Tout commença lorsque ma mère et moi avons été invités a un mariage.
Je m’appelle Julien et j’ai 18 ans. Ma mère, abandonnée par mon père dès l’annonce de sa grossesse, s’est toujours occupé seule de moi. Elle avait 17 ans à ma naissance.
Elle a 35 ans aujourd’hui, et je trouve que c’est une très belle femme.
Au cours de la soirée de mariage je l’invite à danser de façon très cérémonieuse:
— madame m’accorderiez vous cette danse?
— avec plaisir cher monsieur dit elle en éclatant de rire.
Nous voilà sur la piste à danser un tango dans les règles de l’art(elle participe à un club de danses de salon et c’est elle qui m’a appris).
Nous nous amusons beaucoup, mais voilà que tout à coup je réalise que j’ai une érection conséquente.
Je suis très gêné, et je ne sais comment faire pour éviter que ma mère ne s’en aperçoive. Lorsque la série de tangos se termine je pense avoir évité la catastrophe et m’éloigne bien vite.
Nous rentrons à la maison sans aucune allusion à l’incident.
Quelque temps plus tard c’est l’anniversaire de ma mère, et à cette occasion, depuis quelques années déjà, c’est moi qui prépare le repas, toujours arrosé de très bons vins.
A la fin des agapes, ma mère me dit:
— ce qui me ferai très plaisir c’est que tu me fasses danser
Et elle ajoute avec ce que je crois être une lueur dans les yeux:
— un tango, comme pour le mariage…
Je suis embarrassé qu’elle me fasse me souvenir de cette soirée, mais je ne peux refuser sa demande.
Nous revoilà enlacés, et ce que je redoutais se reproduit.
Je bande pour ma mère, plus aucun doute n’est permis.
J’essaie d’être le plus éloigné d’elle, ce qui n’est pas facile car elle me tiens vraiment serré.
Puis tout à coup tout bascule, je cesse de lutter, et au contraire je me colle encore plus contre son ventre. Elle ne peut pas ne pas sentir ma queue qui grossie de plus en plus.
Et advienne que pourra, je commence à lui caresser le dos, elle frémit mais se laisse faire. Alors me sentant un peu plus audacieux, je descend ma main jusqu’à ses fesses, elle ne semble pas refuser ce début de caresse. Sans plus de retenue je passe et repasse ma main sur son cul, ce qui a pour résultat qu’elle se colle encore plus conte moi. Il n’y a plus de doute elle est consentante.
Je réalise alors que je ne perçois pas la marque de la limite d’un slip. A-t-elle un string?
Emportés par l’érotisme de la situation, je la conduit en dansant vers le canapé, sur lequel elle s’affale, m’entraînant dans sa "chute". Et là nos bouches se rejoignent et nous nous roulons un premier patin d’une sensualité extraordinaire.
Je reprends mes caresses qui deviennent plus exploratrices,et je vais à la découverte de ses seins après avoir ouvert son corsage . Elle à mis un soutif à balconnets et j’ai immédiatement accès à ses tétons déjà terriblement excités, je dégrafe l’ustensile devenu inutile et ma bouche vient à la rencontre de ses globes magnifiques. Je les embrasse, les lèche, en suce les bout très durs et je vis un moment magique.
Elle est très sensible à mes caresses et gémit de plaisir.
Puis je poursuis l’exploration de son corps en faisant remonter ma main tout au long de ses jambes. J’arrive à la limite des bas elle écarte les cuisses et j’ai directement accès à sa toison. Elle ne porte pas de culotte !
Je suis à la limite de l’éjaculation. Je promène mes doigts dans ses poils soyeux, longs et drus. Elle a une touffe magnifique, luxuriante (moi qui ai horreur des sexes rasés, je suis aux anges).
Puis j’arrive à sa fente . Les sécrétions de cyprine qui ont humidifiées les poils autour sont une invite à pénétrer, comme un sésame ouvre toi, dans cette grotte d’Ali Baba. Un puis deux doigts vont en explorer les secrets et c’est merveilleux.
Ma mère semble au summum de sa jouissance mais lorsqu’elle ouvre ma braguette en fait jaillir mon braquemart et l’embouche avec avidité, son plaisir en est décuplé ; quant à moi je ne tarde pas à exploser dans cette bouche suave et, tout en avalant les flots de sperme que mes couilles déversent, ma mère, entre deux gorgées, fait entendre des gémissements qui augmentent mon excitation.
La jouissance réciproque est tellement intense que nous restons tous les deux inertes et toujours enchevêtrés pendant de longues minutes.
Toute cette scène s’est déroulée sans parole, c’est ma mère qui la première va mettre des mots sur ce qui s’est passé.
— « Depuis le mariage, où je me suis aperçue que tu as une magnifique bitte quand tu bandes, l’idée s’est imposée à moi que nous devions franchir le pas de l’inceste. J’en avais tellement envie que je me suis souvent branlée en pensant à tout ce que nous pourrions nous faire. Je ne mets plus de culotte pour accéder plus rapidement à ma chatte en pensant à toi et à ta queue . Ce soir j’ai décidé de te provoquer pour que tu oses user et abuser de mon corps, et j’imaginais en me préparant tout ce que j’aimerai que tu me fasses. Et mon imagination était en deçà de la vérité , je n’ai jamais joui aussi fort avec aucun homme.
— « Moi je m’interdisais de penser à toi , mais ce soir je n’ai pas pu résister.
— « Tant mieux, mais si tu es d’accord ce n’est pas fini, j’ai envie que nous vivions des moments encore plus intenses et que nous laissions libre cours à tous nos fantasmes.
— « Bien sur que je suis d’accord.
— « Aimes tu ma chatte avec tous ces poils ou préfères tu que je me rase ?
— « Ha non surtout pas reste comme tu es et aussi ne met plus jamais de culotte
— « D’accord mon chérie. Veux tu que je me mette à poil pour que tu puisse tout voir de moi ?
— « Ho oui
— « Alors toi aussi j’ai envie d’admirer ton corps, ta bitte, tes couilles.
Et chacun va déshabiller l’autre, non sans que les mains s’égarent sur les points sensibles.
Puis ma mère va s’étaler dans le canapé, jambes largement écartées et me fait admirer cette toison de rêve qui se prolonge jusque dans la raie culière.
Voyant que je suis intéressé par cette particularité, elle se retourne , écarte ses fesses pour que je puisse admirer les poils qui font une couronne autour de son trou du cul.
Puis elle me dit :
— « Je vois que tu a retrouvé assez de vigueur. J’aimerai tellement que nous fassions l’amour et que tu me pénètres dans les positions qui te font le plus envie.
— « Oui moi aussi j’ai envie de sentir ta chatte se resserrer autour de ma queue .
— « Allons dans une chambre nous serons plus à l’aise.
Et nous allons dans sa chambre, en nous embrassant et en nous caressant tous le long du court chemin. Arrivés là nous nous jetons littéralement sur le lit et après quelques pelles passionnées nous nous mettons en 69 et nous nous bouffons mutuellement le sexe.
C’est divin d’être plongé dans cette forêt et de sentir les lèvres et la langue de ma mère s’occuper de mon vit et de mes couilles.
Puis elle se met à quatre pattes et je la pénètre en levrette
— « Ho mon amour c’est bon de se sentir remplie, vas y baises moi, baises moi fort, fais claquer tes couilles sur mon cul.
Elle profite de cette position pour venir caresser mes bourses et en même temps s’agacer le clito.
— « Maman c’est trop fort je vais déjà jouir
— « Vas y mon chéri joui, je me finirai à la main
A ces mots j’explose à nouveau en hurlant et j’ai l’impression que je vais défaillir.
Ma mère aussi hurle :
— « Vas y jute dans mon con j’en ai tellement rêvé. »
Puis chancelant, je me retire de ce puits d’amour et m’écroule sur le lit.
Ma mère se met sur le dos et commence à se caresser le minou.
— « Je suis désolé maman, j’ai joui beaucoup trop vite.
— « Ce n’est pas grave, je t’apprendrai à te contrôler et tu verras que nous jouirons ensemble. Maintenant regardes moi me branler et jouir à fond. Ton regard sur mes doigts s’enfonçant dans ma chatte va décupler mon plaisir.
Et elle se branle,deux doigts qui vont et viennent dans sa fente et l’autre main qui titille le clito, en gémissant de plus en plus fort jusqu’à hurler son plaisir :
— « Regardes moi jouir , j’ai les doigts dégoulinant de mon jus d’amour.
Quand elle a repris ses esprits nous nous sommes embrassés tendrement.
— « Mon chérie, je ne mettrai plus jamais de culotte ainsi tu auras accès a mon con et à mon cul chaque fois que tu le désireras,et je suis prête à faire tout ce que tu voudras , quand tu voudras ou tu voudras.
Cette proposition n’était pas tombée dans l’oreille d’un sourd et je vous assure que je sais la mettre en pratique.
Je vous raconterai ça une autre fois.
JULIEN