LE DONJON
Part 2
Sévère et dernier avertissement. L’auteur n’étant ni sadique ni zoophile ne ferait pas de mal à une mouche fût-elle spécialisée. Rêveur à regarder le plafond, il n’a pourtant jamais tenté de les enculer.
Les mêmes, ma cravache et toi
Aujourd’hui, comme convenu, la Grosse et son taré de frangin sont là tous les deux, rigolards et en pleine forme.
Pour ta fête ils sont passés s’habiller dans mon bureau. La grosse a compris que je comptais sur elle, ses neurones vicieux et sur son outillage personnel pour additionner nos perversités, addition sans retenue bien sur.
Elle m’avait dit qu’elle aurait de nouveaux jouets, que sur le net elle avait repéré des trucs en exclusivité et bien salaces
– Il y en a même des tordus en queue de cochon ! Tu imagines Jieff ?
Que ce serait l’occasion de les tester et qu’elle avait hâte de faire joujou avec toi, d’expérimenter son savoir faire sur une bourgeoise bronzée – Elle sera ma coboye. (sic)
Deux pas vers toi et un regard appuyé lui suffit pour te jauger. Elle siffle méchamment et se lèche les babines:
– C’est elle ta pétasse de la ville ? Tiens donc ?
— Je l’ai croisée au marché l’autre jour. Elle écartait les genoux pour sortir de sa déculottable. Une bourge à crème solaire de mes deux que je me suis dis. Mini-jupe ras la touffe et pas de slip ! De la pseudo hippie bien allumante (sic) ! De la Pelardon en vacances, le genre à bouffer que du bio parce que c’est la mode.
– Celle-là, je la veux à ma botte ! On va lui en donner à boire et à manger, du foutre, de la pisse, de la mouille et plus encore … De la bite de chien ! Fais-moi confiance, elle va les sentir passer la grosse, son frangin et leurs clébards! Il n’y a pas qu’à la ville qu’on connaît des trucs dégueus.
– Tiens! La bourgeoise… Je te présente mon frangin, il est pas piqué des hannetons, ça va te distraire ! Te changer de tes petits marquis parfumés.
La brute s’avance au garde à vous, son cerveau limité à fini par comprendre qu’on parlait de lui. Il est torse nu. De la taille aux genoux un collant noir à reflets lui moule une peau luisante sur un corps d’athlète. C’est un massif, à peine gras du bide. Compétente, elle l’a habillé pour un match de catch, tout pour le ring. Dans l’attente, ses yeux de porc brillent d’excitation et sa peau luit de sueur. Rien d’ambigu dans ce mâle, une bête tatouée, un colosse tout en muscles, regard vide, bouche baveuse en prime. Je pense à un garde mobile avant une manif empaillé vivant et l’air méchant.
Une montagne d’anthologie gonfle son entrejambe. Tu tiques, tu louches, tu salives, tu t’étrangles, un long frisson te parcourt de la nuque aux fesses en repérant sous une trappe les bosses expressives au beau milieu du tissu velouté et scintillant. Ton clitoris durcit, ta chatte vibre et te parle. J’entends un hoquet puis un râle sortir de ta gorge. Ça promet!
La grosse rayonne en nous présentant son sportif – De caniveau ! Elle précise en ricanant. Elle se saisit de ma cravache et, l’exhibant avec l’orgueil d’un manager avant combat, à petits coups secs, le fait pivoter, jouer des biceps, rouler des épaules et des jambes, nous fait miroiter sous toutes les coutures son corps en relief.
L’ayant plié en deux, cul offert sous ton nez, jambes écartées, ses gros doigts boudinés pincent avec férocité et conviction des couilles de cheval et des fesses pneumatiques. Il faut voir avec quel délice, elle y plante ses ongles griffus. Langue sortie, baveuse, elle tend le tissu sur son fessier montagneux. Le collant transparent nous révèle un trou du cul ayant pris avec le temps les dimensions d’un cratère de volcan. La brute, ravie des projecteurs, anime ses muscles, y fait jouer des reflets aux ondulations expressives. J’imagine bien une salle au public féminin chauffée au rouge applaudir à fendre les murs ce colosse trépignant.
– Vise-moi ça la bourge ! A Paris, t’en as pas vu beaucoup des comme ça… Pas vrai ?
Attachée comme tu l’es, tu ne peux pas bouger, mais rien ne t’échappe.
Je lis de l’excitation et peut-être de la peur dans tes yeux. Tes lèvres frémissent, ton corps vibre, arc bandé. Je ne rate rien de tes réactions.
Tu es bien la femme que promettaient tes photos! Celles qui me faisaient rêver, triquer dur, me branler longuement et gicler dans ma main en imaginant que, le nez plongé dans tes lectures d’hôtel, tu m’offrais ton cul grand ouvert, demandeur et palpitant.
La grosse ? A poil ! Bandante pour qui, comme moi, aime aussi les femelles dodues avec un gros cul, des cuisses à cellulite, des mamelles de laitière et des tétons géants.
La quantité ? Certes elle y était ! La qualité ? A voir. Mais de ce qu’elle m’avait appris d’elle, ça promettait.
Je n’ai pas vu de photos de gouines dans ta collection. Tu sembles préférer les bites de chiens aux clitoris ! J’espère que te faire tripoter, branler, sucer et pire par une femme telle que la frangine va ajouter à ton humiliation.
Sa peau très blanche est parcourue de veinules violacées, de plus c’est une velue ! Une forêt de poils noirs joint son nombril à son pubis touffu, s’étale large et garnit jusqu’à l’intérieur de ses cuisses. Un entrejambe de femelle chimpanzé ! Le contraste parfait avec tes formes longilignes, ta chatte épilée, ton bronzage intégral de citadine à crème solaire. Ce sont des gens du cru, à la chair blanche de paysans. Les marques du grand air, au cou, aux bras accentuent la blancheur de leur intimité. Pas le genre à traînasser dans un transat au bord d’une piscine, qu’ils n’ont d’ailleurs pas.
Tu rêvais de te faire lécher, saillir et enculer par des chiens, monter par des chevaux. Ta bouche s’ouvrait à l’idée de sucer des bites de boucs en rut. Eux nous offrent le spectacle d’un taureau niais tenu en laisse par une vache laitière suant de tous leurs pores un flot de sexualité obscène.
Question zoo, avec eux tu es servie ! Et moi, patron à cravache, je suis aux premières loges de cette bestialité.
Leur entrée n’est qu’un bon début.
La grosse, sortie d’un film de Fellini, frétille de toute sa graisse, soulève ses lourds lolos et, sans plus de manières, me les tend à l’horizontale, à deux mains. Je comprend ce qu’elle me demande. Je lui passe un soutif compliqué en sangles de cuir que je boucle à la racine des mamelles. Avec quelques plumes ce serait un parfait harnais pour cheval de cirque, un Percheron, pas moins.
C’est elle qui a choisi ce modèle pour me faire bander et – Pour que l’on n’oublie surtout pas de lui tripoter les nichons. Qu’elle m’a dit !
Des deux bras par derrière, avec le cul qu’elle a, j’ai du mal à en faire le tour sans fourrer ma bite entre ses fesses. Je serre les lanières pour gonfler ses mamelles de vache laitière. Elles s’épanouissent en montgolfières décorées de veines bleuâtres sur une peau blanche comme la craie, ses mamelons rougissent, se bombent en hernies, ses deux tétons grossissent et se dressent fièrement. Elle gémit, elle couine, elle m’inspire :
– Serre fort ! Plus fort Jieff ! Aye pas peur ! Le frangin, quand il se branle entre eux, il me les triture, me les pompe à les exploser et moi je lui broie les châtaignes. Aiiiiïe… Ouuuch ! Là, oui, Stop! Comme ça !
Une énorme poupée obèse, précédée de deux Zeppelins en route pour bombarder Londres.
En caricature de femelle animale, mamelons tendus, gonflés à huit kilos de pression, elle hoquète, tripotant ses chambres à air de poids-lourds.
— Oh… l. la v. vache !
— Je ne te le fais pas dire !
— Tu as expliqué à ton frangin ce qu’on a convenu ? Je ne veux pas qu’il cherche à m’enculer ni rien. Il ne me touche pas, compris ?
— T’inquiète pas Jieff, il obéira. Je lui ai promis des gâteries. Cette pouffiasse et moi nous occuperons seules de ton cul, de ta queue et de tes couilles. Lui aura suffisamment de trous pour se satisfaire. Surtout n’hésite pas! C’est un buf de labour à l’ancienne, comme la moutarde, oui ! A la cravache, à l’aiguillon on obtient tout de lui.
Précédée de ses deux citrouilles rougies, la graveleuse s’avance et s’agenouille aux pieds du malabar. Après lui avoir longuement malaxé les bosses à travers le satin, devant tes yeux, elle ouvre la trappe et lui dégage le machin. A travers les poils qui débordent, elle n’en finit pas de sortir la viande de son entrejambe. Sa bite pend bas sur ses cuisses, elle la soulève, la tord, comprend bien que cette chose t’excite autant qu’elle et joue à guignol devant tes yeux écarquillés. Elle crache dessus, ses mains d’obèse sont bien petites sous l’amas de chair humide. Elle la tripote, la balance de ses doigts, te l’exhibe, l’agite tout près de ton nez.
– C’est mieux que des photos hein ? Mate-moi cette saucisse de Montbéliard ! Elle te donne faim pas vrai ?
Il sent le sanglier, le mâle sauvage, l’homme de Cro-magnon, tu baves. Tu vois dans ses yeux à elle, aux bulles de salive sur ses lèvres entrouvertes le sacré plaisir qu’elle prend à manipuler l’engin, l’outil de ses folles nuits d’inceste.
Le saisissant à la racine, elle te frappe les joues, la bouche à grands coups du gourdin vicieux. S’en servant comme d’un rouleau à pâtisserie elle te travaille le visage, le faisant rouler de ton front à ton menton et, au passage, t’écrase le nez, les lèvres.
— Tu voudrais tâter du mâle hein ? Tu voudrais palper ? Sentir cette viande chaude sur la paume de ta main, entre tes doigts ? Pas vrai la raclure ? Elle sera bientôt à point pour toi, pour une blasée, pour ton con, ton cul et ta bouche. Hein l’experte ? Ton vagin suinte, ton cul s’entrouvre, pas vrai ? Regarde son gland quand je le presse, il suppure autant que ton con mouille ! C’est-y pas de la belle queue de mâle ça madame ?
— Eh bien non ! Tant que Jieff et moi en déciderons, tu n’auras de nous que… Rien!
La grosse sourit vicieusement de son petit effet et j’ajoutais:
— Rien et des brûlures de cravache ! Tu aimes les coups ! Pas vrai la morveuse ? Remercie-moi, parce que de la baffe on va t’en donner !
Ma cravache te zèbre les fesses d’une marque rouge, saignante.
La grosse soulève la nouille molle, te la présente en marchande de fruits et légumes expérimentée, fait rouler le poireau dans sa main, tire dessus, dégage et écrase les testicules entre ses doigts et en tord le sac. L’idiot se tortille de plaisir et, ondulant du bassin, en rajoute aux mouvements. Ses grosses noix sont fripées, velues, sombres avec des grains et des plis marqués. Elle attrape un lacet dans sa mallette en entoure les bourses à la racine, fait plusieurs tours et serre.
— Regarde ses couilles gonfler… Moi aussi, comme toi, je les aime rouge, bien mûres. Tu vois combien ça le fait bander ?
D’un coup d’ongle elle fend le collant à l’entrejambe.
— Attend, je les soulève qu’en même temps tu voies son trou du cul … Il est encore fermé. Pourtant il est beau, non ? ça t’exciterait de le voir grand ouvert ? D’en voir entrer et sortir un peu de tout ? Une langue ou deux, hein ? Moi, j’y met facile quatre doigts et parfois le poing fermé ! Un fisting anal qu’on dit ! Tu aimerais que ce soit ta langue, ta main pas vrai ?
— Allez frangin ! Montre ton cul, je sais qu’elle bandera plus au tien qu’à celui des minets parisiens. Bouge tes fesses connard ! Joue-nous du muscle! Fais-moi mouiller et fais gicler cette pouffe.
Le frangin obéit sans se faire prier. En bodybuildé expérimenté, il t’anime la totale des hanches aux talons. Autour de l’anus des vagues sensuelles montent et descendent de ses muscles blancs soulignés par le tissu noir.
Des deux mains il écarte ses fesses et exhibe son anneau brun rouge boursouflé qu’il fait vivre. C’est vrai qu’il a beaucoup servi et ça se voit. Tu ne cesses de geindre, de mouiller.
La grosse le retourne face à toi, une goutte blanche perle déjà au bout de son gland violacé. Elle tapote de l’index les couilles rougies, ballons gonflés à craquer.
— Ça, c’est du sac à foutre ! Crois-moi salope, mon frangin c’est un camion citerne ! Quand il décharge, il t’en fout partout. Il n’en a pas qu’un peu là dedans !
Tu te lèches les lèvres, tu déglutis. La masse impressionnante de cette viande, libérée des mains de sa sur, s’étale obscène sur le satin noir. Sur grand écran tu as droit à un gros plan de film porno, les odeurs en plus.
Je la regarde faire et je pige pourquoi elle s’occupe si bien de lui. Ce sacré braquemart doit l’obséder jour et nuit. Il y a de quoi !
Elle fait durer, elle veut te pousser aux sommets de l’excitation pour que, par la suite, on puisse tous se régaler de tes cris et de tes orgasmes. J’ai tiré le gros lot. Une aubaine de luxure ces deux salopards.
La grosse se relève s’écarte de nous, fait quelques pas et souffle.
– Bon dieu ! J’ai chaud partout…
Elle me regarde dans les yeux, me fait un clin d’il.
– C’est bon de faire baver, s’pas Jieff ?
Revenant s’agenouiller aux pieds du monstre, elle reprend le truc en main, le branle, faisant à chaque mouvement saillir le gland hors de la peau, il est violet, étranglé à sa jonction au membre, elle te présente le sommet large comme un champignon.
Tu l’imagines redoutablement efficace dans ta chatte, dans ton trou du cul. Tu rêves au jet de foutre que la bête pourrait cracher en toi, sur toi. Les giclées de sperme sont toujours trop brèves à ton goût, tu voudrais que cette lance à incendie te mette le feu partout.
— Elle est belle la queue de mon connard de frère, hein ? Pas vrai, la branleuse en dentelles ?
— Hé ! Frangine…
— Ouais… Qu’est-ce que tu veux ?
— Euh… Pipi…
La grosse ouvre de grands yeux, hoquète, puis visiblement jubile, tire une langue démesurée et dégage le gros gland rose en reculant le prépuce. Elle agrandit en pressant vigoureusement le truc de chair entre deux doigts puis à petits coups de la pointe de sa langue devenu bec d’oiseau vicieux, elle titille le petit trou à pisse qu’elle picore. Le porc choisi le bon moment, il pisse ! Une timide giclée d’abord puis il y va franchement du percolateur. – Et une bière pression ! Une ! Elle rigole et oriente le jet vers vous deux. Tu vois le jet rebondir jaune sur les mamelles blanches de la frangine et ruisseler en torrent dans la profonde vallée entre les deux. Puis, d’un vif coup de poignet, elle t’envoie le jet en pleine gueule. D’instinct tu ouvres grand la bouche et tire la langue.
— On dirait que ces amuse-gueule t’ont donné soif. Tu aimes la pisse Anna ? Je m’en doutais bien.
La grosse pince de ses ongles griffus les fesses du frangin, il fait un bon en avant et sa bite molle se fourre dans ta bouche que tu fermes d’instinct. Tu sens le gland libérer la puissance de son jet sur ton palais, sur ta langue dans ta gorge que tu bloques pour ne pas t’étrangler.
Le gland rouge bave, gicle encore quelques gouttes d’urine ambrée qu’elle le tripote déjà de ses mains expertes. Enfin son machin se dresse lentement et prend la taille d’un silo à grain ! Hallucinée, tu découvres les dimensions du braquemart en rut. Je vois tes yeux s’agrandir d’autant à la vue de cette tour de bidoche, j’y lis non plus de la peur mais de l’excitation obscène. Tu murmures :
– Putain de bordel de merde !
C’est la première fois que je t’entends jurer.
— Qu’est-ce que tu as dit ? Répète-moi ça!
Tu répètes :
— Putain de bordel de merde !
Un coup de cravache.
— Plus fort !
Tu cries :
— Putain de bordel de merde !.
— Anna la pute ! J’aime quand tu deviens grossière, ça m’excite, me donne tout plein d’idées ! Tiens ! Prends ça!
Je n’ai pas cessé de me branler doucement en regardant cette scène, tes yeux brillants, tes tétons bandés, les mamelles ahurissantes de la grosse et, à grand jets, ma bite décharge de lourdes giclées de foutre qui t’atteignent en pleine figure, elles s’y étalent largement, dégoulinent sur tes lèvres. D’un murmure tremblant j’ajoute :
— Quant au reste … T. t’inquiète, t.tu vas être servie. Regarde !
Je me mets à quatre pattes devant toi et te présente mon cul. Je me recule et viens au contact de ton visage, je sens ton nez sur mon anus, je descend un peu mes fesses.
– Anne la pute, maintenant tu vas me lécher le cul. De nouveau tu vas me faire bander dur. Qu’est ce que tu attends ? Lèche-moi, suce-moi le cul. Rentre ta langue dans mon boyau, compris ?
Je l’ouvre pour toi en poussant à chier.
— Tu peux me mettre ce que tu veux, tu peux rentrer tes doigts. Je veux que tu me fasses jouir du cul en me tripotant bite et couilles. Montre-moi que tu es une femme d’expérience. Ce que tu attrapes, tu le prends et t’en badigeonnes les tétons. Je veux voir ton corps de snobinarde souligné de saloperie. Puis je te pisserai dessus pour diluer étaler et nettoyer. On va te peindre couleur de chiottes.
— Toi la grosse ! Enfile-lui les doigts dans son égout je veux quelle ait par le cul les sensations qu’elle me donne. Je te dis ce qu’elle me fait et tu lui mets la même dose. Si je crie, tu la fais crier plus fort encore. Ce que tu trouves, tu l’en enduis, tu la frottes. La grosse bave :
— Je vais m’en étaler sur les nichons. Moi aussi je veux me branler avec les saloperies d’une esclave. Ensuite elle me lèchera et me nettoiera de la langue. On la regardera faire et tu la guideras à coup de cravache.
— Viens par là, frangin. Toi, enfile-moi ta trique dans le cul, formons une procession d’enculés. Oui…Et pétris-moi les seins, tortille-moi les tétons comme je te l’ai appris !
Plusieurs minutes plus tard, après que la grosse de ses doigts savants t’ai fait jouir du cul et pousser dans ses mains. Après que le frère eut giclé son foutre abondant dans les entrailles de sa frangine et que la grosse t’ai enduite de la tête aux pieds de couleurs dégueulasses. Je saisis la cravache et sous nos ordres, en bonne serpillière consciencieuse, tu passes un long moment à tout lécher.
J’avoue que tu devançais mes coups… Par peur ? Ou par goût pour ton travail de langue ? Mon impression à tes yeux exorbités, est que, malgré tes grimaces dégoûtées, je voyais bien que tu y prenais un plaisir obscène. Ou peut être cette infecte nourriture te rassasiait-elle ?
La grosse n’avait pas menti en disant qu’elle aimait qu’on s’occupe de ses mamelles. Tandis que tu la léchais, et dieu sait qu’elle avait de la surface à traiter, elle ne manquait pas de t’obliger à lui mordiller les tétons et à lui croquer les mamelons à pleines dents. Tu n’avais jamais été aussi humiliée, sucer ta propre dégueulasserie sur les nichons d’une obèse? Non ! ça tu ne connaissais pas.
Excité par toutes ces odeurs, le gros dégueulasse se précipite en bavant et te lape à son tour de sa langue de boeuf. Après cinq minutes, je n’en crois pas mes yeux, tu brilles comme un sou neuf. Tu n’as même pas besoin d’une douche et Ducon mâchouille, avale, se lèche les babines en roulant des yeux fous.
Epuisés, nous-nous écroulons à terre. Je fais passer une bouteille de whisky. L’ambiance est au goulot et au repos. Tes yeux ne quittent pas l’énorme gourdin du mastard. Molle, allongée sur sa cuisse elle t’excite encore.
— Si j’allais faire du café pour nous maintenir en forme ?
La frangine n’attend pas nos réponses et se lève difficilement. Je vois qu’elle tremblote de toute sa cellulite.
Ouf, un peu de repos. Je t’ai libéré de tes chaînes et t’ai assise en tailleur face à moi. Mon regard erre de ton huître grande ouverte – qui n’est plus un fruit de mer mais une entrecôte saignante – à tes nichons gonflés et je sens revenir une trique démoniaque. La grosse revient avec quatre tasses:
— Tu te souviens de ce qu’on avait décidé ?
— Oui, oui, très bien… Tu as ce qu’il faut ?
— Regarde-moi ça.
Elle me montre du menton, dans un coin, un tas d’objets en cuir, en caoutchouc, en plastique opaque ou transparent, noir ou rose. Au milieu de l’enchevêtrement de chaînes rouillées et de sangles de cuir, y a là de quoi débrider l’imagination d’un club de libertins en rut. Elle a dévalisé un sex-shop, moi un maréchal-ferrant.
Je te soulève, tu te laisses faire. et te porte vers le mastard. Sa frangine le guide, je te plante dans ses bras. Une sangle en cuir passée sur ses épaules de géant puis sous tes cuisses, une autre vous ceinturant à la taille et vous êtes accouplés serrés, lui crapaud, toi grenouille. Ton corps le ventouse, jambes larges ouvertes et nichons écrasés, plaqués à son torse musclé. Ta chatte est à hauteur idéale pour y fourrer sa queue. La grosse saisit le gros tuyau de viande et le plie juste à hauteur de ton huître. Elle presse à pleines mains les couilles du costaud. Son membre se redresse brutalement et s’engage profond dans tes chairs dégoulinantes. Derrière lui, au-dessus de ses fesses, d’une courroie je te ligote les chevilles et boucle l’attelage.
J’ai une érection d’enfer. Avec la grosse nous contemplons notre uvre.
— Putain ! je mouille comme jamais !
Remarquant que l’engin énorme ramollit, déborde et veut s’échapper de ton vagin, elle se met à genoux et de la main farfouille lentement la bite dans tes entrailles. Quelques secondes d’astiquage vigoureux te la font durcir et gonfler profondément dans la chatte. Je tente une idée à moi : Une longue et fine cordelette passée autour de ses couilles puis enroulée à ton cou, colle ses testicules au plus près de ton trou du cul. Ses clochettes vont te sonner la grand messe. Une bonne poussée vers le bas sur tes épaules, tu hurles. Après serrage costaud des sangles, te voilà chatte embrochée et cul collé à la viande du colosse.
Tu es totalement à la merci de nos perversions. Tu n’y peux rien et à voir nos expressions tu sens que ce ne sera pas de la tarte…
La grosse se relève, prend un fouet et à petits coups secs et rapides, claque les chevilles de son frangin. Par réflexe il se met à danser d’un pied sur l’autre essayant tant bien que mal d’éviter les morsures du cuir. Tu ne pèses rien pour lui.
Chacun de ses bonds, en chocs violents, propulse son gland au plus profond de tes chairs et te font pleurnicher et crier en cadence.
J’ai aussitôt l’idée d’un accompagnement.
Le gode gonflable !
– Arrête un instant, la grosse.
— Apporte-moi la pompe pendant que je lui met ce truc dans le cul. Farfouillant et crachant dessus, je fais pénétrer l’engin dégonflé, sorte de chiffon mou en plastique noir, entre tes fesses rouges. Le poussant, te forçant le trou du cul, l’ouvrant de mes doigts, je réussi tant bien que mal à faire disparaître dans tes intestins ma machine infernale. N’apparaît plus qu’une petite valve brillante sur ton cul refermé, un joli bijou ! J’y raccorde le tuyau d’un soufflet imposant, une pompe pour pneu de tracteur. Je le pose par terre entre les pieds du monstre.
– Génial, dit la grosse, on va lui travailler les intestins à ce petit cul des villes!
– Musique ! J’avais pensé à tout et je lance un disque de gigue irlandaise.
Elle reprit le fouet et, en cadence, à chacun des sauts de votre couple, le ballon enfilé dans ton cul se gonfle, se dégonfle, fait pression de l’intérieur de ton boyau à merde sur ton vagin Le truc te décuple les sensations à l’énorme bite en mouvement au fond de toi. L’engin gonflable s’allonge, te branlant le boyau. Personne, par cette entrèe, n’était jamais allé si loin dans ta bidoche. Des grimaces te tordent le visage, je jubile.. La grosse étant maladroite quelques coup de sa lanières en cuir viennent te marbrer les fesses. Bouche grande ouverte tu éructes, tu baves, vomis et expulses les trop pleins de sperme et de pisse avalés jusque là.
Tu dégueules un premier orgasme !
– Une seconde, Jieff !
J’arrête la zizique. La vicieuse avait apporté un autre joujou : Une bite de cheval plus vraie que nature, longueur, diamètre et couleur. Le frangin lui faisait des signes explicites, montrant son propre cul.
– Bien sur que je peux te le mettre dedans ! Jieff, passe-moi la poire, elle va lui gonfler les tripes en cadence.
– Le frangin, ça m’excite de l’entendre. Déjà qu’il crie quand je l’encule avec trois doigts… Ils vont être deux à couiner en rythme !
— Donnes lui la poire, je veux la regarder le faire jouir du cul.
Elle te mets la poire de gonflage en main :
– Maintenant tu pompes et tu lui gonfles le cheval là où il est. Compris sac à foutre ?
– Allez ! Qu’est-ce que tu attends ? Tu es jalouse ? Pompe-lui les intestins, sa pine va te défoncer comme jamais. Allez ! Détend-moi ce trou, casse-lui le fion !
A genoux derrière toi, la grosse et moi ne manquons rien de vos anus dilatés d’où fuient des traînées d’un peu tout, englué chez toi de gouttes de sperme. Un spectacle de choix. Je cherche ce que ma langue peut lécher de ton cul agité en tous sens. Parfois la grosse me rejoint nos langues se rencontrent et nous échangeons nos salives enrichies de tout toi. Le fouet vous cingle et je bande comme un fou à voir tes fesses rosir, se zébrer de rouge et saigner par endroits. J’aimerai que tu me suces, mais dans cette violence, j’aurai trop peur que tu me mordes ! Je regrette même de ne pouvoir te brandir ma bite au visage, t’en frapper les joues. Je sais que le spectacle d’un gland gonflé et branlé t’exciterait. La grosse se met derrière moi et, m’entourant de ses bras, me plaque ses nichons dans le dos et colle son pubis broussailleux à mes fesses. Tout en se frottant lascivement en force, elle me masturbe lentement, savamment, fait durer mon plaisir. Mains dans le dos, je lui tripote les tétons avec fougue. D’excitation perverse et sadique, elle ahane en redoublant les coups de fouet aux chevilles du mastard.
Le monstre sautillant d’un pied sur l’autre pousse des hurlements. Tu hurles avec lui à chaque gonflette dans ton boyau et à chacun des bonds de sa bidoche dans ton vagin.
Ma bite vibre dans la main de la grosse.
Bientôt tu lèves les bras, tu cries, tu implores !
— Jieff ! Stop ! Arrêtez-le ! Je vais exploser, il me déchire !
Un coup cinglant de ma cravache zèbre tes fesses tendues. Elle rebondit.
— Sale pute ! Tutoie-moi et … Oui ! Supplie-moi ! Redis-moi tout ça correctement !
Tu hoquètes avec peine :
— S’il te plait Ji. eff .ffff, …Il me… il me déchire le… c. cul, s’il te plait ar.rête-le… !
— Dis-moi que tu aimes ça !
— O..oui.. j’aime.ça… M.mais… je vais exploser… Jieff, je t’en supplie arrête-le ! J’en peux plus.
Dommage ! Le spectacle que vous donniez nous excitait. Une pression sur la valve, le ballon vicieux se dégonfle. Je le sors grassement enduit de ta merde. Il y a des traces de sang, tu ne m’as pas menti, il commençait à te déchirer les boyaux. L’engin soupire en même temps que toi. Pffffffffffffff…
De son coté, la grosse, les mamelles aussi rouges que ton cul retourne à son frère et d’un seul geste tire la boule noire d’entre ses fesses la lui arrachant brutalement à travers l’anus. Son hurlement accompagne un impressionnant bruit de ventouse au décollage. Le bond qu’il fait enfourne sa trique jusqu’à ton nombril. Tes fesses et tes reins sont pris de tremblements. Tu jouis, tu cries, tu trembles, tu hurles. Ton corps délire en spasmes, se détend de sursauts en tous sens. Tes bras et tes jambes toujours prisonniers, c’est ton bassin, tes entrailles qui s’expriment et se lâchent. La puissance de tes contractions expulsent l’énorme membre.
Alors ton cul et ta chatte libérés se vident sous les pulsions de ton orgasme. Toujours à genoux, sous ta tempête, la gorge contractée par la tension obscène, je recueille dans ma main tremblante, sur le gode noir dégonflé, le mélange de merde, de mouille, de pisse et de foutre qui jaillit à flot et par giclée de tes deux trous largement ouverts.
Epuisée tu te cramponnes au cou de l’horrible brute. Le salaud dégénéré en profite pour t’attraper et te mordre les lèvres, les aspirer gloutonnement à pleine bouche, te griffer les joues, t’arracher les cheveux en poussant des cris de mammouth en rut.
La grosse, se précipite pour aller nettoyer de la langue le cul merdeux du frangin et revient vers moi à quatre pattes m’aider à lécher le gode et ton cul. Elle attrape ma bite dressée et entreprend de terminer la traite d’une main nerveuse. C’est le spectacle de ta jouissance qui m’a poussé à bout et maintenant me fait éjaculer. Le jet blanc jaillit vers tes fesses, vers sa bouche à elle. Il s’ajoute au sperme de son frangin et aux giclées abondantes de ton orgasme. Bouche béante, tant bien que mal, elle attrape au vol tout ce qu’elle peut happer de mon foutre.
Avec un grand râle, elle tombe à la renverse agitée de convulsions.
Elle hoquète, elle hurle, ses cuisses palpitent, ses graisses tremblent, ses fesses se soulèvent par saccades, ses jambons et ses bras moulinent l’air.
Tout ce temps, elle n’a cessé de se branler et ces odeurs, ces flots cumulés dans sa bouche, le summum du délice, la font jouir en éruption volcanique.
Debout contre toi, je t’attrape par la taille, te détache du colosse et te jette sans ménagement par terre entre ses jambes écartées. Assez vite pour que son orgasme gicle vers toi. En pleine figure, tu reçois les longs jets de sa mouille. J’y ajoute les dernières gouttes de mon foutre en secouant ma queue au dessus de ta bouche. Tu gémis.
Je te laisse essuyer de la main tant bien que mal ton visage ruisselant:
— Allez pouffiasse montre-moi que tu aimes ce qui te dégoûte tant. Lèche-moi les dix doigts, ils sentent bon de trucs répugnants et de tes liquides de pute en chaleur.
Pâmée, les yeux retournés, en femelle avide et vorace, tu me les suces avec conviction.