J’avais prévu depuis longtemps de me prendre quelques jours de « stage » d’excursion au milieu des Alpes, encadrée par un professionnel et d’autres stagiaires. J’avais envie de prendre l’air et de marcher, découvrir des lacs, dormir en refuge et vivre une vraie aventure physique.
La veille de mon départ j’avais préparé mon sac à dos en veillant à ne rien oublier. Des bonnes chaussettes, un pull, des gants au cas où et des sous-vêtements si je transpire trop. Pour être à l’aise en pantalon j’avais pris des strings élastiques et en haut un soutien-gorge de sport. Rien de très romantique pour une ballade en « solo ».
A l’arrivée du train avant de prendre le bus avec l’équipe je découvrais les deux autres stagiaires qui complétaient notre groupe de quatre. Deux filles également. Une d’origine des pays du Nord, plutôt grande avec un visage fin, et l’autre était du sud du Portugal. Elles avaient comme moi dans les 26-27 ans. Je leur parlai en anglais leur demandant si c’était bien ici le départ pour le refuge des conscrits. Elles me répondirent à l’affirmative en me montrant une feuille imprimée avec l’encadrant, Alexis, qui nous accompagnait. Sur la photo, il avait des lunettes et on ne voyait pas trop les détails de son visage mais il paraissait assez baraqué. Normal pour un prof de gym ou guide de randonnée. J’étais follement excitée de partir pour plusieurs jours au fond des montagnes. J’en avais marre de la ville et je souhaitais m’évader.
Alexis arriva avec trois cordes sur le dos, des gros sacs et du matériel d’escalade. Il était plutôt grand dans les 1,83m, les épaules bien saillantes et des forts pectoraux, c’était vraiment LE guide de montagne qui devait faire fantasmer les petites jeunes. Nous nous saluâmes avec les filles et l’ambiance était déjà bonne.
Nous allions monter dans la grosse jeep et j’aperçus que Natasha la Suédoise avait son string rouge qui dépassait de son pantalon en se baissant. Alexis le remarqua également et détourna son regard au bout de quelques secondes. Il me fit un sourire complice en me voyant aussi regarder. Je pensai que je n’étais pas la seule à avoir de la lingerie sexy pour une sortie en montagne.
Nous roulions maintenant depuis trois bonnes heures et j’étais seule à l’avant à discuter avec Alexis alors que les deux filles derrière somnolaient un peu. Le prof était très sympa, drôle et amusant. Il avait commencé ce job il y a déjà plus de dix ans et connaissait parfaitement la zone. Les vibrations du 4×4 me titillaient le clitoris et j’arrivais difficilement à me concentrer pour répondre à ses questions. Je commençais même à mouiller ma culotte. J’avais peur que ça se voie mais il n’y avait aucun risque. Je tournai le regard vers Maria la Portugaise à l’arrière qui avait enlevé son pull pour le mettre sous sa tête. Elle avait une belle poitrine. On voyait son chemisier qui baillait un peu et elle ne devait pas avoir de soutien-gorge je distinguais son téton. Elle était très belle et ça m’amusait de regarder cela.
Une fois arrivés au début du sentier nous commencions tous à prendre notre rythme pour rejoindre l’itinéraire principal. Alexis en tête s’adaptait à notre rythme et les deux filles marchaient derrière moi, nous avions le même niveau. Nous approchions maintenant d’un premier lac.
Arrivés devant cette magnifique étendue d’eau Alexis nous félicita et nous annonça une pause bien méritée. Maria enleva ses chaussures, son pantalon pour ne garder qu’un string blanc et son haut blanc. Elle piqua une tête devant nous, étonnés de son courage. L’eau était très fraîche et personne ne se baignait. Même Alexis frappa dans ses mains.
Elle revint vite au bord pour sortir de l’eau devant Alexis qui lui tendit une serviette.
En sortant de l’eau s’est magnifiques seins se fondaient par transparence avec le chemisier et on pouvait voir ses larges aréoles et ses tétons qui pointaient très fortement. De même son string blanc était fait d’une manière tellement fine que Alexis avait une vue sur toute sa chatte et on voyait même la fente de son sexe. Il lui sourit et elle s’enveloppa dans la serviette pour se sécher en le remerciant. Il lui frotta le dos et la laissa continuer toute seule. Je venais de voir que le pantalon d’Alexis avait d’un coup un peu grossi au niveau de sa braguette. Le charme de Maria ne l’avait pas laissé insensible.
Quelque temps après Maria se rhabilla et elle enleva son chemisier pour enfiler un débardeur plus court. Deux magnifiques seins se dérobaient et elle n’avait aucune timidité à nous les faire partager. Alexis n’en perdit pas une miette et je voyais sa queue grossir à quelques mètres de moi. J’en profitai pour refaire mes lacets et lui présentai mon cul. Je sentais que mon pantalon un peu large descendait et qu’il devait voir mon string. J’avais moi aussi envie de lui plaire, c’est bête mais j’étais un peu jalouse de l’attitude de Maria. Accroupie je regardai derrière moi et le vis en train de mater mon cul, je lui souris et il répondit un peu gêné.
La ballade continua et à la nuit tombée nous arrivions au refuge. Alexis passa à la caisse pour régler les chambres et nous allions tous dormir dans un dortoir. Au fond du dortoir nous allions déposer notre matériel. Il n’y avait personne pour l’instant à cet étage. Alexis s’allongea dans le fond pour se changer et en enlevant son pantalon je découvris qu’il n’avait pas de caleçon. Il était en mode commando. Je vis son sexe qui ballotait entre ses cuisses et je ne détournais pas mes yeux. Cela me plaisait de l’observer à la dérobée. Il passa sa main sur ses couilles pour les caresser quelques secondes, cela me fit un grand effet. Je descendis et il m’aperçoit sortant de la couche d’en face. Il comprit alors que je l’avais observé. Il devait nous prendre pour trois nymphomanes quoique depuis le début la Suédoise était plutôt timide.
Une fois en bas pour manger nous dégustions des plats du refuge et la conversation s’engagea. C’était très cool de pouvoir nous reposer et rire de notre journée et nos histoires d’auparavant.
La nuit tombait et Maria dégrafait au fur et à mesure sa chemise pour nous offrir sa poitrine généreuse. Je voyais alors son pied se diriger en face sur la queue d’Alexis et il ne pouvait réagir car à ce moment Maria s’esclaffait d’un grand coup pour faire diversion. Alexis était comme scotché sur ses seins et je voyais son pantalon grossir sous le pied de Maria. Je m’excusai et remontai dans le dortoir pour me reposer. La Suédoise vint avec moi laissant ainsi Maria et Alexis en tête à tête.
Quelque temps plus tard après m’être un peu touchée en repensant à la vision de tout à l’heure, ma chatte était bien mouillée et je m’étais un peu assoupie. Tout à coup j’entendais quelques voix qui s’approchaient mais silencieusement. Nous étions en pleine pénombre et il était difficile de distinguer quelque chose mais d’un coup bref deux personnes s’allongèrent à un mètre de moi. Un fin rayon de lune éclaira alors Alexis et Maria qui s’embrassaient comme deux adolescents. Étant dans le noir ils ne m’avaient pas remarqué et je n’osais plus bouger.
Je vis Maria ouvrir la braguette du moniteur et diriger sa bouche vers sa queue qui était assez grosse, même plutôt balaise, un bon 22 centimètres de long et 4 de diamètre. Alexis était très bien pourvu. Maria le suçait avec passion en lui aspirant la queue et lui malaxant les boules. Il semblait apprécier ce festin et il prenait son pied. C’était la première fois que j’assistais bien malgré moi à une scène de sexe et étonnamment j’étais très excitée. Je suivais avec attention toutes les étapes de leurs ébats et je commençais même à me masturber les regardant.
A un moment Maria se retourna et à quatre pattes lui présenta ses fesses pour se faire pénétrer en levrette. Il lui introduisit sa queue assez facilement et j’avais du mal à ne pas me retenir de gémir tellement je m’excitais également à me masturber. Mais Maria restait silencieuse. A part les bruits de queue qui fourrait son vagin ils étaient discrets. Je voyais les beaux abdos marqués du moniteur s’activer quand il balançait sa queue d’avant en arrière. Je m’activais pour faire monter mon orgasme et je transpirais à grosse goutte.
D’un coup j’entendis Maria pousser un cri et elle se cramponna au drap, elle venait de jouir et quelques instants après elle se retira et après un léger signe d’adieu elle s’allongea juste à côté d’Alexis Le laissant la queue en l’air toute bandante. Elle ne tarda pas à s’endormir tellement son orgasme l’avait fatiguée. Moi qui n’arrivais toujours pas à avoir un orgasme j’étais encore folle de rage et de jalousie de voir Maria profiter d’une situation égoïstement.
Alexis s’endormait et je me décidai de me rapprocher de lui. Je m’installai au-dessus de lui et il se réveilla. Il pensait que c’était Maria qui revenait prendre un peu de plaisir et il ne fut pas attentif. Je descendis ma tête au niveau de sa queue pour lui lécher les boules avant de mettre son sexe dans ma bouche. Je l’entendis bien soupirer et il me caressait les cheveux. Je prenais un putain de pied à lui sucer toute sa verge durcie par mon action. Une fois bien dure je me retournai et m’asseyais sur sa queue pour la prendre en moi. Je sautais dessus frénétiquement pour le baiser comme une folle, je commençais à jouir et sentir l’orgasme qui venait. Alexis posa ses mains sur mes fesses et donna à son tour des mouvements de queue de bas en haut pour me prendre. Il n’avait toujours pas remarqué que c’était moi et j’en profitais. Je le baisais à ma guise et c’était extraordinaire de sentir taper dans le fond de ma chatte sa queue. Tout à coup mon vagin se contracta de plus en plus et je sentis tout son sperme chaud et en profusion qui poussait pour remplir ma chatte, je n’avais rien prévu de tout ça et ceci me fit exploser littéralement, je criais d’un bruit fort et court et agrippa ses jambes pour me cramponner à cette épreuve. Ce fut un orgasme incroyable, très puissant et terriblement excitant, la lune y jouant sans doute un rôle et la pénombre aussi ! Un bon début de randonnée !
