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L'éducation d'une pucelle – Chapitre 2

L'éducation d'une pucelle - Chapitre 2



C’est bien d’être une femme libre , non ?

Claire ne répondit pas.

J’ai l’impression que tu es plutôt du genre soumise, dit donc !

Heuuu, je ne sais pas trop ce que c’est…..

Oh, c’est simple : tu obéis à tous les ordres qui te sont donnés, acceptes les caresses, donnes du plaisir à ces messieurs et parfois à des femmes …… tu deviens leur chose, quoi !

Recevoir ou donner des caresses, debout, agenouillée, couchée … n’est pas pire qu’avoir un homme qui s’agite sur toi en te transperçant le ventre ….

Ca parait dégradant comme ça, mais certaines femmes y prennent plaisir, car au fond, ce sont elles les maîtresses du jeu .

Ce sont elles qui décident ou et quand le monsieur se répandra : dans leur ventre, dans leur bouche, sur leurs seins, ou tout simplement sur le sol, ou qui transforment des dames soit disant bien comme il faut en véritables chiennes en chaleur, faisant gonfler leur clito jusqu’à ce qu’il leur fasse mal, ouvrant les vannes de leur jus d’amour pour qu’il souille leurs cuisses, leurs fesses, leur petit cul, faisant gonfler leurs seins jusqu’à ce qu’elles te supplient de les faire jouir !

Claie était rouge de confusion.

Ca te choque de parler de ça ? Tu ne parles jamais de sexualité avec ta maman ?

Oh non, vous savez, c’est un sujet tabou .

Si je comprend bien, il va falloir que je prenne ton éducation de femme en main, fit Pauline en souriant . Ca te plairait ?

Claire ne répondit pas, gardant les yeux baissés.

Et bien, si tu veut, on va commencer ce soir. Tu vas être la reine de la soirée.

Lilou s’en fiche pas mal, elle est amoureuse de Christian, mais tu vas surpasser toutes ses copines, tous les garçons seront à tes pieds.

Mais pour ça, il faut que tu leur donne envie de toi.

Vient, on va te préparer.

De retour à la maison, Pauline prit Claire par la main et l’emmena dans la chambre.

Enlève cette robe, on va trouver quelque chose de plus sexy.

Elle a saisi l’énorme valise qu’elle avait apporté pour la déposer sur le lit, étalant toutes sortes de vêtements.

Claire avait obéi et était maintenant en culotte blanche petit bateau d’ ou dépassaient quelques poils, les seins prisonniers d’un énorme soutien gorge.

Oh ! fit Pauline . Relooking obligatoire de fond en comble.

Enlève moi ça, fit elle en se remettant à fouiller dans la valise. On va te trouver de la lingerie.

C’est doux, c’est joli, et ça donne envie de la caresser avant même de voir ce que ça cache.

Claire gardait les bras croisés sur la poitrine …

N’ai pas honte, on est entre filles ! Tiens regarde !

Elle à ôté ses chaussures, défait son jean qu’elle à jeté au sol et retiré son chemisier …

Tu vois, ce n’est pas difficile .

Elle portait un superbe soutien gorge en dentelle noire et un mini string assorti qui suggérait bien plus qu’il ne cachait le bas de son ventre.

S’approchant de Claire qui n’avait pas bougé, elle demanda doucement : tu veut que ce soit moi qui l’enlève ?

Baissant la tête, Claire ne répondit pas.

L’agrafe ne résista pas aux doigts habile de Pauline et l’engin fut vite retiré.

Non, enlève tes mains que je les vois.

Ils sont magnifiques, dit elle, puis empaumant les deux globes, ajouta : souples et fermes, ils vont en faire rêver plus d’un ce soir. Et puis ces tétons sont juste comme il faut : ni trop gros ni trop foncés. Regarde, ils pointent déjà !

La peau veloutée de Claire se hérissa sous la caresse, la faisant frissonner …

Tu vois, tu aimes qu’on les caresse !

On va s’arranger pour leur donner envie de le faire, qu’ en penses tu, fit Pauline en souriant .

Mais que vont ils penser de moi fit Claire, devenue écarlate .

Les garçons vont trouver que tu es bonne, comme ils disent. Ils n’auront qu’une idée en tête, t’emmener dans un coin isolé pour te lutiner en espérant plus ….

Les filles diront de toi que tu n’est qu’une allumeuse en mourant d’envie d’être comme toi ..

Mais ne t’inquiètes pas, je serais là.

Pas question d’aller trop loin ce premier soir, il faut savoir se faire désirer.

Tout en parlant, Pauline avait saisi la petite culotte qu’elle fit glisser sur les jambes de Claire.

Ce petit ventre va faire bien des envieux, mais ça, par contre, ajouta t’elle en désignant la toison sombre qui foisonnait, c’est pas joli joli ! Vient, on va arranger ça .

Prenant Claire par la main, elle l’entraîna vers la salle de bains.

Tu sais les hommes adorent les petits ventres lisses, tous doux. Ou, à la rigueur, avec une petite ombre comme ça, fit elle en dévoilant un petit ticket de métro qui ornait son pubis .

Tu préfères quoi ?

Claire ne répondit pas .

Va pour le ventre tout lisse . C’est parfait pour une vierge fit Pauline en riant.

En quelques instants, la tondeuse sortie d’un tiroir avait fait son oeuvre .

Claire contemplait les poils qui jonchaient maintenant le sol, sans oser bouger.

Pauline termina son oeuvre en quelques coups de rasoir et rinça délicatement le ventre que lui présentait la jeune fille.

Ca ne brûle pas trop ?

Attends, j’ai une crème adoucissante .

Avec douceur, elle étala la crème, et, quand un doigt indiscret s’égara sur son bouton d’amour, Claire ne put retenir un soupir de plaisir.

Tu vois, ce n’est pas désagréable de se laisser faire .

Vous faites quoi ?

Lilou venait de passer la tête par l’entrebâillement de la porte .

Ouaou !!! Je vois que maman s’occupe de toi. Les garçons vont être excités ce soir . Mais je te prévient : pas touche à Christian : il est à moi fit elle en riant .

Ils sont presque tous là . Allez, je vous laisse à tout à l’heure .

De retour dans la chambre, Pauline présentât un superbe soutien gorge rouge, orné de dentelle qu’elle attachât elle même.

Il soutenait simplement les seins de Claire et sa dentelle caressait amoureusement les tétons turgescents.

Pour compléter l’ensemble, un string minuscule qui moulait parfaitement son pubis, comme une seconde peau, laissant, par transparence, deviner sa petite fente .

Une mini jupe qui découvrait largement ses cuisses et une chemise blanche dont les pans négligemment noués sur le ventre laissait apparaître le nombril complétèrent  la tenue.

Bien sûr, les boutons du haut furent suffisamment "oubliés" pour laisser apparaître juste ce qu’il fallait de dentelle rouge et les appâts qu’elle contenait.

Une paire d’escarpins à talons lui firent gagner quelques centimètres, et quelques coups de brosse firent à ses cheveux une coiffure savamment négligée.

Pas besoin de maquillage, tu es a croquer comme ça, fit Pauline.

Ca, par contre, ils adorent, ajouta t’ elle en déposant quelques gouttes de parfum derrière son oreillle  et au creux de ses seins.

Devant le miroir, Claire se trouva belle et désirable.

Elle avait hâte de retrouver Lilou et sa bande d’amis.

Pauline lui attrapât la main : Ce soir ton papa n’est pas là pour te surveiller. Tu es libre de choisir le garçon ou la fille qui te plaît, de passer dans les bras de l’un ou de l’autre au gré de es envies, d’accepter et de rendre les baisers, les caresses … Mais pas question d’aller plus loin.

Je crois que j’ai encore plein de choses à t’apprendre.

Vas y maintenant, amuse toi bien . Je m’ habille et je vous rejoint.

Sur ses hauts talons, Claire descendit avec précaution les escaliers… En bas, tous les yeux étaient tournés vers elle.

Lilou fit les présentations. Accueil sympathique des filles, bien plus chaleureux de la part des garçons.

Tous vinrent luis faire la bise, la main d’un grand brun se posa même sur ses hanches, s’égarant sur la peau de ses reins, la faisant frissonner.

La soirée commençait bien .

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