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laveur de vitres à domicile – Chapitre 3

laveur de vitres à domicile - Chapitre 3



Laveur de vitres à domicile, chez Louise,

Ce matin, je suis particulièrement détendu, et inquiet à la fois, je sais très bien que les trois dames se connaissent et que ma petite sauterie d’hier risque d’être répétée, mais bon ce n’est pas grave, j’ai pris un plaisir intense, et en plus Marie est une femme élégante.

Bref, toujours, est-il qu’il faut que je rattrape financièrement le temps perdu de la veille, donc je vais faire une ou deux grosses journées de suite afin de compenser ce manque, même si je ne suis pas du tout aux abois, mais il est toujours appréciable d’être à jour au niveau des clients, car le retard n’est pas perçu comme une chose de sérieux.

Après deux jours de travail intensif, je m’accorde une demi-journée, pour aller chercher des produits de nettoyage et des caoutchoucs pour la raclette à vitre. Puis, je reçois un coup de téléphone, il s’agit de Louise, et oui forcément après avoir fait les vitres de ses deux copines, elle aussi a besoin de voir clair à travers ses vitres.

Je lui donne donc rendez-vous, dans deux jours, elle habite en banlieue dans une petite maison. Je regarde avec précision sur un plan afin de ne pas me tromper. J’accepte évidemment de prendre le chantier, toujours avec les mêmes tarifs.

Les jours avancent, et je dois aller faire les vitres de Louise. Je prépare mon matériel, et je vais dans une commune en banlieue. La maison est de plein pied, et le nombre de vitres est correct. Comme avec les deux autres femmes, je me vois offrir un café, puis j’apprends que la dame est veuve. Son mari était militaire, et il est mort lors d’une mission humanitaire en Afrique. Depuis, elle est restée seule sans forcément chercher un cur à prendre. Elle est un peu plus négligée que ses comparses, elle porte une robe d’un autre âge, le genre de tenue que portent les personnes âgées.

Bref, je me prépare donc à nettoyer les vitres, je commence à l’extérieur, pour finir par l’intérieur. De son côté, elle est affalée sur le canapé, avec une bière et une cigarette à la main. Une fois le chantier terminé, je viens tout de même la voir, et prends le temps de discuter avant de recevoir mon pécule. J’essaye de la complimenter, de lui dire que la vie n’est pas terminée à quarante ans, et qu’elle peut de nouveau plaire et séduire. Un peu râleuse, elle finit par me faire un sourire, et me remercie. J’ai comme l’impression d’avoir brisé un petit morceau de carapace.

Elle finit par m’expliquer qu’elle n’a jamais pu faire d’emménagement au sein de sa maison, et qu’elle aurait bien besoin de refaire les peintures, les tapisseries et de changer aussi quelques meubles qui sont d’un autre âge. Étant de bon cur, je lui propose de lui donner un coup de main pendant quelques week-ends afin de lui redonner goût à la vie, mais aussi de redonner un aspect plus joyeux à sa maison. Son regard est un peu plus lumineux, elle se rapproche de moi et me fait un bisou sur la joue.

Je me dis qu’aujourd’hui, j’aurais rendu quelqu’un d’heureux, et c’est toujours positif d’apporter un peu de bonheur. Je range mon matériel, je prends mon carnet de facture et je rentre dans la maison. Louise se rapproche de moi, je lui indique que le prix sera de trente euros, elle part dans son entrée à la recherche de son porte-feuille, me donne les trente euros, puis ne me lâche plus la main, qu’elle pose sur sa poitrine. Je lui indique que je suis gêné, et que ce n’est peut-être pas le moment, mais je dois avouer que ses seins sont d’une grosseur incroyable, j’ai même du mal à le tenir en main. Je commence à sentir une petite bosse pousser dans mon pantalon, je me dis que je ne peux pas abuser, que je n’ai pas le droit de faire ça.

Mais la chaleur corporelle, le besoin de rendre une âme heureuse me pousse à l’embrasser tendrement dans le cou, elle sursaute, je la prends par la taille, puis je lui dépose un tendre baiser sur la bouche. Ses lèvres s’ouvrent, et nous faisons un échange tellement long, que l’on en arrive même à s’étouffer par manque d’oxygène. Nous nous échangeons un sourire, puis je continue de découvrir ce corps transformé par des années de désespoir. Je descends la fermeture éclair de sa robe, et je vois un soutien-gorge d’un autre âge ainsi qu’une culotte en laine. Après un instant d’hésitation, je continue de toucher ce corps, cette poitrine est exceptionnelle, elle ne demande qu’à prendre l’air.

Je dégrafe le tissu qui m’empêche de la voir, et elle tombe aussitôt, je ne suis pas choqué mais surpris, c’est la première fois que je vois ça. Je les prends en main, j’y passe ma langue, et les tétons pointent fièrement de désir. Mais je ne suis pas au bout de mes surprises, en descendant plus bas, et en enlevant le dernier élément couvrant le puits d’amour, je tombe face à une toison abondante et non entretenue. Je glisse mes doigts, à la recherche de sa vulve que je ne tarde pas à trouver. Effectivement, elle est déjà humide. Je déboutonne mon pantalon, je sors mon membre qui est dur comme de la pierre, puis je la mets à plat ventre sur la table de la cuisine. À ce moment-là, je décide de lui écarter les fesses et de lui titiller son petit trou avec le bout de ma langue.

Ses petits cris m’excitent encore plus, je me relève et je tends fièrement mon membre en direction de cette vulve baveuse et je ne me fais pas prier pour pilonner cette femme en manque de sexe. Les vas et vient sont de plus en plus intense, puis nous poursuivons nos galipettes sur le canapé.

Elle se met à califourchon sur mon membre, et à chaque fois qu’elle monte et descend, je prends ses seins entre mes mains ou dans ma bouche pour accentuer son excitation, ce qui ne manque pas d’électriser ma partenaire du jour qui pousse un cri énorme de jouissance, n’a plus de force pour faire d’efforts physiques, elle s’assoit alors sur le canapé, et je me masturbe frénétiquement entre ses seins jusqu’à ce que j’explose totalement sur sa poitrine et sur son visage.

Après quelques minutes, nos esprits reviennent à la surface, puis nous conversons sur ce qui vient de se passer, elle éprouve le plus grand plaisir d’avoir fait l’amour, et je dois dire que j’ai pris énormément de plaisir avec Louise. Pour finir, elle me dit que cette matinée lui a redonné confiance.

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