Je m’appelle Laure, je suis une petite blonde de 20 ans, d’1m65 pour 55 kilos et je suis en couple avec Marc 22 ans mon fiancé. Nous nous rendons dans une boutique H&M au centre-ville pour y rencontrer Sophia (hé hé) que nous avons rencontrée sur un forum qui parlait d’exhibitionnisme. Au fil de la conversation, nous avons fini par nous envoyer des messages privés où je lui ai avoué que mon fantasme était de me faire lécher par une fille dans un lieu public. Du coup elle a accepté de le réaliser (avec le consentement de mon copain) et c’est pour ça qu’elle nous a donné un rendez-vous dans ce magasin ce matin-là.
On devait s’y retrouver vers 10h pour éviter qu’il y ait trop de monde, mais avec les vacances et le beau temps, il y avait tout de même du passage entre les rayons de fringues, les caisses et surtout les cabines d’essayage. Marc et elle s’envoyaient des messages depuis ce matin, ils se prévenaient mutuellement de l’avancée de ce plan cul. Depuis le début (il y a une semaine) Marc était partant mais pour moi, plus ça devenait concret et plus j’avais le trac. Je nai jamais rien fait avec une fille (elle aussi m’a dit avoir peu d’expérience) et je ne savais pas si ça allait me plaire.
On était à l’intérieur de la boutique et tout en la cherchant des yeux, je sentais mon cur qui battait la chamade. À un moment Marc me prend par la main pour me dire qu’elle était à l’étage, les marches qui nous y emmenaient n’ont jamais été aussi longues. Je balayais du regard la salle à l’étage et j’ai eu honte d’espérer qu’elle se dégonfle au dernier moment, pour que Marc et moi nous nous en allions de cet endroit pour aller faire autre chose. Et cette pensée m’a rendu triste, parce qu’au fond je me suis dit que je n’avais pas envie de faire ça avec une inconnue et dans cette boutique que j’aimais bien.
Quand soudain j’ai senti mon copain lâcher ma main et me pousser légèrement dans le dos en me disant: "Elle est là-bas, va la rejoindre." et là je me suis dit oh mon Dieu ça allait arriver. Je sentais mes pieds qui pesaient une tonne, mon dos dégoulinait de transpirations et mes oreilles sifflées pendant que je m’avançais vers cette fille brune aux cheveux légèrement bouclés jusqu’aux épaules et qui me tournait le dos. La fille faisait le même gabarit que moi et elle portait un tee-shirt sans manches avec un petit short de couloir noir, elle aussi portait comme moi des sandales. Je lui en voulais d’être plus bronzé que moi, parce que j’avais choisi ma tenue ce matin juste pour lui plaire et en même temps, je voulais être plus jolie qu’elle.
"Hey, salut je suis Laure."
"Hey comment tu vas ? Où est Marc ?"
Oh mon Dieu je viens de sentir son parfum. Putain cette garce sent bon, pendant que moi je dégouline de sueurs.
"Là-bas, il fait semblant de regarder des articles."
"OK je vois et bien moi je regardais ces petites culottes et je pensais t’en offrir une vue que tu n’en portes pas."
En me disant cela, elle soulève avec un doigt le devant de ma minijupe en jean pour vérifier que j’étais bien toute nue dessous (c’était le deal qu’elle avait passé avec Marc). Et là je me dis ça y est ça commence, cette inconnue que je viens de rencontrer est en train de mater ma petite chatte épilée. Le temps est comme suspendu, elle sourit en regardant mon intimité et moi je suis pétrifiée et morte de honte. Excitée mais incapable de bouger. Par contre je lui en ai voulu quand elle s’est retournée vers mon copain, en tirant ma minijupe plus haut comme pour confirmer que j’ai bien respecté leur accord. Marc nous a fait un sourire complice tandis que je tirais sur ma mini-vers le bas, pour cacher mes fesses des clients derrière nous. Je me suis penchée à son oreille en étant furieuse et je lui ai murmuré:
"Fais gaffe à ce que tu fais s’il te plaît. Le deal c’était que tu sois la seule avec Marc à savoir que je suis nue sous ma jupe."
Elle m’a écouté attentivement, puis elle s’est penchée à mon oreille à son tour pour me dire:
"OK viens avec moi, on va régler ça."
En m’emmenant par le bras avec elle vers l’une des cabines au fond du magasin. Je me suis dit à ce moment-là que je l’ai sûrement vexé mais tant pis, elle n’avait pas à montrer mon cul à tous les clients de chez H&M. Je me retourne vers Marc avant qu’on ne rentre toutes les deux dans la cabine, pour voir son visage impassible. Il m’a regardé comme si on ne se connaissait pas, tandis qu’il a dû lire sur mon air la peur que je ressentais avant de m’isoler avec l’autre folle.
Une fois à l’intérieur, elle m’a poussé légèrement contre le mur en face, tandis qu’elle refermait le rideau derrière nous. J’étais un peu rassurée parce que je me disais qu’elle n’oserait pas me faire grand-chose ici, vu qu’on pourrait se faire surprendre à tout moment. Nous avons posé nos sacs à main par terre dans un coin et nous nous sommes regardées un moment comme si nous allions nous battre. Ce n’était plus la gentille fille que j’ai croisée juste avant.
Je n’aimais pas celle que je voyais et je lui rendais bien son regard menaçant, quand d’un seul coup elle a posé sa main droite sur ma gorge, pour me plaquer contre le mur derrière moi. Son autre main m’a protégé l’arrière de la tête, mais mon dos à fait tout de même du bruit en heurtant la paroi. Je l’ai repoussée et je lui ai demandé ce qu’elle foutait, mais c’est là qu’elle m’a embrassée en lâchant ma gorge pour me serrer par la taille et se coller à moi.
Son baiser était très énergique et très technique. Elle me léchait les dents, l’intérieur de mes lèvres, mon palais et faisait bouger sa langue très vite sur la mienne, avant de le sucer avec ses lèvres. Je comprenais ce qu’elle faisait, elle me donnait un avant-goût de ce qui allait arriver à mon clitoris. Cette pensée m’a fait couler entre mes cuisses et comme si cette fille était télépathe, elle s’est mise à déplacer sa main qui était sur ma hanche vers mes fesses, puis elle l’a passée sous ma jupe pour caresser mon cul.
Je me sentais mouiller encore plus et elle m’a dit chut quand j’ai commencé à gémir, alors que je me foutais complètement qu’on soit dans ce foutu magasin. Je la sentais palper mes fesses, elle les prenait à pleine main avant de les malaxer. De mon côté j’avais saisi son visage à deux mains et je lui donnais des coups de langue sensuels sur ses lèvres, j’étais envoûtée par cette fille. Elle ne me repoussait pas, mais son visage était comme indifférent à ce qui était en train de se passer. Ses yeux étaient froids et fixaient les miens qui étaient à cet instant plein d’amour pour elle. Ça m’excitait, parce que je tentais de la mettre dans le même état que moi avec mes baisers.
Sa main gauche m’a tenue par la mâchoire, tandis que la droite avait quitté mon cul afin de plonger ses doigts dans ma bouche. J’ai vu ensuite ses doigts trempés de ma salive, se faufiler sous ma minijupe par-devant. Je la remercie encore aujourd’hui de m’avoir bâillonnée avec sa main gauche à ce moment-là, sinon tout le monde m’aurait entendu crier de plaisir. Mon minou a englouti trois de ses doigts directement, pendant que je sentais sa paume écrasait mon mont de Vénus. Putain ce que c’était bon !
La main qui me bâillonnait s’est posée sur ma gorge et elle a retiré son autre main de ma chatte pour les remettre dans ma bouche comme pour les laver, avant de me masturber à nouveau avec. Ensuite elle m’a embrassée et elle m’a murmuré qu’elle savait que j’étais une fille comme ça, qui aimait qu’on la prenne comme une pute. Elle m’a demandé si elle avait raison et j’ai hoché la tête par ce que je ne pouvais pas parler en me faisant étrangler. Mais elle voulait m’entendre le dire, alors elle a relâché un peu la pression sur ma gorge.
"Alors comment tu aimes te faire prendre ma salope ?"
"Comme une pute."
"À qui tu t’adresses ?"
"Et bien à toi, Sophia."
Sophia a ressorti sa main de ma chatte pour me mettre une petite gifle, avant de la remettre entre mes cuisses.
"Tu m’appelleras maîtresse quand je te baiserai compris ?"
"Oui maîtresse."
"Comment tu aimes te faire baiser déjà?"
"Comme une pute maîtresse Sophia. J’aime me faire baiser comme votre pute maîtresse."
J’ai dit cette dernière phrase avec la voix qui tremble et les yeux qui roulaient dans mes orbites. Je narrivais pas à croire que dire des cochonneries pareilles dans cette situation m’exciterait autant. En tout cas Sophia était ravie, vu le sourire qu’elle avait sur le visage et elle m’a demandé d’un air très joyeux:
" T’as envie de jouir ma salope ?"
"Oui maîtresse."
"Tu crois que tu le mérites ?"
"Je ne sais pas, mais je vais jouir dans pas longtemps avec ce que vous me faites maîtresse."
Et dès qu’elle a su que j’allais jouir, elle a lâché ma gorge et mon sexe d’un seul coup, et je me suis sentie comme abandonnée. Elle s’est mise à genoux, repoussant ma minijupe vers le haut et m’a léché la chatte en me maintenant les fesses à deux mains. Elle me regardait d’en bas, pendant que sa langue me lécher sans relâche et qu’elle suçait mon clito entre ses lèvres. J’ai dû bâillonner d’une main ma propre bouche, parce que cette sorcière voulait m’entendre crier pendant que j’avais mon orgasme.
Secouée par les spasmes du plaisir, je me tenais de l’autre main à son épaule pour éviter de tomber à la renverse. J’ai eu la trouille quand mon copain a tiré le rideau pour passer sa tête, en mettant son doigt à travers la bouche pour me faire signe de faire moins de bruits.
Sophia durant tout ce temps n’a pas arrêté de me lécher et de me sucer la chatte. Elle s’est relevée un moment pour m’embrasser, mais ça a été juste pour me faire asseoir sur le banc dans cette cabine d’essayage. Elle s’est remise à genoux entre mes cuisses et j’ai vu Marc qui retirait sa tête après m’avoir fait un clin d’il. J’avais l’impression de vivre un accident, je navais aucune idée du temps que nous avions passé ici, 10 minutes, 15, 30? Aucune idée.
J’étais uniquement concentrée sur la tête de Sophia, qui ressemblait à un animal en rut en continuant ce cunni. Elle foutait sa langue partout jusque dans mon cul, elle léchait la mouille tout autour de mon vagin, avant de venir sucer mes lèvres sexuelles comme pour les nettoyer et ça faisait un bruit dégoûtant.
J’ai senti mon visage devenir rouge à cause de la honte. De peur qu’on nous entende pour de bon, j’ai alors serré les cuisses pour l’empêcher de me faire ça. Mais comme Sophia a cru que je lui résistais, elle a maintenu mes jambes ouvertes à l’aide de ses deux mains. J’ai alors plaqué son visage contre mon sexe en espérant que ce bruit immonde s’arrête. Ça a marché mais me croyant excitée, elle a accéléré ses coups de langue et ses succions sur mon clito, ce qui allait me faire jouir à nouveau.
C’était très dur pour moi de me retenir comme ça, vu que mon copain m’avait éduqué à montrer mon plaisir quand j’avais un orgasme. Il aimait que nos voisins sachent à quel point je prenais mon pied avec lui. Alors je mordais ma lèvre inférieure et malgré la clim du magasin, cette tension en plus de mon excitation me faisaient transpirer à grosse goûte.
J’ai regardé dans le miroir en face de moi, pour essuyer de la bave qui me coulait sur le menton et c’est là que j’ai croisé le regard d’une fille blonde obscène avec les cheveux en pétard, les yeux rougis par les larmes, avec diverse sécrétion sur le visage et qui était assise jambes écartées. Tandis qu’une autre fille brune était à genoux, la tête dans sa minijupe et semblait lui manger l’entrecuisse.
Putain c’est moi ça ? Je me suis mise à penser et j’étais furieuse que Sophia m’ait transformé en cette dégénérée, j’allais ressembler à une pute accro à l’héroïne en sortant de là je me suis dit. Prise de colère, je serrais mes cuisses de toutes mes forces en maintenant bien sa tête au milieu comme pour la punir. Je me suis mise à rire quand j’ai senti qu’elle me tapait sur les cuisses parce que je l’étouffais. Et avec ce plaisir sadique, un orgasme venu d’ailleurs a consumé mes entrailles, descendant vers mon bas-ventre pour exploser sûrement dans la bouche et sur le visage de Sophia. J’avais tous mes muscles qui étaient bondés au maximum et je serrais les dents pour ne pas crier.
Puis le relâchement, mes jambes qui se desserraient petit à petit laissant filer une Sophia essoufflée, trempée du nez jusqu’au menton par ma mouille, le front trempé de sueurs et avec des cheveux dans un état pire que les miens. Sentir le plaisir post-orgasmique n’a pas calmé la colère que je ressentais envers cette garce qui se léchait les lèvres vulgairement en regardant ma chatte, que je ne cachais plus par manque de force dans mes jambes.
Elle se prenait pour qui pour traiter les gens comme ça ? Ma colère sur le moment a dû être irrationnelle, mais l’émotion était bel et bien là. J’aurai pu la tuer, là tout de suite et elle l’a comprise en me regardant dans les yeux. Elle s’est relevée pour m’embrasser et pour me calmer, mais je l’ai repoussée avec les dernières forces que j’avais dans les bras, tout en appelant mon copain pour qu’il m’aide à me relever et à me tirer de là.
En sortant de la cabine, j’ai croisé le regard mauvais de certaines vendeuses qui ont dû entendre ou au moins se douter de ce que nous venions de faire avec Sophia. Bizarrement je me sentais fier de cet exploit. Mais c’est en descendant les marches que j’ai été gênée, en croisant le regard des gens sur mon bas-ventre que la minijupe ne pouvait cacher. Comme je nai pas pris le temps de m’essuyer entre les cuisses, ils ont dû voir ma chatte baveuse encore enduite de la salive de Sophia.
Marc et Sophia sont sortis rapidement du magasin, après avoir dit au revoir aux deux employés qui étaient à la caisse avec des clients. Comme ils me fixaient tous, je me suis contentée de leur lancer un sourire, en les regardant bien dans les yeux dans l’état de dépravation dans lequel je devais être. Comme j’ai vu que les deux filles me suivaient du regard d’un air de se dire: « Mais qui c’est cette salope ? » J’en ai profité pour rouler du cul au moment où je quittais à mon tour H&M.
Dans la voiture l’ambiance était tendue. Sophia était assise devant siège passager et j’entendais Marc lui demander ce qui s’est passé dans cette cabine, vu que je ne lui ai pas répondu quand il me l’a demandé car je faisais la gueule. Elle lui a répondu d’une petite voix que peut-être elle aurait dû y aller plus doucement pour ma première fois, en me lançant des regards de chien battu. J’ai failli éclater de rire en la voyant faire et j’ai eu envie de lui claquer sa jolie petite gueule. À un feu rouge mon copain m’a demandé si on allait raccompagner Sophia directement à la gare, mais j’ai eu une autre idée quand j’ai vu qu’on était près d’un parc peu fréquenté à cette heure de la journée. J’ai alors dit à mon mec de se garer dans le coin.
"T’es sérieuse, tu veux qu’on fasse ça ici à presque 11h du matin ?"
"Ouais, j’ai déjà repéré un coin par ici en faisant mon jogging matinal, où on pourra le faire avec un minimum de discrétion."
"Putain je suis pas sûr, c’est un coup à se retrouver en GAV pour attentat à la pudeur."
"Fais pas la gueule mon chéri, je te laisserais me prendre par le cul pendant que je lécherais la chatte de cette petite vicieuse."
Je venais de motiver mon copain à qui je laissais rarement l’occasion de me sodomiser. En entendant la bonne nouvelle, cette salope de Sophia s’est tournée vers moi en me souriant comme une gamine. Elle avait glissé une main dans son short pour se préparer, parce qu’aujourd’hui j’ai décidé de baiser une fille dans un lieu public.