Laure est une amie des parents depuis de nombreuses années. 35 au moment des faits, blonde aux formes harmonieuse, elle est mariée, son mari étant souvent en déplacement à l’étranger pour son boulot, et elle est maman de deux petites filles. Moi, j’avais 18 ans à l’époque, et je fantasmais sur cette femme depuis mes premiers émois.
Un soir, elle téléphone pour savoir si je pouvais venir garder ses filles chez elle, et si cela me dérangeais pas de dormir là-bas, étant donné quelle risquait de rentrer tard.
Jarrive chez elle vers 19h30. Elle maccueille tout sourire, vêtue dun chemisier qui épouse parfaitement ses formes magnifiques et dune jupe ouverte sur les cotés, ce qui laisse entr’apercevoir la ligne des ses cuisses. Elle me conduit dans le salon, moffre un verre et on sassied, lun à coté de lautre.
« Écoute, cest du pipo, javais juste envie de me retrouver seule avec toi, Richard est en Afrique et les filles chez des amis, et il ny a pas de soirée! »
Je reste surpris et sans voix, elle en profite pour se rapprocher et membrasser tout en posant une main sur mon entrejambe.
A mon tour, je lui rends son baiser tout en déboutonnant son chemisier, puis son soutien-gorge. On se retrouve elle en string moi en caleçon, en train de sembrasser dans son salon. Elle me prend par la main et me conduit dehors, vers la piscine. On se retrouve dans leau, au milieu de son jardin, en train de sembrasser. Elle fait glisser mon boxer, effleure mon sexe fièrement dressé tandis que je glisse mes mains sous le tissus de sa culotte, caressant ses fesses, puis la serrant contre moi, son sexe venant buter contre le mien.
Elle se cambre, accentuant le contact de nos sexes, ma queue butant contre le tissu de ses dessous. Finalement, dans une coordination parfaite, je lui retire sa culotte tandis qu’elle m’enlève mon boxer. Je l’embrasse dans le cou, mordille son oreille, puis descend sur ses seins. Je les embrasse, suçant ses tétons, les sentant gonfler, durcir entre mes lèvres. Ses mains viennent se poser sur ma tête, comme pour m’encourager à prolonger cette caresse puis me guide vers ses lèvres pour un baiser passionné. La nuit nous appartient, nous le savons et avons bien l’intention d’en profiter, rien ne sert de brusquer les choses, de se presser. Nos mains caressent, pétrissent, nos lèvres goûtent, agace les moindres coins de l’autre, toutes sauf une, nos sexes, qui même si parfois une main les effleurent, sont pour l’instant privés de toute caresses, mis à part lorsqu’ils se retrouvent, au hasard d’un baiser, pressé l’un contre l’autre.
A un moment, elle se dégage, m’embrasse et me dit "attend moi, je vais chercher quelque chose et je reviens" "Pas de soucis, je ne bouge pas" elle sort de la piscine et se dirige vers la maison. Je réalise alors que c’est les premiers mots que nous échangeons depuis le moment où elle m’a accueillit. Quelques minutes plus tard, elle revient avec une bouteille de champagne et me la tend. Je fais sauter le bouchon et en bois une gorgée, à même le goulot, avant de lui tendre la bouteille. A son tour, elle boit une gorgée puis m’embrasse, la bouche encore remplie du précieux breuvage. Les bulles explosent dans nos palais tandis que nos langues se croisent dans un ballet passionné.
Nous sortons finalement de la piscine, main dans la main, pour rejoindre sa chambre elle me pousse sur le lit et se glisse entre mes jambes ses lèvres se referme sur mon gland, sa langue tournant autour, puis lentement elle commence un va et vient sur ma queue, me suçant divinement à deux doigt de jouir, je décide de lui rendre la pareille, je me libère et nous changeons de place je me retrouve entre ses jambes, en train de lui lécher sa chatte tandis que mes mains caresse ses hanches puis ses seins. Elle place ses deux mains sur ma tête, comme pour m’encourager à poursuivre, ce que je suis bien décidé à faire. Ma langue s’affère entre ses jambes, titillant son clito gonflé de désir, se délectant de son doux nectar, fouillant son intimité, la menant lentement mais sûrement au septième ciel, sa respiration de plus en plus haletante, ses gémissements essoufflés sont autant de signes avant-coureurs, puis soudain ses jambes se resserrent autour de ma tête et elle se cambre, les yeux clos, en poussant un cri sourd.
Mes lèvres humidifiées par son plaisir, je l’embrasse passionnément, ma bite palpitant contre sa chatte, je quitte sa bouche pour son cou, puis ses seins, mordille ses aréoles fièrement dressées, comme si je voulais retarder au maximum le moment fatidique où je m’engagerais en elle, puis nos regards se croisent, un sourire, un baiser et je me retrouve le gland contre ses lèvres, ses jambes enserre mon bassin, ses yeux sont rivé dans les miens, et son regard se voile à peine lorsque je m’enfonce en elle, lentement.
J’entame un va et vient, lentement, ses mains parcourant mon dos, puis j’accélère la cadence, donnant de grands coups de reins. Elle ne dissimule plus son plaisir, alternant gémissement et cris, puis, ses mains sur mes fesses, elle se cambre en accueillant mon sperme au plus profond d’elle.
Cette histoire n’est qu’une première partie, si vous appréciez, je poursuivrais.