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Le bestiaire 2, Roxane chienne fidèle – Chapitre 6

Le bestiaire 2, Roxane chienne fidèle - Chapitre 6



Odile accordait de plus en plus d’attention à l’apparence de sa chienne. Elle avait entrepris de modifier au mieux sa silhouette, pour la rendre plus canine encore.

Depuis plusieurs semaines, elle lui travaillait la poitrine, la distendait à lextrême avec de lourdes charges qui la tendait vers le sol.

Roxane sur ses quatre-pattes acceptait sans broncher, c’était la méthode nécessaire pour qu’elle ai enfin de vraies mamelles de chienne.

Une fois la poitrine totalement étirée, Odile sortait une seringue et piquait les nichons distendus.

Elle s’était procurée auprès d’une amie pharmacienne un produit miracle, qui une fois injecté brûlait les graisses et vidait l’étui cutané.

Elle enveloppait ensuite chaque sein d’un long étui de cuir à lanières et le fixait bien serré.

Enserrées dans leurs tubes et avec l’aide des injections bienfaisantes, les mamelles se déformaient toujours d’avantage.

Puis Odile refixait un à un les poids aux tétons, pour que le balancement des charges accentue de plus belle la distorsion.

Les gros nichons de Jessica, bien rond et dodus n’était plus qu’un lointain souvenir, ils s’était considérablement amaigris et avaient quasiment doublé de longueur. Ils avaient maintenant une belle forme oblongue, et pendouillaient comme des sacs vides, comme de longs gants de toilette.

Les tétons eux aussi avait souffert de ce fardeau et ils atteignait maintenant les trois centimètres de long.

Après quelques semaines de ce traitement, les gaines et les poids ne seraient assurément plus nécessaires, seules resteraient les clochettes sur les tétines, car cela excitait la canidé.

Odile s’occupait ensuite de la chatte de la soumise, et avec le reste des poids en sa possession, elle s’attelait à lui distendre les lèvres intimes, pour leur donner progressivement une belle allure de vulve de chienne, avec les babines bien tombantes.

Odile se faisait violence pour ne pas saillir sa chienne en semaine, c’était cela aussi le secret d’un bon dressage, imposer certaines règles et ne pas en déroger.

La discipline portait ses fruits et Roxane était le plus délicieux des animaux soumis. Elle s’en remettait totalement aux volontés de sa possédante, et ne remettait jamais en cause aucune de ses décisions.

Elle avait décidée en son âme et conscience de devenir son animal domestique et laissait à sa souveraine le choix des moyens pour y parvenir.

Roxane se mettait parfois secrètement à rêver qu’elle devienne totalement sa bête, et qu’en permanence, du soir au matin, elle puisse lui affirmer sa totale fidélité.

Alors en attendant, elle portait dès le soir sa tenue de canidé et la gardait jusqu’au matin.

Là elle redevenait pour la journée, Jessica la coiffeuse. La jeune fille avant de s’habiller accrochait sur ses tétines de nombreux poids, puis masquait l’ensemble en enfilant par dessus sa poitrine dégoulinante un soutien-gorge copieusement rembourré.

Elle portait également tout le jour, sa queue qu’elle cachait pendante sous une longue jupe.

Odile la laissait faire, elle savait que cela faisait partie intégrante de sa volonté de métamorphose, qu’importait, personne ne pouvait remarquer ses accessoires sous son habile camouflage.

Et cette tendre attention flattait l’âme de la dominatrice, alors parfois, Odile lui confiait que peut-être prochainement, si elle vendait son commerce, peut-être que Jessica pourrait arrêter son travail de coiffure, pour rester à la maison et ne plus jamais la quitter.

Une fois toutes deux rentrées au foyer, l’éducation reprenait.

Odile avait rajouté au conditionnement de Roxane, la lecture d’histoires zoophiles que la bête écoutait avec intérêts. Les récits lui façonnait la mentalité, et la conditionnait pour les saillies du week-end.

L’éducatrice canine avait pour un temps remisé la banquette d’amour, préférant elle même se charger des accouplements de sa chienne.

Pour l’occasion, elle avait acheté pour elle, des gants dont l’extrémité des doigts se terminaient par de petites griffes en plastique. Quand elle prenait en levrette son animal elle pouvait alors lui griffer les flancs ou le dos comme un mâle le ferait.

Durant la copulation il ne passait plus sur l’écran que des vidéos de zoophilies, les films passaient en boucle, et souvent maîtresse et chienne s’amusaient, dans un parfait synchronisme, à reproduire chaque scènes.

Du vendredi soir au lundi matin, la dominatrice ne quittait guère ses godemichés en forme de bitte de chien.

Elle en avait plusieurs, tous de belles tailles, plus vrai que nature, avec de belles couleurs naturelles, les nervures apparentes, les knots gonflables.

Elle en avait même un spécialement conçu pour l’apprentissage de la fellation canine. Le vit était celui d’un grand danois, certes le nud se gonflait jusqu’à atteindre une belle grosseur, mais son intérêt résidait dans le gros réservoir à sperme qui y était adjoint, et que l’on pouvait même porter à la taille. Il avait une contenance d’un litre, ce qui permettait en pressant une poire, d’obtenir des éjaculations copieuses, plus vrais que nature.

Odile, avant chaque séance de fornication, préparait elle même un grand pichet de fausse semence.

Elle cassait des ufs, séparait les jaunes des blancs qu’elle gardait pour sa préparation, elle y incorporait de la graisse liquide alimentaire transparente, puis une petite pincée de sel pour le goût, le foutre canin n’étant assurément pas sucré, et pour rendre le tout plus crédible, rajoutait invariablement un peu de son urine.

La réserve une fois remplie, il ne restait plus pour elle qu’à enfiler la tenue de Doberman qu’elle s’était offerte, avec une gueule si réaliste qu’il troublait la chienne dès que sa patronne l’enfilait.

Les costumes avaient été repensés, les queues n’était plus enfoncées dans le cul, mais faisait partie intégrante des tenues, ce qui permettait d’avoir un total accès à l’anus.

Roxane regretta son appendice caudal, mais se fit une raison, Odile en avait unilatéralement décidé ainsi.

Ainsi paré de sa virilité, le mâle Bas-rouge se mettait à quatre-pattes, et attendait que sa femelle vienne le saluer en lui reniflant le derrière, comme le ferait n’importe quel chien.

Après s’être enivrés de leurs odeurs respectives, le chien et la chienne se léchaient le trou du cul pour enflammer leurs désirs.

Une fois ce cérémonial achevé, le mâle pouvait alors présenter sa verge à sucer.

Roxane perdait alors tout contrôle, la texture du sexe de chien était plus vraie que nature, la douceur du latex lui procurait dans la bouche une douce sensation.

Elle sentait les nervures sur sa langue, les aspérités de la bite, le grain de la peau, et déjà Odile lui envoyait quelques petites giclées de semences, pour rajouter du goût à sa charmante friandise.

Puis quand le vit avait bien été téter, Odile Mercier projetait de longues éjaculations dans la bouche de la femelle, remplissant tout d’un coup son gosier de ce flot de semence qu’elle devait s’empresser d’avaler, car déjà le déluge reprenait.

Roxane minutieusement s’abreuvait de cette liqueur généreuse et enivrante, en bonne soumise vicieuse, jusqu’à la fin du réservoir.

Odile ensuite, après avoir refait le plein du gode de faux sperme, prenait une poire à sauce pleine de semence et remplissait les orifices de Roxane afin de bien la lubrifiée. Elle continuait ensuite la séance par de longues séries de copulation, ou elle bourrait la femelle sans ménagement, lui griffait l’épiderme, allant même parfois jusqu’à lui mordre le cou jusqu’au sang.

La chienne subissait avec complaisance ces merveilleux entraînements ou elle était possédée comme jamais.

Souvent revenait l’image du chien qui l’avait léchée, mais depuis, sa maîtresse s’était bien gardé de renouveler l’expérience.

Odile estimait que l’apprentissage de la bête n’était pas fini, qu’il lui restait encore beaucoup de chemin à parcourir, même si ses progrès étaient déjà incroyable.

Il faudrait qu’au jour de la fin de son initiation, que ce ne soit plus la femme qui se ferait saillir, mais la chienne véritable qu’Odile s’évertuait à révéler en Jessica.

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