclave.
Article 13 : Dès la signature du présent contrat, et passé le délai de rétractation prévu à larticle 11, « SLAVE 1852 » en sa qualité desclave na plus aucun droit.
Fait en deux exemplaires à NEANTS le
Lu et approuvé Lu et approuvé
« Le MAITRE » « SLAVE 1852 »
Laurent ex Pierre
Jai lu le document dune seule traite prenant conscience que jallais tout à coup franchir un cap. Il me tend un stylo et malgré quelques hésitations, je paraphe le contrat. Il men remet un exemplaire, afin, dit il, que je mimprègne bien des termes de ce contrat de et de ce que cela impliquera désormais pour moi.
Je nen reviens pas, je viens de signer un contrat où jaccepte dêtre réduit en esclavage total lors de nos rencontres, au milieu des clients et du brouhaha dun café, comme sil sagissait dune simple transaction commerciale sans que personne ne se doute de rien.
Lorsque nous ressortons, je dois certainement avoir lair hagard, un peu comme si je nétais déjà plus moi. Avant de nous séparer il me dit tout simplement « Rendez vous samedi à neuf heures au parking de Limrip, tu me conduiras dans ton joli terrain et je moccuperais alors sérieusement de toi puisque tu le mérites et que désormais tu es mon esclave ». Je ne sais que répondre et nous repartons chacun de notre côté.
De retour au bureau, je ne peux mempêcher de relire à plusieurs reprises le document afin de bien le comprendre, ça à lair sérieux car certains articles du contrat semblent avoir un aspect définitif voire irrémédiable et tout retour en arrière paraît ensuite impossible. Par contre à aucun moment il ne me vient à lesprit de dénoncer le contrat dans un délai de 24 heures. Si bien que le mercredi midi le contrat entrait en vigueur et prenait alors tous son sens mais je trouvais que cela navait rien changé à ma vie car je restais malgré tout persuadé que cétait simplement pour pimenter cette rencontre du samedi.
Je ne le connaissais pas du tout sous cet angle là. Jai bien du mal à me concentrer sur mon travail. A force de relire la définition figurant au début du document jai quelques inquiétudes. Par moment je me dis que cest une mauvaise blague quil ma faite et quil est incapable de me faire subir des choses pareilles. A dautres, par contre, je pense quil va réellement le faire et que je vais devenir sa chose. Parfois, je me suggère de ne pas me rendre à ce rendez vous en trouvant mille faux prétextes, mais là je crains de passer pour un dégonflé, de manquer de courage.
Je passe ainsi le reste de la semaine à mijoter dans mon jus, traversant de nombreuses périodes dangoisse et dinquiétude, de courage et de lâcheté, voyant peu à peu la fatidique échéance se rapprocher.
Le samedi matin, je me lève après avoir passé une nuit plutôt agitée, jai très mal dormi comme tout le reste de la semaine dailleurs. Jai du mal à comprendre comment, avec cette simple feuille de papier, il peut avoir réussi à prendre une telle emprise dans mon esprit. Est ce du à la fatigue ? Jai déjà limpression dêtre sous sa dépendance. Je prends un rapide petit déjeuner, puis une douche, regarde longuement mon corps, jai les nerfs à fleur de peau, une folle envie de me caresser me tenaille le bas ventre, ma main esquisse une douce caresse. Je stoppe mon mouvement, il va sen apercevoir et ne va pas manquer de me punir, cest écrit dans le contrat. Alors rapidement je mhabille, monte en voiture et me rends au lieu du rendez-vous.
Lorsque jarrive il est déjà là, un sac de sport à la main. Dès que je marrête, il monte dans la voiture et, regardant sa montre, me fait remarquer que jai trois minutes de retard. Je bredouille que jai été retardé par la circulation, alors perfidement il ajoute dun air détaché « Si tu ne tétais pas tripoté sous la douche, tu aurais été à lheure, avec moi tu apprendras lexactitude ». Ses paroles matteignent de plein fouet. Comment peut il savoir ? Jessaie de me justifier, je lui dis que ce nest pas vrai, il me regarde fixement, attendant un aveu, je finis par baisser la tête et lui avouer dans un souffle quil a raison, mais jajoute, pour minimiser mon acte, que je ne suis pas allé au bout. Il sesclaffe « Je te savais maso, mais on a pas commencé que tu as déjà deux punitions au compteur. Je crois bien quil va falloir te faire suivre un dressage des plus sérieux et extrêmement sévère pour tapprendre à filer droit » Je rougis, vaincu, je nose plus prononcer un mot de tout le trajet, je le regarde de temps en temps discrètement, il a lair totalement détaché, Il ne dit rien sans doute perdu dans ses pensées ou imaginant peut être déjà ce quil va minfliger.
Nous arrivons sous un fin crachin breton, je me gare un peu après lentrée du petit chemin qui permet de rejoindre le terrain et son caveau. Dans le coffre de la voiture je prends une épaisse couverture en laine car il ne fait pas très chaud. Il prend son sac de sport et nous descendons le petit chemin. Il marche près de moi ne disant rien, intérieurement jai limpression de revivre lhistoire qui mest arrivé il y a une quarantaine dannées, mais il y a aujourdhui une différence importante, car ce jour là, je marchais entièrement nu tenu fermement par celui allait me supplicier, et évidemment, même si je semblais totalement passif, jétais mort de peur et pas du tout consentant, alors quaujourdhui je marche encore vêtu dans une sorte de jeu pas très innocent pour lequel jai donné, il y a quelques jours, mon accord et paraphé un contrat.
Nous navons croisé personne et jen suis bien content, car jimagine les voisines se poser des questions du genre que fait il par ce passage avec ce monsieur quon ne connaît pas ? Quelques mètres avant lentrée du caveau il ma demandé de lui donner les clefs, et accélérant son allure est parti devant moi. Lorsque jarrive, il me fait entrer dans la pièce se conduisant comme sil était chez lui.
Une fois dans le caveau, à peine la porte refermée à clef, et avant que je naie eu le temps de déposer la couverture, je lentends me dire :
«Alors Slave 1852, tu oublies déjà larticle 7 de ton contrat ? Faut il quon te le fasse rentrer dans ta tête à coup de fouet ou te le faire copier cent fois comme à lécole. Tant pis pour toi, cela te fera une troisième punition à recevoir. Ca doit être vraiment ton jour de chance »
Comme entrée en matière, je ne suis pas déçu, je sens que ça va être plutôt sévère. Je préfère me taire et je me déshabille entièrement. Je lui donne mes vêtements et les range dans son sac. Je ne pourrais me rhabiller que quand il le souhaitera.
Je me trouve ainsi totalement nu exposé à son regard. Il me jauge, tournant autour de moi tel un félin songeant à sa future proie. Je me sens assez mal à laise dêtre ainsi exposé nu, devant une autre personne qui est vêtue, cela accroît mon sentiment dinfériorité et de dépendance vis à vis de ce maître à qui je dois désormais une obéissance sans faille. Je ne sais que faire de mes mains alors presque inconsciemment je les place derrière mon dos et je baisse les yeux honteux, regardant le sol ne sachant ni que dire, ni que faire. Lorsquil mordonne de magenouiller, je mexécute rapidement dune manière assez mécanique, et dès quil me précise que lorsque je me trouve dans cette position mes genoux doivent être distants dau moins quarante centimètres, jobéis tout aussi vite, pour lui montrer que je fais preuve de bonne volonté à me soumettre.
Je reste dans cette position pour lécouter
«Comme tu le sais, Slave 1852, depuis ce matin tu as déjà accumulé trois punitions, larticle 7 de ton contrat précise que non seulement tu dois être nu mais ne rien dissimuler de ton intimité à ton maître, en conséquence je vais tépiler le pubis. Javais tout dabord pensé à une discrète épilation de tes parties ainsi que de la base du sexe. Malheureusement comme il faut que tu apprennes lexactitude, jai décidé den épiler un peu plus, ainsi à chaque fois que tu iras aux toilettes cela te rappellera mieux ta nouvelle condition desclave et la nécessité dêtre à lheure aux rendez vous fixés par ton Maître »
Presque malgré moi, et oubliant ma position, jémets une vive protestation
« Mais Laurent, tu nas pas le droit. »
Sèchement il me coupe la parole
« Cest pas la peine de protester, Slave 1852, et en plus tu me tutoies et tu mappelles par mon prénom. Je te rappelle que suis Ton MAÎTRE, tu dois me vouvoyer, tu nas pas à émettre davis, de toute façon larticle 4 de ton contrat est très clair sur ce point. Comme, en protestant, tu as accompli un nouvel acte de rébellion je vais accroître la surface que je vais devoir tépiler cela tapprendras peut être à réfléchir avant de parler, et dis toi bien que ce résultat est uniquement de ta faute et non pas de la mienne. Cela te rendra peut être un peu moins arrogant et également pourra te faire mieux comprendre que tu nas pas à contester les décisions de ton Maître»
Quelque part je sais quil a raison je murmure
« Oui, Lau . !! Heu Maître Laurent »
« Maintenant lorsque tu ouvriras la bouche ce sera juste pour me sucer, ça tévitera de dire des conneries, car on ne parle pas la bouche pleine.. »
Sapprochant de moi, il baisse sa braguette et en sort un sexe semi érigé, quil pousse fermement sur mes lèvres, je le sens senfoncer profondément jusquau fond de ma gorge, il me maintient par la nuque si bien que je ne peux mesquiver sentant le bâton de chair frémir contre ma langue puis peu à peu dilater mes mâchoires.
Tandis que je mactive du mieux que je peux pour essayer de le satisfaire je lentends me dire :
« Je vais faire de toi une bonne suceuse, et dailleurs ta salive sera désormais le seul lubrifiant auquel tu auras droit pour que je me vide dans ton cul et si ça te fait mal cest parce que tu nauras pas assez bien salivé sur mon sexe »
Je poursuis ainsi cette fellation forcée quelques instants qui me paraissent bien long, il sait se retenir, puis il se retire de ma bouche me laissant méditer sur ses paroles qui résonnent encore dans ma tête.
Je le vois sortir de son sac une paire de ciseaux ainsi quun petit appareil électrique, il cherche des yeux une prise de courant. Il y en a bien une, mais le fil est trop court, il me demande si jai une rallonge, je lui indique que dans le petit chalet, à lautre bout du terrain il y a une grande rallonge sur un touret. Il me fait mettre debout et mattache les mains dans le dos puis mordonne daller ainsi chercher la rallonge. Je ne discute pas et traverse ainsi le terrain nu comme un ver sous la pluie, cest vraiment un bon crachin bien épais et froid. Je sens bien que dans mon dos, à labri sous le préau, mon Maître me regarde et que quelque part il se délecte de voir que jai des difficultés à ouvrir la porte du chalet avec mes mains entravées derrière le dos. Cela prolonge mon exposition sous la pluie. Quand enfin je parviens à ouvrir et à prendre le touret je suis bien trempé. Pour le retour vers le préau du caveau il mordonne de marcher à genoux. Ce nest pas très brillant, car je traîne comme je peux le touret de la rallonge électrique. Il a lair visiblement satisfait de me voir ainsi descendre une marche de lescalier de ma déchéance. Puis me faisant rentrer de nouveau dans la pièce il constate que je suis trempé et tremble de froid mais aussi certainement dinquiétude.
Sans me détacher les mains, il me fait allonger sur le dos, je me retrouve ainsi le bassin légèrement cambré vers le haut un peu comme si je le présentais telle une offrande. Je nose plus rien dire et je le regarde tailler avec les ciseaux ma toison. Il mexplique que sil procédait directement avec lépilateur ce serait horriblement douloureux. Quelle attentionPar contre lorsque je découvre létendue la surface préparée, jimagine aisément que la zone épilée va sétendre des aines jusquau dessous du nombril. Lorsquil touche mes parties intimes, ça ne le gène pas du tout, je ressens même une sorte de détachement comme si, a ses yeux, je nétais plus quun simple objet.
Il prend ensuite l’épilateur électrique et commence à le passer lentement sur la surface dégarnie, ça ronronne doucement en vibrant par contre, lorsque les petits disques arrachent les poils cest horrible ça tire sec provoquant un bref point de douleur sur ces peaux sensibles. Au fur et à mesure je ressens une multitude de petits picotements et cela devient peu à peu assez énervant, jai limpression davoir la peau a vif. Il insiste en faisant de nombreux passages car il tient à ce que cela soit parfait. Ensuite il moblige à me retourner, je me retrouve alors dans cette position particulièrement humiliante et ridicule avec les mains toujours attachées derrière le dos et reposant juste sur les genoux et les épaules. Joffre le plus profond de moi-même à mon maître qui poursuit inexorablement son uvre épilatoire sur la raie et le scrotum. Jai limpression dêtre un chien dans un salon de toilettage que lon préparerait pour une exposition, mais je ne peux mempêcher de penser que lon me dépouille totalement de mon intimité.
Quand il a terminé, il inspecte minutieusement la surface épilée et semble plutôt satisfait de son travail, il me dit alors :
« Slave 1852, je pense que beaucoup de mes amis tapprécieront de ce côté, car jai bien lintention de te faire prendre par là, tu seras certainement beaucoup moins fier quand tu subiras ce traitement. Tu vas devenir une sorte dobjet de plaisir et il est bien possible que vicieux comme tu es, tu risques même par finir par en redemander et den éprouver du plaisir. Pour que tu prennes bien conscience de ton futur devenir et commencer à préparer ton corps de ce coté, je vais dès à présent y mettre un plug »
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Ces mots me marquent profondément, je suis horrifié à lidée de savoir que, désormais, je naurais rien à dire à chaque fois quil aura envie de me faire saillir, tel un animal. Je ne suis vraiment plus rien à ses yeux sinon un simple objet pour que ses amis viennent se vider en moi. Craignant dattraper une nouvelle punition je préfère me taire et lorsque je sens lobjet oblong forcer mon entrée secrète je me contracte un peu mais il le pousse fermement et fini par lenfoncer bien profondément tandis que lanneau de chair se referme sur la base de lobjet. Je ne sais pas quelle est sa taille ? Mais je sens bien ce corps étranger qui me dilate les entrailles et je limagine assez gros. Cela me procure des sensations étranges provoquant même un début dérection. Il sen aperçoit, sourit, me relève et me fait aller dans le terrain puis moblige à mallonger sur la poutre, sur le dos, jambes pendantes de part et dautre du madrier, sous la pluie fine en ajoutant perfidement :
« Ca va te calmer, Slave 1852 »
Cest vrai que cela apaise les picotements de lépilation et puis, avec le froid et la pluie, mon sexe se rabougri peu à peu, je regarde mon bas ventre totalement lisse avec de nombreux petits points de rougeur. Je regarde les gouttes de pluies perler et rouler, telles des larmes, sur mes aines et descendre ensuite plus bas encore. Jai froid, je sens mon fondement bien encombré par cet objet que je ne peux retirer, même en poussant très fort et vu dans la position dans la laquelle suis entravé tout effort est complètement inutile. Si je parvenais à le retirer cela me vaudrait très certainement une nouvelle punition que je nose même pas imaginer, quand je vois le résultat pour les trois minutes de retard et ma vaine protestation.
Jen suis à ce point dans mes réflexions quand il revient me chercher. Je suis presque content de sa sollicitude car je suis plus que trempé et complètement frigorifié. Je le suis, la démarche un peu particulière à cause de cet objet. Je crois que, vu de dos, je dois avoir lair complètement indécent car la large base de lobjet semble bien écarter mes deux globes. De retour sous le préau, il me détache les mains de derrière le dos pour mieux mattacher de face contre un des poteaux. Je suis là, debout, présentant mes fesses, creusant les reins à sa demande.
« Slave 1852, tu te rappelles certainement que ce matin, lorsque nous sommes partis, je tai promis une seconde punition. Ce nest pas la peine que je ten rappelle le motif, tu ten souviens très bien. Alors comme je suis sympa avec toi, tu ne vas recevoir que 25 coups de martinet sur le postérieur. Tu devras les compter, à voix haute, chaque coup en me remerciant. Gare à toi si tu te trompes. En plus cette correction va te réchauffer. Cest bien compris ? »
« Oui Maître, et merci de vouloir de vouloir me réchauffer dis je ironiquement »
Il ne semble pas relever cette brève moquerie. La correction commence lentement les coups ne sont pas très appuyés je mapplique à compter
Un, merci Maître,
Deux, merci Maître,
Trois, merci Maître.
Le coups tombent de manière régulière, Il sait doser sa frappe sans brutalité cest presque de lart, et pour avoir pratiqué, dans le passé, ce genre dexercice avec des soumises, il faut vraiment être concentré pour bien réussir, je dirais presque fouetter avec amour. Tandis que les coups senchaînent sur un rythme de métronome, et que je compte avec attention, noubliant pas de prononcer le chiffre suivi dun merci Maître .A partir du quinzième coup et merci maître, cela comment à me chauffer peu à peu, je dois très certainement avoir les fesses bien rouges. Parfois une lanière un peu fureteuse touche des chairs tendres ce qui provoque une petite douleur somme toute supportable mais me faisant quand même lâcher un petit aie. De même quand il vise avec le martinet en fouettant de bas en haut ou de haut en bas, la base du plug je ressens davantage le coup au plus profond de moi car je sens cet intrus oblong bouger. Ce qui me déconcentre et me fait tromper dans le décompte des coups. Ainsi jai du me tromper au 23ème coup ce qui men a valu cinq supplémentaires. Quand enfin jai prononcé trente merci maître la correction sest arrêtée laissant place à un silence pesant et pour moi cette impression davoir les fesses bien en feu. Jessaie de regarder par-dessus mon épaule pour constater les dégâts, je ny vois rien de désastreux et pourtant ça me chauffe assez fort.
Il me détache de mon poteau, je le regarde, je suis un peu dans le vague. Il me laisse reprendre peu à peu mes esprits. Jai limpression dêtre dans un autre monde où tout devient possible. Lorsquil revient près de moi il me montre fièrement un ballstretcher. Je regarde lobjet en inox, sur chaque face sont gravées dans le métal, et rehaussées de couleur noire, ces mots « Slave 1852 ». Les lettres font un bon centimètre de hauteur et en dessous gravé avec des lettres un peu plus fines apparaît un numéro de téléphone portable.
Il me fait prendre en main les pièces métalliques, je les regarde dans tous les sens, je les soupèse, cela me semble extrêmement lourd et beaucoup plus gros que celui quil mavait fait voir un jour. Je ne peux mempêcher de lui en faire la remarque « Maître, celui la fait le double de celui que vous maviez montré »
Sans se démonter il mexplique calmement
« Slave 1852, tu as raison, celui-ci fait 60 mm de haut et pèse 600 grammes, javais effectivement pensé à 40 mm et 400 grammes, mais, avec toi, jai besoin de résultats rapides et je veux une extension accrue, cest pour cela que jai choisi ce modèle et lai fait graver à ton nom, dès que tu as signé ton contrat, car jai certaines idées te concernant que tu découvriras dans quelques temps »
Je reste pensif et finis par lui répondre
« Mais Maître, cest impossible cest trop gros, trop lourd, cela va me blesser. Je ne veux pas, de ça. Je préfère encore être fouetté comme vous venez de le faire, ou encore être donné en pâture à qui bon vous semble, où même subir dautres traitements encore plus dégradants, mais je vous en supplie je ne veux pas de cet objet »
Il me répond alors dune manière plutôt ferme :
« Slave 1852, Inutile de supplier, les articles 4, 5 et 6 de ton contrat sont pourtant bien clairs, sils ne te convenaient pas tu pouvais les modifier, avant de signer. Depuis quand un esclave aurait il le choix de ses fers ? Cest au maître de déterminer ses marques de propriétés. Tu ne veux pas non plus je te mette un petit objet, une fanfreluche avec du strass et des paillettes ? Tu seras donc ferré comme je lai décidé. Saches que je prends note de la mauvaise volonté dont tu fais preuve et crois moi je men souviendrai. Maintenant ou tu te montres coopératif pour que je le pose, ou dois je à nouveau tattacher et te le fixer sans aucun ménagement ?»
Mon choix est plutôt limité. Alors faiblement, dans un souffle, la gorge serrée, je finis par dire un petit « oui Maître je veux bien vous aider ». Il me fait tenir mon sexe par le bout, en le relevant, tandis quil étire au maximum sur la peau, pour gagner encore un peu plus de longueur il doit tirer davantage ce qui décalotte le gland violacé par le froid. Pour mettre les deux pièces en place il force un peu en prenant bien soin, toutefois, de ne pas pincer la peau, puis sortant de sa poche une clef spéciale il commence à mettre en place les vis pour refermer de manière définitive lassemblage.
Je le regarde inquiet, car sans cette clef il mest absolument impossible de lenlever seul, et, je me vois aller chez un mécanicien demander un outil pour pouvoir enlever cet horrible truc. Peut être devine t il mes pensées car lorsque le vissage complet de lobjet est terminé il me dit :
« Slave 1852, comme tu le vois maintenant tu mappartiens définitivement car moi seul a le pouvoir de te le retirer selon mon bon vouloir. Alors à toi de bien en prendre conscience car maintenant tu es vraiment ma chose ». Sans crier gare, il lâche lobjet dun seul coup, cela provoque une vive tension avec une douleur a peine supportable en raison de la sensibilité de cet endroit, et pour en rajouter un peu il fait balancer lobjet pendant entre mes cuisses.
Cest vrai que le fait dêtre ainsi ferré avec en plus cette marque de propriété et le rappel gravé de ma condition me fait vraiment mieux comprendre ma nouvelle situation et dans quel état de dépendance je suis désormais descendu. Il ne ma même pas dit sil lenlèvera quand on aurait terminé notre journée. Cela mangoisse.
Tandis quil retourne dans la pièce faire je ne sais quoi, je reste ainsi, debout nu sous le préau. Comme jai un peu de répit, cela me laisse le temps de réfléchir et de faire un rapide bilan de la matinée. Il a quand même été terriblement dur avec moi me punissant sévèrement la moindre incartade, forçant ma bouche sans ménagement, mobligeant à marcher nu sous la pluie, mépilant plus que largement et sans aucun ménagement, me promettant des choses assez dures à supporter et maintenant sans se soucier de quoi que ce soit il me laisse seul avec un plug bien enfoncé et un objet bien lourd étirant mes parties.
Perdu dans mes pensées, quand il revient près de moi je sursaute, il me demande de rentrer dans la pièce pour manger. Il a allumé du feu dans la cheminée, une douce chaleur me fait du bien. Une assiette est posée sur la couverture avec dedans des morceaux de pains et de fromage coupés en dés. Il mordonne de magenouiller sur la couverture devant lassiette. Instinctivement jécarte les genoux. Puis il me menotte les mains derrière le dos et me dit :
« Slave 1852, tu as besoin de reprendre des forces après cette éprouvante matinée, mais tu vas devoir manger sans laide de tes mains comme un vulgaire chien. Ne traînes pas trop car il y a encore du dressage au programme de laprès-midi »
Je commence à manger dans cette position dégradante. Ce nest pas très facile de se pencher en restant en équilibre précaire vers lassiette pour attraper avec la bouche soit un dé de fromage soit une bouchée pain. Jimagine bien la vision obscène de mon cul relevé bien ouvert par le plug que je peux offrir à mon maître qui tranquillement mange son sandwich comme si je nexistais pas, mais je sens bien que par instant il me regarde. Un autre chose me fait terriblement honte, car à chaque fois que je me penche, je vois le fer dinfamie pendre et étirer mes chairs tendres entre mes cuisses avec mon nom desclave que je peux lire dès que je le regarde. Je pense avoir atteint le comble de ma déchéance. Suis je encore moi ? Ou ce Slave 1852 qui peu à peu simprime dans mon cerveau ?
Mon assiette vidée, je me redresse et reste ainsi agenouillé droit, je sens le ballstretcher, je narrive pas à mhabituer à son poids, jai toujours limpression dêtre très étiré. Et puis il y aussi le plug, lui aussi se fait bien sentir, ça fait peut être plus de deux heures quil est en moi. Le silence est lourd, seulement troublé par le crépitement du feu dans lâtre, je me demande bien ce quil peut avoir prévu pour laprès midi. Dehors la pluie a cessé, le ciel gris commence à se déchirer par endroit et un pale soleil automnal apparaît par instant.
Lorsquil a terminé son sandwich il sapproche de moi et me fait relever, nous ressortons de la pièce, une fois sous le préau il se place face à moi en se reculant de quelques mètres visiblement satisfait du résultat obtenu. Narquois il me dit
« Slave 1852, cet objet te vas à ravir, dans cette position on te croirait sur le présentoir dun marché aux esclaves. Cest sûr tu nes plus très jeune tu ne vaudrais certainement pas très cher. Mais pour que la présentation soit parfaite il manque un petit quelque chose attends, jai une idée ».
Je reste ainsi, me demandant ce quil a pu trouver. Quand il revient, il tient dans sa main un collier avec une laisse, ainsi quun gros marqueur (indélébile?). Puis, sapprochant de moi, il inscrit en grosses lettres sur mon pubis fraîchement épilé mon nom desclave. Voila qui est mieux dit il puis il me passe ensuite autour du cou un large collier de cuir pour chien et y accroche par le mousqueton une courte mais lourde laisse en métal et la laisse ainsi pendre contre mon corps, la poignée de cuir effleure mon sexe. Il se recule et en profite pour prendre quelques clichés.
Javais oublié de le mentionner, mais il avait pris depuis le matin de nombreuses photos de mon corps à chaque phase de mon asservissement, sans doute afin de mieux illustrer par la suite mon récit.
Il est visiblement satisfait, cest ainsi que je le perçois lorsquil sapproche pour me détacher les mains de derrière le dos. Il me regarde souriant et me confie « Pour que ta parure soit parfaite il aurait fallu que tu portes à tes poignets et aux chevilles de lourds fers dacier avec des chaînes ça viendra certainement un jour »
Laprès midi est consacrée à des jeux de chien, cest bien normal le matin on avait un temps de chien ! Et le midi il mavait obligé à déjeuner comme un chien !
Ainsi jai du ainsi effectuer plusieurs tours de terrain, debout tenu en laisse par mon maître et aussi à quatre pattes toujours tenu en laisse. Parfois nous faisions un arrêt ou je devais de ma bouche maintenir son état dexcitation combien de fois son sexe a-t-il forcé mes lèvre cet après midi ?
Lorsquil, estimait que son « chien » ne marchait pas bien quelques coups de martinet biens marqués étaient ressentis sur ma croupe. Pendant ces longues marches à quatre pattes jai bien compris quil tenait surtout à ce que le ballstretcher se balance le plus possible afin que je le ressente davantage et que jai encore plus limpression que cela pende encore plus.
Au bout dun long moment il me fit faire une pause et me fit prendre cette posture de totale soumission, c’est-à-dire agenouillé le front posé sur lherbe encore humide de la pluie matinale, les fesses bien relevées et ouvertes à souhait.
« Slave 1852, je vais te retirer le plug, si nous avions davantage de temps je te le laisserais pendant toute une nuit et te ferais dormir enchaîné nu dans un cachot, peut être quun jour cela se produira. Mais pour linstant mais je préfère te laisser ton bijou métallique, car si tu peux retirer un plug, tu ne peux pas par contre enlever le BS seul, tu devras obligatoirement passer par moi ».
Ce faisant, il commence à le retirer lentement, en samusant à effectuer de petits va et vient avec lobjet qui dilate mes entrailles, ce qui provoque chez moi une réaction un peu inattendue de mes sens. Je ressens une sorte démotion et une vague de chaleur envahir mon bas ventre. Il a sans doute du sen apercevoir car alors que je commençais à sentir un plaisir inconnu monter en moi, brutalement il enleva le plug me laissant ainsi palpitant, gémissant de frustration.
Ensuite il me tend lobjet en me demandant de le nettoyer. Je regarde mon Maître pensant quil va exiger que je le fasse avec la bouche. Au point où jen suis, je suis prêt à le faire, quand il me fait comprendre que je dois le nettoyer à leau et au produit comme un simple ustensile de cuisine. En le lavant je métonne quil soit si petit. Moi qui limaginais énorme vu la sensation de dilatation quil provoquait je découvre un appareil de 12 à 13 cm de long avec un diamètre maximum de 3 cm. Mon Maître avait bien raison de dire que je faisais bien des simagrées pour pas grand-chose.
Jai limpression dêtre un peu plus libre, mais en fait depuis la pose du BS mon attention était dispersée sur ces deux objets. Maintenant quil ny en a plus quun jen ressens davantage le poids ou alors est ce du au fait quinconsciemment je sais bien que cest avec celui qui semble fixé de manière inamovible que je suis beaucoup plus dépendant.
Une fois ma « vaisselle » terminée je rejoins mon Maître sous le préau et lui redonne lobjet.
Sans dire un mot il me présente son sexe devant la bouche, jai compris je dois bien le sucer et surtout bien saliver. Je veille à bien le faire car je sais que maintenant je suis disponible sur la face arrière il va bien falloir assumer jusquau bout, dailleurs en ai-je le choix ? cela fait partie de mon contrat desclave. Lorsquil quitte mes lèvres pour senfoncer profondément en moi je serre les dents pour ne pas crier et éviter de mentendre dire que si je lavais mieux sucé jaurai moins mal. Je le laisse sactiver longuement en moi essayant même de participer un peu. Lorsque je le sens secoué de spasmes puis un liquide chaud envahir mon fondement je sais quil a apprécié ma docilité .
Tandis quil reprend ses esprits je tente alors une question mal formulée et hasardeuse en espérant que peut être que maintenant quil est satisfait ça lui plairait de me lenlever
« Maître, quand pensez vous que vous aller me libérer de cet objet ?
Sa réponse, plutôt cinglante, ne sest pas fait attendre
« Ecoute Slave 1852, je croyais que tu avais finis par admettre ta condition, je fais ce que je veux, et pour ça comme pour le reste cest moi qui décide. Alors cesse tes jérémiades et ne men parles plus. Ce nest pas parce que je tai libéré du plug et que je me suis vidé les couilles en toi que tu dois timaginer que tu as rempli ton contrat et que je te libère de tout. Jusqu’à preuve du contraire tu as signé ce contrat desclave et tu dois en assumer sans protester les termes ».
Je vois bien que ma demande la visiblement agacé, il me demande alors en termes crus de me masturber devant lui. Je nai jamais fais cela. devant une autre personne. Je suis vraiment mal à laise. Je descends ma main sur mon sexe et essaie de commencer un lent va et vient, Bien que venant dêtre privé de plaisir lors du retrait du plug, je ny parviens pas, mon érection est faible. Par contre, le mouvement que jexécute se transmet jusqu’à cet objet qui exerce un véritable mouvement de balancier, avec cette sensation de lourdeur accrue. Cest très douloureux physiquement et aussi mentalement, car je suis submergé par la honte. Au bout de quelques instants je finis par abandonner vaincu, ce qui me vaut de très nombreuses moqueries de la part de mon Maître.
«Tu vois, tu ne peux même plus avoir de plaisir sans ton Maître, cela te montre bien, Slave 1852, que non seulement tu dépends physiquement de moi, mais que maintenant tu es également mentalement dépendant. Jai bien compris ton fonctionnement et je sais quen te maintenant en permanence dans cet état, tu es capable daccepter et de subir encore davantage rien que pour pouvoir quémander quelques miettes de plaisir. Quen penses tu ? »
« Cest vrai Maître, vous avez tout à fait raison, vous mavez fait subir des choses difficiles, et je sens bien que je vous appartiens psychologiquement. Vous avez parfaitement compris quainsi vous avez brisé peu à peu mes résistances par palier, et, de manière progressive vous me conduisez vers la déchéance complète. Je suis prêt à subir par votre intermédiaire dautres épreuves »
Mes paroles semblent lourdes de sens, peut être que je nen mesure pas réellement toute la signification, mais elles sont vraiment sincères. Je vois dailleurs à lexpression de son visage que ma réponse lui convient et quil comprend quelles ne sont pas dictées par une quelconque veulerie de ma part pour obtenir un allègement de ma condition.
Nous passons ensuite quelques temps à jouer au chien. Il lance le plug dans lherbe, je dois, sur son ordre, aller le chercher à quatre pattes et le ramener dans ma bouche sans laide de mes mains. Cela se répète une bonne vingtaine fois et à chaque pas que jeffectue le BS produit le même effet de balancier et détirement de mes parties.
Nous arrivons ainsi à la fin de laprès midi et pour que jen garde un souvenir un peu chaud il madministre une longue cinglade avec des coups de martinet bien sentis sur les fesses. Lorsque je suis bien rougi de ce côté, je subis sans aucune préparation salivaire une nouvelle sodomie qui me fait très mal il senfonce en moi sans ménagement faisant de longs mouvement de va et vient cela me brûle cest à peine supportable tandis quil me masturbe en même temps je finis par avoir un orgasme qui semble arraché à ma volonté jen éprouve une certaine gène de mêtre ainsi laisser aller tandis quil poursuit sont lent pilonnage qui semble durer très longtemps. Finalement il se retire me laissant ouvert , ça me gratte, ça me brûle tandis quil sintroduit dans ma bouche et cest avec ma langue désormais que je dois mactiver pour lui procurer son plaisir que je sens monter en lui. Finalement de longs jets chauds inondent mon palais que javale sur son ordre. Je lui nettoie ensuite le sexe sur toute la longueur où jy retrouve mes odeurs intimes.
Je reste ainsi prostré quelques instants lesprit vide perdu dans me pensées je trouve que pour une première séance cest quand même bien chargé appréhendant avec une certaine angoisse les jours où selon ses propres mots il me ferait saillir par ses amis.
Je range ensuite les affaires, puis il me rend mes vêtements et me dit de me rhabiller. Alors je ne sais pas ce qui me prend mais je tombe à genoux à ses pieds en le suppliant de menlever ma marque de servage pour rentrer puisque la partie est terminée. Je promets tout et nimporte quoi, de faire tout ce quil voudra de moi. Pourvu quil menlève ce truc. Je ne pense pas avoir été aussi loin dans la supplication. Il me regarde impassible, voulant sans doute briser en moi une dernière résistance. Voyant que rien ny fait, je me relève et résigné, la mort dans lâme, jenfile mon pantalon la tête baissée. Je ne mets pas de sous vêtement car il souhaite que je le sente bien pendre désormais, et vu la taille de lobjet ça ne tiendrait pas dedans. Le contact du tissu sur ma peau mest presque insupportable tant jai les fesses qui me brûlent, cuisant souvenir dune journée peu ordinaire.
Nous refermons le caveau puis empruntons le petit chemin que nous avions pris pour venir. Je marche lentement vraiment pas très à laise, le visage défait pour ne pas dire décomposé à lidée davoir cet objet fixé sur moi. Comme si cela nétait pas suffisant, avec les épreuves de cette journée il fallait évidemment quon croise la voisine. Cest un vrai moulin à parole
« Ah bonjour monsieur P..,
Vous êtes venu au pays,
Ca faisait un bon moment que je ne vous avais pas vu.
Vous avez bricolé un peu dans votre terrain ?
Je vous ai entendu taper et mesurer
Avec ce temps là, ce nest pas agréable de travailler sous la pluie
jai même hésité à vous porter du café bien chaud. Ça vous aurai réchauffé»
Tandis quelle parle je dois progressivement changer de couleur, ses paroles ne me semblent pas anodines et ces allusions sur avoir « entendu taper et mesurer ». je suis certain quelle devait être dans son potager juste de lautre côté du mur et quelle a certainement bien entendu les coups de martinet qui sabattait sur mes fesses et que jen annonçait le nombre suivi dun « merci maître ». Ceci explique sans doute que pour en savoir davantage, elle avait eu lintention de nous porter du café. Heureusement quelle nest pas venu jusquau caveau car elle maurait vu, tout nu, obéissant comme un chien servile à un homme pour qui je nétais plus quun objet sexuel, sans doute pour moi le comble de la honte
Elle me regarde longuement de haut en bas, jai le visage défait,, elle se doute certainement de quelque de quelque chose ? on dirait quelle voudrait en savoir davantage. Mon maître écoute la conversation, visiblement amusé de la gène que lon peut percevoir chez moi. Avant que je ne puisse dire quelque chose elle rajoute :
« Vous avez lair bien fatigué,
Il faut prendre soin de vous et vous reposer un peu
Faites attention à vos calculs
Mais vous boitez un peu
Vos genoux vous font mal ?
Voulez vous de la pommade ?
Jen ai une très efficace
Si je vous avais vu plus tôt, je vous aurais donné des petits pêchers à planter
Tant pis ce sera pour une autre fois quand vous reviendrez »
Pour abréger la conservation je finis par dire
« Oui nous avons du bricoler sous la pluie et ce nétais pas très agréable,
Surtout quil ne faisait pas très chaud ce matin,
Excusez moi, mais je dois conduire mon collègue à la gare il à un train à prendre »
«Ah oui vous aviez bien raison, il ne faisait pas très chaud ce matin
Jai déjà rallumé le chauffage chez moi
Bon eh bien je vous laisse à bientôt.
Et soyez prudents sur la route »
Nous reprenons notre marche dans le chemin et parvenons jusquà la voiture. Je nose plus rien dire, je dois faire une drôle de tête tandis que mon Maître me dit
« Cétait vraiment charmant ce petit intermède avec ta voisine, tu ne savais pas comment ten débarrasser. Je suis certain quelle sest doutée de quelque chose, elle ne doit pas être dupe avec le bricolage sous la pluie quand à tes genoux douloureux jaurai bien du dire que oui elle pouvait te mettre de la pommade, tu aurais atteint là le paroxysme de la honte. Quant au froid heureusement quelle ne ta pas vu à poil ou plutôt devrais je dire sans poils. Peut être a t elle devinée que sous ton pantalon il y avait quelque chose »
Jencaisse ces derniers coups de massue sans broncher en minstallant derrière le volant. Jai encore les fesses cuisantes de la dernière séance de martinet. Mais ce qui me préoccupe le plus cest le B S car il me gène pour conduire je dois garder les cuisses légèrement écartées alors je ne roule pas très vite, ce qui fait que le voyage de retour se prolonge. Je ne dis pas un mot, je pense surtout à cet objet métallique. Comment vais-je pouvoir lenlever, car cest certain mon Maître, na pas lintention de me lenlever. Jai fini par me résigner à cette situation. Jessaie de trouver des solutions et je nen trouve aucune qui puisse être satisfaisante.
A quelques kilomètres avant lentrée de la ville mon Maître me fait arrêter sur une aire de stationnement, elle est déserte et les véhicules qui passent sur la voie rapide ne peuvent rien voir car elle est dissimulée par des bosquets. La maréchaussée, dailleurs se place là parfois, pour y mettre ou plutôt cacher un radar.
« Slave 1852, tu descends, tu técartes de la voiture de cinq pas et tu te mets à poil et tu restes comme ça pour mattendre »
Encore une nouvelle mise à lépreuve de sa part, il veut certainement tester mon degré dobéissance, voir si je suis plus malléable désormais. Je descends donc du véhicule et docilement je mexécute. Une fois la pose prise. Le temps me parait un peu long (juste quelques photos), je crains que pendant cette séance dexhibition un véhicule ne vienne sur laire de stationnement. Puis le maître me rejoint et je le vois alors sortir de sa poche la fameuse clef et il commence à dévisser le ballstretcher. Lorsque enfin je me trouve libéré de cet appareil, je me sens tout à coup beaucoup mieux et le poids que javais physiquement et mentalement disparaît comme par magie. Je crois bien je me suis naturellement agenouillé pour embrasser ses chaussures lui offrant une dernière vision de mes fesses copieusement zébrées par le martinet.
« Merci Maître, votre Slave 1852 vous est infiniment reconnaissant pour ce que vous lui avez fait et lui permettre de rentrer chez lui normalement ».
En mécoutant il ramasse mes vêtement posés à même le sol et présentant le ballstretcher dune main et de lautre mes vêtements il me répond :
«Tu te souviens Slave 1852 de la supplication que tu as faite avant de repartir au sujet de cet objet. Tu oublies certainement larticle 12 relatif à la durée du contrat, ainsi que larticle 13 en matière de droits. Ceci mérite bien évidemment une nouverlle punition ,Comme tu vois je ne lai pas oubliée et jespère que tu en es bien conscient, alors voici le choix que tu dois faire soit je te remets le ballstrecher maintenant, et viendrais te le retirer quand jen aurais envie, soit tu rentres à poil chez toi ? Alors dépêches toi de choisir tu as une minute pour te décider »
Cest un peu court mais je réfléchis rapidement car je ne me vois pas descendre de voiture tout nu et perdre ma réputation dans le quartier, que diraient les voisins?
Lorsquil me dit :
«la minute est passée, jattend