Je ne sais pas ce qui m’a pris de faire ça. Pourtant j’ai déjà entendu des filles avoir des problèmes en faisant ça. Mais, j’avais envie de lui, et je voulais qu’il le sache. Je me suis mise nue et faisais des selfies, ou me photographiais face à mon miroir, en faisant des poses les plus sexy que je pouvais. J’étais très satisfaite de mon corps, j’étais mince avec des formes. Ma poitrine était loin de passer inaperçue. J’en étais fière et je ne m’en cachais pas. Après avoir fait le maximum de photos, je les envoyais, à mon copain. Il s’appelle Antoine, il a 21 ans, il a un style très banal. Les gens nous trouvent mal assortis. Ils me voyaient plus avec un gars musclé, haut, beau gosse etc…
Mais moi, je m’en fiche. Antoine m’a plu, parce qu’il était simple, il s’occupe très bien de moi, peut-être parce qu’il a peur de me perdre. Sa timidité m’a fait fondre. Quand il était venu pour me parler, il bégayait presque. Ca fait maintenant, cinq mois qu’on se fréquentait.
Ca y est, il les a vus. Il m’envoie un petit bonhomme qui rougit, un autre qui tire la langue.
Il m’envoie :" Si je n’étais pas occupé, je serai venu direct pour m’occuper de toi".
— Tanpis alors, je serai obligée de m’occuper de moi toute seule.
— Je veux voir ça. Envoie-moi une vidéo.
Je commençais à mouiller en lisant ça.
Je me mis donc en scène. Je pris mon gode, je m’allongeais sur mon lit et je me mis à me masturber tout en me filmant. Je me mis également à gémir légèrement. Elle était courte cette vidéo, moins de 15 secondes, et la lui envoyais.
Il ne tarda pas à réagir : "Je suis en train de bander".
— Je t’aurai soulagé, mais tu ne veux pas.
— Lol, tu penses vraiment que je ne veux pas. Je dois te laisser. Bisou.
Plus de news.
Le lendemain, je n’ai toujours pas eu de ses nouvelles. Cette journée commença très ordinairement. Je vivais chez mes parents. Donc petit-déjeuner, et je me préparais pour retrouver mes amies.
On se retrouvait au parc. C’étaient les vacances, donc on s’ennuyait, on glandait. Je regardais toutes les trois minutes mon portable. Toujours aucune nouvelle d’Antoine. Il se fout de moi ou quoi ?
Je lui ai envoyé des photos de moi nue, et il ne prend même pas le temps de m’envoyer même un "bonjour".
Plus loin, je vis un de ses amis. Je courus le voir pour avoir des news d’Antoine.
— Sylvain ! Sylvain !
— Eeeh salut, Clara, comment tu vas ?
— Ca va merci. Je n’arrive pas à avoir des news d’Antoine, tu sais où il est.
— Huuumm, non pas de news.
— Tu étais avec lui, hier soir ?
— Oui.
— A Ok merci.
Je venais tout juste de me retourner pour rejoindre mes amies. Que Sylvain me dit : "Attends, une minute".
— Oui, qu’est ce qu’il y a.
Il se rapprocha un peu plus près de moi et chuchota : "J’ai vu tes photos".
A ces mots, je blanchis.
— Hein !
— Attends je te montre.
Il sortit de son sac, son portable et me montra les photos et la vidéo que j’avais envoyées à Antoine.
— Qu’est-ce que tu fais avec ça ?
— Je les ai gardés. Je ne comprends pas ce que tu fais avec ce nul, alors que t’aurais pu t’amuser avec moi, aussi souvent que tu le souhaitais.
— Tu parles de ton pote.
— Oui, c’est vrai. Mais moi j’ai envie de baiser sa copine.
J’avais envie de le frapper. Il me manquait de respect et surtout à son sois disant pote.
— Je te propose une chose. Antoine n’a jamais vu ces photos. Par contre si je les lui montre il croira que c’est toi qui me les as envoyés. Donc pour que ça reste entre nous, je te propose de me donner une nuit entière avec toi.
— T’es un gros con. Tu oses me faire du chantage. Je ne te pensais pas capable tomber aussi bas pour coucher avec une fille.
— Tu sais très bien que je n’ai pas besoin de faire ça, pour coucher avec une fille. Mais, je veux coucher avec toi. Alors quand es-tu disponible ?
— Je ne sais pas. Ne crois pas que j’accepterai ton chantage.
— Je te laisse jusqu’à demain. N’oublie pas que je connais Antoine depuis beaucoup plus longtemps que toi, donc il me croira sans problème.
Il partit après ces derniers mots.
Sylvain est l’un des gars qu’on qualifie de beau gosse. Il prend soin de lui, musculation, coupe de cheveux impeccable, un petit bouc bien taillé. A un moment, j’aimais le voir et sa proposition je l’aurai accepté sans hésiter, il n’aurait pas eu besoin de me faire chanter.
Bon qu’est-ce que je fais ?
Antoine me rejoignit chez moi. Enfin.
On s’embrassait.
— Tu étais où ? Ca fait un moment que j’attends de tes news, je t’appelle aucune réponse.
— Désolé, j’avais perdu mon portable.
— A OK.
On passa tout l’après-midi ensemble. On discuta. On fit l’amour. Mais j’avais toujours en tête la proposition de Sylvain. D’habitude je suis du genre sauvage et là j’étais plate. Antoine le ressentit, s’arrêta et me demanda : Ca va ? Je te trouve bizarre.
Je voulais lui dire la vérité à ce moment-là. Mais je ne sais pas pourquoi, rien ne sortit. En guise de réponse, je lui souriais et me mis à l’embrasser comme si de rien était.
Le lendemain, je revis Sylvain. Sans aucune honte, il me dit :" Alors ? Ce soir t’es dispo ?"
— Je ne sais pas trop.
— Ces photos, je vais pas seulement les montrer à ton petit copain, si tu vois ce que je veux dire.
— Oui, je vois. Ce soir, c’est OK.
— Très bien. Habille-toi très sexy. Je viendrai te chercher vers 20h.
— Ok.
— T’inquiètes tu vas aimer, j’en suis sûr.
Je me préparais pour cette fameuse soirée. A ce moment-là, je m’efforçais de ne pas penser à Antoine. J’essayais de me convaincre que je n’allais pas le tromper, au contraire que je faisais ça pour sauver notre couple.
Je mis une robe noire, courte, qui s’ouvrait devant avec une fermeture éclair. En dessous, je décidais de ne rien mettre. Autant en finir au plus vite.
Bizarrement, j’avais l’impression que cette situation m’excitait. En plus avec Sylvain.
Il m’envoya un message, m’informant qu’il était là.
J’étais prête, très peu maquillée, coiffure vite fait.
Je sortis le plus vite que possible, je ne voulais pas que mes parents me voient sortir dans cette tenue.
Je rentrais dans sa voiture. Il s’avança vers moi et m’embrassa très langoureusement.
— J’espère que tu vas bien. Tu es très belle.
— Merci.
— J’aime beaucoup ta robe.
Il ne prit pas de temps à s’amuser à faire descendre le zip, et découvrit avec une très grande joie que je navais pas mis de soutien.
— Ah ouais, super. T’as mis une culotte ?
Je ne répondis pas. Il continua à faire descendre le zip et la même joie se dessina à nouveau sur son visage.
— Pas de culotte. T’es une vicieuse.
Il ne prit pas la peine de refermer la robe. Il se mit à conduire.
Je voulais la refermer, mais il me l’avait interdit.
— T’as un trop beau corps, il faut que j’en profite le plus que possible. Je veux que tu te touches.
Je m’exécutais. Je commençais à caresser mes seins puis je descendis jusqu’à mon entrejambe. Il me demanda d’ouvrir plus mes jambes pour qu’il ait une belle vue sur ma chatte.
Il ne put s’empêcher de la toucher. Il la mouilla avec sa salive, mais en fait il n’avait pas besoin de le faire, je mouillais déjà.
Il me doigta. Je gémissais tout doucement. Je savais qu’il était excité. Moi, je l’étais. Je ne pensais plus du tout à Antoine.
Je sentis une chaleur me submerger. Je voulais lui faire comprendre que je suis d’accord pour tout ce qu’il voulait.
Il prit un chemin menant à nulle part et finit par s’arrêter.
— Je ne peux plus attendre, tu me fais trop bander là. En disant cela il enleva son pantalon et son boxer. Sa queue avait une très bonne taille et déjà bien dure.
Je compris que son manque de patience va nous amener à baiser là.
Il commença à lécher et à titiller ma poitrine. Il continua à me doigter. N’étant pas du tout à l’aise, il sortit et me demanda de faire de même.
Il me fit asseoir sur le capot de sa voiture, m’écarta les jambes, et me lécha. A sa façon de me lécher, je savais qu’il avait faim de ma chatte. Je gémissais de plaisir. C’était super bon, je prenais mon pied. J’oubliais qu’on était en extérieur, et qu’on pouvait nous surprendre à n’importe quel moment. Il arrêta de me lécher et me pénétra. Il prit mes cuisses et s’en servait pour bien me pénétrer. Il commença à me baiser au début doucement. Je me caressais, son regard ne demandait que ça. De plus en plus ses coups se faisaient plus forts et plus vites. Je criais moi-même de plus en plus fort. Ayant peur de se faire coller, il mit sa main sur ma bouche.
Il retira tout de suite son sexe. Je compris qu’il allait jouir. Quoi déjà.
C’est bon il a su se contenir. "C’est trop bon, j’ai failli jouir". Il me retourna, je me retrouvais face au capot et me pénétra à nouveau. Il me prit les bras et me baisa à nouveau. Il faisait ce qu’il voulait de moi. Il ne me ménagea absolument pas, même mes cris ne l’arrêtaient pas. Il faut dire que je l’encourageais " plus fort, plus fort", "c’est bon, baise-moi"…
Il m’allongea par terre, sur l’herbe, et continua de plus belle. Rien ne l’arrêtait. Je lui offrais mon corps avec plaisir. Il me tient par les cheveux et trouva le moyen de m’embrasser. Il s’allongea à son tour et me plaça à califourchon sur lui. Apparemment il veut que je m’occupe de lui. Il m’admirait en train de m’amuser avec sa queue. Je voyais à ses mimiques qu’il aimait beaucoup ce que je faisais. Ma généreuse poitrine profitait pour sauter dans tous les sens. Il posa sa main sur mes seins, et les malaxa avec vigueur. J’essayais de faire varier les sensations, à un moment je mis à le baiser carrément. Il me renversa sur les côtés, pour me remettre par terre. Il recommença ses va-et-vient plus forts et plus vites encore, encore, encore… Jusqu’à ce qu’il finisse par jouir sur tout mon corps. Il a joui et pas qu’un peu.
Il se coucha par terre, épuisé. On était tous les deux morts. Je m’essuyais, avec un morceau de tissus que m’avait donné Sylvain.
— Je t’avais bien dit que t’allais aimer.
C’est vrai que j’avais aimé, mais je repensais à Antoine. J’avais pris du plaisir avec un autre, beaucoup de plaisir.
Et j’en avais encore envie.