Histoires de non consentement Histoires de sexe gratuites

le gigolo – Chapitre 1

le gigolo - Chapitre 1



Je viens de passer six mois en Allemagne. Ayant découvert votre site à mon retour, il y a trois mois, il ma semblé que vos internautes pourraient être intéressés par le récit de lexpérience que jai faite à Berlin.

Je nai absolument pas honte de dire que jai été un gigolo. Sans travail, vivant seul, javais répondu, en juillet dernier, à une annonce demandant un valet de chambre-homme à tous faire logé. Je navais jamais tenu une maison, mais je pensais pouvoir bluffer.

Jai donc écrit, et un peu plus tard, sur rendez-vous téléphonique, je me suis présenté à ladresse indiquée, un immeuble luxueux dans un quartier riche. Une dame ma ouvert, qui semblait avoir 35 ans ( je ne devais pas tarder à mapercevoir quelle en avait presque 50 ) et qui ma fait entrer en mexaminant sous toutes les coutures.

Nous nous sommes assis, nous avons bavardé de choses et dautre, et elle sest montrée extrêmement gentille. Jai trouvé bizarre quelle ne sinforme pas de mes références ni de mon expérience de valet de chambre. Elle répétait sans cesse quelle trouvait fascinant mon accent Français.

Enfin, elle ma annoncé que je ferais laffaire. Le moment venu de parler de mes gages, elle a avancé un chiffre très élevé. Devant ma surprise, elle a ajouté quétant peintre, elle considérait quil entrerait dans mes attributions de poser nu pour elle. Jai accepté, pensant que cétait une drôle didée. Là-dessus, elle ma dit de me déshabiller afin quelle puisse juger de mon corps en tant que modèle.

Je devrais peut-être ajouter que jai 25 ans, que je suis grand et bien fait, et que je nai jamais eu honte de montrer mon corps, surtout devant une femme. Je me suis donc levé et jai commencé par ôter ma chemise. « Madame », (cest ainsi que je devais lappeler) ma dit de ne pas me presser, parce quelle voulait étudier mes mouvements. Quand jai été en slip, elle ma dit de lui tourner le dos, puis elle est venue derrière moi et lentement, elle ma elle-même enlevé mon slip. Elle la fait de façon si sensuelle que jai immédiatement eu une érection, ce qui a semblé lui faire grand plaisir quand je me suis retourné.

Elle ma fait prendre plusieurs poses, assis, debout et couché, et chaque fois quelle me touchait, mon érection en concevait une plus grande fierté. Au bout dune demi-heure de ce petit jeu, nous nous sommes tout naturellement trouvés au lit, où elle sest révélé une amoureuse très enthousiaste et réellement experte.

Le lendemain, je me suis installé chez mon employeuse. Je savais très bien que jétais un gigolo, que jétais surtout payé pour coucher avec Madame, mais la situation nous plaisait à tous les deux-pourquoi ne laurions nous pas acceptée ? Je travaillais dur, jentretenais lappartement dans un état impeccable, je faisais le chauffeur, la conduisant en ville ou allant faire des courses pour elle. Quand je nétais pas occupé aux travaux domestiques, je posais pendant des heures tout nu sur un tabouret tandis quelle dessinait de piètres esquisses de moi.

Elle ne ma jamais donné limpression dêtre nymphomane. Nous faisions rarement lamour plus de deux fois par jour, mais elle était ravie de me voir aller nu à travers lappartement. Après une quinzaine environ, comme jai vu quelle adorait cela, jai pris lhabitude dêtre le plus souvent possible nu, ce qui a eu pour résultat despacer les séances de pose, que je trouvais lassante.

Je me suis efforcé de gagner mon argent en lui donnant de plus en plus de plaisir au lit, et je crois y avoir réussi. Quand elle a commencé à se lasser de moi, tout sest passé sans rancur de part et dautre (je lui envoie encore de temps en temps une carte postale amicale). Jai économisé tout ce que jai gagné, puisque je navais aucune dépense à faire. Outre le budget de la maison, Madame ne me laissait rien acheter moi-même, moffrant des vêtements et des vacances avec elle. Jimagine que la plupart des hommes porteront sur moi un jugement sévère, mais je nai pas de regrets et je recommencerais volontiers si le cas se présentait.

Je suis certain que jai rendu « Madame » plus heureuse, et je ne lai pas dépouillée, car elle est suffisamment à laise pour se permettre ce quelle a fait. Je suis bien sûr aussi quun autre jeune homme orne son appartement maintenant, et je leur souhaite bonne chance à tous les deux. Un grand nombre de femmes se font entretenir par des hommes, et tout le monde trouve cela tout naturel.

Pourquoi la société condamne-t-elle la situation inverse ? Il existe de par le monde beaucoup de femmes entre deux âges qui ont besoin damour et dactivité sexuel- et beaucoup de jeunes hommes qui ont besoin dargent. Pourquoi nauraient-ils pas le droit daccorder leurs violons au plus grand avantage des unes comme des autres ?

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire