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Laurent & Sophie à la plage – Chapitre 1

Laurent & Sophie à la plage - Chapitre 1



Laurent et moi nous sommes mis en couple au mois de mai et avons décidé de partir en vacances avec les petites économies que nous avions faites dans nos petits boulots respectifs en dehors de nos heures de cours à la fac.

Nous avions retenu un modeste mobile home sur la côte vendéenne. Fort des deux mois et demi de vacances qui nous attendaient, nous avions réservé pour trois semaines et le soleil était au rendez-vous. Après avoir fait la route jusque Saint-Jean-de-Monts, nous prenions possession de notre logis et décidions, malgré l’heure avancée, de faire une petite promenade en direction de la plage, l’air était chaud et nous étions très légèrement habillés, Laurent avait un tee-shirt style champion d’haltérophilie et un bermuda de couleur vive, pour ma part une paire de tongs un minishort en éponge rose avec une impression de tête de licorne et un petit haut à emmanchures larges, qui m’arrivait au-dessus du nombril, me laissait profiter du soleil déclinant. Nous étions tous les deux malgré nos 18 ans passés, très effacés et la seule pensée que nous ayons à nous exprimer en public ou même avec des étrangers nous mettait le ventre au court-bouillon.

Je ne sais pas trop comment nous avions réussi à nous rencontrer ? Mais très rapidement nous nous serions les coudes l’un l’autre afin d’unir nos esprits pour lutter dans ce monde autoritaire et violent. Laurent était d’un physique qui le faisait facilement passer pour une petite chose légère et maniérée, je le nommais pour le taquiner « ma petite fifille », ses 1, 65 et 50 kilos lui donnaient une silhouette frêle et fragile, pour ma part assez curieusement je lui ressemblais un peu, très fine et à peu près de la même taille, sans forme vraiment visible, j’avais un look androgyne. Mes seins étaient encore en formation, comme ceux des adolescentes, pointus, peu rembourrés, avec toujours dans une espèce de raideur dans les tétons et une petite aréole rose.

Laurent se moquait d’eux en disant « tes petites saucisses ». Il n’était pas exempt de moquerie de ma part, car il avait un sexe en érection qui était peu long et très fin, ses deux petites boules très visibles, allaient bien avec sa silhouette sylphide.

Au cours de notre promenade nous croisions les gens qui rentraient d’une journée de bronzage sur la plage, nous repérions un endroit plutôt abrité ou deux couples se prélassaient au soleil, les deux femmes avaient la poitrine offerte au rayonnement chaud. Je disais à Laurent que c’est là que je voulais venir afin de me permettre d’avoir un bronzage qui couvre tout mon corps, exception faite bien sûr de l’endroit que couvrait mon mini-slip de bain.

Nous passions une soirée forte agréable dans notre nouveau logis en dégustant une pizza que nous avions achetée sur le chemin du retour, notre première nuit fut bien agréable. Laurent me faisait l’amour avec délicatesse et attention une bonne partie e la nuit, j’étais aux anges.

Le lendemain matin après notre petit-déjeuner, sans même prendre de douche, nous gagnions la plage à l’endroit que nous étions repérés la veille au soir, un couple étant déjà en place, nous poussions un petit peu plus loin, et trouvions une place encore mieux protégée.

C’était l’endroit rêvé pour un bronzage performant topless, isolé des autres vacanciers. Nous posions le peu d’affaires que nous avions et courrions vers la mer, à la fois pour notre premier bain et pour nous laver de notre nuit d’amour. L’eau était fraîche et je gagnais en raideur de poitrine (le froid aidant) ce que Laurent perdait en longueur de sexe, là encore la température de l’eau à cette heure ne lui rendait pas service et réduisait à la portion congrue sa petite bite.

Nous sommes remontés sur le sable rapidement pour nous sécher au soleil. Nous avons fait la crêpe une bonne partie de la matinée jusqu’au moment où deux hommes en slip de bain avec un brassard sur le biceps gauche, marqué sécurité ne viennent vers nous.

Il ne parlait pas et notre timidité naturelle nous faisait attendre qu’ils s’adressent à nous, visiblement il regardait ma poitrine et du côté de mon mini-slip de bain avec beaucoup d’intérêt. Je pensais, heureusement que j’étais convenablement rasée et qu’aucun poil ne risquait de dépasser de mon maillot. Il me vient des réflexions quelques fois, complètement en décalage avec la situation. Je recouvrais mes seins avec mes deux mains, ce qui ne manqua pas de les faire réagir.

— Vous ne devez pas vous couvrir, vous êtes sur une plage naturiste et nous devons vous demander d’ôter l’un et l’autre vos slips de bain, sinon nous serons forcés de vous raccompagner jusqu’au poste de surveillance !

Ne sachant trop que faire, Laurent me regardait en m’interrogeant du regard et je lui faisais comprendre que nous n’avions pas le choix. Les hommes étaient debout et leurs statures augmentées par la position que nous occupions, n’étaient pas pour nous rassurer.

Nous avions un peu peur de ce qui pourrait nous arriver, j’obtempérais en faisant glisser mon maillot avec mes deux mains et en soulevant mes fesses, je le posai à côté de moi en laissant les cuisses serrées l’une contre l’autre et encourageais Laurent à faire de même.

Il se mit debout et fit glisser son slip le long de ses jambes, malheureusement la situation, me voir entièrement nue devant les deux hommes qui continuaient à me mater sans vergogne, a dû l’exciter et un début d’érection commença à poindre entre ses jambes et son sexe modeste au vu de ce que je pouvais voir à travers les caleçons des deux hommes, se manifesta malgré lui ce qui entraîna de facto des rires et des moqueries des deux gardes de sécurité.

Laurent voulut se cacher le sexe mais un des deux hommes lui saisit la main, en lui rappelant qu’il était sur une plage nudiste et qu’il devait se comporter correctement vis-à-vis des autres occupants de la plage qui eux étaient nus. C’est-à-dire de ne pas se cacher les parties sexuelles, le message ainsi délivré ne fit que renforcer le fantasme de Laurent qui ne pouvant interrompre l’érection en marche et il se retrouvait avec la bite complètement raide, qui faisait un angle droit avec ses jambes.

Les hommes le regardaient avec insistance et je ne pouvais m’empêcher de sourire, rejointe par les agents de sécurité qui rigolaient avec moi pour détendre l’atmosphère je disais à Laurent « la situation doit t’exciter ta bite est tout droite » et je tendais la main pour désigner l’objet en question. Il était écarlate de honte et baissait la tête en regardant le sable

Mon geste eut pour conséquence d’être imité par les deux lascars, qui firent de même, mais ne s’arrêtèrent pas à montrer le sexe de Laurent, mais l’un d’eux s’enhardit à lui donner des petites tapes en rigolant, car le sexe de Laurent était comme monté sur des ressorts et à chaque fois rebondissait et reprenait sa place initiale bien à l’équerre.

Laurent était confus de honte, je continuais à rigoler avec les deux hommes un bon moment. L’un d’eux nous demanda nos cartes d’identité, toujours sur la défensive et ne voulant pas être en infraction avec la loi, je me penchai pour me saisir de mes papiers dans mon sac qui était à la tête de nos serviettes de plage étendues sur le sol.

Bien évidemment je leur tournais le dos et mes jambes restaient raides et légèrement écartées, ils se rincèrent l’il en reluquant mon entrejambe qui découvrait mon anus ainsi que ma fente, qui avait tendance à s’humidifier au vu de la situation. J’étais consciente de ma position et me disais que c’était le seul moyen de nous sortir de cette mauvaise situation.

L’un des deux mit sa main à plat sur mon dos en m’ordonnant de garder la pose, car j’étais en symbiose avec ce que l’on voyait sur les plages naturistes.

J’apercevais Laurent entre mes bras tendus et son érection continuait de plus belle, sa bite tressaillait à la vue de mon sexe offert, cela durera plus de cinq minutes, que je prenais pour une éternité. Les deux hommes parlaient entre eux et faisaient le détail de ce qu’ils voyaient dans des termes carrément pornographiques, ce qui eut l’effet de m’immobiliser complètement tellement j’avais peur et redoutais la suite.

Entre mes jambes on pouvait apercevoir mes petits seins tendus sous moi et le léger mouvement de la main de l’agent de sécurité sur mon dos, les animait comme s’ils étaient vivants.

Voyant que nous étions timides et que nous nous rebellions, nos deux tortionnaires, firent mettre Laurent dans la même position que moi en côte à côte. Tous les deux à quatre pattes, jambes bien écartées, ils profitèrent de cette position pour s’emparer de ma fente en y introduisant un et puis deux doigts, l’autre agent de sécurité avait attrapé la bite de Laurent en passant par derrière entre ses cuisses et commença à lui imprimer des va-et-vient pour le masturber, je crois qu’ils étaient très étonnés de notre passivité et que nous ne nous rebellions pas devant leur autorité et exigences. Ils en profitèrent et continuèrent ainsi jusqu’à ce que je gémisse sous le clapotis de mon humidité vaginale, lors de l’orgasme suite à la pénétration violente que je subissais je poussais un cri qui les réjouit, Laurent ne tarda pas également à lâcher son sperme, heureusement que nous étions côte à côte et que Laurent avait saisi ma main pour se rassurer. Je voyais le sexe des deux agents de sécurité dans leur slip de bain, en pleine érection, leur diamètre et leur longueur me terrifiaient.

Ils nous observaient en ayant pris un peu de recul et se parlaient à voix basse, j’avais conscience que notre sort se jouait à ce moment précis.

Ils nous firent la leçon en nous disant qu’il fallait que l’on soit nus à cet endroit précis le lendemain à partir de 10h. Afin que nous respections c’est engagement ils gardèrent nos pièces d’identité, je soufflai car je croyais qu’ils allaient nous violer sur place. Ils consentirent à ce que nous puissions nous allonger, tout en gardant les genoux remontés et les cuisses écartées, ils nous reluquèrent encore un moment avant de tourner les talons.

Après cet épisode, nous n’avions qu’une hâte c’était de rentrer dans notre résidence pour nous mettre à l’abri. Nous restions un grand moment sans parler tellement nous avions eu peur, Laurent pleurait contre mon épaule et moi-même je lâchais quelques larmes.

Nous décidions de faire comme ils nous l’avaient ordonné pour le lendemain matin, de peur d’avoir des représailles, car ils possédaient nos noms et adresse qui étaient présents sur nos cartes d’identité…….

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