Jeudi 26 décembre, je me réveille de ma courte nuit occupé à revenir sur les évènements du weekend. Je n’en reviens toujours pas. J’ai l’impression de vivre dans un rêve. Mon sexe se dresse constamment tellement mon esprit est envahi de pensées lubriques et perverses. Ma cousine veut devenir ma chienne ! Quelle folle idée ! Quelle chance !
Une fois levé et prêt à affronter cette journée, un drôle de sentiment viens peu à peu remplacer mon excitation. Une forme de vertige s’empare de moi. Je vais devoir dresser ma cousine. Il me faudra être à la hauteur ! Cette idée m’impressionne. Mais je ne veux pas me défiler.
Si j’avais déjà eu des relations à tendances sadomasochistes, notamment une qui avait été de longue durée, je n’en était pas pour autant un expert. Toutefois, j’avais accumulé un très grand nombre de joujoux très utiles pour des séances de jeux à deux. Une demoiselle avec qui j’ai vécu une longue relation raffolait de ces jeux pervers dont elle était la soumise. Mais, après elle, je n’avais eu que très peu l’occasion de ressortir ces jouets. Il faut dire que mes relations suivantes auraient surement pris peur à la vue d’un fouet, de cordes, d’une boule pour bâillonner ou encore de pinces à tétons. Je m’étais ainsi dit qu’il me serait surement difficile de trouver à nouveau une personne suffisamment ouverte d’esprit pour voyager dans ces plaisirs que la débauche sexuelle est capable d’offrir.
J’avais désormais l’impression d’être tombé sur la bonne cliente. Mes joujoux allaient donc reprendre du service. Mais je voulais maîtriser mon excitation trépidante pour m’assurer de faire vivre à ma chienne de cousine une montée progressive dans son apprentissage de soumise.
Dans l’après-midi je reçoit un message de Lisa :
" Bonjour maître. Je ne savais pas si j’avais le droit de t’écrire, mais je voulais savoir si tu étais toujours d’accord que je vienne chez toi et je voulais savoir aussi si je pouvais venir dès demain ? "
Satisfait de voir qu’elle n’a pas oublié la première règle, je lui répond :
— Ma petite soumise de cousine est toujours la bienvenue seulement et seulement si elle se rappelle pour quelle raison elle vient
— Ta petite soumise de cousine se rappelle qu’elle a beaucoup à apprendre de son cousin. Elle s’en rappelle et elle vient pour ça !
— Je t’ai pris un bus pour demain, avec les grèves je veux être sûr que tu m’arrives. Tu pars demain à 17h de Saint Charles et tu arrives à Perrache à 21h. Je t’ai envoyé le plan pour venir jusqu’à chez moi, je ne suis pas loin. Tu devras respecter quelques nouvelles règles à présent : 1 – Désormais tu me vouvoieras systématiquement, sauf lorsque nous serons en famille. 2 – Lorsque tu sonneras à la porte de mon appartement, tu n’auras l’autorisation de ne porter que de la lingerie fine, les chaussures de ton choix qui devront être à talons, et un manteau pour cacher ta nudité. Si tu ne respectes pas cette règle, tu pourras directement repartir chez ta mère.
Quelques longues minutes après je reçois sa réponse :
— Vos désirs sont des ordres maître ! J’ai déjà hâte d’être chez toi !
Puis, à peine quelque seconde après, je reçois à nouveau :
— D’être chez vous ! Pardon maître !
Ma cousine à l’air d’apprendre vite. Mais surtout, je suis toujours autant effaré de la tournure que ça prend. Tout ça devient réel ! Dans à peine plus de vingt quatre heure Lisa, ma cousine, sera là, en lingerie fine, cachée sous un manteau, devant ma porte, pour que je la dresse comme une chienne ! Cette pensée m’excite instantanément, mon sexe se gonfle, se tend, jusqu’à me faire mal. Une envie pressante de me soulager me prend, mais je m’arrête tout à coup. Je veux garder chaque goutte de ma semence pour inonder le visage sage de cette traînée en devenir.
