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Le Chantage : Début d'une libération – Chapitre 1

Le Chantage : Début d'une libération - Chapitre 1



Prestataire dans une société de services, je suis amené à me déplacer assez souvent, et pour des durées plus ou moins longues. J’ai actuellement 27 ans, et cela fait maintenant près de deux ans que je suis chez le même client qui se trouve à près de 300 kms de mon domicile. Il est donc impossible de rentrer chez moi tous les soirs rejoindre ma copine, âgée de 23 ans. Pour une meilleure compréhension de l’histoire, je vais donner des noms, mais toutes ressemblances avec la réalité, et une pure coïncidence. Pour mon anonymat, je m’appelle Dominique et ma copine Magalie. Amateur de sexe, j’ai toujours voulu avoir diverses relations avec plusieurs femmes (en même temps ou pas), mais des relations sans lendemain (purement sexuelles). Pendant une longue période, ce n’était que de simples phantasmes. Mais depuis, près de 5 mois, tout a basculé ! Je vais vous raconter l’histoire qui a changé ma vie sexuelle !

Cela s’est déroulé au début de l’été. Cette année, l’été n’était pas très chaud (au niveau des températures), et les seuls jours de beau temps et de fortes températures, les jupes se raccourcissent l’instant d’une journée. J’ai une collègue, que l’on prénommera Agnès, pour une discrétion la plus totale, avec un charme fou. Elle est de 12 ans mon aîné, blonde cendré, yeux bleus, 1 m 74, des seins magnifiques à mon goût (pas trop gros, et pas trop petits, de la taille d’une orange et aussi ferme !), un corps splendide et des jambes interminables : elle rendrait jalouse plus d’un mannequin ! Elle a aussi quelque chose que je n’arrive pas à définir : un charme, un certain charisme, une sensualité semblent se dégager d’elle, à travers son regard coquin, son sourire enjôleur. Il faut dire que c’est quand même le regard chez une femme qui me fait chavirer.

Fin mai, il eu quelques jours de beau temps. Agnès comme beaucoup de femmes, profita de ces quelques jours pour sortir ses minis jupes. Un jour, comme à mon habitude, en passant devant son bureau, je m’arrêtai pour lui dire bonjour. Et là, je fus estomaqué lorsque je rentrai dans son bureau. Elle était penchée sur son bureau, son petit postérieur en arrière, les coudes sur son bureau, téléphone d’une main et un crayon de l’autre prenant les diverses informations. Je restais là au moins deux bonnes minutes à regarder les contours de son string en dentelle se dessiner sur sa jupe droite moulante à souhait ! Et ses jambes galbées, interminables ! Un paradis ! Je me disais, vas-y fonces ! Défonces lui le cul ! J’en avais horriblement envie, mais même en ayant l’air d’être quelqu’un de sur de moi, je suis aussi très timide, lorsqu’il s’agit de sexe ! (Enfin jusqu’à une certaine date !) Restant immobile, fixant son cul face à moi, je ne m’aperçus pas tout de suite qu’elle avait raccroché !

C’est quand elle se releva, que je fus contraint de revenir à la réalité ! Elle se retourna, et me vis dans le cadre de la porte, et me dis tout simplement ’ Tiens, bonjour comment vas-tu ? ’ Et je lui dis tout simplement comme si de rien n’était (excepté que mon sexe était bien bandé) ’ Super bien, aujourd’hui, j’ai commencé la journée d’une manière splendide (surtout avec la vue que je venais d’avoir, et pour accentue le tout, je venais juste de remarqué qu’elle avait un chemisier blanc presque transparent, avec un large décolleté, laissant apparaître la naissance des ses seins pris au piège d’un sg en dentelle blanche à balconnet). Elle a du s’apercevoir de mon trouble, car elle partit rapidement prétextant une réunion. Je passais toute la matinée en pensant à elle !

Faisant du sport le midi 2 fois par semaine près de mon hôtel et étant assez pudique, je prends ma douche dans ma chambre avant de retourner au bureau. Ce jour, en était un comme d’habitude, et c’est en descendant au sous-sol que je tombe nez à nez avec Agnès dans l’ascenseur, elle était radieuse. Je monte dans ma voiture, et je la vois monter dans une voiture de société, et je la regarde partir.

Après avoir transpiré, je retourne tranquillement à mon hôtel. Et là je trouve une des voitures de fonctions de la boîte où je me trouve. Je me pose la question ’ Qui cela peut-être ? ’ car à midi, dans le genre d’hôtel où je suis, généralement vers midi, c’est juste une location pour une heure ou deux ! En entrant dans le hall, je vois notre gérant et je lui demande s’il sait dans quelle chambre cela se déroule, en espérant deviner qui est-ce ? Il me répondit que c’est l’une des chambres à mon étage, mais il ne s’en souvient plus laquelle, car en fait il y a 3 couples qui sont en train de prendre du plaisir ! Je me dis tant pis, et je regagne ma chambre, et j’entends des bruits ’ obscènes ’ un peu partout ! Je prends ma douche, bien froide pour calmer mes ardeurs (Agnès le matin, et les 3 couples du midi ….)

Enfin tout se passe bien, je me rhabille, calmé de mes émotions, et je voulais repartir au bureau, mais là surprise ! En voulant sortir de l’hôtel, je tombe nez à nez avec Agnès, accompagnée d’une personne que je ne connaissais pas ! Une Femme ! Elles se tenaient par la main, et elles avaient un regard et une odeur qui se dégageaient d’elles et qui en disaient long sur ce qu’elles avaient fait !! Elles ne m’avaient pas encore vu, mais soudain Agnès leva les yeux et resta figée sur place en me voyant ! Pas de bol pour elle, elle a choisi un hôtel au hasard, et c’est le mien ! Je fis semblant de ne pas la connaître et comme si de rien n’était, je partis presque en courrant.

Tout le long du trajet, j’imaginais ce qu’il s’était passé dans cette chambre. De plus, je me remémorais le visage de sa compagne, et je me disais que je l’ai déjà vue quelque part ! Arrivé au bureau, je vis que j’avais un message sur ma messagerie. C’était elle, et elle me demanda de ne rien dire et qu’elle voulait me voir pour en parler ! Rapide, elle a du l’envoyer dès qu’elle fut arrivée, le temps que j’aille chercher un sandwich ! Je lui répondis que cela ne me dérangerais pas de la voir, et c’est avec une pointe d’humour que je finis le message en disant ’ Et j’y gagne quoi si je me tais ? Tu me donnerais quoi en échange ? ’ Elle me répondit que le mieux serait de se voir discrètement vers 17 heures, dans le sous-sol au parking, et qu’elle est prête à tout me donner pour mon silence.

J’attendis avec impatience l’heure dite ! Vers 17 heures 10 je descendis (en retard à cause d’une réunion), et je la vis faisant les 100 pas dans le garage. Lorsqu’elle me vit, elle s’immobilisa en silence. Je m’approchai d’elle, et je commençai la conversation. Elle me coupa net, et elle me dit : ’ ?coute, je ne suis pas lesbienne ou encore moins bisexuelle, et mon mari qui est souvent en déplacement, me délaisse un peu le week-end ! Et Nathalie, je ne sais pas si tu te souviens d’elle, c’était notre ancienne secrétaire par intérim, (et là j’eus un flash je me souvenais d’elle, secrétaire en intérim, de mon age, juste 3 mois de mon aînée, avec un Mari qui voyage beaucoup aussi) a les mêmes problèmes que moi ! Alors de file en aiguille, nous avons discuté ensemble plusieurs fois, et nous nous rapprochons l’une de l’autre. Et par la force des choses, nous avons toutes les deux cédées à la tentation, tester, une expérience à deux. C’était la première fois, et je ne me souviens pas d’avoir joui comme cela depuis un long moment. Elle m’a confié la même chose. Je crois que nous allons renouveler l’expérience, mais il faut que tu gardes l’histoire pour toi ! Je ferais n’importe quoi ! Dis-moi ce que tu veux et je te le donnerais ! ’

Et c’est à ce moment que tout à basculé ! Je ne sais pas ce qu’il m’a pris, mais je lui ai répondu qu’elle devait payer mon silence avec son corps, qu’il devait m’appartenir, et que je pouvais en faire ce qu’il me plaisait (dans la limite de l’acceptable : pas de sévisses corporels, urologie, scato, sado masochiste ou encore zoophile, je ne suis pas de ce genre là)! Elle fut tout d’abord surprise de ma réponse et à ma grande surprise, elle me répondit que son corps m’appartenait à partir de maintenant, et que je pouvais faire d’elle ce que je voulais. Me rendant compte de ce que je lui demandais, je lui répondis que c’était une plaisanterie, et que je ne pouvais pas lui demander cela, et surtout elle pouvait compter sur mon silence. Et là seconde surprise, elle me répondit : ’ Je sais que tu as envie de moi, car j’ai bien vu ton trouble ce matin, et ta réponse spontanée me le confirme, et c’est avec joie que je t’offre mon corps ! C’est moi qui te le propose ’

Je fus bouche bée, un silence de mort s’installa pendant au moins une bonne minute. Une voiture du second sous-sol remonta et me ramena à la réalité, et je dis : ’ Tu as entièrement raison, et comme tu me le proposes, j’accepte, et je ne te demanderais pas grand chose pour commencer : je voudrais juste que tu me montres ton sg et tes seins, et aussi ton joli string qui se laisse deviner à travers ta jupe ! ’ Elle m’attira dans un coin du garage où se trouvait sa voiture. Elle entra à la place du chauffeur et alluma son plafonnier de voiture. Elle commença à déboutonner son chemisier et je vis ses seins compressés dans un sg tout en dentelle. Ses tétons étaient visiblement durs et bien érigés. Je lui dis de les sortir, de les laisser à l’air. Elle fit un rapide coup d’?il aux alentours, et les extirpa, ils étaient magnifiques. J’avais une envie folle de les sucer, de les caresser, mais l’émotion et ma timidité m’empêcha de le faire. Elle regardait toujours aux alentours. Je lui dis ’ Et le reste ? ’ Elle me jeta un regard malicieux, me fit un joli sourire, et tout en regardant droit dans mes yeux, elle remonta sa jupe jusqu’à sa taille et là je vis un superbe string blanc à dentelle, assortit à son sg ! Je restais là planté à la contempler, et elle me fixait droit dans les yeux, avec un petit sourire aux coins de ses lèvres, un regard presque vicieux ! Je bandais comme un fou ! Je levai les yeux pour regarder ses yeux bleu océan, et je vis que son regard avait maintenant descendu au niveau de ma bosse, et elle la contempla en disant ’ Merci, je vois que je te fais de l’effet, et j’en suis contente ! ’ Elle me regarda de nouveau et me fis un clin d’?il, je voyais bien que cela lui plaisait !

Soudain quelqu’un sortit de l’ascenseur à l’autre bout du garage, elle se réajusta, me fit un clin d’?il, et me dit : ’ Désolée, je dois aller chercher mes gosses, mais je te promets que demain je suis toute à toi ! Et je te prie de garantir que je saurais payer mon tribut, ma taxe ! ’

Je vais vous avouer, je la regardais partir bouche bée, je ne savais pas qu’elle pouvait être aussi cochonne ! Le pire, moi qui ne suis pas un adepte de la branlette, et ben je n’ai pas pu m’en empêcher ce soir là, en pensant à tout ce que je pouvais faire avec elle et les idées fusaient ! Je n’ai pas dormi beaucoup, et j’essayais surtout de ne pas me branler, pour être en forme, car je lui avais prévu quelque chose pour la pause du midi ! Mais cela est une toute autre histoire ! Je vous la raconterais plus tard, mais tout ce que je peux vous dire, c’est qu’avec le temps, je me dévergonde de plus en plus et je suis de plus en plus accroc au sexe ! Si ma copine le savait, je crois que je serais foudroyé sur place !

Allez, à une prochaine fois !

PS : Je rappelle que tous les noms sont fictifs, et que toute ressemblance avec d’autres personnes, et une pure coïncidence ! Les prénoms, je les ai choisis dans mon entourage !

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