Je suivis Noël jusquà la cuisine ; il ouvrit une porte que javais vue lorsque son épouse mavait fait visiter, mais je lavais prise pour une porte de cellier. Une fois cette porte franchie, nous nous trouvâmes dans une grande pièce équipée comme son cabinet médical.
Tu pratiques ici aussi ?
Oui, mais plus spécialement : ce sont certains de mes clients qui ont financé ce cabinet ; il sert pour des rendez-vous très particuliers. Si tu préfères, nous jouons au docteur me répondit-il avec un sourire.
Je ne compris quà demi-mot ce quil me disait ; je lui demandai plus dexplications, il mexpliqua que, puis il me demanda
Certains de mes patients aiment, tout comme toi, les auscultations très approfondies. Les pratiquer ici est mieux, car plus tranquille. Cela te plairait de participer à nos jeux ?
Oh oui, bien sûr !
Il me fit faire le tour de ce cabinet de consultation très spécial équipé du matériel dernier cri. Nous arrivâmes près du siège dauscultation.
Attends, je te montre.
Il sy installa et plaça ses pieds dans les étriers. Jétais très occupé à mater ses couilles qui pendaient au-dessus de son anus ouvert.
Assieds-toi et appuie sur le bouton juste sur le côté du fauteuil.
Je fis ce quil me demandait, non sans une certaine curiosité. Le tabouret sur lequel je métais assis se réglait en hauteur grâce à une petite manette : il suffisait de sasseoir et dappuyer sur la manette pour descendre ou se lever un peu, et de lever la manette pour le faire monter. Il était en cuir et le contact direct avec mes fesses me fit du bien tellement il faisait chaud dans la pièce. Jappuyai sur le bouton que Noël mavait indiqué et je vis, avec étonnement, toute la partie basse de la table se relever alors que le haut du corps de Noël ne bougeait pas ; et cest avec plaisir que je vis monter son bassin vers mon visage alors quen même temps les étriers sécartaient doucement. Quand je relâchai le bouton, Noël était écartelé devant mes yeux et javais tout son bas-ventre à portée de main et de bouche. Sa petite bite fatiguée et repliée sur elle-même reposait au creux de son aine ; la peau de ses couilles était fripée et ses fesses étaient grandes ouvertes.
Je me penchais en avant et passai un coup de langue sur ses couilles.
Tu sais, avec ce quon vient de faire, tu narriveras pas à me faire bander : je suis à sec. Alors laisse-moi aller prendre une douche et on verra plus tard.
Je le regardai dans les yeux pour lui répondre.
Jai envie de sentir ta bite gonfler dans ma bouche et ton sperme minonder et gicler au fond de ma gorge ; alors je vais faire ce quil faut pour ça.
Non. Sil te plaît, laisse-moi me remettre en forme, je suis sûr que je
Je ne le laissai pas finir sa phrase et avalai sa bite. Je commençai à la mâchouiller, puis à la mordiller, tout en caressant ses couilles et ses cuisses. Au bout de cinq minutes, rien du tout ; pas la plus petite réaction. Jen fus étonné.
Tu vois, je te lavais dit ; allez, laisse-moi aller prendre ma douche.
Non, pas question. Je viens de te nettoyer du plaisir dAnne-Marie, et je veux que tu bandes.
Je me penchai à nouveau, lavalai et commençai à lui caresser la raie ; et là, je sentis un frémissement dans ma bouche. Jarrêtai ma caresse juste sur son petit trou et jappuyai doucement mon majeur dessus. Jarrivais à mes fins : la bite de Noël commençait à durcir. Je rentrai mon doigt doucement dans son anus ; et plus je le rentrais, plus sa bite gonflait. Quand mon doigt fut au fond de son cul, sa bite était suffisamment dure pour que je puisse enfin men régaler et espérer boire son plaisir. Noël haletait.
Tu vois ?
Tu es une véritable salope ; jamais je naurais cru que tu allais y arriver, me dit-il en souriant.
Maintenant, je vais te sucer et te branler le cul jusquà ce que tu exploses dans ma bouche. Je veux sentir ton foutre gicler au fond de ma gorge, et je vais me régaler quand je vais le sentir glisser dans ma gorge pour lavaler.
Je le repris avec ardeur dans ma bouche et fis de rapides va-et-vient sur sa colonne de chair qui palpitait entre mes lèvres ; en même temps, je retirai presque entièrement mon majeur de son anus, y accolais mon index et les fis rentrer tous les deux entièrement dans son petit trou. Noël gémit.
Cest trop bon, ma petite salope : jadore quand tu me suces et me branles le cul en même temps. Tu vas me faire jouir
Il avait à peine fini sa phrase que je sentis quil allait exploser dans ma bouche. Je le fis sortir un peu pour ne pas être étouffé et je rentrai dun coup mes deux doigts au fond de son cul. Il explosa dans un hurlement ; pas beaucoup de sperme, mais il me remplit la bouche. Je laspirai pour ne rien perdre puis, le relâchant et retirant mes doigts, je le regardai, ouvris ma bouche en grand pour lui montrer son sperme posé sur ma langue et la refermai pour tout avaler en me délectant de ce nectar.
Noël mit cinq minutes à « revenir » ; jabaissai le fauteuil et il en descendit en titubant.
Wow, cétait vraiment trop bon il faut que jaille me doucher, maintenant. Anne-Marie a dû finir : tu nas quà monter et utiliser la douche den-haut.
Daccord.
Je pris la direction du premier étage. Tout le sol de la maison était recouvert de carrelage ; y marcher pieds nus était très agréable et, de plus, silencieux. Arrivant en haut de lescalier, jentendis Anne-Marie qui chantonnait un air en vogue. Me dirigeant au son de sa voix, jarrivai à la salle de bain et là, je restai quelques minutes à contempler le spectacle quelle moffrait : de dos, le pied droit posé sur le rebord de la baignoire, elle était en train de mettre du vernis sur les ongles de son pied. Dans cette position, elle offrait à mon regard ses hanches pleines et surtout ses fesses ouvertes ; je voyais le bas de son sexe et ses lèvres qui pendaient un peu, mais surtout son anus encore dilaté par ce quil avait pris une petite heure avant.
Cette vision me fit bander immédiatement. Je décidai de profiter de la position dAnne-Marie. Je mapprochai doucement, bite tendue, et lorsque je fus derrière elle, en même temps que je posais mon gland sur son ptit trou, je donnai un grand coup de reins qui menvoya au fond de son cul dun seul coup. Anne-Marie, surprise, poussa un cri et voulut se redresser ; mais je lattrapai par les hanches et commençai à la pilonner. Elle tourna la tête et, me voyant, elle me sourit. Elle se pencha en avant.
Défonce-moi ; mets-moi tout et remplis-moi !
Demandé comme ça, je ne pouvais pas refuser et je commençai à donner de grands coups de reins afin de mempaler au fond delle à chaque fois. Elle gémissait de plus en plus et sa respiration était haletante. Je sentais le plaisir monter en moi et en même temps en elle Quand, dans un dernier coup de reins, jexplosai au fond de son cul, Anne-Marie hurla son plaisir tout en serrant les fesses pour que je reste en elle. Quand nous redescendîmes, Noël, souriant, vautré sur un transat nous attendait ; il avait mis la table et resservi une tournée dapéro. Nous mangeâmes en échangeant des banalités. Lorsque nous fûmes au dessert, Noël sadressa à Anne-Marie.
Je lui ai fait visiter le cabinet, et il a beaucoup aimé.
Elle le regarda tendrement.
Je sais ; il ma raconté et je pensais quon pourrait peut-être le faire participer à lune de nos soirées : je suis sûre que nous trouverons un de nos patients qui sera réceptif à sa vigueur.
Je lui ai déjà demandé, et il est daccord. Alors, comme tu les aussi, je passerai quelques coups de fil demain matin et nous verrons comment organiser ça.
Il se tourna vers moi.
Tu es libre tous les soirs ?
Oui, si je suis prévenu suffisamment tôt la veille pour le lendemain.
Nous refîmes lamour après dîner, et il faisait tellement bon que nous nous endormîmes sous la tonnelle. Le lendemain, je me réveillai le premier ; Noël était dans un transat et Anne-Marie, toujours endormie, sur une épaisse couverture quelle avait posée sur le sol. Je me levai doucement pour ne pas les réveiller et allai prendre une douche. Lorsque je redescendis, ils étaient en train de se réveiller. Noël se leva et se dirigea vers le fond du jardin ; je le regardais en me disant que jaimais bien sa silhouette un peu grasse, soit ; mais son embonpoint lui allait bien, et ses fesses bien rebondies étaient attirantes. À ce moment-là, Anne-Marie se leva dun bond et lui dit :
Stop ! Tu es un porc ! Je tai déjà dit que je ne voulais pas que tu pisses dans le jardin : tu vas faire crever les fleurs !
Tu fais chier ! Jai envie de pisser et jy vais, cest tout. Je ne vais pas faire crever toutes les fleurs en pissant dessus de temps en temps.
Je tai dit non, cest tout ! Va aux toilettes comme tout le monde.
Sapercevant de ma présence, elle me demanda ce que jen pensais ; je lui répondis queffectivement, ce nétait pas bon pour les fleurs mais que je connaissais dautres solutions. Noël revint vers nous en faisant la moue ; ils me demandèrent en même temps « Lesquelles ? »
Comme vous le savez, jai été éduqué très jeune ; à cette époque, on était à la limite entre léducation et la domination et, un jour on ma « obligé » à faire de ma bouche une cuvette de toilettes et de ma langue du papier hygiénique.
Beurk, mon pauvre chou, cest dégueu ! Tu as dû en baver »
Oui, mais denvie ! répondis-je à Anne-Marie du tac au tac.
Je remarquai que Noël commençait à bander.
Donc, si tu veux te vider la vessie, je suis tout à toi et ma langue servira de ramasse-gouttes : pas besoin de me forcer ; jaime ça.
Et si tu as aussi un gros pipi du matin à faire, ce sera avec plaisir et je tessuierai après, dis-je à Anne-Marie.
Il y eu un grand moment de silence, puis Noël se leva et dun ton inhabituellement dur mordonna :
Viens dans lherbe ; et à genoux, salope !
Je me levai, me mis à genoux et le suivis jusquau bord de la terrasse, puis sur la pelouse. Il se mit de profil pour quAnne-Marie nous voie bien et, tout naturellement, je me mis en face de lui, ouvris la bouche et mis mes mains dans mon dos. Anne-Marie nous regardait, fascinée. Elle avait ouvert ses cuisses et se caressait doucement la chatte dun doigt distrait.
Noël pris son sexe en main, le redressa, le dirigea vers ma figure et commença à uriner. Le premier jet matteignit au front et je fermai les yeux.
Ouvre les yeux, salope ! Je veux que tu regardes ce que je te fais !
Jouvris les yeux ; alors, Noël abaissa sa queue pour diriger le jet vers ma bouche. Je dus fermer la bouche pour déglutir ; je crus que jallais étouffer Noël sarrêta de pisser et, de sa main libre, il me mit une claque.
Ouvre ta petite bouche de sale pute en grand pour tout avaler !
Venant tout juste de déglutir pour avaler son urine chaude et odorante, je rouvris la bouche, et il rouvrit les vannes de sa vessie.
Putain, que cest bon ! Ça soulage
Je tournai mon regard vers Anne-Marie : elle était en train de se branler en gémissant, avec deux doigts quelle bougeait très rapidement dans sa chatte.
Alors, chérie, comment trouves-tu notre nouvelle cuvette de toilette ?
Jadore, mon chéri ; et comme ça, tu nabimeras plus les fleurs. Par contre, moi qui ne suis pas habituée à pisser en plein air, je crois que je vais aimer, maintenant. Dépêche-toi de finir car jai une envie folle de lui pisser dessus et aussi dans sa petite bouche de salope ; je suis sûre quaprès il naura plus soif ! répondit-elle à Noël en gémissant.
Et sortant ses doigts de sa vulve, elle se leva et vint vers nous.
Noël finissait de se soulager. Il secoua sa bite au-dessus de ma bouche grande ouverte.
Lèche les dernières gouttes, petite pute ! Essuie-moi bien la queue !
Je tendis le cou et passai ma langue sur son méat pour récupérer les dernières gouttes qui perlaient.
À toi, chérie ; jespère que tu apprécieras autant que moi…
Anne-Marie se positionna en face de moi, écarta les jambes, posa une main en haut de ses lèvres et commença à se lâcher à son tour. Son premier jet arriva directement dans ma bouche. Mais elle stoppa net son action.
Je ne vais pas faire pareil : je veux que tu boives tout. Par contre, si tu en fais tomber, je te mets une fessée dès que jai fini.
Jétais déjà très excité ; mais au mot « fessée », ma bite tressauta de plaisir et je me dis que, de toute manière, je navais aucune chance de ne pas la recevoir si Anne-Marie en avait vraiment envie. Et, effectivement, elle se vida en plusieurs fois. Je me demandais comment jallais faire pour obtenir ma punition quand je la vis bouger imperceptiblement son bassin ; le jet suivant arriva juste au bord de ma bouche et je ne pus lavaler : il coula le long de mon menton et ruissela sur mon torse.
Je sens que ton ptit cul va chauffer, ma salope Je vais le corriger pour tapprendre à obéir ! Mais avant, essuie bien ma chatte, quil ne reste rien du tout !
Évidemment, je mappliquai ; elle était tellement excitée quelle jouit debout et dans ma bouche. Ses jambes tremblaient et je dus la rattraper car elle allait tomber en arrière. Elle me sourit, et se tourna vers Noël pour lui dire :
Mon chéri, je taime, et jaime ce que tu me fais ; mais je reconnais que ça fait longtemps que je navais pas joui aussi fort : une véritable explosion ! Cétait vraiment trop bon
Puis, se tournant vers moi :
Merci, petite salope ; mais tu vas quand même prendre ta correction. Suis moi, et à genoux bien sûr !
Elle sinstalla sur un transat.
Alors, tu arrives, salope ?
Lorsque jarrivai à ses côtés, elle me dit :
Passe tes mains de lautre côté du transat, et reste en équilibre.
Je fis ce quelle me demandait ; cétait une position très instable et très inconfortable. Jugeant que je nétais pas assez baissé, elle saisit ma queue et tira dessus pour me faire descendre. Lorsque je fus à sa portée, elle commença à me claquer le cul de manière régulière, mais de plus en plus fort. La douleur me fit gémir.
Viens, mon chéri ; ferme-lui la bouche avec ta bite. Jespère quil a appris à ne pas parler la bouche pleine
Noël, excité par le spectacle, vint se mettre devant moi et força ma bouche avec sa queue. Oh, il ne força pas beaucoup ; jen avais très envie ! Je lavalai et commençai à le sucer alors quAnne-Marie, deux doigts dans la chatte pour se branler, reprenait la correction quelle avait décidée de madministrer.
Tu sais, chérie, à ce rythme je ne vais pas tarder à jouir : il fait tout ce quil faut pour ça.
Anne-Marie arrêta la correction.
Ah non : tu ne jouis pas dans sa bouche ! Je veux que tu jouisses au fond de ma chatte, et lui au fond de mon cul.
Et, me tapotant les fesses, elle sadressa à moi :
Allez, mon chéri, la punition est terminée. Maintenant, la récompense.
Noël maida à me redresser, et Anne-Marie se leva en nous déclarant :
Comme hier soir. Noël, assieds-toi.
Je préférerais tenculer
Elle gifla Noël pour sa remarque.
Tu fais ce que je dis, sinon cest toi qui prends une fessée et lui qui te ferme la bouche !
Je vis un éclair dans les yeux de Noël et compris que, tout comme moi, cette situation ne lui déplairait pas Il fit cependant ce que sa femme lui demandait, et quelques minutes après nous étions emmanchés lun dans lautre ; et cest dans cette position que nous prîmes tous les trois notre plaisir, pendant quAnne-Marie hurlait à qui voulait lentendre quelle adorait avoir deux bites au fond delle. Lorsque nous eûmes repris nos esprits, Noël se leva.
Je vais appeler quelques amis pour voir si certains nauraient pas besoin dune consultation.
Quelle bonne idée, mon chéri : quand ils vont savoir que tu as un nouvel assistant et surtout son âge je suis sûre que tu vas remplir lagenda !
Tu es dispo en fin de semaine pour venir passer le week-end ici avec nous ?
Pas de problème, bien au contraire !
Noël revint un quart dheure plus tard.
Bon, ben voilà : nous avons déjà deux rendez-vous pour le week-end prochain ; et je suis sûr que les week-ends suivants seront vite pris.
Il ajouta en se tournant vers moi :
Si tu le veux, bien évidemment.
Je pensais à Martine et me dis que la solution pour passer du temps avec elle serait de la faire inviter pour le week-end.
Chérie, je suis crevé et il faut que je parte de bonne heure pour ma conférence. Peux-tu le raccompagner ?
Anne-Marie, avec un grand sourire, lui répondit quil ny avait pas de problème. Je décidai de tenter quelque chose : je demandai si je pouvais passer un coup de fil, puis jappelai Martine pour lui dire « Jai passé un super week-end. Est-ce que je peux venir te le raconter et dormir chez toi ? Jirai au boulot directement demain matin. » Martine, enthousiaste, me répondit que ce serait avec plaisir, et que ça tombait bien que jaie appelé car elle avait une surprise pour moi. Puis jappelai ma mère pour lui dire que je dormirais chez Martine et que je ne rentrerais que le lendemain soir. Puis Anne-Marie et moi montâmes en voiture et prîmes la direction du domicile de Martine.