Le Jardin de la ville
J’habite Toulon et même si je n’apprécie guère cette ville, je dois reconnaître que jy ai connu beaucoup de belles expériences avec les hommes dans les nombreux endroits chauds quil sy trouvait. Les copains parlaient souvent pour se moquer des autres « allez, on ta vu au jardin de la ville ! »
Bien sur, personne ne savait que je rencontrais des hommes quand je ne pouvais plus résister a cette sensation de suintement anal qui me tenait au ventre, signe que je devais céder a mes pulsions homosexuelles.
Un jour donc, jai osé visiter ce fameux jardin et contrairement a ce je croyais, les choses se passaient bien plus haut, jai remonté a pied le boulevard jusqu’à arriver près de la voie ferrée. Les signes ne trompaient pas, il y avait quelques voitures qui tournaient et repassaient souvent.
Au cours de ma « promenade », je remarque une cour décole, apparemment inoccupée, jentre dans celle-ci, le portail nest pas fermé ! je trouve lendroit sympa et utile puisquil possède des coins sombres. Je sors pour me faire remarquer et y attirer un futur amateur de jeunes hommes.
Il ne faut pas longtemps pour que lun deux me repère, et comme je retourne dans le lieu choisi, il me suit et entre avec sa voiture, il se gare un peu au fond de cette cour. Je vais donc dans un coin assez proche de son véhicule, et il me rejoint, il me dit quil me trouve mignon, en précisant quil ne ma jamais vu dans le coin, je lui réponds que je découvre lendroit.
Très vite, il se colle a moi en me disant quil a envie mais quon doit faire vite, il est assez pressé ! Jai déjà ma main qui frotte sur son entrejambe, il bande très vite et défait sa ceinture, puis baisse sa fermeture éclair. Ma main sinsinue dans son slip, et je dégage sa queue dure et dressée vers moi comme une invitation au sexe, je ne résiste pas longtemps et je magenouille pour le sucer amoureusement. Jadore déjà sa queue, avec son gland bien plus large que sa tige, une particularité que jai appris a aimer, Il me couvre de compliments en gémissant de plaisir et en se plaignant quil est dommage quil soit tenu par le temps.
Puis il minvite a continuer dans sa voiture, il a peur dêtre surpris par quelquun. Je le suis et massoie coté passager, je reprends ma pipe alors quil a baissé son pantalon coté conducteur. Je trouve la position inconfortable, il me propose de me déshabiller et de baisser complètement nos sièges. Il prend ma place et je peux plus facilement reprendre ma fellation, en mattardant à lécher ses grosses couilles, puis de mempaler son gros gland au fond de la gorge, il se pâme de plaisir sous mes coups de langues appuyés et les va et viens chauds et humides de ma bouche sur sa bite.
Il porte sa main sur mon front pour me redresser afin que je le regarde tout en le suçant, puis il marrête et me dit « je veux pas jouir maintenant » et il mallonge a sa place en prenant soin davoir mes fesses a sa hauteur, il crache sur sa main et dépose sa salive sur sa queue, il mécarte les fesses et mhonore moi aussi de sa salive sur lanus, il saisit mes hanches et me tire vers lui jusqu’à coller son membre a lentrée de mon cul.
Il pousse légèrement en faisant des aller retours assez courts et tres lents, mon anus sent alors pénétrer son gland inexorablement , puis il entre enfin en passant mon sphincter, jai un mouvement de cambrement en laissant échapper un « mmmmhuuumm » de soupir, il décule, puis crache encore sur mon cul et repointe a nouveau sa bite en senfonçant alors dun coup lent mais jusquau fond de mon cul. Je gémis de bonheur, son gland me procure un plaisir énorme, sa proéminence fait que je le ressens plus fort dans mon cul, jadore quand il bouge en moi, mon anus se met a lubrifier plus que dhabitude au fur et à mesure des coups de butoir, il attrape mes cheveux et me cambre a lextrême tout en menculant comme une salope soumise, il me dit «ohh putain !, jadore te baiser ! on aurait du aller chez moi, je taurai enculé toute la nuit, ah ! tes génial ! tu mplais trop, mmmhumm, tu mouilles du cul mon salaud! tu mexcites ! » .
Javoue que je prends un pied énorme moi aussi a lui appartenir, il me baise comme un dieu, ce serait génial de garder le contact, jaime trop me faire enculer par ce mec. En plus, il est très endurant et ses coups de queues marrachent de gros râles de jouissances, mon corps fait des mouvements davant en arrière presque violents sur sa grosse bite, ses cuisses claquent contres mes fesses, ses couilles aussi, il lâche de temps en temps mes hanches pour me claquer le cul en disant « ohhh, cest trop bon huumm ! » .
Jai déjà eu un premier orgasme anal quand je sens alors venir a nouveau le plaisir monter en moi, je sens que jai le cul trempé du plaisir quil me procure, le liquide coule le long de mes cuisses, cen est trop, je ne peux plus retenir mes spasmes de plaisir « arrhhhhhhhhhh ! arrhhhhhhhhhh ! arrhhhhhhhhhh ! arrhhhhhhhhhh» a chaque fois quil me perfore avec son gros pieu, je joui sans me retenir, putain quel pied ! il me vide complètement tellement , il me fait jouir en menculant comme il le fait, jai eu un orgasme puisant qui me laisse sans réaction, mais lui ne sen rends pas compte et se déchaine toujours en moi, il me dit « tas vraiment lair de jouir du cul, tes né pour te faire mettre, jadore tentendre prendre ton pied, je vais pas tarder a tout lâcher, tui mexcite trop ! ».
Il me claque le cul en se déchainant en moi, de temps en temps, il mencule frénétiquement en faisant allez et venir son gland dans mon sphincter, juste du bout de la queue, puis mencule profondément dun coup sec pour reprendre sa défonce anale, il lâche alors « ça y est, je vais jouir ! oui, oui, oui, ahhhhhh, tiens ! tiens ! ahhhhrrrr ! » tout en me plaquant sur le siège et en saffalant contre moi, en enfonçant sa merveilleuse bite au plus profond de mes entrailles, ses flots de spermes sont chauds et ressens un bien être immense, malgré le fait quil pèse de tout son poids contre moi.
On reprend nos esprits, il se rhabille et disant quon doit se revoir, ce qui narrivera quune fois, dans les environs du même endroit, je marchais a la recherche de rencontres possibles et me suis hasardé un peu plus loin et il ma repéré a nouveau, il ma proposé de le suivre et nous nous sommes retrouvés dans un petit bosquet devant un immeuble situé le long de la voie de chemin de fer.
Javoue que je ne trouvais pas le lieu assez discret, mais lexcitation était trop forte. Il ouvre sa braguette et très vite, je me retrouve a le sucer frénétiquement, il me dit alors « ouaahh, tes génial toi, tu viens souvent ici ? », je suis étonné quil ne me reconnaisse pas, et lui affirme quon se connait déjà , mais il narrive pas a se souvenir de moi. Je me remets a le sucer en le lêchant des couilles jusquau fameux gland proéminent que jai tant adoré. Il me soulève en me disant quil a envie de moi, il me tourne pour coller mes fesse contre lui, je dégraffe mon pantalon qui tombe sur mes chevilles, il baisse mon slip et en profite au passage pour mécarter les fesses et enduire mon anus de salive avec sa bouche.
Il se redresse et crache sur le bout de sa queue, et sapplique a frotter son gros gland a lentrée de mon sphincter, en appuyant dans de légers mouvements avant et arrière, de mon coté je lui tends mes fesses qui commencent a le sentir entrer en moi, dun coup mon anus se referme sur son gros gland, je lui demande de ne plus bouger, je laisse passer quelques secondes, et je sens mon muscle anal souvrir et se détendre, je me retire alors de sa queue, pour mempaler a nouveau en menfonçant son membre jusquau couilles , tout en poussant un râle de plaisir.
Il me saisit par les hanches et se colle a mon oreille, pour me dire quil adore me baiser et répète les compliments de notre première rencontre. Il me fait aller et venir sur sa queue, longuement, en sortant de temps en temps pour me pénétrer dun coup puissant ensuite et en se déchainant dans mon cul.
Puis des pas se font entendre, on stoppe tout mouvement dun coup sec, mais sans arrêter notre pénétration, nous sommes debout, lun devant lautre, avec nos pantalons sur les pieds, et moi avec sa queue dans lanus, nous voyons alors une jeune femme de 25 ans environ, qui passe a 5m de nous, les yeux regardant vers le sol, puis disparaitre sans se retourner dans limmeuble. Mon inconnu entreprend a nouveau de menculer comme une salope soumise et dajouter « je sais pas toi mais ça mexcite cette situation ! tu sens comme je bande dans ton cul ! tu sens ? », oh oui, je sentais !
Mon cul lubrifiait abondement son gros gland, je le voulais profondément en moi, et tout en me cambrant sur sa bite, je me suis penché en avant pour mappuyer sur mes bras tendus, javais du mal a tenir en équilibre en encaissant ses merveilleux coups de queues dans mon anus, mon corps balançait davant en arrière, je men remettais a ses mains qui saccrochaient fermement a mes fesses pour mieux me défoncer le cul. Visiblement excité par ce qui venait darriver, il annonce «il est trop bon ton cul, je vais venir, ouiiiiii !, ça vient, je vais te remplir le cul, ohhhhhh, cest bonnnnn ! » il se vide en moi en plusieurs derniers coups de reins puissants, je me redresse et il me colle a lui tout en continuant lentement de jouir en moi. Je ne reverrai jamais ce génial amant, il nhabitait pas Toulon dapres ce quil mavait précisé, ce fut aussi la seule fois que je me faisais enculer dans ce bosquet, je suis passé en plein jour par là et jai été étonné du fait que nous nétions vraiment pas dans un lieu discret, mais quel moment excitant !.