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Le fabuleux destin de Benjamin – Chapitre 13

Le fabuleux destin de Benjamin - Chapitre 13



Benji 13 – la découverte de Camille

Cela faisait maintenant plus d’un mois que Clara s’était faite baiser pour la première fois par Benji, et elle était un peu intriguée de ne toujours pas avoir ses règles, elle avait d’abord mis ça sur le compte de ses récents changements de pratique sexuelle, mais les jours suivants, elle se sentait un peu nauséeuse, alors elle partit acheter un test de grossesse, pour en avoir le cur net.

Quand elle vit le résultat positif du test, elle était très excitée, elle avait essayé d’être enceinte depuis plusieurs mois avec Paul, sans résultat, et maintenant qu’elle se faisait baiser par toutes les bites qui se présentaient à elle, elle était enfin enceinte, mais avec tous les spermes différents qu’elle s’était prise depuis plusieurs semaines au fond de la chatte ou au fond du cul, elle se demandait comment elle pourrait savoir qui était le père de son enfant.

En tout cas, elle était pratiquement certaine d’une chose, ce n’était pas Paul, il n’avait plus joui en elle depuis qu’il baisait avec sa sur. Il lui restait, tout de même, une belle brochette de candidat. Elle prit aussitôt rendez-vous chez son gynéco pour se renseigner sur les moyens de savoir qui était le père de son enfant, et c’est là qu’elle apprit qu’elle attendait des jumeaux.

Elle allait annoncer la nouvelle à Paul, quand elle reçut un appel de sa sur, qui lui annonça qu’elle était enceinte également.

Elles rirent à plein poumon, elles envisagèrent déjà que leurs enfants pourraient avoir le même père, vu qu’elles baisaient avec les mêmes partenaires. Un éclair diabolique traversa leur esprit dépravé, et elles surent sans même avoir besoin de faire des tests, que Benji était le père de leurs enfants.

Paul et Michel exigèrent tout de même qu’elles fassent des tests ADN, avant même d’avoir fait des analyses sur l’ADN de Benji, le centre d’analyse leur révéla qu’elles étaient effectivement enceintes du même homme, sauf pour un des jumeaux de Clara, qui était d’un autre père. Les résultats des tests sur Benji leur confirmèrent leur intuition, sur le fait qu’il les avait mises enceinte toutes les deux. Clara ne chercha pas à savoir qui était le père du 2eme jumeau. Elle avait trop de partenaires sexuels pour leur faire faire des tests à chacun.

Paul et Michel honorèrent leur parole et acceptèrent d’élever l’enfant ou plutôt les enfants de Benji comme-ci ils étaient les leurs.

En attendant l’appétit sexuel de Clara et Christelle n’avait pas diminué, au contraire, il avait même tendance à s’intensifier, Chantal avait un mal fou à empêcher Clara de se faire baiser devant les autres clients et risquer un attentat à la pudeur. Elle avait même dû la renvoyer chez elle, alors qu’elle était en train de branler la queue du fils d’une cliente et s’apprêtait à lui sucer la bite alors que sa mère était juste à côté.

De son côté, Christelle n’était pas mieux, Bruno et Robert venait régulièrement se vider les couilles dans ses orifices, et Michel lui avait même présenté d’autres clients qui avaient eu tout le loisir de profiter du corps de sa femme.

Mais depuis qu’elle avait apprise qu’elle était enceinte, elle n’arrivait à soulager ses pulsions, et plus elle baisait, plus il lui fallait des queues au fond de son cul ou de sa chatte et surtout des couilles à vider. Elle fini par se faire baiser par le personnel, beaucoup d’employés masculins avaient remarqués le changement de comportement de la femme du patron, et certains fantasmaient sur Christelle en se branlant dans les toilettes. Ce furent eux que Christelle avait repérés depuis un moment pour soulager son envie de sperme.

Michel ne put rien faire pour l’en empêcher et laissait donc ses employés baiser sa femme, il leur demanda tout de même de ne pas faire cela pendant les heures de travail, et pas dans les bureaux. Bien entendu aucune des deux consignes ne fut respectée par Christelle, elle se faisait baiser à toute heure, n’importe où et surtout par n’importe qui, même le jardinier eut la chance de fourrer sa queue au fond du cul de la patronne.

Dès que son corps ressentait l’envie d’une bonne queue, elle se dirigeait vers le premier homme qui lui tombait sous la main, et il finissait rapidement avec sa queue dans son cul ou dans sa chatte.

Mais Clara n’avait pas la chance de sa sur, alors après que Chantal l’eut renvoyée chez elle, elle avait d’abord pensé faire la sortie du lycée pour trouver une jeune bite pour la satisfaire, mais c’était la période des grandes vacances, alors elle appela Benji et lui demanda de venir la baiser avec ses amis. Elle avait besoin de se faire remplir par tous les trous.

Ce qu’ils firent avec un grand plaisir, et soulagea les pulsions de Clara pour le restant de la journée.

Le lendemain, elle retourna au salon et discuta avec Chantal de son attitude de la veille, elle s’excusa mais depuis qu’elle était enceinte, elle n’arrivait plus à se contrôler, dès que son corps avait envie d’une queue, elle se jetait sur la première qu’elle avait sous la main.

Chantal la rassura, le fils de la cliente n’avait pas été du tout traumatisé, il n’avait rien dit à sa mère, mais elle avait dû le laisser lui caresser la chatte pendant qu’elle lui coupait les cheveux, au risque que sa mère la surprenne. Elle avait d’ailleurs beaucoup joui avec ses doigts, peut-être à cause du risque de se faire surprendre. Mais la prochaine fois, ce sera à Clara d’assumer ses actes et de satisfaire la curiosité du garçon.

Par contre, il fallait absolument qu’elle arrive à se contrôler, et Chantal lui proposa quelques astuces pour essayer de calmer ses pulsions. Elle lui offrit un de ses godemichets, qu’elle utilisait quand son mari était parti, elle proposa à Clara de l’utiliser quand elle sentait un désir monté en elle, alors qu’elle n’avait pas de bites sous la main ou que la situation ne permettait pas d’en profiter. Elle n’avait qu’à s’isoler dans les toilettes, et se soulager avec le gode.

Clara accepta avec plaisir le cadeau de Chantal et promit de faire tout son possible pour essayer de contrôler ses pulsions pour éviter tout scandale.

La journée passa tranquillement, Clara s’isola assez souvent dans les toilettes avec son nouveau jouet. Elle en ressortait en sueur, mais soulagée.

Le soir même, elle commanda sur internet plusieurs godemichets de différentes formes et de différentes tailles, elle ajouta aussi à sa commande quelques plugs anaux, un peu curieuse du plaisir qu’elle pourrait prendre avec ces jouets dans le cul.

Elle était impatiente de recevoir sa commande, mais Pascal devait passer au salon le lendemain, elle allait pouvoir profiter de sa bite sans risquer le scandale.

Comme maintenant plusieurs semaines, elles l’accueillirent en blouse, totalement nues dessous. Leur dernière cliente venait de partir, et dès que Pascal fut rentré, Chantal verrouilla la porte et descendit le store.

Mais elle avait à peine eu le temps de faire cela que Clara s’était déjà mise à poil, et s’était mise à genou devant Pascal pour lui pomper la queue comme une morte de faim.

Chantal se mit également à poil et les rejoignit, elle dit à Pascal en lui caressant les fesses :

— Depuis qu’elle est enceinte, elle est insatiable.

— Ça tombe bien, j’ai les couilles pleines, ma copine refuse toujours la sodomie, il va vraiment falloir trouver une solution.

— On t’a déjà donné la solution, laisse notre petit Benji s’occuper d’elle, et tu ne la reconnaitras plus quand il lui aura défoncé le cul.

— Je ne sais pas, vous êtes sûre qu’il n’y a pas d’autres solutions ?

— C’est la meilleure solution, en attendant viens me la mettre dans le cul, lui dit Chantal, qui s’était mise à genou sur un fauteuil, et lui tendait son cul, prête à se faire sauvagement enculer.

Pascal ne se fit pas prier, et après le petit rituel du lubrifiant autour et dans le cul de Chantal, il lui enfonça sa queue, bien profond, dans son cul, en prenant un plaisir inouï, à chaque fois qu’il enfonçait sa queue dans le cul d’une de ces salopes. Tout en faisant coulisser sa queue dans le cul de Chantal, il se disait qu’il fallait absolument que sa copine accepte de se faire enculer. Mais il n’arrivait pas à l’imaginer en train de se faire baiser par un autre homme, il venait toutes les semaines depuis un mois, pour enculer Clara et Chantal, et il hésitait toujours sur la solution qu’elles lui proposaient.

Mais alors qu’il s’apprêtait à enculer Clara qui s’était installée dans le fauteuil voisin, il s’aperçut qu’elle avait quelque chose dans la chatte, elle lui dit :

— Vas-y, mets-moi ta queue dans le cul, c’est le gode de Chantal que j’ai dans la chatte, j’ai envie de me faire prendre des deux côtés aujourd’hui.

Un peu intrigué, Pascal enfonça sa bite au fond du cul de Clara et sentit la présence du gode dans la chatte de Clara, c’est étrange mais pas désagréable, il commença à enculer plus rapidement Clara, qui se mit aussitôt à crier de plaisir, et sentir cette bite en plastique contre sa queue séparée par une fine paroi, procura un plaisir nouveau à Pascal, ce fut comme une révélation pour lui.

Il s’imaginait déjà en train d’enculer sa copine pendant qu’elle se faisait baiser par une autre queue. Il défonça le cul de Clara en s’imaginant défoncer celui de Camille, il ne mit pas longtemps à éjaculer au fond de son cul, s’imaginant en train de remplir le cul de sa copine.

Pascal s’était déchainé dans le cul de Clara, et elle avait joui énormément, quand elle sentit son sperme lui remplir le cul, elle s’écroula sur le fauteuil, complètement épuisée.

Chantal qui avait attendu que Pascal revienne lui mettre sa queue dans le cul, fut un peu déçue qu’il ait joui si rapidement, alors quand il ressortit sa queue du cul de Clara, elle se jeta dessus pour lui sucer la queue et récupérer la moindre goutte de sperme, elle alla jusqu’à nettoyer le cul de Clara qui ne réagit même pas, sous les coups de langue vicieux de Chantal.

Pascal la regardait bouffer le cul qu’il venait de défoncer, et lui dit :

— C’est ok, je vais laisser ma copine entre les mains de votre Benji, mais je veux être là pour participer.

Chantal finit de nettoyer le cul de Clara, se releva et lui répondit en lui caressant sa queue ramollie :

— Si tu veux, je ne pense pas que cela pose problème.

— Benji m’a baisé devant mon mari, et j’ai adoré ça, je suis sûre que ta copine aimera ça aussi. Surtout que Benji est très doué pour faire jouir les femmes.

— Je ne veux pas que regarder, je veux pouvoir enculer ma copine pendant qu’il la baise.

— Oula, tu veux que ta copine fasse une double, dès la première fois, ça ne posera surement pas de problème à Benji, mais vu ce que tu nous a dit de ta copine, c’est moins sûr qu’elle accepte deux bites en elle, c’est déjà un cap à passer d’accepter de coucher avec un autre homme que son copain, mais s’en est encore un autre de se faire prendre par deux hommes.

— Ok, donc je dois attendre qu’il la baise pour pouvoir l’enculer ?

— Tu n’as pas tout à fait compris, il faut laisser le temps à Benji de rendre ta copine accroc au sexe, tu ne seras pas le premier à lui mettre ta bite dans le cul, ce sera surement Benji qui lui mettra sa grosse queue dans le cul en premier.

— Ah, et combien de temps ça peut prendre ?

— Il faut voir avec ta copine, mais je pense que tu t’en rendras vite compte si son appétit sexuel change, de ce que tu nous a raconté, elle n’est pas très portée sur la Chose.

— Non, elle n’aime pas ça, c’est pour ça que je doute que quelques soient les compétences de votre Benji, il arrive à la rendre accroc au sexe.

— Ne soit pas pessimiste, il a tout de même réussi à dépuceler une demi-douzaine de lycéennes, baiser avec sa prof, avec la femme de son prof, et je peux te dire que Clara n’était pas si salope avant de gouter à la queue de Benji.

— Ok, et comment vous comptez vous y prendre pour que ce fameux Benji rencontre ma copine, et qu’il la baise ?

— On va y réfléchir, mais déjà, c’est un bon point de départ que tu sois partant, au moins, il n’aura pas un mari jaloux sur le dos, si tu le surprends en train de baiser ta copine.

Pascal leur donna plein de détails sur sa copine, pour qu’elles puissent mettre en place un plan pour que Benji puisse baiser sa copine, en rentrant chez lui, il se dit qu’il devait être complètement fou d’aider des gens à faire en sorte que sa copine le fasse cocu.

Il leur avait même donné une photo de Camille où on la voyait sur la plage en maillot de bain une pièce, elle était très mignonne, 1,60m environ pour 55 kg, cheveux châtains, des yeux marrons, un joli petit cul, bien rond, et une belle poitrine de 90C.

Il leur avait raconté qu’elle était bibliothécaire dans une petite ville, pas très loin, il leur donna tous les détails sur ses horaires et ses habitudes pour le déjeuner.

Avec tous ces détails, Clara et Chantal avaient le choix pour faire en sorte que Benji rencontre sa proie.

Elles racontèrent tout cela à Benji et ils choisirent ensemble la tactique à adopter pour cette femme qui semblait plus farouche que celles qu’il avait l’habitude de baiser.

Mais Benji était très tenté par le challenge, et mise à part Paul avec Clara, c’était la première fois qu’on lui demandait d’aller baiser la femme de quelqu’un sauf que cette fois, il ne la connaissait pas.

Mais depuis le jour où il avait dépucelé Zita, sa vie avait complètement changé, il n’y avait pas un jour où il ne baisait pas avec une ou deux femmes, et la plupart du temps ensemble.

Il avait pris une certaine confiance en lui et en ses capacités à faire en sorte que les femmes lui ouvrent leurs cuisses pour se prendre sa grosse bite.

Alors deux jours après en avoir discuté avec Clara et Chantal, il rentra, tout en confiance, dans la bibliothèque de Camille. Mais il savait qu’elle n’était pas comme les salopes qu’il avait l’habitude de baiser, alors il fit celui qui cherchait un renseignement sur un livre précis.

En toute innocence, Camille essaya de l’aider, elle l’accompagna dans un rayon qui concernait la recherche de Benji, il eut tout le loisir d’admirer ses formes, et quand elle se pencha pour chercher un livre, il se plaça juste derrière elle, pour que lorsqu’elle se redresse, son cul touche sa queue en érection dans son short.

Et le plan de Benji fonctionna parfaitement, Camille lui dit tout en se redressant :

— J’ai trouvé !

Comme prévu par Benji, sa queue bien raide se retrouva plaquer dans le sillon des fesses de Camille, qui était encore toute joyeuse d’avoir trouvé le fameux livre, mais à présent elle sentait une chose entre ses fesses, c’était dur et chaud, elle la sentait vibrer contre son cul, elle mit quelques secondes à reprendre le contrôle de son corps, pour s’écarter et mettre fin à ce contact troublant.

Elle donna le livre à ce jeune homme, et retourna à son bureau, le contact n’avait duré que quelques secondes, mais Camille était encore toute troublée, elle n’arrivait pas à penser à autre chose, qu’à cette chose énorme qu’elle avait senti entre ses fesses. Elle commençait à avoir des fourmis à son entrecuisse, elle avait de plus en plus chaud, elle maudit la météo estivale, et son bureau non climatisé.

Le jeune homme était parti depuis un moment, et elle pensait encore à ce contact bref mais intense qui la troublait toujours. La chaleur de l’été et ses bouffées de chaleur la faisait mourir d’envie de se déshabiller, mais elle était trop prude pour agir de la sorte.

Pourtant elle sentait son entrecuisse complètement moite, elle ne comprenait pas ce qu’il lui prenait, son corps exigeait un accouplement, alors elle fit quelque chose qu’elle n’avait encore jamais fait.

Elle appela Pascal, et lui dit qu’elle avait besoin de lui chez eux, il fut un peu surpris de son appel en plein milieu de l’après-midi, mais il lui dit qu’il arrivait dans 30 minutes.

Heureusement pour Camille, ils habitaient à cinq minutes de son travail, elle ferma plus tôt et rentra prestement chez elle, mais malgré la fraicheur de leur appartement, elle avait toujours aussi chaud, alors sans résister plus longtemps, elle se déshabilla, elle se retrouva rapidement en sous vêtement. Elle constata l’état de sa petite culotte, qui était complètement trempée, son entrecuisse la démangeait comme si sa culotte était remplie de petites fourmis, elle tira sur l’élastique de sa culotte pour regarder à l’intérieur et se rassurer.

Elle fut soulagée de ne voir aucune fourmi à l’intérieur, mais maintenant qu’elle sentait l’air frais sur ses poils pubiens qui étaient luisant de ses sécrétions, elle fut pris d’une irrésistible envie de retirer sa culotte.

Elle la fit glisser le long de ses cuisses et la laissa tomber à ses chevilles, elle voulut la ramasser, mais maintenant qu’elle avait la chatte à l’air, elle sentait sa poitrine comprimée dans son soutien-gorge, cela semblait presque l’étouffer, alors, tout en enjambant sa culotte au sol, elle dégrafa son soutien-gorge, et le laissa tomber à côté de sa culotte.

Elle sentait l’air frais sur tout son corps, et cela la calma quelques minutes, jamais elle n’avait osé se promener nue dans l’appartement, même quand elle était seule, mais à ce moment précis, elle se sentait radieuse et comblée. Elle avait complètement oublié ses sous-vêtements sur le sol, et appréciait de sentir l’air frais parcourir son corps.

Elle crut qu’elle avait réussi à calmer ses bouffées de chaleur, cela faisait maintenant cinq minutes qu’elle était nue dans l’appartement à apprécier l’air frais sur son corps nu, qu’elle se dit qu’elle devait ranger ses affaires, qu’elle avait négligemment laissé tomber par terre.

Mais au moment de ramasser sa petite culotte et son soutien-gorge, elle sentit une vague de chaleur dans son ventre et plus particulièrement entre ses cuisses. Jamais elle n’avait ressenti une telle sensation, elle en tituba et chuta sur le fauteuil derrière elle, elle se retrouva, affaler sur le fauteuil, complètement nue, les cuisses ouvertes.

Alors sans comprendre ce qu’il lui prenait, elle fit une chose qu’elle n’avait plus refaite depuis son adolescence, elle posa sa main sur sa chatte et glissa un doigt dans sa petite fente pour aller caresser son clito.

Depuis qu’elle s’était fait surprendre par sa mère, et qu’elle l’avait réprimandé violemment, elle n’avait plus jamais osé recommencer. Mais à cet instant précis, elle obéissait sans réfléchir aux besoins de son corps.

Les vagues de chaleur entre ses cuisses suivaient les mouvements de son doigt sur son clito, elle sentait sa chatte mouiller abondamment, alors toujours soumise à ses pulsions, elle s’enfonça un doigt dans la chatte, elle se mit à gémir de plaisir et commença à faire coulisser son doigt dans sa chatte baveuse.

Ce fut à ce moment-là que Pascal entra chez eux, il fut d’abord surpris de trouver les vêtements de Camille sur le sol, puis tomba sur sa culotte et son soutien-gorge, il pensa aussitôt à ce fameux Benji, il tendit l’oreille et entendit Camille gémir de plaisir, il l’entendait rarement gémir ainsi, alors il s’approcha discrètement, s’attendant à la trouver en train de baiser avec un autre homme.

Mais il fut agréablement surpris de la trouver nue sur le fauteuil, en train de se caresser la chatte, il fut tout de même troublé, jamais il n’avait eu le plaisir de la voir nue, et encore moins de la voir se caresser.

Il l’admira quelques minutes, et sentant sa queue bien raide dans son froc, il sortit sa bite pour se branler en regardant sa copine se caresser la chatte.

Camille se doigtait maintenant la chatte avec deux doigts, et avec son autre main, elle se caressait les seins, et en particulier ses tétons qui pointaient fièrement.

Pascal ne tint plus longtemps devant ce spectacle érotique, et s’approcha de Camille la bite raide à la main.

Camille l’entendit approcher, elle ouvrit les yeux, elle eut peur de se faire réprimander par son copain, elle eut envie de s’enfuir, toute honteuse, mais quand ses yeux se posèrent sur la queue de Pascal, elle s’affaissa encore plus dans le fauteuil, et ouvrit ses cuisses en grand, et tout en continuant de se fouiller la chatte, elle s’entendit lui dire :

— Viens, mon chéri, mets-la-moi.

Jamais elle n’avait parlé ainsi à Pascal, ni jamais elle ne s’était retrouvée nue en plein jour devant lui, et encore moins dans une position des plus indécente, mais en le voyant la queue bien raide s’agenouiller entre ses cuisses, elle n’avait qu’une envie, qu’il enfonce sa queue en elle.

Pascal ne se fit pas prier et enfonça sa queue dans la chatte de sa copine et pour la première fois, il la vit et l’entendit jouir alors qu’il la pénétrait jusqu’au fond de sa chatte.

Camille ne se rappelait pas avoir autant joui, et maintenant qu’elle avait la queue de son copain en elle, elle lui dit :

— Encore, continue, mon chéri, ne t’arrêtes pas.

Pascal se mit à accélérer les pénétrations, Camille réagit aussitôt en criant de plaisir, elle prenait un plaisir jusqu’alors inconnu. Pascal continua d’accélérer et il sentit le vagin de Camille se contracter autour de sa queue. Elle avait un orgasme intense, et la sensation intense qu’il ressentit également, provoqua son éjaculation, il envoya de longues giclées de sperme dans la chatte de Camille, qui continuai de jouir en sentant son vagin se faire remplir.

Ils s’écroulèrent l’un sur l’autre, encore tout essoufflés de ce moment de pur plaisir. Et puis Camille reprit ses esprits, elle lui dit alors qu’elle sentait le sperme de Pascal s’écouler doucement de sa chatte :

— Retire-toi, il faut que j’aille prendre une douche avant de tout tacher.

Pascal obéit et l’aida à se relever pour qu’elle puisse aller se doucher. Il la trouvait superbe, totalement nue, il ne la quitta pas des yeux jusqu’à ce qu’elle rentre dans la salle de bain.

Camille, encore un peu déboussolée par ce qu’elle venait de vivre, se dirigea vers la salle de bain aussi vite que ses jambes encore flageolantes le lui permettaient, elle venait de prendre un plaisir inouï, jamais elle n’aurait cru cela possible, et elle en avait un peu honte.

Elle se doucha et rinça sa chatte pour enlever toute trace de sperme, elle se surprit à se caresser de nouveau le clito avec le pommeau de la douche, elle ne comprenait pas ce qu’il lui prenait, elle arrêta l’eau, et essaya de reprendre le contrôle de son corps.

La chaleur de son entrecuisse s’était calmée, elle put finir la journée tranquillement, mais ni elle, toujours un peu honteuse d’avoir agi ainsi, ni Pascal qui avait peur d’aborder le sujet et de rompre le charme de cette fabuleuse après-midi, aucun d’eux ne parla de ce qu’il venait de se passer.

Mais le soir dans le lit, Pascal eut envie de recommencer, il prit son courage à deux mains, et se colla au dos de Camille en plaçant sa queue dans la raie de ses fesses, et en lui chuchotant :

— J’ai envie de toi, ma chérie.

Camille eut comme un électrochoc en sentant la queue raide de Pascal contre ses fesses, elle se remémora aussitôt ce qu’il s’était passé dans la bibliothèque avec ce jeune homme, elle sut que c’était là, l’origine de son trouble, mais en sentant le sexe de Pascal contre ses fesses, elle sentit son ventre frémir à nouveau.

Et là, dans le noir total de leur chambre, elle s’imaginait avec ce jeune homme contre elle, et elle répondit à Pascal :

— Oui, vas-y, moi aussi, j’ai envie de toi.

Alors Pascal, trop content de pouvoir coucher avec sa copine, deux fois dans la même journée, ne se fit pas prier, il baissa le short du pyjama de Camille, pour libérer l’accès à sa chatte.

Celle-ci l’aida en soulevant son bassin, elle s’imaginait se faire déshabiller par ce jeune inconnu en plein milieu de la bibliothèque, et elle était folle d’excitation.

Pascal fit d’abord coulisser sa queue dans la raie des fesses de Camille, mais comme la position n’était pas des plus confortables, il se mit à genou et lui dit :

— Mets-toi à quatre pattes, ma chérie,

Camille, toujours en train de fantasmer, s’imaginait les fesses à l’air au milieu de sa bibliothèque, et comme son inconnu venait de le lui demander, elle se mit à quatre pattes.

Pascal fut ravi de la trouver si docile, et quand elle fut en position, il ne perdit pas de temps et enfonça sa queue dans la chatte de Camille, il fut tout de même très surpris de la sentir si humide, son gland avait pratiquement été avalé par la chatte de sa copine.

Mais il ne s’en plaint pas, et commença à faire coulisser sa queue dans sa chatte.

Camille s’imaginait se faire prendre par son jeune inconnu, et se mit à gémir de plaisir pendant que Pascal accélérait les pénétrations. Elle prenait un pied formidable à se faire baiser comme une chienne en plein milieu de la bibliothèque. Elle s’entendit encourager son inconnu en lui criant :

— OUIIII, ENCOREEEE, PLUS FORRTTT, OUIII, C’ESTTTT TROOPPP BONNN

Pascal n’en revenait pas mais il prenait tellement son pied, qu’il continua à accélérer, il fut surpris de sentir Camille envoyer ses fesses vers lui, pour accélérer encore les pénétrations.

Peut-être, qu’il avait trop fréquenté Clara et Chantal, mais il se mit à lui gueuler :

— Tu aimes ça, la queue, salope, tu aimes te faire défoncer comme une chienne.

Et Camille, toujours dans son fantasme, et folle de plaisir lui répondit entre deux cris de jouissance :

— OUII, CONTINUES, BAISES MOI, ENCORE, PLUS FORT, C’EST BOONNNNN

Pascal était fou d’excitation, il prenait tellement son pied à défoncer sa copine, qu’il ne s’arrêta que lorsqu’il sentit son sperme jaillir de sa queue, il était en sueur, il gicla tout le sperme qu’il lui restait au fond du vagin de Camille, et s’écroula comme une masse.

Camille, toujours dans son fantasme, s’imaginait se faire remplir la chatte avec le sperme de son jeune inconnu, et après avoir eu plusieurs orgasmes au cours de leur coït sauvage, elle s’écroula sur son lit et sombra dans un sommeil réparateur.

Elle se réveilla seule dans son lit, Pascal s’était réveillé tôt, et après avoir résister à l’envie de baiser une nouvelle fois sa copine qui semblait si docile, partit travailler, il devait rattraper le retard qu’il avait pris la veille, en étant rentré plus tôt suite à l’appel de Camille.

Camille se leva, elle était un peu fatiguée, la nuit avait été agitée, elle avait fait beaucoup de rêve érotique, et contrairement à d’habitude, elle n’en avait pas honte. Elle se sentait étrange, ce matin, mais rien de désagréable, non elle était plutôt d’humeur radieuse.

Elle prit son petit déjeuner en souriant, et partit s’habiller, mais sans s’en rendre compte, elle choisit une tenue plus légère et plus courte que d’habitude. Elle avait opté pour une minijupe noire souple qui lui arrivait à mi-cuisse, que Pascal lui avait offerte mais qu’elle n’avait jamais mise, et pour le haut, elle avait choisi un chemisier blanc assez léger, mais contrairement à son habitude, elle n’avait pas boutonné les derniers boutons, et cela lui faisait un joli décolleté. Pour les sous-vêtements, elle avait un peu hésité, sous les conseils de Clara et Chantal, Pascal lui avait offert un ensemble rouge avec le string et soutien-gorge assorti, et jusqu’à aujourd’hui, elle n’avait même pas osé l’essayer.

Mais elle le sorti de son tiroir et le regarda quelques instants, et se dit tout haut :

— Pourquoi pas, après tout c’est un cadeau de mon chéri.

Et en s’entendant dire le mot chéri, elle eut le souffle coupé quand un flash de son jeune amant en train de la baiser à quatre pattes sur le sol de la bibliothèque, lui traversa l’esprit.

Elle s’assit sur son lit pour reprendre son souffle, elle regarda de nouveau le string, et se dit :

— Peut-être que ça pourrait lui plaire.

Et elle enfila le string et le soutien-gorge rouge, elle eut une étrange sensation en sentant le string lui rentrer entre les fesses, elle ne trouva pas cela désagréable, non elle trouva cela plutôt excitant.

Quand elle referma son chemisier par-dessus son soutien-gorge, elle s’aperçut qu’on pouvait le voir à travers, même si son chemisier n’était pas transparent. Mais elle s’en moqua, une fois la minijupe enfilée, elle se regarda dans le miroir de la chambre et se trouva très sexy.

Et tout en repensant à son jeune inconnu, elle défit un autre bouton de son chemisier, ce qui lui faisait maintenant un décolleté très plongeant, qui lui arrivait à la limite du soutien-gorge, si elle se penchait un peu, tout le monde pourrait voir sa poitrine retenue dans ce joli écrin.

Mais elle voulait être séduisante, et elle partit pour la bibliothèque.

La matinée passa lentement, à chaque fois que la porte s’ouvrait, elle espérait que son jeune inconnu rentre et lui demande quelque chose.

Elle déjeuna chez elle, un peu déçue de n’avoir pas revu son inconnu, mais elle espérait qu’il vienne comme la veille dans l’après-midi.

L’après-midi passa sans trace de son inconnu, elle était un peu triste, et s’appétait à fermer la porte de la bibliothèque pour rentrer chez elle, quand elle entendit une voix derrière elle.

— Vous fermez déjà ?

Elle se retourna et se retrouva à quelques cm de son jeune inconnu, elle fut un peu surprise et ne sut quoi répondre.

Alors Benji insista :

— C’est dommage, j’allais vous ramener le livre d’hier et vous en emprunter un autre.

Camille sortit de sa torpeur, et trop contente de retrouver son inconnu, lui répondit en rouvrant la bibliothèque :

— Non, allez-y, entrer, je vais vous aider.

Ils rentrèrent tous les deux, elle l’accompagna jusqu’à son bureau pour effectuer la restitution du livre de la veille, sans s’en rendre compte, elle s’était penchée en avant et offrait à Benji une superbe vue sur sa poitrine.

Quand elle releva la tête, elle se rendit compte qu’il était en train d’épier ses seins, elle ne bougea pas d’un pouce, et sentit son entrecuisse s’échauffer de nouveau.

Elle prit son temps pour effectuer la restitution, et tout en restant dans la même position pour laisser à Benji tout le loisir de mater ses seins, elle lui dit :

— Vous voulez emprunter quel livre exactement ?

— J’adore les paysages vallonnés et soyeux, si vous avez un ouvrage qui correspond, je suis preneur.

Camille avait peur de comprendre l’allusion, alors elle lui répondit :

— J’ai peut-être ça, suivez-moi.

Elle avait le cur qui battait la chamade, son entrecuisse coulait à flot, tout en se dirigeant vers le rayons des livres de paysage, elle ne put refreiner une envie étrange qui montait en elle et elle défit un nouveau bouton de son chemisier, elle avait maintenant le soutien-gorge parfaitement visible.

Sans vraiment s’en rendre compte, elle se pencha comme la veille vers un rayon plus bas, mais cette fois, Benji se colla directement à elle et plaqua sa grosse queue bien raide, contre son cul.

Camille sentit parfaitement l’énorme engin venir se plaquer entre ses fesses, elle resta quelques secondes pour essayer d’estimer la taille de cet engin qu’elle avait dans la raie de ses fesses.

Elle sentait que son string était complètement trempé, elle prit une profonde inspiration et se redressa pour se retourner et proposer un livre à son inconnu.

Elle avait complètement oublié son décolleté qui lui arrivait pratiquement jusqu’au nombril.

Benji prit le livre et fit semblant le feuilleter, et lui dit :

— Ce n’est pas mal, mais je préfère les vallées encore plus découvertes.

Camille se retourna, sans vraiment arriver à se raisonner, elle défit un nouveau bouton, et écarta les pans de son chemisier, quand elle se retrouverait face à lui, il aurait une vue directe sur son soutien-gorge.

Elle reposa le livre dans la mauvaise étagère, et sans réfléchir, elle se dirigea vers le marchepied, pour prendre un livre sur une étagère plus haute.

Benji profita de l’occasion, pour poser ses mains sur ses cuisses en lui disant :

— Je vais vous aider.

Camille avait les jambes qui tremblaient, elle sentait les mains de son inconnu, à la bordure de sa minijupe, elle fit semblant de chercher pour faire durer le contact de ses mains chaudes sur ses cuisses.

Et alors qu’elle cherchait un quelconque livre, elle sentit ses mains se glisser sous sa minijupe. Elle ne broncha pas, et laissa les mains son jeune inconnu remonter doucement vers ses fesses.

Elles avaient atteint le pli de ses fesses et continuait à monter doucement, Camille sentit son entrecuisse qui suintait comme jamais, elle sentit une goutte de ses sécrétions couler le long de sa cuisse.

Au moment, où elle sentit les deux mains lui empoigner les fesses, elle prit une profonde inspiration et redescendit doucement de son marchepied. Sa jupe suivit le mouvement et se souleva au même rythme.

Elle se retrouva sur le sol, la jupe complètement retroussée, et se retourna pour offrir la vue splendide de ses seins à son inconnu.

Sans même prendre le livre, Benji lui dit :

— Eh bien, voilà, c’est ce genre de vallée que je cherchais.

Camille sentit les mains de Benji lui pétrir les fesses, tout en la plaquant contre lui, étrangement elle n’avait aucune envie de fuir, au contraire, elle sentait à présent son énorme queue palpiter contre son ventre, et elle mourrait d’envie de la voir et de la toucher.

Mais tout en continuant de lui pétrir les fesses, Benji se pencha sur elle, et alla lui rouler une pelle. Camille n’avait pas l’habitude de ce genre de baiser, mais pourtant, elle ouvrit la bouche et envoya sa langue tournoyer dans la bouche de son jeune amant.

Elle y trouva un plaisir nouveau, elle sentit qu’il lui retirait son string, et elle le laissa faire, elle l’aida même en le faisant glisser jusqu’au sol.

Tout en continuant leur ballet linguistique, elle sentit qu’il s’attaquait ensuite à son chemisier et à son soutien-gorge, elle l’aida autant qu’elle put, et se retrouva rapidement les seins à l’air avec une main en train de les peloter vigoureusement.

Elle était maintenant pratiquement à poil au fond de la bibliothèque, qui était tout de même toujours ouverte, elle avait une main qui lui pelotait les seins et jouait essentiellement avec ses tétons durcis d’excitation, et une autre main entre les cuisses qui jouait avec son clito.

Elle gémissait comme une folle dans la bouche de son jeune amant, elle était submergée de plaisir, et n’aurait jamais voulu que ça s’arrête. Etonnamment, elle ne ressentait aucune honte, à se faire à se retrouver à moitié à poil sur son lieu de travail, et à se faire peloter par un inconnu comme la dernière des salopes.

A aucun moment, elle n’avait pensé à Pascal, c’était son corps qui lui dictait la marche à suivre, ou plutôt une sorte d’instinct animal qui désirait plus que tout, un accouplement avec ce jeune inconnu.

C’était plus fort qu’elle, elle ne pouvait y résister, et quand elle sentit un doigt de Benji se glisser dans sa chatte trempée, elle écarta les cuisses pour lui faciliter l’accès à son intimité.

Toute sa morale ou les règles de sa vie si chaste jusqu’à présent étaient en train de fondre comme neige au soleil, mais elle ne s’en préoccupait pas le moins du monde à cet instant, tout ce qu’elle voulait c’était de sentir entre ses doigts cette grosse queue qui cognait contre son ventre.

Alors elle fit quelque chose qu’elle n’avait encore jamais fait de sa vie, elle glissa une main dans le short de son jeune amant et attrapa cet énorme engin. Elle fut impressionnée par ce qu’elle sentait entre ses doigts, ils n’arrivaient pas en faire le tour, et la longueur semblait interminable.

Elle voulut en avoir le cur net, alors elle s’écarta légèrement de Benji, stoppant presque à contre cur leur ballet de langue.

Elle baissa la tête en direction de ce qu’elle tenait entre ses doigts, et quand elle entendit Benji lui dire :

— Vas-y, sors-la, et suce-la, je suis sûr que tu en meurs d’envie.

Elle obéit, elle fit glisser le short de son amant, pour découvrir complètement l’énorme bite qu’elle tenait fermement entre ses doigts.

Elle resta médusée en découvrant l’impressionnante queue qu’elle avait entre ses doigts. Et mue par son instinct, elle se mit à la branler doucement.

Jamais elle n’avait branlé Pascal, c’était encore une chose nouvelle pour elle, mais elle appréciait de sentir cette chaleur douce entre ses doigts, la sentir vibrer, sentir le sang pulser dans les grosses veines de cet énorme engin.

Ses doigts coulissaient presque naturellement sur cet queue hors norme. Elle était complètement subjuguée par toutes les sensations qu’elle découvrait.

Et puis Benji lui répéta :

— Allez, suce-la, elle n’attend que ça

Sans pouvoir et même sans vouloir résister à ses pulsions, Camille se retrouva à genou devant son jeune amant, sa queue entre les doigts, juste devant son visage.

Elle continuait de la branler, et alors même qu’elle avait toujours refusé cela à Pascal, trouvant cette pratique dégoutante et dégradante pour une femme, elle approcha son visage de l’énorme queue qu’elle branlait doucement.

Sans même ressentir une légère répugnance, elle ouvrit la bouche et se mit à lécher le gland de Benji, c’était une première pour elle, et elle appréciait de sentir cette douce et chaude peau contre sa langue, alors elle y prit gout et se mit à lécher tous les pourtours du gland, puis descendit sa langue le long de cette énorme queue.

Elle arriva aux testicules de Benji et sans même qu’il ait à le lui demander, elle se mit à les lui lécher, elle en avala même une dans sa bouche, les poils ne la dérangeaient pas, elle était totalement dominée par son plaisir.

Elle remonta sa langue le long de la hampe et cette fois, avala le gros gland de Benji, elle devait ouvrir sa bouche en grand pour pouvoir avaler cette énorme queue, mais elle mourrait d’envie de sentir cette bite palpiter sous sa langue.

C’était plus fort qu’elle, sans même s’en être rendu compte, elle avait glissé une main entre ses cuisses, et se fouillait la chatte avec deux doigts, pendant qu’elle suçait la grosse queue de Benji.

Elle se mit à pomper la queue de Benji comme une affamée, elle ne la lâchait plus, ses lèvres et sa langue restait en contact permanent avec cette bite douce et chaude. Le plaisir qu’elle ressentait lui tournait la tête.

Avec ses doigts qui fouillaient sa chatte, elle sentit son ventre vibrer et se contracter, elle ne put continuer à sucer la grosse queue de Benji, elle se recula et cria :

— OOOHH OUIII, C’EST TROOPPP BOOONNNN

Elle en tomba les fesses sur le sol, mais se retint en s’accrochant fermement à la queue de Benji.

Benji la laissa se remettre de ses émotions, et lui dit :

— Eh bien, ma salope, tu as bien joui dis donc, qu’est-ce que ça va être quand je vais te la mettre dans la chatte.

Camille reprenait doucement pied, elle venait d’avoir un orgasme très intense, et la proposition de Benji s’imposait maintenant à elle, elle voulait plus que tout sentir cette énorme queue au fond de sa chatte.

Alors sans lâcher l’énorme queue, elle s’allongea sur le sol et lui dit :

— Viens, prends-moi, enfonce-la-moi.

Mais Benji avait une autre idée derrière la tête et lui dit :

— Non, ma petite salope, tu aimes les livres, alors je vais te baiser avec tes livres.

Camille ne comprit pas ce qu’il lui demandait, alors Benji lui dit :

— Relève-toi, je vais te baiser debout contre les étagères.

Camille obéit, et ne sachant comment il comptait si prendre, attendit que son jeune amant la guide.

Benji finit de lui enlever sa minijupe devenue inutile, elle était maintenant complètement nue dans la bibliothèque municipale, et aucun d’eux ne se préoccupa qu’elle fût toujours ouverte.

Benji plaqua Camille dos contre les étagères, et la souleva du sol, en l’attrapant par les fesses, celle-ci pour s’accrocher à quelque chose, passa se bras autour du cou de son amant, et ses jambes se croisèrent dans le dos de Benji comme-ci c’était naturel pour elles.

Elle sentait la grosse queue de Benji vibrer contre son ventre, elle mourrait d’envie de la sentir en elle. Elle poussa un petit cri de surprise quand Benji la souleva d’avantage, pour placer sa queue à l’entrée de sa chatte.

Camille sentait maintenant le gland lui écarter doucement ses lèvres vaginales, au fur et à mesure que Benji la faisait descendre sur sa bite.

Camille ferma les yeux et savoura la moindre sensation, elle sentait le gland entrer en elle, ses parois vaginales s’écartaient comme jamais sous la pression de ce gland hors norme. Elle avait l’impression qu’on la dépucelait une deuxième fois.

Mais cette fois, elle y prenait un plaisir incroyable, alors qu’avec Pascal pour sa première fois, c’était plutôt nul.

Ce fut à cet instant précis, alors qu’elle sentait l’énorme queue d’un inconnu s’enfoncer en elle, et lui procurer des sensations de plaisir totalement nouvelles pour elle, qu’elle pensa à Pascal.

Elle gémissait de plaisir en sentant cette énorme bite lui remplir doucement le vagin, elle ouvrit les yeux, pour regarder son jeune amant dans les yeux, et se dit qu’elle était passé à côté de tant de choses avec Pascal. Mais ça allait changer, son corps lui appartenait maintenant, elle allait assouvir ses moindres désirs, et si ça ne plaisait pas à Pascal, il n’aurait qu’à aller voir ailleurs.

Et alors qu’elle sentait son vagin rempli comme jamais il ne l’avait été, Benji avait réussi à lui enfoncer toute sa grosse queue dans la chatte, Camille lui dit :

— Allez, maintenant, baise moi bien, fais-moi jouir mon salaud.

Et elle plongea sa langue dans la bouche de son amant.

Benji commença à la soulever et à la faire redescendre doucement sur sa queue et accéléra lentement, Camille gémissait de plus en plus fort dans la bouche de Benji.

Benji accéléra encore, Camille relâcha la bouche de son amant, et se mit à crier de plaisir :

— OUIII, ENCOOREEEE, CONTINUE, DEFONCEEE MOIIII, FAIS MOIII JOUIIIIRRRRR

Benji faisait maintenant monter et descendre Camille sur sa queue, assez rapidement, des livres tombaient des étagères à chaque coup de queue qu’il lui envoyait.

Mais elle en demandait toujours plus, elle criait de plaisir, elle prenait un pied extraordinaire.

Et puis d’un coup, Benji sentit le vagin de Camille se contracter sur sa queue, et il jouit en même temps, en lui envoyant de longues et puissantes giclées de sperme au fond de son vagin.

Elle lui hurlait :

— OUUIIIII, ENCOREEEE, VASSS-YYYYY, REMMPLIIISSS MOIII LAAA CHAATTEEEEE

Les giclées finirent par se tarir, le vagin de Camille débordait, du sperme suintait de sa chatte.

Ils étaient tous les deux en sueur, et reprenaient doucement leur souffle.

Benji avait besoin de se reposer les bras qui soutenait toujours Camille et avaient fourni un effort considérable pour cette baise intense.

Il fit sortir sa queue, encore raide, de sa chatte, et la posa doucement sur le sol.

Les jambes de Camille n’arrivaient pas à la soutenir, alors Benji la posa les fesses sur le sol.

Elle reprenait doucement ses esprits, et quand Benji se redressa après l’avoir posé par terre, elle se retrouva de nouveau avec sa grosse queue en face d’elle.

Sans même qu’elle contrôle quoique ce soit, sa main attrapa cette bite qui l’avait fait tellement jouir, et se mit à la branler encore une fois.

Benji fut surpris et la laissa faire, Camille puisa dans ses dernières forces pour se redresser et venir sucer encore une fois cette queue couverte de sperme et de cyprine mélangé.

Le goût de leurs sécrétions mélangés ne la dérangea aucunement, et elle se mit de nouveau à passer sa langue sur le moindre cm² de peau de cette fabuleuse bite.

Quand elle eut fini de nettoyer la queue de Benji, elle s’écroula, complètement épuisée, et lui dit doucement :

— Merci, je n’ai jamais joui autant de toute ma vie.

— Mais de rien, ma belle, si tu veux, je repasse demain, et on remet ça, tu as l’air d’aimer le sexe en tout cas.

Camille prit quelques secondes pour réfléchir à l’éventualité de se faire de nouveau baiser dans la bibliothèque le lendemain.

Sans même une petite pensée pour Pascal, elle répondit :

— D’accord, mais tu sais, je ne suis pas une fille facile d’habitude, ne va pas croire que je couche avec n’importe qui.

D’ailleurs, elle venait de penser qu’ils n’avaient pas utiliser de préservatifs, elle se dit qu’elle avait peut-être fait une énorme bêtise.

Benji lut dans son regard de la panique, et la rassura, en lui disant :

— Ne panique pas, je suis sain, je fais des tests régulièrement, et même si je couche avec beaucoup d’autres femmes, nous faisons tous des tests très régulièrement.

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