L’éducation de Marie: – Chapitre 4 :
Après que Marie et moi ayons fait l’amour de façon magistrale, nous convenons de passer prendre des affaires chez elle, afin qu’elle puisse passer la nuit chez moi.
Comme il ne reste que quelques heures avant que les magasins ne ferment, je lui propose que nous allions choisir de la lingerie qui puisse la mettre plus en valeur.
Dans la boutique, elle trouve curieuse mon attirance pour les dessous féminins et encore plus quand je lui préconise de prendre un porte-jarretelles. Je sens bien que ma proposition ne lui sied pas, mais elle accepte de prendre la parure complète que nous propose la vendeuse.
Sensible à son embarras, je lui suggère de compléter notre achat avec quelques collants fantaisie ainsi que des bas auto-fixants tout mignons. Je pense qu’elle arrivera plus facilement à porter ça, qu’avoir à ajuster des jarretelles. D’autre part, c’est probablement plus discret sous une robe moulante.
J’insiste pour qu’elle prenne également d’autres culottes. Elle se laisse convaincre pour le string et complète son choix avec des shortys , tangas et culottes italiennes qui sont à la fois discrètes et prometteuses.
Pour les soutiens-gorge, je dois batailler dur pour qu’elle ajoute à ses choix, un modèle pigeonnant.
Elle me dit en sortant du magasin :
— Je ne suis pas sûre d’être à l’aise en portant de telles choses
— Prends le temps de t’y habituer. Tu te sentiras toute autre quand ta gêne se dissipera.
— Tu me sembles être sûr de toi en disant cela !
— Je pourrais te dire que c’est par expérience, mais je pense plutôt qu’une femme, qui est bien dans sa peau, aime se parer de ses plus beaux atours pour affirmer sa féminité. Essaie, et tu verras ! Bon pour le moment, nous allons aller sur le trottoir d’en face, pour t’acheter quelques souliers.
— Tu tiens vraiment à dépenser ton argent.
— Aucune importance, c’est pour que tu sois encore plus belle !
— Tu n’es vraiment pas comme les autres, toi !
Je ne sais pas si c’est un compliment qu’elle m’adresse ou si elle me trouve trop prévenant, voire si je ne cherche pas à la corrompre en faisant tout ça pour elle.
Personnellement, j’éprouve une satisfaction certaine à la combler. Plus que pour la séduire avec mon argent, je tiens vraiment à faire éclore le potentiel que je vois en elle.
C’est la première fois que ça m’arrive d’en faire autant pour une fille, mais j’ai envie d’être aux petits soins pour Marie et qu’elle puisse s’épanouir comme elle le mérite. Outre que ce rôle de guide initiatique m’intéresse, je crois également que je peux découvrir des choses nouvelles en sa compagnie
Dans ce magasin de chaussures, il y a vraiment du choix ! J’aimerais qu’elle prenne des cuissardes ou des bottes hautes mais elle s’y refuse. Je comprends que c’est surtout la hauteur des talons qui la gêne. Elle m’explique qu’elle se trouve trop grande depuis toujours et qu’elle n’est pas habituée à porter des talons, mais plutôt des souliers plats, comme des ballerines par exemple
Je la convaincs de prendre des escarpins, pas trop hauts, qui lui demanderont quand même un peu de pratique pour marcher aisément.
Nous poursuivons nos achats dans une autre boutique où, entre autres, j’arrive à lui faire acheter robes et jupes courtes afin de mettre en valeur ses belles jambes.
De retour à la maison, les yeux de Marie brillent en faisant l’inventaire de tout ce que nous avons acheté.
Elle me dit :
— Tu es vraiment gentil de m’offrir tout ça, ça me gêne
— Je veux que tu sois belle !
— Si c’est ce que tu souhaites, alors j’accepte. Mais je ne suis pas sûre de pouvoir sortir dans la rue avec certaines choses qu’il y a là.
— Bien sûr tu peux éviter de sortir en nuisette transparente, mais pour le reste, je ne vois aucune raison.
— Tu veux que je fasse des essais maintenant ?
— Mais bien entendu ! Je n’attends que cela ! Tu peux aller dans ma chambre pour te changer si tu préfères
Je l’aide à transporter les multiples sacs dans ma chambre et retourne au salon pour l’attendre. Comme la soirée est douce, j’en profite pour faire un tour sur le balcon et prendre l’air.
Marie m’y rejoint quelques minutes plus tard. Je ne l’entends pas arriver derrière moi mais quand elle m’enlace, je ne prends pas le temps de détailler sa tenue pour l’embrasser à pleine bouche.
Nous retournons au salon et Marie me demande :
— Alors ? Ça te plaît ?
— C’est pas mal pour aller au bureau, je remarque que tu as choisi ce qu’il y avait de plus classique.
— Tu veux que j’essaie autre chose ?
— Oui, évidemment ! Et, si possible, quelque chose de plus coquin
— C’est toi le coquin !
Si Marie s’est un peu pincée au départ, elle repart toute souriante. Je ne sais pas si c’est sa remarque qui la fait sourire ou le plaisir de faire des essayages.
Pendant qu’elle se change, je remets un peu d’ordre dans la maison, ferme les persiennes puis passe un coup de fil.
Quand elle revient, je suis bluffé !
— Alors ? Et maintenant ?
— Tu es parfaite ! Je suppose que tes sous-vêtements sont assortis ?
— Tu veux voir ?
— Non pas maintenant, je viens de réserver une table au restaurant, c’est à deux pas d’ici. Je pense que tu vas aimer.
— D’accord, je vais me changer et je te suis.
— Inutile d’aller te changer tu es déjà prête.
— Je ne sais pas si je vais oser sortir comme ça.
— Ne t’inquiètes pas, tu es magnifique !
Marie est confuse, mais se résigne à m’écouter.
Sur les quelques centaines de mètres qui nous séparent de l’établissement, Marie tire nerveusement sur sa courte jupe pour tenter de la rallonger, sans succès.
Elle serre sa veste de l’autre main pour cacher sa poitrine. Si son chemisier est un peu opaque, j’ai remarqué quand même qu’elle a choisi le soutien gorge pigeonnant et qu’elle doit avoir l’impression de se balader dans la rue avec les seins nus.
Comme il se doit, j’entre le premier dans le restaurant et le maître d’hôtel m’accueille chaleureusement. Je ne suis pas un habitué, mais il m’arrive d’y emmener parfois une conquête.
Le type m’a reconnu, bien sûr, mais son métier exige de la discrétion.
Il cherche à saluer la jolie fille qui se cache derrière moi et Marie se sent affreusement gênée quand on lui demande de déposer sa veste au vestiaire.
Désormais, il va lui être difficile de masquer sa poitrine
Pour la rassurer, je lui prends la main et nous suivons le maître d’hôtel en traversant la salle.
La main de Marie se crispe dans la mienne. Il est sûr qu’elle perçoit les regards pénétrants des autres clients. Surtout les hommes auprès desquels elle fait sensation !
Elle se rassure quand elle constate que notre table est à l’écart, dans une sorte d’alcôve surélevée. D’où elle est, elle peut voir la salle, mais pas moi, qui suis en face d’elle.
On nous apporte des mises en bouche avec notre coupe de champagne.
Nous trinquons et Marie finit par se détendre. Elle me demande des précisions quant au menu et je m’applique au mieux à lui répondre. Avec l’assistance du sommelier, je choisis un bon vin pour accompagner notre repas.
Alors que nous nous délectons l’un comme l’autre, je remarque que son regard fuit sur le coté très fréquemment.
— Que se passe-t-il ? Que regardes-tu comme ça ? Tu sembles inquiète
— Il y a un type qui n’arrête pas de me regarder. Il m’observe à la dérobée de sa femme.
— Cesse de t’inquiéter Il ne peut rien t’arriver ici. En plus, tu offres à cet homme une occasion de fantasmer sur une jolie femme. Ce soir, son épouse va en bénéficier et certainement être comblée
— Je ne te comprends pas, tu n’es pas jaloux que des hommes me regardent ?
— Je ne suis aucunement jaloux, au contraire, j’en serais plutôt fier !
— Tu es bizarre comme mec !
— Je te demande juste de ne pas prêter attention aux autres, laisse ce type caresser tes jambes du regard et amuse-toi plutôt de l’effet produit par ton charme.
Le vin aidant, Marie s’enjoue de plus en plus, je remarque même dans un miroir, qu’en croisant ses jambes, sa jupe s’est tant remontée que l’on peut voir sa peau blanche qui tranche avec la lisière de son bas.
Je ne suis pas mécontent qu’elle ait choisi de mettre des bas plutôt qu’un collant. Elle a fait là un progrès considérable, surtout en osant sortir dans une tenue qu’elle juge provocatrice, sans en avoir l’habitude.
Le gars qui n’arrête pas de la mater doit être en train de rêver ou bien être au bord de l’apoplexie si il ne contrôle pas ses émotions. Il doit s’arracher les yeux pour savoir quel trésor se trouve au delà de cette maudite jupe.
Alors que nous attaquons le dessert, Marie se met à pouffer de rire subitement.
Intrigué, je lui demande, en me penchant vers elle :
— Que se passe-t-il ? Pourquoi ris-tu ainsi ?
— Le type qui me regardait sans arrêt vient de se faire démasquer par sa femme. Elle s’est tournée vers moi subitement et m’a fusillée du regard. Le mec est rouge de honte et sa femme, quant à elle, rouge de colère. Tiens, d’ailleurs ils se lèvent et s’en vont
— Tout compte fait, leur soirée ne sera pas celle que je pensais. Je crois que ce monsieur sera frustré d’aller dormir dans le canapé ce soir.
— En tout cas, ça me soulage de ne plus être observée ainsi.
— Avoue que ça t’a amusé. J’ai bien remarqué que tu te détendais, que tu ne cherchais plus à cacher ta poitrine comme lorsque nous sommes arrivés. Au contraire, tu avais même tendance à bomber le torse. Je suis sûr que tu as fait sensation ! As-tu remarqué comme les serveurs étaient troublés, comme ils tremblaient d’émotion en s’approchant de nous. Eux aussi ont été sensibles à tes charmes.
— Vous les hommes, vous êtes tous des pervers !
— Et vous, les femmes des aguicheuses ! Non, je plaisante !
Pour t’expliquer rapidement le comportement masculin, il faut que tu comprennes que nous sommes sensibles à la vue d’une femme. Pas forcément d’une femme nue, mais plutôt par la suggestion de sa nudité.
Si je t’ai fait acheter ces dessous, ce n’est pas pour rien
Dans les temps anciens, les femmes portaient de longues robes, il suffisait qu’elle montre une cheville ou un mollet pour que les hommes soient en émoi. Donc, pour une femme, il suffit de suggérer, de faire monter un désir de découvrir ce qui est caché
— Mais là, avec ma jupe courte, on peut voir plus que mes mollets !
— Tu as de très belles jambes, profites-en justement pour « suggérer ».
Elle ne répond pas et ses joues rosissent un peu. Pour la tirer de l’embarras, je demande la note et lui prends la main. La traversée inverse de la salle ne semble plus affecter Marie, elle se permet même de répondre aux sourires de certains hommes.
Après avoir réglé la note et récupéré nos vêtements. Je lui propose d’aller boire un dernier verre, mais elle préfère rentrer, car elle se sent un peu pompette.
Elle me tient le bras pour le retour et se tord la cheville très souvent, elle manque d’habitude pour marcher avec des talons, de plus, sa légère ivresse n’y est pas étrangère non plus.
Elle est d’humeur joyeuse et m’embrasse dans le cou ou sur la joue tous les dix mètres. Alors que nous sommes sur le point de traverser la chaussée, je la saisis par la taille et lui donne un baiser passionné en lui caressant les fesses. Une voiture qui passe donne quelques coups de klaxon à la vue de ce couple embrasé sur le trottoir.
Ensuite, Marie, semble tout à coup plus pressée pour marcher. Il en est de même pour moi, car ce jeu de langues lors de notre baiser m’est arrivé directement au slip.
Une fois refermée la porte de mon appartement, je la débarrasse de sa veste, l’invite à s’asseoir confortablement dans un fauteuil du salon en laissant une lumière tamisée. Je lui propose ensuite de lui masser ses pieds endoloris.
Marie, d’abord hésitante, me laisse la déchausser, alors que je me tiens agenouillé à ses pieds.
Je masse au mieux chaque pied en y faisant rouler mon pouce sur la plante. Je suis plus délicat pour caresser ses chevilles, puis, m’applique à déposer de petites bises le long de chaque mollet. Le crissement du nylon sous mes doigts me stimule, même si je préfère le contact de la soie.
Tout en bisant ses genoux, je lui caresse l’intérieur des cuisses en remontant sa jupe, mais je sens que Marie se contracte. Elle sert instinctivement les jambes pour m’empêcher de monter plus haut. D’un mouvement délicat, mais déterminé, je lui écarte largement les genoux et elle se laisse convaincre, malgré quelques petites contractions réflexes.
— Laisse-toi aller, Marie. Oublie tes préjugés, détends-toi complètement et ferme les yeux
— D’accord, si tu veux Jeje te laisse faire
Je retrousse un peu plus sa jupe et constate que le panorama que j’ai sous les yeux est magnifique. Outre son collant sexy, j’ai la bonne surprise de constater qu’elle a choisi de mettre un string d’où déborde une toison brune.
Je pose mes lèvres à la limite de son bas et dépose de petites bises à l’intérieur de chaque jambe. J’alterne mes bises par des petits coups de langue, tout en progressant lentement vers sa vulve.
Je dépose d’autres baisers sur son pubis, puis écarte délicatement le string pour donner un bref coup entre ses lèvres. Elle a un sursaut incontrôlé, mais je n’insiste pas sur sa vulve et reviens taquiner l’intérieur de ses cuisses. Je referme ses jambes et glisse mes mains sous sa jupe pour lui ôter son string. Elle soulève un peu les fesses pour me faciliter la tâche.
Une fois la culotte enlevée, je lui écarte à nouveau les jambes et retrousse sa jupe pour caresser son ventre puis sa fourrure. Mes doigts frôlent son sexe sans jamais le toucher. En parallèle, je caresse l’extérieur de sa cuisse, tout en jouant avec ma bouche du coté intérieur.
Tantôt je lèche ou pique ma langue dardée, tantôt je pince la peau entre mes lèvres.
Ma bouche parcourt un chemin sinueux, mais s’approche inexorablement du but, sa fente humide !
Un parfum de cyprine me monte aux narines me laissant croire qu’elle commence à aimer ça.
Je darde ma langue et la fais glisser autour de chaque grande lèvre, sans négliger un bref passage sur son anus.
De deux doigts écartés, j’ouvre ses lèvres et fais glisser, à plusieurs reprises, ma langue sur toute sa longueur. Je sens son clitoris gonfler à chaque passage. J’en fais le tour brièvement et ma langue plonge pour explorer sa caverne au plus profond. Je regrette parfois que ma langue ne soit pas plus longue !
Outre ses gémissements de plus en plus expressifs, l’abondance de sa cyprine m’indiquent que je suis sur la bonne voie pour la satisfaire.
Ma main gauche glisse sur son ventre qui palpite, puis se saisit d’un sein pour le pétrir fermement Quand je reviens au clitoris, c’est pour l’aspirer avec force. Marie pousse un râle, se tortille et m’écrase en serrant convulsivement les jambes, quand je tête, puis mordille, son bouton d’amour.
Je relâche la pression de mes lèvres et fais courir ma langue quelques secondes sur l’extrémité du petit gland sensibilisé.
Je calme le jeu en replongeant ma langue au plus profond de son vagin, puis remplace ma langue par mon majeur tendu. Je cherche et trouve la zone antérieure de sa caverne, la plus sensible, celle qui correspond à la partie interne du clitoris, pour la frictionner alors que j’ai repris son bouton en bouche.
Marie n’en peut plus de geindre et j’ai maintenant trois doigts en elle pour masser sa zone de plaisir. Ma bouche est hyperactive pour taquiner son clito, j’alterne des succions, des coups de langue pointue ou au contraire en le léchant consciencieusement.
J’aime mordiller son bourgeon et quand je dois reprendre mon souffle, mon pouce disponible vient à la rescousse pour l’effleurer délicatement et le maintenir en érection.
Mes doigts fouilleurs s’activent et écartent ses parois vaginales en tournant, puis en allant et venant à toute allure. Je délaisse le pétrissage de son sein, pour revenir poser mon autre main sur le bas de son pubis. Je pince alors entre le pouce et l’index son bouton devenu extrêmement sensible désormais. Quand je le tête à nouveau, Marie n’en peut plus et sa jouissance la fait se tortiller dans tous les sens. Elle cherche à repousser ma tête, tout en me coinçant entre ses jambes serrées, pour arrêter son délicieux supplice.
Je n’insiste pas trop à téter davantage, juste à lui donner quelques coups de langue, brefs mais qui la font sauter en l’air à chaque passage. Continuer à la lécher pourrait devenir atrocement douloureux pour elle.
J’ai également cessé de pistonner sa grotte. Son vagin se contracte par des spasmes qui m’emprisonnent les doigts. Je sors délicatement la main et lèche avec application la liqueur intime qui la recouvre.
Je m’étonne toujours de tant apprécier ce breuvage d’amour. Il faut dire que celui de Marie est d’un goût particulièrement agréable.
La pauvre est vidée, les jambes largement écartées, les bras flasques le long du corps, le menton dans la poitrine. Elle cherche à retrouver sa respiration et, quand elle relève la tête vers moi, c’est pour dire :
— Wouah !! C’était génial !
— Tu ne connaissais pas cette pratique ?
— J’en ai entendu parlé, bien sûr, mais je trouvais que c’était sale !
— Ce n’est absolument pas sale le sexe d’une femme et c’est si bon !
— Je regrette de n’avoir pas connu ça avant !
— Je suppose que tu penses la même chose de la fellation ?
— Ben Oui, je n’ai jamais voulu faire ça !
— Et maintenant, veux-tu apprendre ?