CHAPITRE 8
Je pris mon petit déjeuner dans la cuisine, vers 10h. On était dimanche et mes grands-parents se préparaient pour aller à l’église. Moi, je ne les suivais pas, ça faisait bien longtemps que j’avais arrêté la religion. Il en était de même pour Aurore, qui était toujours dans sa chambre.
On a invité Monsieur le curé à déjeuner, Arnaud, fit ma grand-mère. Avec Aurore, pensez à mettre le rôti au four à onze heures pour qu’il soit prêt en rentrant. Pense à la réveiller.
D’accord.
Et ils partirent. C’est alors que j’eus un tilt : nous étions TOUS SEULS dans la maison ! Je finis vite mon petit déj’ avant d’aller me brosser les dents, et entrai dans la chambre d’Aurore ; elle dormait encore, habillée de son pyjama et la bouche traçant un petit sourire. Je commençai à lui faire des caresses et des baisers dans le cou, puis sur les bras. Elle se mit à doucement remuer.
Auroooooore lui chuchotai-je langoureusement à l’oreille.
Mmmmmhhh fit-elle pas encore tout à fait réveillée.
Aurore, mon Aurore
Elle finit par se tourner vers moi avec de petits yeux et un très beau sourire.
Bonjour, belle endormie.
Bonjour, cousin. J’aimerais dormir encore un peu, s’il te plaît
On est dimanche, les grands-parents sont partis à la messe. On est *tous seuls*.
À ces deux derniers mots, ma coquine de cousine ouvrit grand les yeux et ne semblait plus du tout fatiguée. Je la rejoignis sous ses draps en l’embrassant et la caressant : on allait pouvoir faire l’amour sans se retenir ! Nous nous retrouvâmes nus rapidement, nous caressâmes mutuellement les parties intimes, je lui donnai des baisers sur tout le corps, les côtes, le ventre, le nombril, le dos, les jambes, et bien naturellement ses seins et ses fesses.
Aurore s’allongea sur le ventre pour justement me les offrir, et je me mis à les masser et les baiser avec tendresse et amour, avant de faire glisser mes doigts vers son clitoris. Pendant ces caresses, j’en profitai pour essayer, avec un autre doigt, de tripoter son anus.
Non.
Je ne discutai pas davantage face à la fermeté dont elle avait fait preuve dans ce mot et retournai à son vagin qui s’humidifiait à la fois naturellement et avec nos salives. Je passai en coup de vent dans ma chambre pour attraper un préservatif et retournai illico dans le lit d’Aurore. J’enfilai ma protection, ma cousine me fit une petite fellation pour bien me lubrifier, et on commença notre rapport en missionnaire.
Aaaah ! Rien de mieux que du sexe aaahhhh le matin pour bien commencer la journée ! fit-elle.
J’étais bien d’accord ! Nous pouvions nous laisser aller dans nos râles de plaisir et on ne se priva pas le moins du monde. C’est lors de cette union que je nous sentis libres, deux personnes qui se satisfaisaient sexuellement en faisant fi du lien de parenté. Au contraire, cette "consanguinité" m’excitait.
Aurore, lui fis-je tout en allant-et-venant, ça me donne des frissons de me dire que je fais l’amour avec ma cousine.
J’y ai jamais pensé, mais Aaaaah je t’avoue que Mmmmh ! j’aime bien aussi !
Cousinette, lui fis-je en me retirant, chevauche-moi !
Sans se faire prier, elle se mit à cheval sur ma verge, face à moi, et commença à taper nos peaux. Personne ne risquait de nous entendre cette fois alors nous les laissions claquer fort. Rapidement, Aurore commença à vagir, de plus en plus fort au fil de ses mouvements. Elle faisait l’amour à son rythme et prenait rapidement son pied, l’expression de son plaisir devenait de plus en plus aiguë et profonde. Allait-elle jouir ? Je l’espérais. On continuait l’Andromaque avec passion, mon sexe toujours plus excité en elle qui continuait de "s’empaler" dessus alors que je la caressais ou la tenais. Qu’elle était splendide !
Nous changeâmes de position pour une Fleur éclatée : Aurore s’allongea sur le dos, jambes pliées et genoux vers la tête, le chemin vers son vagin était parfaitement ouvert et je pus m’y engouffrer entièrement tout en la regardant dans les yeux. Cette pénétration intégrale, je la fis en prenant tout le temps du monde : chaque centimètre était un sujet de plaisir et de frissons, et j’avais l’impression de m’enfoncer dans quelque chose d’infini. Peut-être même qu’Aurore s’imaginait être pénétrée par une chose infinie elle aussi ? Une fois en elle tout entier, je ne bougeai plus et fermai les yeux, un sourire sculptant mes lèvres ; cette douceur, cette chaleur, j’aurais été capable de vendre mon âme au diable pour la connaître ! Peut-être était-ce déjà le cas, après tout j’étais en train de coucher avec une personne de ma famille, de mon sang. Bah ! C’est ma cousine, c’est pas non plus comme si je baisais ma sur ! De toute façon j’ai pas de sur, donc c’est réglé.
Une petite levrette après cela ne fut de refus pour personne, Aurore se mit à quatre pattes sur le lit et moi à genoux derrière, tenant mon sexe enrobé de son préservatif et le guidant vers cet orifice dilaté de bonheur, de plaisir et de chaleur. Sur ce coup, je ne lésinai pas en énergie et n’hésitais pas à taper contre ses fesses. Cette liberté que nous avions pendant un moment restreint nous fit nous déchaîner dans les râles, les cris et tous les bruits du sexe, mais en aucun cas nous ne devenions des bêtes, des acteurs porno ou ne faisions preuve de simulation juste "histoire de faire parce qu’on peut". C’était un peu comme si tout ce que nous n’avions pu exprimer les fois précédentes ressortait aujourd’hui, et qu’est-ce que ça faisait du bien !
Aurore décida de prendre le contrôle des opérations en bougeant elle-même sur mon sexe ; peu de temps après, voulant essayer quelque chose, je me mis à bouger en même temps qu’elle : lorsqu’elle s’écartait je me retirai presqu’entièrement, et lorsqu’elle venait taper je poussai dans mon bassin ; cette technique nous procurait un nouveau plaisir qui montait direct aux poumons et à la tête à tel point qu’Aurore, surprise par cette montée subite, poussa un cri de joie !
AAHH ! Oh putain ! Je m’y attendais pas ! s’exclama-t-elle.
Tu as joui, cousinette ? demandai-je avec un peu d’espoir.
Non, mais ça m’a fait bizarre !
Savoir que je ne lui ai pas donné d’orgasme me déçut un peu, pour être honnête, mais je n’en perdais pas moins de plaisir ni d’érection. Nous continuions le sexe pendant un temps indéterminé lorsque je fus surpris par l’éjaculation. Mon préservatif retiré, on se fit un câlin et des caresses tous nus, contents de notre rapport. Nous continuâmes ensuite quelques jeux coquins, sans forcément refaire l’amour, et ça nous amusait comme des fous, Aurore riait aux éclats tout comme moi. Ce fut pendant un instant de silence que j’entendis le gravier grincer dehors.
Les grands-parents !! fis-je paniqué. Vite ! Habille-toi en vitesse, ils viennent avec le curé en plus !
J’enfilai à vitesse grand V un boxer, mon short et un T-Shirt et aidai Aurore à agrafer son soutien-gorge, puis elle finit de s’habiller seule. J’entendais ma grand-mère nous appeler.
Les enfants !
Oui, on arrive ! fis-je, puis à Aurore : Vraiment 100% normaux, on est cousin et cousine, ok ?
Oui oui, j’imagine la tête du prêtre s’il apprenait qu’on couche ensemble. "Avant le mariage" et dans la famille ! plaisanta-t-elle.
On descendit, dîmes bonjour au Père, mais ma grand-mère n’était pas très contente.
Arnaud ! Aurore ! J’avais demandé à ce que vous mettiez le rôti dans le four à onze heures pour qu’il soit prêt à notre arrivée, et le four n’est même pas allumé ! En plus vous n’avez pas pris la peine de ranger votre petit déjeuner, mais qu’est-ce que c’est que ça, hein ? Qu’est-ce que vous faisiez pour oublier ça ??
"L’amour", pensai-je.
Voilà, donc on est obligés de mettre le four en route, on va manger tard et on fait attendre Monsieur le curé ! Venez, mon Père. Nous allons prendre un apéritif, Aurore et Arnaud vont nous le servir.
Ils sortirent, Aurore et moi n’étions pas vraiment fiers, pourtant derrière nos sourires gênés, en se regardant, on ne put s’empêcher de rire.
La journée fut sans trop d’encombres, nous ne faisions pas trop les malins et cherchions à rendre service. À un moment, Aurore profita d’un angle mort de nos grands-parents pour me toucher fermement les fesses, ce que je lui rendis bien volontiers quelques heures après.
Juste après avoir pris un goûter, je proposai à ma cousine de regarder un film sur mon ordinateur. Nous montâmes donc dans ma chambre, mais alors que j’allumai mon ordi Aurore trouva plus approprié de m’allumer moi en ouvrant mon pantalon et en me prodiguant une fellation.
Je me rendis compte que depuis notre premier rapport ensemble, Aurore s’était "décoincée" du sexe avec moi et était toujours partante pour une partie de jambes en l’air : pas de cas de conscience, pas de pensée d’inceste, que le plaisir partagé avec un garçon qui lui plaisait, selon ses propres mots.
Je sentais mon pénis grandir, grossir et durcir dans sa bouche, c’était incroyablement excitant ; ma cousine était très douée dans ce domaine, elle savait quoi faire, quand et comment pour me rendre dingue.
Cousinette, tu tu suces incroyablement bien.
Merci !
Ce n’est pas ta première je suppose ?
Non, tous mes copains ont eu droit à la pipe, sauf le dernier.
Elle continua sa caresse avec beaucoup de grâce, sans la moindre vulgarité. Je la tenais par les cheveux, ça me faisait beaucoup de bien et elle le sentait. Parfois elle me masturbait un peu entre deux coups de langue, puis le coup de feu arriva, j’éjaculai abondamment dans sa bouche, après peut-être une dizaine de minutes d’excitation. Aurore déglutit sans le moindre problème.
Ton sperme est pas mauvais, un peu acide peut-être, mais j’ai eu pire !
Elle me rangea le sexe dans mon pantalon avant de le refermer, et finalement on regarda un film, tout de même un peu têtes en l’air.
Avant le dîner, un orage éclata pas très loin de la maison. Aurore et moi montâmes rapidement après le repas, pour une nouvelle partie de jambes en l’air évidemment, dans mon lit cette fois.
Plutôt que de me jeter sur elle tel un mec en manque (ce qui, en somme toute, était tout de même un peu vrai), je la déshabillai sans précipitation ; ma petite cousine était posée sur le ventre, en sous-vêtements, je lui retirai son string et débutai un massage de ses jambes et de ses fesses, le temps de bien faire monter la sève en chacun de nous.
Ces deux rondeurs moulées étaient d’une blancheur et d’une douceur infinies ; la tentation de poser mes lèvres dessus eut raison de moi : ma bouche alla baiser ce joli derrière avec sensualité et je dus me retenir pour ne pas le "dévorer". J’étais obnubilé par ces fesses parfaites, exactement à mon goût, les mots me manquaient à chaque fois pour exprimer exactement ce que je ressentais face à elles.
Aurore, tu as un cul Je je peux pas trouver dire Il est magnifique, sublime, il est
Merci Arnaud, je comprends ce que tu veux dire. Merci beaucoup pour ce compliment.
Le massage passa un peu plus en haut sur ses reins, son dos, puis je dus dégrafer son soutien-gorge pour pouvoir faire glisser mes mains partout, jusqu’en haut de ses épaules. Ma cousine n’hésitait pas à exprimer son plaisir et le bien que ce massage, quoique fort peu professionnel, lui procurait. Mes paumes appuyaient sur sa peau chaude et en début de bronzage, au vu des marques de son maillot.
Je lui demandai sans mot de se mettre face à moi, et dans le mouvement elle en profita pour délaisser son soutien-gorge, se retrouvant complètement nue face à moi. Ses seins, son sexe et ses fesses étaient restés plus blancs par rapport à sa peau, grâce à son habit de piscine, mais cela n’entachait en rien le charme qu’elle dégageait ni la beauté de son corps de jeune femme. Je partais de ses genoux, ne manquant pas de poser mes yeux sur cette fente qui m’était à la fois connue et mystérieuse, et remontai le long de ses cuisses puis de ses aines, avant de caresser son bouton de rose. J’étirai doucement ses lèvres sur les côtés pour regarder son orifice encore rétracté, mais qui semblait n’attendre qu’à être excité.
Oh non, continue de me masser s’il te plaît Arnaud Tu t’occuperas de mon sexe plus tard.
Ne voulant que faire plaisir à ma cousine, son plaisir apportant le mien, j’enlevai mes doigts de sa féminité pour reprendre les caresses sur son pubis, ses hanches, puis son ventre et sa taille, ses seins et son buste, sa gorge et ses épaules. Elle aussi me caressait les bras lorsqu’elle le pouvait, son sourire à bouche et paupières closes illustrait son contentement ; quant à moi, trop pris par le désir, je pétrissais de nouveau sa poitrine avec délectation. Dehors, l’orage continuait de tonner mais ça ne nous dérangeait en rien et ne m’empêchait pas d’entendre les soupirs de plaisir qu’émettait ma petite Aurore.
Après quelques instants de baisers et de massages, je la vis commencer à se passer les mains sur le clitoris ; j’en déduisis donc que le moment était propice pour, à mon tour, aller l’attiser. Ma main alla d’abord toucher la sienne et la caresser, avant d’aller dans le mouvement s’occuper de son bijou ; à mon passage, la jeune fille ne me repoussa pas, bien au contraire ! Elle appréciait, j’en étais sûr de par le fait qu’elle m’ait pris la main tendrement.
À force de caresses, le jardin secret de ma cousine s’ouvrit et j’y introduisis un doigt, doucement, sensuellement : il y faisait chaud et Aurore commençait à s’humidifier de plus en plus. Tout en glissant un deuxième doigt dans son vagin, je glissais ma langue dans sa bouche car un baiser s’imposait dans ce noir et ce silence déchirés par l’orage au-dehors. Aurore, quant à elle, du bout de ses doigts caressait mon pénis en totale érection, sortant et couvrant à intervalles lentement réguliers mon gland de mon prépuce.
T’as toujours des capotes ?
Oui oui, la rassurai-je. J’ai été prévoyant.
Nous atteignîmes en effet l’instant ultime : il était l’heure "d’y aller". Je trouvai une petite pochette dont je retirai le préservatif pour le dérouler tout le long de ma verge. Aurore saliva un petit peu dessus avant de l’étaler tout le long en me caressant de toute sa main, puis elle se mit à quatre pattes, dos à moi, je pouvais rester debout et approchai mon pénis de son vagin. Avant d’y plonger, je mouillai à mon tour par de la salive son entrée, la caressai avec mon gland Le fait que je tourne autour du pot la rendait folle, ça nous amusait. Et finalement, je m’unis à Aurore.
La pénétration lui fit de l’effet : je caressais son dos en cet instant et perçus sous mes doigts le hérissement subit de sa peau accompagné d’un "Ah !" aigu et bref. Nous ne bougions plus. Mon pubis était appuyé contre ses fesses. Mon pénis était au maximum qu’il pouvait en elle. Nous restions un instant ainsi, à prendre le temps de sentir le corps de l’autre, puis d’abord petits, les mouvements sexuels vinrent d’instinct.
L’amour se fit dans le noir, déchiré par la lumière des éclairs. Ma cousine profitait du tonnerre proche pour lâcher un petit cri de plaisir, alors qu’elle se retenait en général. Je gardai ma cadence délicate sans chercher à aller plus vite, pour l’instant Aurore était aux anges et je ne voulais pas lui gâcher son plaisir simplement pour "tirer mon coup" et éjaculer rapidement, non, mon but était et est toujours de coucher AVEC elle.
À un moment, pour être un peu plus au courant des attentes sexuelles de ma cousine, je la laissai faire, toujours à genoux et en elle. Aurore claqua donc un peu ses fesses contre moi à un rythme plus rapide ; j’en déduisis qu’elle voulait plus d’énergie, plus de fougue.
Aurore, si j’y vais plus fort, vu comment tu miaules maintenant tu risques de ne pas réussir à te retenir, je veux pas qu’on nous découvre l’un dans l’autre.
Je je comprends, Arnaud, mais c’est tellement bon le sexe ! Et tu le fais tellement bien ce soir !
On a fait assez de levrette je pense, faisons autre chose.
Nous passâmes donc en Andromaque, mais cousinette allongée sur moi. En vérité, j’avais arrêté les quatre pattes car comme c’était la position préférée d’Aurore, c’était celle qui lui faisait le plus d’effet. Pendant qu’elle bougeait, je lui caressai les seins et percevais sous mes paumes le durcissement de ses mamelons sous l’effet du plaisir, le frisson de l’amour, le signe du sexe réussi. Aurore continuait de se retenir avec difficulté, je tentais de l’embrasser mais ça ne l’empêchait pas de soupirer bruyamment en ouvrant grand la bouche, elle avait mis ses mains dans mes cheveux et les tirait malgré elle en fermant ses poings alors qu’elle continuait à aller et venir sur mon sexe qui commençait lui aussi à avoir du mal à se retenir ! Qui d’elle ou de moi allait craquer le premier ? Allions-nous jouir à l’unisson ? Cette pensée m’était idéale, ça ne m’était jamais arrivé avant mais c’était à mon sens ce qu’il y avait de plus beau.
Mon lit grinçait plus que le sien, nous étions plus restreints dans les positions et la force de nos mouvements. Malgré toutes ces "précautions" contre le bruit tels que les ralentissements, même si comme toujours je voulais faire durer le moment le plus longtemps possible, je ne pus retenir une nouvelle explosion. C’était fabuleux, mais dans ma tête je restais frustré et déçu : j’avais joui avant elle alors qu’on y était presque ! Vraiment très près !
Trois éjaculations dans la même journée ! fit Aurore.
Ah, cousine je pourrais te faire l’amour des dizaines de fois chaque jour !
Tu crois pas que t’en fais un peu trop ? plaisanta-t-elle, puis elle redemanda après un petit instant : Dis Arnaud, comment tu fais pour bander comme ça ?
C’est-à-dire ?
Bah quand t’as une érection elle est souvent très dure, je te fais autant d’effet que ça ?
Ah oui, compris-je. Oui, tu me fais beaucoup d’effet, mais aussi je fais de la musculation sexuelle pour pouvoir gérer mon érection, comme ça je peux retenir un peu l’éjaculation. Et puis j’aime beaucoup manger aphrodisiaque aussi.
De la musculation sexuelle ? Ça existe, ça ?
Oui ! Il s’agit de muscler son périnée, et ça marche aussi pour les filles. Dans un cas comme dans l’autre, ça permet d’augmenter les sensations aux deux amants pendant le va-et-vient.
Ah ouais ? Ça, ça m’intéresse !
Je me ferai un plaisir de te l’apprendre. Mais plus tard, on aura besoin d’Internet pour ça.
Ok !
J’ai une si belle érection que ça ? demandai-je amusé.
Tu es l’amant qui a eu la plus belle érection naturelle que je connaisse ! J’en avais un autre qui bandait dur mais il prenait des trucs genre Viagra.
Merci cousine, ça me flatte beaucoup. Mais on peut pas dire que moi ça soit "naturel" non plus, fis-je.
Au moins toi tu te dopes pas, tu fais travailler ton corps. Et puis pour les compliments, tu sais bien que je suis comme toi : j’en fais toujours quand c’est sincère, ajouta-t-elle avec un clin d’il. Allez, bisous. Je dois retourner dans mon lit.
Et elle quitta ma chambre après un délicieux baiser, alors que dehors l’orage était toujours aussi violent.
