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Le fût – Chapitre 2

Le fût - Chapitre 2



Le fût, acte II

La queue à la main il se branle ; lannonce lexcite comme jamais. Dun râle, il serre les dents et balance son sperme sur son ventre. Il halète, en sueur, et se laisse choir dans son fauteuil. Face à lui, aucun diaporama porno comme dhabitude : juste une annonce sur un site de rencontres qui lui a remué les tripes et la excité au point de se faire plaisir sans autre raison. Il faut dire que David est un sex addict ; tous les vices sur internet, il les connaît, tous les vices en pratique Cest plutôt un rêve, la peur lui coupant souvent ses efforts ou le faisant changer davis au moment du rendez-vous.

De ses doigts, il récolte le sperme entre ses poils et se lèche la main : une obligation envers lui-même pour se punir de son plaisir. Bien quil aime cela, juste après avoir joui cest moins facile.

Jouant à faire une bulle blanche entre ses lèvres, il relit une fois de plus lannonce :

« Deux hommes cherchent lope pour être notre jouet, asservissement total, prise en charge à vie. Tu seras notre jouet et notre domestique ; ta vie sera faite de sexe et de plaisir. Réponds-nous par mail à ladresse suivante : [email protected]

Profil recherché : maso, jeune, grosse queue, uro, scato, moins de trente ans, dispo, cuir, bondage, latex, fouet. »

Il se relève de son fauteuil, prend un mouchoir en papier, essuie ce qui reste sur sa queue et, selon son habitude, le jette à travers la pièce. Vivant dans une vraie porcherie, il est seul ; ses parents étant décédés quand il était jeune, il vit aux frais dun oncle qui le voit une fois tous les deux ans. Alors, depuis le temps, il a appris à vivre selon ses propres lois, son bon plaisir. Dans la pièce sempilent les cartons de pizzas, les boîtes et les assiettes amenées devant le PC. À côté dune TV grand écran sempilent des pornos de toute nature ; sous le canapé dépasse une poupée dégonflée et couverte de rustines.

Il rajuste ses bas de femme, car il aime en porter, sentir la sensation douce de cette caresse sur ses jambes.

Il pense de nouveau à lannonce ; il se rendra au rendez-vous habillé en pute. Lidée le fait rebander. Il sourit en regardant sa queue se redresser. David est du genre à vivre selon les désirs de sa queue et non de la raison, mais il aime aussi se punir de trop bander.

Il ramasse un gode version big pénis, en enduit le bout de crème lubrifiante et aussitôt se laisse empaler dessus en râlant alors que son cul se déchire en laissant passer le monstre de six cm de diamètre. Sur sa queue, il glisse une capote de la veille ; il aime sentir son sperme rance et froid sur sa queue, et lentoure de scotch délectricien à sa base et à ses couilles pour bien la garder. Car il compte sadonner à quelques vices durant la journée. Puis il se place un harnais spécial de maintien sur la hanche, retenant le gode. Et finit de shabiller en pute avec jupe et maquillage. Un corps très fin et élancé lui donne facilement une apparence trompeuse, même au naturel ; alors, dès quil se maquille, on peut se tromper dautant plus.

Une paire descarpins lacés, il gémit en sentant le gode lui vriller lanus. Et le voilà parti pour quelques courses au supermarché.

De retour, il se hâte devant lécran et sautille sur place : il a reçu un mail en réponse lui donnant un rendez-vous ce soir. Le message est franc et sec :

« Salut, petite lope. Rendez-vous ce soir au vieil entrepôt à 21h ; amène tes papiers, ferme ta maison : tu cesseras dêtre seul pour devenir notre chose. Nous tattendrons dix minutes, pas une de plus.

Sur place, nous taccorderons une minute pour nous prouver ta tendance à la soumission extrême. »

Sa queue se tend encore plus dans la capote à présent ronde et lourde de sa pisse quil a faite durant ses courses en marchant dans la grande surface.

Il sassoit, se pince les tétons, coince et se palpe la verge en laissant son urine et le vieux foutre noyer sa queue sous son regard vicieux.

20h 55 ; son cur bat très très fort. Il attend avec son sac à main contenant tous les papiers de sa vie, et une valise daffaires, juste dans le doute. Il regarde sa montre toutes les trente secondes et sa queue commence à le brûler alors que la capote pend entre ses cuisses dun pipi de plus, tirant sur ses couilles. Un van sarrête ; deux hommes en descendent et viennent à lui. En confirmation du rendez-vous, il avait joint une photo de lui en pétasse.

Salut ! fait le premier, un rouquin dune trentaine dannées taillé comme un boxeur poids moyen.

Maître répond poliment David

Salut, lope ! fait le second, un brun frisé à la peau mate du Sud.

Maître reprend une fois de plus David

Alors, tu es prêt à tengager et à vivre une vie de chien ?

Oui, Maîtres : cest mon plus grand rêve.

Alors, fous-toi à poil !

Lentement, il retire son chemisier de femme et sa jupe, laissant apparaître sa queue enroulée dans une capote pleine de pisse.

Humm regarde ça : ce nest pas original ?

Oh si ! Cest une vraie lope soumise quon a là.

Pas assez encore, mes Maîtres.

Le rouquin saisit la verge, pressant le sac qui se déforme. David tremble de sentir une autre main.

Taimes la pisse, petite latrine ?

Oh oui, Maîtres, comme tout lope qui se doit.

Ta queue est toute rouge ; tu portes ça depuis quand ?

Ce matin, Maître ; ça me ronge, ça me brûle : cest divin

En riant, ils sortent leur queue.

Eh bien, régale-toi : nous avons apporté un excellent cru !

Une fois sa queue lâchée, David sagenouille et ouvre sa bouche tandis que les deux Maîtres commencent une miction, soufflant de plaisir en inondant sa bouche qui se referme plusieurs fois pour déglutir loffrande.

Leur pipi terminé, ils examinent David côté pile ; les deux hommes se régalent de voir un si beau gode retenu par une sangle dans son cul.

Taimes bien te faire écarter la rondelle, toi

Oh oui, Maître. Je me plugge au moins trois heures par jour.

Bien ; tu sembles une bonne lope. Donc, nous ne te poserons la question quune seule fois : tu es décidé ?

Son cur saffole comme jamais ; il sait quen cet instant se joue le destin de sa vie : rester une petite merde branleuse dans son appart, ou la chose de deux hommes. Lâchant un soupir, il relève la tête.

Je suis vôtre. Maîtres, voici mon ancienne vie.

À ces mots, il confie ses papiers, ses clefs, son permis, tous ses biens matériels et financiers. Ils prennent tout cela et le glissent dans un sac. Le rouquin ouvre la porte coulissante latérale du van et montre un intérieur aménagé en micro salle SM. David monte, et se retrouve attaché en croix, debout, chevilles et poignets sanglés. On lui glisse un bâillon boule perforé en bouche et la porte se referme. Le rouquin monte à lavant pendant que le brun prépare une poche de sérum. David a peur ; il a du mal à bander, mais pourtant il se sent très excité. Il contemple les murs qui supportent tout un panel de jouets SM : menottes, cravache, fouet, et même des objets quil ne connaît pas. Une petite desserte aux tiroirs mal fermés laisse apparaître des bijoux de piercing. Dernier détail étrange : un gros fût dentreprise posé sur une palette devant les doubles portières arrière.

La poche est accrochée sur un rail ; le brun place une aiguille de seringue à lextrémité du tuyau qui en descend et pique David dans les couilles, de façon à ce que le produit sécoule dans les bourses.

Ça y est : il bande. Il sent sa déchéance commencer.

Le trajet dure une petite heure. La poche a pu se vider, changeant ses couilles en une belle orange ronde et pesante qui pend entre ses jambes tendues et tremblantes.

Le rouquin monte à son tour à larrière et sourit à son ami qui profite de larrêt du van pour préparer des outils de piercing. Le roux comment à lui lécher les fesses, les caresser, promener ses mains sur son corps, remontant à ses tétons. David se sent bien, malgré sa queue qui tire à lhorizontale sa capote lestée ; il se sent comme une petite chienne de femelle. Ses tétons sont tirés et le brun en profite pour y enfoncer une aiguille de piercing. David pousse un cri étouffé par le bâillon. Sa bave coule par ses orifices respiratoires et son cur bat fort. Et lorsqu’enfin le brun empoigne sa bite sous la poche de latex, David se met à jouir en hurlant comme jamais il navait fait. Lextase est puissante, et cest tout le volume de sérum qui sort avec son éjaculation, lui éjectant plus dun quart de litre sous la forme de geyser en saccades.

Jamais il navait connu de jouissance si longue ; il est fou, en transe, prêt à tout pour que ses Maîtres lui en redonnent. À la fin du plaisir, il sent sa vision chanceler ; David tourne de lil sous lépuisement et le plaisir.

Son réveil se fait lentement ; combien de temps a-t-il dormi ? Il ne sait pas : il na plus de montre pour mesurer le temps. Son corps lui fait un peu mal. Il regarde autour de lui. Un puits étroit juste assez large pour quil puisse sallonger dans le diamètre, environ trois mètres de fond et, par louverture au-dessus de sa tête, un plafond de poutres où pendent des chaînes, des cages et quelques poutres équipées de sangles pour jeux SM.

Son gode a été enlevé, sa capote aussi. Son gland a été percé dune tige passant par lurètre et ressortant en virgule sur la surface du gland. Trois anneaux ornent le dessin de jointure le long de sa verge. Il en compte deux de plus à ses tétons, et un sur la langue, qui est un peu enflée.

Il trouve cela excitant ; il est rassuré de ne pas lavoir vécu. Il porte en outre un collier de métal dont la face interne est en cuir, et des sangles à anneaux pour attaches rapides aux chevilles et poignets.

Le long de la paroi se trouve un tube en PVC transparent qui débouche dans une mangeoire à même le sol. Un autre tuyau plus fin débouche à mi-hauteur du puits.

Alors quil explore un peu plus les accessoires qui ornent son corps, il repère deux rougeurs sur ses couilles : deux fins traits chirurgicaux recousus proprement qui ont servi à ajouter dans chaque couille une bille en acier. Tâtant ses sacoches, il découvre létrange plaisir de les faire rouler dans son sperme en création.

Commence alors une longue attente, où patiemment il attend la visite de ses Maîtres. Il repère aussi une camera logée sur une poutre qui le filme ; alors, il reste docile. Après tout, il na rien à réclamer : à présent, il nest plus quune bête domestique qui doit attendre dêtre baisée.

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