Le fils de jean
Nous sommes un couple reconstitue, Jean, divorcé, deux enfants, et moi, veuve 56 ans ; cette histoire remonte il y a 10 ans ; les enfants de jean m’ont bien accepté et cette année, Paul 19 ans, son fils est venu passer une partie de ses vacances avec nous. La maison est assez isolée, proche d’une petite rivière, où le matin j’aime aller me baigner de bonne heure, au calme et sans témoin car la petite crique est peu connue et difficile d’accès
Comme d’habitude, alors que la maisonnée dormait, je me suis dirigée vers l’eau, où à l’abri des regards, je me baigne, le plus souvent nue ; l’eau est bonne et j’en profite quand à un moment, il me semble remarquer une silhouette derrière les buissons, puis ensuite plus rien ; après un bon bain, je me repose, alanguie sur ma serviette quand soudain, derrière moi des bruits de pas ; je n’ai pas le temps de me recouvrir que Paul apparait, en short, tout souriant. Quand je veux m’habiller, je constate que c’est lui qui détient ma robe
« Pas la peine de te cacher, cela fait plusieurs jours que je te vois nue et tu es très belle femme » et il s’assoie près de moi, posant sa main sur ma cuisse ; j’essaie de la retirer, mais il m’agrippe et me maintient fermement allongée. J’ai beau serré les cuisses, je sais que je lui dévoile mon intimité et à en croire la boss qui s’est formé sous le short, cela lui plait bien.
« J’ai envie de toi ; je vous entends le soir faire l’amour et je sais qu’avec mon père, vous avez des relations à plusieurs, et aujourd’hui, tu vas m’appartenir » j’ai beau me débattre, il est plus fort que moi, et quand il réussit à m’embrasser et à m’écarter les petites lèvres avec son doigt, je commence à mouiller et il s’en aperçoit vite « tu vois toi aussi tu en as envie, tu vas être à moi, comme tu t’offres aux autres hommes avec ou sans mon père ; je sais que tu aimes te faire baiser et c’est mon tour»
Ses doigts me fouillent la chatte et je dois reconnaitre que mon plaisir monte et je ne peux retenir des gémissements et me livrant totalement, j’écarte les cuisses pour qu’il me pénètre plus profondément ; sa bouche descend jusqu’à mon pubis et c’est sa langue qui maintenant me titille le clito ; il me lèche, me suce le clito , fouille ma vulve et accrochée à ses épaules, je m’offre sans retenue :
« vas-y prends moi, fait moi l’amour, je sens ta grosse queue et j’en ai envie, baise moi, je suis à toi » il est vrai qu’il est bien monté, encore plus gros que son père, et quand il m’embroche, je ne peux retenir un « oh » à la fois de surprise tellement il me remplit la chatte ; m’embrassant goulument, il s’enfonce profondément, d’un seul jet et bientôt son gland vient me frapper la matrice ; se redressant, souriant, il me regarde dans les yeux et sans frémir il commence à me pilonner sans ménagement, sa queue me dilatant un peu plus à chaque coup de butoir, ma cyprine s’écoulant entre mes cuisses.
Je ne peux retenir mon plaisir et mes cris de jouissance le conforte dans sa fougue ; je feule de plaisir, je l’encourage à me défoncer « putain , elle est bonne ta queue, vas-y continue, défonce moi, c’est trop bon ..j’ai envie de ta jute, féconde moi, remplit ma chatte de ton sperme » soudain il se cabre, je sens son membre grossir et un premier jet vient frapper mes parois, déclenchant une jouissance bruyante, et quand les jets suivant me remplissent, je m’accroche à lui, l’embrassant amoureusement « « oh oui, je suis pleine de toi, c’est trop bon, j’ai encore envie de toi »
Quand il se retire, un flot de jute sort de ma chatte et je me plaque la main dessus pour garder sa semence ; il n’a pas débander, et me retournant et me mettant à quatre pattes, il essaie de me sodomiser ; « non tu es trop gros, tu vas me déchirer « j’ai beau essayer de me débattre, rien y fait ; son gland frotte mon sillon plein de sécrétion et s’appuyant sur mon anneau, il pousse son membre , fermement ; encore peu dilatée, j’ai du mal à céder à cette sodomie ; soudain une grande claque s’abat sur mon fessier ; profitant de ma surprise, il perfore mon anneau , continuant sa poussée, il me remplit totalement le cul ; sa sodomie est violente ;j’ai beau crier ma douleur, il ne faiblit pas bien au contraire
« Je t’ai déjà entendu jouir alors que tes amants te sodomisaient ; je sais que tu aimes cela «. peu à peu ma douleur diminue et j’encaisse d mieux en mieux son chibre qui me dilate complètement ; de plus en se retirant parfois , il se graisse le clan sur la mouille qui s’échappe de ma chatte et se plonge dans mon conduit de plus en plus facilement ; il arrive à ses fins en me faisant jouir, me livrant totalement à lui, reculant mon fessier pour mieux le sentir en moi ; nos deux jouissances arrivent en même temps et pour la deuxième fois il me remplit à la fois de son sperme et de bonheur.
Etendus tous les deux, nous nous caressons comme deux amoureux ; je viens de céder à mo beau fils, je viens de jouir entre ses bras, je viens de lui appartenir. Sa jeunesse lui a permis de me prendre encore deux fois , me livrant à nouveau totalement à lui, trop heureuse de la fougue de ce jeune amant. Quand enfin nous nous sommes séparés, je venais d’accepter de lui appartenir et de me plier à toutes ses envies ; la suite allait le confirmer