Je vais vous raconter comment je me suis retrouvée un certain soir sur le deuxième rang et pourquoi aujourd’hui j’y vais très souvent.
Ce rang est une route que je n’avais jamais empruntée avec un homme jusqu’à maintenant. Je m’y étais aventurée, seule, timidement certains soirs où le poids du célibat m’amenait à chercher de nouveaux plaisirs afin d’apaiser le désir dévorant et inassouvi d’être prise par un homme. C’est donc après deux années de disette sexuelle que je rencontre l’homme qui me fit emprunter ce chemin.
ENFIN !!! quelqu’un pour assouvir la soif de mon con déserté depuis déjà trop longtemps et qui se meurt d’envie d’inviter cette homme à s’abreuver à la source de mon vagin qui ne cesse de jaillir aux caresses habiles de ses mains, de sa langue et de sa queue.
Hantée par la peur de le voir déserter mon antre qui ne se lasse pas de sa présence, j’en demande encore et encore avec toute la force et la conviction d’une femme dévorée par le désir. Guidé probablement par cette soif désertique, c’est avec beaucoup d’audace et d’assurance que les mains très habiles de mon nouvel amant se promènent et flânent de plus en plus souvent au coin du deuxième rang. Un peu hésitante, je résiste et me montre peu intéressée à emprunter ce chemin. Son insistance et ma timidité font que ses doigts s’y aventurent régulièrement et un soir que sa queue me fouille et me procure cette sensation d’abandon qu’il manquait pour que je le laisse s’enfoncer complètement dans mon anus, je découvre pour la première fois le plaisir intense d’une double pénétration.
Son doigt me fouille l’anus et même si cette sensation nouvelle qui pour l’instant vacille entre le plaisir et la douleur, c’est sans aucune équivoque que j’arrive à une jouissance intense et fracassante. Un peu gênée, mais assouvie et ravie, aucun mot de protestation ou de réprimandes ne franchi le seuil de mes lèvres. Les yeux brillants de reconnaissance, je lui souri.
Les jours précédents ses visites nocturnes, je suis hantée par cette nouvelle sensation qu’il me tarde de ressentir à nouveau. Un peu gênée d’exprimer mes désirs, timidement je lui tourne le dos pour qu’il devine que mes fesses se meurent d’envie de l’accueillir à nouveau. Heureusement pour moi, son esprit vif et ouvert comprend très bien ce que mon corps lui réclame. C’est un soir où transportée très loin par le plaisir intense d’un coït endiablé qu’il introduit dans mon anus déjà lubrifié par ses doigts habiles un objet plus gros, en fait, c’est l’étui métallique d’un cigare de la Havane qui se fraie un chemin et qui s’aventure plus profondément dans mon anus. Un peu surprise, j’hésite, mais vite rattrapée par une vague puissante et dévorante, je m’abandonne à nouveau à ses bons soins et sans plus aucune gêne, je suis secouée de ce double plaisir qui me fait perdre complètement la tête. Il dirige le cigare dans un va et vient qui suit la cadence de sa queue dans mon vagin et c’est surprise par un orgasme intense que je laisse sortir de mes lèvres une plainte voisine d’un pleur, mais vraiment issue d’un plaisir inavoué.
Entre ses visites, qui maintenant sont de plus en plus rapprochées, je vois, dans ma tête, certaines images que je trouvais autrefois choquantes dans les films pornos que je visionnais pour me souvenir de ce que, seul un homme peut apporter à une femme.
Vous devinerez donc, que ce qui devait arriver est arrivé. Un de ces soirs où naviguant sur une mer tempétueuse, le capitaine a pris la barre dans ses mains et s’est introduit en moi d’un seul coup en me soutirant un cri de douleur qui s’est tranquillement transformé en un cri déchiré de plaisir et de jouissance. Jamais je n’aurais cru que mon anus puisse accueillir sa queue sans se me blesser, mais aussi lubrifié que mon vagin, c’est sans aucune douleur que je me plante sur sa queue, recherchant sans cesse ce plaisir étrange mais tellement enivrant. C’est avec un sourire gêné que je le regarde me sodomiser dans le miroir de la porte de mon garde robe et mon esprit un peu pervers voyage dans l’univers des plaisirs défendus. Je me mors les lèvres, je m’agrippe à la table sur laquelle mes seins frottent au rythme de sa queue qui s’enfonce en moi et c’est quand mes jambes n’arrivent plus à me porter que je m’affaisse sur le plancher, le corps un peu endolori, mais satisfaite et repue.
Maintenant que mes tabous ce sont mis à genoux au service des mes désirs, c’est sans aucune gêne que je présente mes fesses à mon chum pour qu’il me prenne par derrière pour me procurer, des heures durant, un plaisir infini qui ne cesse de grandir. Maintenant que je m’abandonne complètement à ce nouveau plaisir, c’est avec délice que je le laisse s’enfoncer en moi au rythme de son plaisir à lui et que concentrée sur le vas et viens de sa queue entre mes fesses, j’arrive à jouir de cette seule et unique caresse. Cette jouissance est délicieuse comme un fruit défendu, juteux et sucré qui coule sur le menton quand on croque dedans. Jamais assouvis, mon anus ne se lasse pas de cette caresse qui le stimule et le masse comme un muscle endolori qui a travaillé très fort.
Quand avec adresse, beaucoup de fantaisie et certains objets, nous arrivons à trouver une position permettant une double pénétration c’est comme en transe, que mon corps suit la cadence le menant à un plaisir si intense que ni le temps, ni la réalité ne peut me rattraper.
À toute celles qui hésitent à emprunter cette route secondaire, je dis allez-y mesdames, sans hésitations et sans tabous, vous n’aurez aucun regrets. Que du plaisir au carré.
D’une lectrice résidant au 505, 2e rang à Plaisirville au Québec.