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Le calvaire d'une jeune fille – Chapitre 1

Le calvaire d'une jeune fille - Chapitre 1



Préface.

Pour cette fois, l’histoire que je vais vous conter est une histoire vraie vécue par une correspondante qui m’a demandé de remanier le texte brut qu’elle m’envoie.

Je ne ferai que le minimum de retouches sur son texte. Je ne sais pas si sa malheureuse aventure sera autorisée à être diffusé sur ce site mais je l’espère pour mettre en garde toutes les jeunes filles et les femmes sur les hommes qui ne respectent pas leur compagne.

Il y aura moins de sexe, pas de fantasme mais la vérité crue.

Je lui laisse la parole.

Quelques mots de Kris, (bien sûr les prénoms ne sont pas les bons).

Je sais que cette histoire n’est pas plaisante à lire et encore moins, de l’avoir vécue.

J’essaye au mieux de me reconstruire et mon nouveau compagnon y contribue chaque jour.

C’est pourquoi je veux que mon histoire soit publiée. Si, elle est vraie. OK, le site n’est pas le plus « approprié » mais j’ai besoin de laisser une preuve écrite de mon expérience et peut-être, faire prendre conscience à certains que votre voisin n’est peut-être pas la personne que vous croyez.

On s’est rencontrés à l’âge de 17 ans, on est sortis ensemble quand j’avais 18 ans mais mon histoire « horrible » a duré un an et demi.

Sachez que tout ce vous lisez est la vérité, tout est peut être surréaliste et pourtant…

Nous faisons connaissance. Je vivais en France avec ma mère à cette époque, mon père étant décédé lorsque j’étais petite, fille unique. Nous étions une famille moyenne comme il y en a tant. J’avais des ami (e)s, j’allais à l’école, je faisais du sport…

J’étais une fille réservée, ne sortant pas faire la fête dans des bars ou des boîtes de nuit. Je passais mes soirées à aider ma mère, lire un bouquin ou envoyez des SMS aux copines.

Du haut de mes 17 printemps, je n’avais pas de petits copains et du coup, de relations sexuelles. J’étais donc encore vierge. Mes amies m’interrogeaient sur la raison du pourquoi, comment une fille belle comme toi peut être seule ? J’expliquais que ça ne m’intéressait pas et que le moment viendrait bien un jour. Ce que me disaient mes ami (e)s ne m’affectait guère.

Bref, les jours s’écoulaient et chacun vivait de son côté. J’étais en terminale et on était à l’approche du BAC.

Un ami m’a proposé de réviser chez lui avec ses ami (e)s pour essayer de s’entraider. De nature bosseuse et stressée par l’enjeu du BAC, j’acceptai.

C’est là que j’ai rencontré mon futur copain. Je faisais la bise à tout le monde en rentrant, je n’en trouvais pas un plus beau ou plus belle qu’un autre. De toute façon, mon esprit était centré sur les révisions.

La journée se passa correctement, je sympathisais avec tout le monde malgré ma nature timide.

Tout le monde me trouvait sympa.

Fatigués de réviser, nous décidâmes de faire une pause. Chacun y alla de son petit plaisir, fumer une clope, répondre à ses SMS, grignoter un morceau… De mon côté, je décidai de discuter avec une fille de tout et de rien avant d’aller aux toilettes.

C’est là qu’Axel (mon futur copain) m’aborda avec un sourire de dragueur, essayant plus ou moins sans que ça me touche. Il mit donc fin à la conversation et retourna réviser tout comme moi après être revenu des toilettes.

Une fois rentré chez moi, je pris une douche et dînai avec ma mère avant de réviser devant la télé.

Quelle ne fut pas surprise quand je reçus un SMS d’un inconnu me disant:

"Ce fut un plaisir d’avoir révisé avec toi et j’espère pouvoir te revoir au plus vite. Axel"

Je lui répondis également la même chose. Nous discutâmes une partie de la soirée en SMS de banalités sur le BAC… jusqu’au moment ou il proposa de se revoir tel jour juste lui et moi pour mieux se connaître.

Intriguée par cette proposition, je lui demandai si c’était seulement pour les révisions et il me répondit:

"Ecoute Kriss, je vais pas tourner autour du pot. Même si ça paraît rapide, je te trouve magnifique et intelligente. Je veux apprendre à te connaître car je pense que tu apportes du bonheur aux autres et je veux goûter à ça aussi. Tout comme toi, j’ai eu mes moments de bonheur et de malheur. Je ne serai en aucun cas jaloux ou triste si tu me rejetais… Je voulais juste te le dire avant qu’il ne soit trop tard."

A la lecture de son SMS, je me sentais perdue. Que Faire ? Que répondre ?

Je décidai de réfléchir à ma réponse et me couchai. A mon réveil, je vis qu’il m’avait envoyé un SMS dans la nuit qui disait qu’il était désolé si ça m’avait blessé ou choqué.

Après mûre réflexion, j’avais décidé d’accepter son offre pour faire plus ample connaissance.

Je trouvais qu’il avait du culot mais je me sentais flattée par son compliment, cela me changeait du style de remarques qu’on pouvait me faire dans mon dos.

Arrivé au jour J, il m’invita chez lui, seul. Prévoyant, il était d’une gentillesse touchante et me mit à l’aise. On passa une grande partie de notre journée à réviser.

Pendant les pauses, on apprit à se connaître. Ce jour-là, il me confia que sa mère était décédée et cela l’avait énormément touché. Par la suite, son père s’était remarié et lui avait fait un demi-frère et une demi-sur.

Touchée par sa sensibilité, j’évoquai aussi mon père. De là naquit notre premier rapprochement, je ne le voyais plus comme un pote de mon pote ou une aide pour des révisions mais comme un ami attachant et touchant.

Suite à ça, on se voyait de temps en temps que ce soit seul ou entre amis, que ce soit pour aller boire un café ou pour réviser.

Au fil du temps, je savais qu’il commençait à me séduire par ses mimiques, ses regards, ses gestes ou par ses mots. J’en ai eu la confirmation car mes amis commençaient à me poser des questions sur la nature de notre relation.

Je leur affirmai qu’il ne se passait rien et qu’ils s’inventaient des histoires.

A l’approche du BAC, Axel voulait qu’on se voie ainsi que d’autres potes mais je déclinai l’offre pour réviser à fond une dernière fois. Je ne répondis ni aux appels, ni aux SMS.

Après avoir passé mes écrits et oraux, avec ma maman nous sommes partis au soleil le temps d’avoir les résultats du bac (c’était surtout qu’elle me voyait stressée)

Je répondis aux appels et aux SMS de mes amis pour leur faire part de mon stress …

A mon retour, j’attendis encore quelques jours l’affichage des résultats : J’avais obtenu mon bac avec une mention. Heureuse et soulagée, je voulais fêter ça avec mes amis.

Le pote (celui m’a fait rencontrer Axel) fit une soirée pour fêter le bac à la maison. Conviée, je sautai sur l’occasion pour me vider la tête et j’y retrouvai la plupart de mes amis. Tout le monde s’amusait à crier, danser, fumer des joints, sauter à moitié nu dans la piscine, et à beaucoup picoler.

La soirée se passait bien pour moi jusqu’au moment ou Axel vint me voir, un peu éméché il discuta avec moi. Il me demanda ou j’étais passé pendant tout ce temps et pourquoi je ne répondais pas aux SMS, etc…

Je lui répondis que je voulais passer du bon temps avec ma mère et que je n’étais pas une personne qui a le portable collé à la main.

A un moment donné, il m’avoua:

— Il se dit beaucoup de choses sur nous Kriss… Mais pour moi, une grande partie est la vérité…

— Ohhh…

— J’ai pas mal réfléchi et je tiens à toi. Quand tu étais absente, je pensais à toi car tu me manquais cruellement. Une seule chose me trottait dans la tête et ce que je rêvais de faire c’est ça.

Et il m’embrassa…

Lorsque nos lèvres se touchèrent, un dilemme me traversa l’esprit : Dois-je le repousser ou continuer le baiser ?

Après un éclair de réflexion, je répondis à son baiser. Comme c’était doux et agréable. Vu que je répondais favorablement à son attente, il continua de vive voix.

— Tu n’imagines pas depuis combien de temps j’attends ce moment.

— C’était agréable Axel, dis-je avec un sourire. Pour être honnête avec toi, je savais pas les sentiments que j’éprouvais vis-à-vis de toi mais maintenant j’en suis sûre.

Je sentais quelques regards sur nous mais à ce moment-là, on s’en foutait royalement. Les gens avaient la réponse sur la nature de notre relation.

Cette fois-ci, c’est moi qui l’embrassais. Notre baiser, par rapport au premier était plus explosif. Nos langues s’entremêlaient, on essayait de rendre coup pour coup chaque brin de sensualité. J’en avais des frissons dans tout mon corps. C’était mon premier « vrai » baiser avec un garçon.

Les débuts idylliques : Après cela, on continuait à taper la discussion comme s’il ne s’était rien passé. La soirée continuait son fil, je discutais avec des copines et lui se mettait « une race » niveau alcool et fumait. Chacun nous félicitait à sa façon de notre couple.

Par la suite, lui et moi, sortions pas mal ensemble. On continuait à s’embrasser et à se toucher sans que ça aille bien plus loin.

Quelques mois après notre officialisation, il voulait passer à l’acte. Je venais de fêter mes 18 ans et j’étais toujours vierge, je pouvais comprendre son impatience vis-à-vis de ça. Certes, j’étais amoureuse mais je ne me sentais pas encore prête pour offrir ma virginité.

Il m’avait fait part qu’on n’était pas un couple si on n’avait pas de rapports sexuels, il avait des besoins à assouvir mais que je ne pouvais pas comprendre car je ne l’avais pas fait.

Un peu outrée, je ne répondis même pas à cette remarque que je trouvais déplacée.

Quelques jours plus tard, il continua à me pousser en m’invitant à la maison (je n’étais pas dupe, je savais ce qu’il avait derrière la tête).

Je refusais toujours en trouvant une excuse bidon mais je savais qu’au fond de moi, je repoussais un peu l’inévitable.

Un mélange de peur, d’interrogation et aussi d’excitation s’était grainé dans ma tête, je fis la démarche en parlant à mes copines de mes craintes et de mes doutes, si elles avaient des astuces pour que tout se déroule comme il faut, quel sous-vêtement mettre, s’épiler ou non, si le premier acte faisait mal…

Elles m’ont toutes assuré que c’est normal d’avoir peur mais c’était un mal pour un bien, ma vie de femme allait commencer.

En effet, ma vie de femme allait commencer quelques jours après. J’étais chez lui, seule, on tapait la discussion puis on sest mis à s’embrasser suivi de quelques attouchements sur mes cuisses et mes seins.

— Je suis prête Axel.

— Tu es sûre ?

— Oui, ne t’en fais pas.

Il continua à m’embrasser puis il enleva son t-shirt, suivi à mon tour du mien. On s’allongea sur le canapé et on recommença à s’embrasser et se toucher très sensuellement. Ses mains ondulaient sur mes seins, il les bouffait du regard. Doucement, il ôta son pantalon puis il mit ses mains sur mon jean.

Tout en me regardant, il défit les boutons et descendit petit à petit mon jean. Seuls, à présent, nos sous-vêtements cachaient notre nudité.

— Est-ce que t’es sûre d’être prête Kriss ? J’ai pas envie de précipiter les choses.

— Oui, je tai fait assez attendre mais je n’ai pas envie qu’on fasse notre « première fois » sur le canapé du salon.

— Oui, tu as raison, allons dans ma chambre.

On se rua vers sa chambre et on recommença notre jeu. Mon cur battait la chamade et mon corps était en feu. C’était le moment… Le mec avec qui je voulais être, le mec avec qui je voulais avoir ma première relation.

Prenant mon courage à deux mains, j’enlevai mon soutien-gorge et son regard valait tout l’or du monde: on aurait cru qu’il avait vu le Bon Dieu.

A ses yeux, se présentait une poitrine généreuse, ferme et tendre. Il se précipita dessus, comme un chien affamé et il commença à toucher, gober, embrasser et lécher mes seins et mes tétons.

C’était un régal, un déchaînement de chaleur irradia dans mon corps, j’étais de plus en excitée par la manière dont il me mangeait la poitrine. Je sentais que je commençais à mouiller de ce plaisir-là. Doucement, sa tête descendit au niveau de ma culotte et tout comme mon jean, il la descendit.

Ça y est, c’était le premier homme qui me voyait nue…

— Tu peux pas savoir le temps que j’attends cet instant, tu es tellement belle. Je t’aime !

Je lui répondis en l’embrassant. Après ce baiser rapide, il voulut goûter à mes autres lèvres.

Sensuellement, les lèvres de sa bouche se mirent en contact avec mon mont de Vénus. Lentement puis farouchement, il commença littéralement à me bouffer la chatte.

Mon Dieu, que c’était bon ! J’aurais aimé que ce moment perdure. C’était mon premier cunni suivi de mon premier orgasme.

Seul un gémissement : « oooooohhhhh » sortit de ma bouche. J’étais en feu et je voulais lui rendre la pareille. Je me redressai et lui fis face. Devant moi, la bête voulait sortir du fin tissu, une belle bosse était bien dessinée.

— C’est à mon tour à présent, lui dis-je et je baissai son caleçon. Une verge longue et ferme surgit devant moi, munie de quelques poils noirs, accompagnée de testicules lourds et d’un gland circoncis.

Perdue, je ne savais pas par où commencer mais Axel, connaissant mon manque d’expérience me guidait :

— Commence par lécher le gland puis le long de ma bite.

— D’accord… je vais essayer

Écoutant ses paroles, je fis ce qu’il me demandait. Maladroitement et en manque de confiance, je me mis à l’uvre. Quelle sensation quand ma langue toucha sa verge, c’était chaud et doux.

Après quelques minutes de léchage, je commençais à trouver mon rythme, alternant rapidité et lenteur.

— Gobe mes couilles à présent !

Je ne me fis pas plus prier que ça. Ma langue s’enleva de sa bite et s’orienta vers ses bourses. J’essayais au maximum et au mieux de gober ses couilles mais ça ne me plaisait pas plus que ça sauf qu’à ce moment, j’obéissais à ses demandes et c’était seulement son plaisir à lui.

— Fais les deux à présent !

J’alternais donc entre ses couilles puis son gland et sa verge et vice versa. Quelques minutes après cette gâterie, il m’annonça :

— Maintenant, suce ma bite !

Soumise de nouveau, j’obéissais. Il aurait pu dire tout ce qu’il voulait que je lui aurais obéi au doigt et à l’il.

J’ouvris en grand ma bouche et gobai son pénis. Grace à l’aide de mes amies qui m’ont donné des conseils, je pratiquai ma première fellation alternant entre l’amusement du gland ou faire de longs va-et-vient.

— Ohhh Kriss, c’est bon ! Continue !

Flattée, je continuai à le sucer. Cela dura environ cinq minutes dans mes souvenirs.

Il me repoussa gentiment sur le lit. J’étais allongée en face de lui et lui était à genoux, verge dressée et baveuse.

— As-tu un préservatif ?

— Oui ne t’en fais ma belle, j’ai pensé à tout.

Ne voulant pas passer pour une quiche, il mit le préservatif lui-même. Il pinça le réservoir pour être sûr qu’il n’y aurait pas de problème.

— Bon, t’es prête ? Me demanda-t-il pour la énième fois.

— Oui, vas-y.

— Ne t’en fais, je vais y aller doucement.

Mon vagin n’attendait que ça. Ça se voyait comme de l’eau de roche, je mouillais pas mal et j’attendais sagement et impatiemment que l’Épée rentre dans le fourreau.

Avec délicatesse, il inséra sa verge dans ma chatte. Centimètre par centimètre, il se faufila dans mes entrailles. Mon hymen céda et un petit filet de sang sortit.

Faisant la grimace, Axel s’informa :

— Est-ce ça va ? T’as pas trop mal ?

— Non, continue, le mal est passé.

Après ce passage douloureux, il fit des petits allers-retours avec son bassin puis commença à trouver le rythme de ses coups.

Notre respiration accompagnait le rythme de nos ébats. Seuls des gémissements sortaient de nos bouches, surtout les miens variant de simple « Ah » au « humm »

Il arrêta de me prendre en missionnaire. Il voulait jouer avec mes gros seins et voulait les voir rebondir à la cadence de sa queue.

A ce moment-là, je prenais mon pied. On s’embrassait, continuait à baiser, se toucher… J’aimais avoir ma peau brûlante sur la sienne, mes seins écrasant sa poitrine. Nous n’étions plus qu’un.

« Putain, que c’est bon Kriss ! » suivi de « Ah Ah Ah »

Fatigué, il commençait à perdre en rythme. Il me mit à quatre pattes et commença un nouveau cunni. Là pour moi, en passant de sa queue à sa langue, c’était divin.

J’explosais de plaisir en criant comme une folle, fort heureusement qu’on était tout seul dans la maison…

Il remit son pénis et me prit en levrette. Dieu que c’était bon ! Je savais pas que je prendrais autant de plaisir, surtout, que selon mes amies, la première fois n’est toujours pas une réussite. Après de bonnes minutes de pilonnage à un rythme soutenu, j’étais en ébullition, j’avais l’impression que j’avais 40 de fièvre. Quant à lui, je savais qu’il n’allait pas tenir encore très longtemps :

— Ohhh Kris, ça arrriiive !

Il se retira le plus rapidement possible et cracha copieusement dans le préservatif. Essoufflé, il tomba sur le lit.

— Alors t’as aimé ?

— Merci, j’ai adoré. Désolé de t’avoir fait attendre mais si j’avais su le plaisir que ça faisait, je l’aurais fait plus tôt.

— Tant mieux que taies kiffé, j’ai pas mal donné de ma personne.

— Désolé d’avoir sali tes draps avec mon sang.

— Arrête d’être désolée, on s’en fout.

On se fit des bisous, nus et en sueur dans le lit. Me sentant sale, je me faufilai dans la salle de bain pour prendre une douche et lui s’était allumé une clope.

Après cela, on s’est fait de nouveau des bisous et on s’est endormi dans une odeur de sueur et de sexe.

A suivre…

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