La baronne de Machattedégouline reçoit ses deux amies, la comtesse de Jadoremefairedubien, baronne de Jenaiaucuntabou et la Princesse de Tantquemachattestpleinejesuisheureuse. Elle les attend en son château de Mélamoidenlcul. Un superbe château de la renaissance avec jardin à la française. Il fait beau, le temps est parfait.
La princesse arrive. Roger, son chauffeur, lui ouvre la portière. Josette sa gouvernante, porte un petit nécessaire à toilette. La princesse aime repartir toujours bien mise. La comtesse arrive juste après elle. Jean se gare à côté de la voiture de la princesse. George, le majordome de la comtesse, lui ouvre la portière. Ses dames viennent prendre le déjeuner chez la baronne.
La baronne pour recevoir ses amies est vêtue d’une robe longue, ouverte sur les côtés, le devant et derrière, qui laisse voir ses jambes gainées de bas à chaque fois qu’elle marche, les bas étant tenue par des jarretelles. La robe est décolletée qui laisse bien voir sa poitrine qu’elle a opulente. C’est une robe rouge pourpre qui va à merveille avec son teint pale, ses taches de rousseur. Elle a mis des mules à talon de 15 cm
La princesse est vêtue d’une jupe courte, très courte, les coutures de ses bas se voient. Ses escarpins à talons de 12 cm, lui font des jambes longues et gracieuses. Le corsage n’est fermé que par deux boutons. On peut voir ses seins libres, de beaux seins, mats, fermes malgré le 95E. La jupe permet dapprécier le cul rebondit. La princesse est une sportive et cela se voit.
La comtesse a mis une robe évasée qui s’envole facilement quand il y a du vent et le haut n’est tenu que par un attache-cur qui cache, hélas diront certains, ses seins qui sont petits mais tellement sensibles. Elle a passé des bottines à talon de 8 cm.
Après avoir complimenté ses invitées sur les tenues choisies, la baronne leurs demande de passer à table. Celles-ci s’assoient aux endroits désignés par la baronne. A peine assise, elles sentent des mains qui caressent leurs jambes, des langues qui partent des chevilles et remontent jusqu’au haut des cuisses. La baronne frappe dans ses mains. Trois jeunes hommes arrivent avec des flûtes de champagne. Ils ont la veste noire avec une chemise blanche et cravate noire. C’est les seuls vêtements qu’ils aient. Elles peuvent mater à loisir les queues bien raides. Ils s’approchent de la table, posent les coupes et restent auprès de ses dames. Celles-ci prennent la coupe d’une main et la queue de l’autre. Tout en papotant, sirotant leur champagne, elles branlent les valets. La princesse se baisse pour sucer .
— Ho, mais ils sont parfumés. Jolie attention, Baronne
— Oui, j’ai choisi différents goûts, parfum à l’orange, fraise et jasmin. Le vôtre?
— Le mien , à l’orange et vous, chère comtesse?
La comtesse suce, lèche, prend la queue et dit :
— Ho le mien, au jasmin, c’est délicieux
— Le mien est donc à la fraise, je vais vérifier tout de suite dit la Baronne
-C’est bien cela. Chères amies, je vous invite à goûter mes valets avec la bouche, nous ne sommes qu’aux amuses-gueules.
Sur ceux , ces dames se penchent et sucent avec un plaisir évident ses queues. Pendant ce temps, sous la table, les langues parviennent à leurs chattes. Elles sont léchées. Au bout d’un moment, les valets donnent leurs semences, ces dames l’avalent et se repositionnent sur leurs chaises.
— C’est un plaisir d’être reçues chez vous, chère baronne de Machattedégouline.
— Mais je vous en prie, Princesse de Tantquemachattestpleinejesuisheureuse, c’est le plaisir de recevoir
— J’adore ses amuses-gueules, ce petit goût sucré, dit la comtesse de Jadoremefairedubien, et puis cette langue qui n’arrête pas me fait mouiller. Tout ce que j’aime, chère baronne.
— Ses langues n’arrêteront pas tout le long du repas, chère comtesse.
Les valets repartent la queue basse. Alors que les hors-duvre sont servis , Josette, George et Paul, le majordome de la Baronne, viennent derrière leurs patronnes. Ils font tomber le haut des robes. Ces dames sont en topless. La gouvernante et les majordomes repartent. Trois jeunes femmes arrivent se mettant derrière ses dames et commencent un massage des poitrines. Des massages doux, sans toucher aux tétons et lentement, les massages sont plus appuyés, les tétons frôlés. Ces dames arrêtent de manger. Les masseuses continuent en insistant sur les aréoles, elles prennent les tétons et commencent à tirer en douceur. Elles les lâchent et massent de nouveau les seins, retournent aux tétons et les triturent, tirent dessus. Ces dames ferment les yeux. Les mains n’arrêtent pas. Les tétons sont érigés, durs. Les langues s’occupent toujours des chattes. Les mains arrêtent. Les dames sont à la limite de la jouissance. Les masseuses s’en vont.
Tout le monde reprend ses esprits. Une fois le plat finit, la princesse dit :
— Je ne sais pas si je vais tenir encore longtemps. J’ai la chatte en feu.
— Moi, c’est la même chose, dit la comtesse, il faut que je jouisse tout de suite et pour cela il faut quelque chose dans ma chatte.
— Aucun problème, jouissons ensemble très chères.
La baronne fait un signe à Paul. Celui-ci donne un ordre. Les langues quittent les chattes et des doigts prennent le relais. Ils rentrent dans les chattes. Un, deux, trois puis quatre et enfin cinq doigts sont dans les chattes béantes. Elles se font fister. Les chattes s’écartent sous la pression des mains. Un va-et-vient infernal commence. Elles commencent à gémir, elles se tiennent à la table. Elles jouissent toutes les trois au même moment.
Après quelques minutes, elles se remettent correctement sur leurs chaises. Les langues ont repris leur travail.
— Vous nous gâtez, Baronne. Nous n’avons pas encore goûté au plat de résistance que déjà nous avons joui.
— Mais, princesse, je compte que nous jouissions à chaque plat. D’ailleurs, je vous prie de vous lever , mesdames.
Elles se lèvent toutes les trois. Une personne arrive et enlève le coussin des chaises. Elles deviennent ainsi des chaises à trou.
— Mesdames, si vous voulez bien vous asseoir.
Avant de sasseoir, la gouvernante et le majordome leur enlève le bas. Ainsi, elles sont nues. Quand elles sassoient, les fesses sont dans les trous et l’orifice anal disponible, les jambes sont bien écartées. Les langues reprennent leur travail.
— Cette langue, Baronne, n’arrête pas de titiller mon clitoris et me rend folle d’excitation.
— C’est ce que j’ai demandé à ces personnes, comtesse, de s’amuser avec nos clitos.
— C’est vraiment une excellente idée, dit la princesse
Les valets apportent le plat de résistance. Ils ont gardé la même tenue. Bien sur, elles ne peuvent pas sempêcher de prendre leurs queues dans les mains. Elles sentent qu’on leur écarte les fesses, passe du lubrifiant. On introduit un god gonflant et un lent va-et-vient commence. Les gods sont reliés à un moteur électrique. C’est Paul, le majordome de la maîtresse de maison, qui a la télécommande. Alors que ces dames s’occupent de la queue des valets, les gods les enculent doucement et bien sûr les langues continuent à les lécher. Les assiettes sont servies et elles délaissent à regret ses belles queues. Elles commencent à déguster le plat. Le va-et-vient est plus rapide, les godes grossissent un peu. Alors qu’elles ont presque fini, les gods enflent beaucoup et le va-et-vient est plus rapide. Elles ont du mal à finir tellement elles sentent en elles ce dard. Des doigts pénètrent leurs chattes, les gods continuent. C’est la Princesse qui commence à gémir en premier, suivi rapidement par la comtesse. La baronne essaie de se retenir, elle veut voir ses deux amies jouir mais l’excitation est trop grande, le plaisir arrive brutalement et elles jouissent toutes les trois. Les gods sont dégonflés et reprennent très lentement leurs va-et-vient, les doigts sortent des chattes, les langues roulent doucement sur les clitos. Elles commencent à reprendre leurs esprits, des cernes sous les yeux.
— Je vous propose un entremets entre le plat de résistance et le dessert., dit la Baronne.
Trois hommes bodybuildés arrivent. Ils ont juste un mini string. Ils jouent des muscles, dansent autour de la table, enlèvent le string. Les queues sont de taille respectable, bien raides. Ils les mettent devant la bouche de ses dames qui se font un plaisir de les sucer. Bien sur, il y a un final, ce n’est pas un feu d’artifice mais une bonne semence onctueuse que ces dames ont du mal à avaler.
— Bien, passons au dessert, j’espère que cet intermède vous a convenu, dit la baronne de Machattedégouline
— Tout à fait. Cette langue et ce god sont vraiment une idée géniale, répond comtesse de Jadoremefairedubien, baronne de Jenaiaucuntabou
Le dessert arrive, servi par six charmantes demoiselles. Une fois le service terminé, les demoiselles se mettent deux par deux autour de chaque invitée. Elles prennent les tétons au signal de Paul. Pendant que ces dames dégustent leurs desserts, elles sont donc léchées, enculées et les tétons étirées, roulées, malaxées. Le god est bien gonflés pour qu’elles le sentent bien en elles. Des doigts fouillent les chattes et les langues continuent de titillaient leurs clitoris.
A ce moment, Josette, la gouvernante dévouée de Princesse de Tantquemachattestpleinejesuisheureuse est nue devant la table. Elle a un corps splendide, entretenu, pas du tout de toison. George, Paul et Jean ont enlevé leurs pantalons. Ils viennent près de Josette . Celle-ci commence par les sucer tous les trois. Une fois qu’ils sont bien en forme, Jean se couche par terre et Josette s’empale sur sa queue, George se présente derrière et encule Josette. Paul présente son vit devant la bouche de Josette.
— C’est un spectacle vraiment formidable. J’aime quand mon majordome prend du plaisir, dit la comtesse.
— Regardez ma Josette, c’est vraiment une gouvernante parfaite
Paul, pouvez-vous accélérer dit la baronne.
Paul, la télécommande à la main, appuie sur le bouton. Les gods accélèrent alors que les mains pénètrent les chattes et les doigts tirent sur les tétons. Le spectacle offert par les majordomes et la gouvernante est de toute splendeur. On voit la sueur sur les corps. On entend les gémissements. Les hommes accélèrent, Paul appuie sur les boutons. Les gods sont gonflés, accélèrent leur va-et-vient. Les tétons sont pincés. Et au même instant, les patronnes et les domestiques jouissent. On entend des cris de plaisir venant de partout. Des dames, des majordomes, de la gouvernante mais aussi de sous la table.
Une fois finie, Paul arrête les gods. Les majordomes et la gouvernante retournent se vêtir. Les dames s’installent correctement à table. Et enfin, il sort de sous la table six naines, les yeux rouges, brillants et cernés.
Paul s’approche de la table et dit :
— J’espère, madame la baronne que nous avons satisfait vos envies à vous ainsi qu’à vos invitées.
— Tout à fait, Paul. Vous pouvez disposer et donner à boire à ces charmantes demoiselles qui doivent avoir très soif . Et vous chères amies, je vous vois combler ce qui me ravit.
Tout le monde était très fatigué par ce repas un peu différent de d’habitude.