C’était au tout début de nos relations communes. À l’époque, Evelyne avait quitté Paris pour aller s’installer en Provence, dans ce village de Bonnieux et moi, étant retenu par mon travail, je ne descendais de la capitale que quatre à cinq jours par mois pour lui rendre visite, ce qui évidemment lui laissait beaucoup de liberté. Bien évidemment, il n’était aucunement dans mes droits de lui contester le moins du monde cette liberté puisque en fait,il n’y avait rien entre nous. Oui bien sûr je lui avais avoué l’amour que j’éprouvais pour elle, mais elle m’avait plutôt dissuadé. Sans me repousser vraiment, elle m’avait dit qu’elle était venue là pour être libre, pour oublier sa vie passée, qu’elle ne voulait plus se lancer dans une aventure sentimentale. Elle avait fini par m’ouvrir son lit, assez vite d’ailleurs, mais je crois qu’elle l’avait fait pour me décourager, pour briser l’amour ’idéal’ que j’éprouvais pour elle.
Il y avait des hauts et des bas dans nos relations. Lorsqu’il m’arrivait (souvent) de lui téléphoner de Paris, elle me disait fréquemment que nous devions ne plus nous revoir, que cela ne menait à rien, qu’elle savait qu’elle allait me faire souffrir. Mais à d’autres moments de solitude, elle m’avouait parfois avoir envie de me revoir, envie de ma compagnie. Et puis il y avait tous ces soirs où le téléphone sonnait dans le vide, où elle ne décrochait pas. Il n’y avait pas besoin d’avoir beaucoup d’imagination pour savoir que ces soirs là elle n’était pas seule, qu’elle avait découché, qu’elle était dans le lit d’un autre. Je compris vite qu’il valait mieux ne paslui parler de cela. La première fois que je lui fis remarquer que je l’avais appelée la veille en vain,elle prétexta qu’elle était un peu souffrante, qu’elle s’était couchée tôt et n’avait pas eu le courage de décrocher. La seconde fois, elle le prit mal, se fâcha et me fit sa scène sur son désir de liberté; ne se gênant pas pour me dire qu’elle faisait ce qu’elle voulait et que cela ne me regardait pas. Je compris qu’il valait mieux ne plus aborder ce sujet.
Lors de mon séjour suivant à Bonnieux, elle m’accueillittrès bien. Elle avait l’air en forme, joyeuse, détendue, et elle me proposa même dès le lendemain de mon arrivée de m’emmener avec elle dans sa tournée du matin. J’acceptai bien volontiers et je lui servis de chauffeur. Vers onze heures, alors que nous avions déjà vu pas mal de patients, nous arrivâmes dans un mas restauré, assez isolé, situé au milieu des champs de lavande, au pied du Luberon, et alors qu’elle m’avait jusque là fait rester dans la voiture pour faire ses visites, elle me dit:
-’Tiens, viens avec moi, je vais te présenter quelqu’un…’
Je la suivis donc. Le mas était habité par Léo Castille,un homme d’allure plutôt séduisante, d’une quarantaine d’années, mais qui était paraplégique, c’est à dire paralysédes deux jambes, et qui se trouvait donc dans un fauteuil roulant. Du fait de sa paraplégie, il n’avait aucune sensibilité dans les membres inférieurs, ce qui fait qu’il s’était un jour brûlé en restant trop près du feu de sa cheminée, ce qui justifiait les visites quotidiennes d’Evelyne pour lui faire des pansements. Dès notre arrivée je me rendis compte qu’il y avait entre eux une certaine complicité. Léo m’accueillit de façon très cordiale, nous sympathisâmes. Comme j’étais descendu de Paris en train, il me proposa même de me prêter sa voiture afin de me permettre de visiter la région, que je connaissais peu à l’époque puisqu’il s’agissait de mes toutes premières visites à Evelyne. J’acceptai volontiers. L’après-midi même, je me mis à parcourir cette magnifique région, à visiter des endroits sauvages, somptueux, j’étais fasciné…
La voiture de Léo était une voiture automatique, équipée et cela me laissait tout le loisir de consacrer mon attention au paysage… Ces ballades durèrent trois jours. Le quatrième était mon dernier jour à passer à Bonnieux, je devais rentrer le lendemain à Paris, mais ce jour là, je ne sais pas pourquoi mais quelque chose me dit que ce n’était pas normal. Je ne sais pas quoi au juste; Evelyne était toujours aussi désinvolte, mais un doute en fait basé sur rien, s’était insinué en moi. Et ce jour là, après être parti dans la matinée pour une ballade, je fis demi tour et revins vers la maison isolée qu’habitait Léo. J’avais surtout l’intention de lui rendre sa voiture, mais au moment où je m’engageai dans le chemin entre les lavandes, qui menait à sa maison, j?aperçus que la voiture d’Evelyne n’était pas encore là. Cela n’avait rien d’étonnant puisque je savais qu’elle passait chez lui tout à la fin de sa tournée du matin, afin d’être moins presséeet de disposer de plus de temps libre. Je ne sais pourquoi, mais je braquai soudain sur la gauche et engageai la voiture dans un massif de broussailles. Il était temps ! Moins de deux minutes plus tard la voiture d’Evelyne s’engagea sur le chemin et roula jusqu’à la maison sans me voir ni même se douter de ma présence. J’attendis qu’elle y soit rentrée puis je me dirigeai à mon tour vers la bâtisse. Fort heureusement, du fait de son infirmité, Léo ne possédait pas de chien qui m’aurait fait repérer et je pus m’approcher sans difficulté de la maison. Arrivé près de celle-ci je m’arrêtai et tendis l’oreille. Des voix semblaient parvenir de l’arrière de la maison. Je me dirigeai vers celles-ci; une fenêtre était grande ouverte et devant celle-ci un massif d’arbustes fournissait un poste d’observation idéal; je m’y glissai. J’avais de là une vue parfaite sur la grande chambre dans laquelle se trouvait Léo ce jour là. Il était allongé sur le lit, face à moi, un simple drap tiré sur lui. Cela m’étonna un peu qu’il soit encore couché à cette heure avancée de la matinée, mais je compris soudain lorsque à mes yeux stupéfaits, je vis Evelyne déboutonner prestement le devant de sa légère robe d’été, qui tomba sans bruitsur le sol. Elle ne portait au dessous que des bas jarretière de dentelle blanche et un string blanc lui aussi, qu’elle ôta rapidement. La rapidité et le naturel avec lequel Evelyne s’était déshabillée me fit immédiatement comprendre que c’était loin d’être la première fois qu’elle se mettait ainsi nue devant lui.
Mon coeur battait à tout rompre car tout ceci remonte, je vous le rappelle, au tout début de nos relations (avant même l’épisode de l’entrepreneur que je vous ai peut-être déjà raconté), à l’une des toutes premières fois oùj’allais rendre visite à Evelyne après qu’elle ait quitté Paris. Cela faisait quelques semaines à peine que je lui avais avoué mon amour et qu’elle avait fini par m’ouvrir son lit, mais c’était la première fois que j’avais la preuve(bien que je m’en fus douté bien sûr) qu’elle avait un (au moins un!) amant. J’avais mal car dans mon fol espoir, et bien qu’Evelyne m’ait mis en garde, j’avais osé croire qu’elle était prête à me laisser ma chance, à commencer, même très prudemment, une aventure sentimentale avec moi.
Déjà, j’avais formé l’espoir d’une union exclusive… Les quelques rapports sexuels que nous avions eus jusque là,n’étaient guère brillants en ce qui me concerne et si j’avais constaté avec plaisir qu’Evelyne le comprenait et mettait cela sur le compte de l’émotion, de ma trop grande envie d’elle, j’avais cru aussi qu’elle aurait la patience d’attendre que cela s’améliore. Ce que je venais de découvrir me prouvait que sur ce point je me trompais. Evelyne avait un amant (je n’allais pas tarder à découvrir qu’elle en avait en fait plus d’un !), et un sentiment de jalousie commença à poindre en moi dès ce jour là. Evelyne, quasiment nue puisqu’elle ne portait plus que ses bas jarretière de dentelle blanche, s’accroupit au pied du lit et l’homme se tourna, ses jambes inertes pendant sur le côté. Il n’y avait pas que ses jambes inertes, son sexe lui aussi pendait entre les membres paralysés. Cela ne m’étonna pas car vu le niveau du traumatisme qu’avait subit Léo, toute la région située au dessous de la ceinture avait perdu une très grande partie de sa sensibilité. Aussi est-ce pour cette raison que je vis Evelyne démarrer sans hésiter une énergique branlette, bientôt complétée d’une fellation plutôt avide… Habitué (si je puis dire… puisque nous n’avions fait l’amour que trois ou quatre fois au maximum jusque là) à la délicatesse qu’elle employait avec moi, je fus quelque peu surpris de la gourmandise qu’elle montrait avec cet homme. Je vous assure que de voir la femme que l’on aime masturber d’une poigne énergique la bite d’un autre homme, la voir avaler le membre, faire aller et venir ses lèvres en un anneau parfait, a de quoi troubler très profondément.
Bien que Léo ne banda absolument pas à ce moment là, je ne pouvais, de mon poste d’observation, que constaterqu’il était sans conteste mieux membré que moi puisque son membre flaccide était déjà un peu plus gros et plus long que le mien lorsqu’il bandait… Je bandais d’ailleurs et je m’en voulu de cette érection involontaire alors que j’étais en proie à la jalousie la plus extrême. Je n’avais pas fini de souffrir car, du fait de cette ’perte de sensibilité’ dont je parlais plus haut, Evelyne dut branler et sucer Léo très longuement. A tel point que je m’étonnais moi même qu’elle ait cette patience ! Je me dis que très probablement, sensible à l’infirmité de l’homme, son ’dévouement’ (qualité propre des infirmières) lui donnait la patience nécessaire, mais à y bien regarderje m?aperçut qu’Evelyne n’avait aucunement besoin de se forcer. Il suffisait de la voir pour se rendre compte qu’elle aimait ca !!! Il fallut plus d’une demi-heure de masturbation et de fellation associées pour que le sexe de l’homme se dresse. Durant toute cette période, Evelyne et Léo n’avaient cessé de parler. Sans doute avait-il besoin de l’excitation des mots pour bander et Evelyne le savait-elle car elle joua le jeu de l’impudeur avec une franchise qui m’étonna. Je ne vous relaterai pas ici l’intégralité de leur conversation, car d’où j’étais situé, il me fut impossible de tout entendre, mais seulement quelques propos saisis ici et là…
-’Tu es quand même une sacré salope !…’
-’Et ca ne te plaît pas ?’
-’Tais toi et suce !… Tu aimes ça sucer des bites, ça se voit… Tu as dû en sucer un paquet, hein ?’
-’……….. !’
-’Réponds !…’
-’Tu m’as dit de me taire… Tu trouves que je suce bien ? C’est qu’on m’a bien appris…’
-’Qui t’a appris ?’
-’Je ne sais plus… Comme tu dis, j’en ai suce pas mal !…’ et plus tard:
-’Ah oui, penche toi encore comme ça, j’aime voir tes nichons pendre… Ils m’excitent tes nichons…’
-’Ils sont petits… et ils pendent… Ce n’est pas juste… avec des seins petits comme les miens, ils auraient pu au moins rester droits !’
-’Tu as trop dû te les faire tripoter…’ (et en riant) ’C’est des nichons de salope!’
Je ne sais lequel des deux s’excitait le plus de ce dialogue. Lorsque le sexe de Léo fut dressé, Evelyne le contempla un court instant, fière d’elle, puis sans hésiter, monta sur le lit et enjamba le corps de Léo. Mais alors que je m’attendais à ce qu’elle le chevauche en lui faisant face, j’eus la surprise de la voir lui tourner le dos. Je n’avais pas à m’en plaindre car dans cette position elle me faisait face et je ne voyais que mieux. Il fallait simplement que je sois prudent afin qu’elle ne me voit pas. Elle s’était assise sur le ventre de l’homme et ainsi, la bite se tenait dressée devant son ventre plat. Sans être d’une longueur exceptionnelle la bite de Léo remontait plus haut que la limite supérieure de sa chatte brune, presque noire, et ce n’était pas rien car à l’époque Evelyne avait une pilosité particulièrement abondante. Ses poils très foncés formaient en effet un buisson épais et dense mais surtout particulièrement étendu qui remontait haut sur le ventre (jusqu’à moins de cinq centimètres du nombril), et envahissait assez largement les aines et même le haut de l’intérieur des cuisses. Par contre, je ne sais si elle les rasait ou si cela était naturel, mais ses lèvres étaient nues et comme elle les avait très grosses, épaisses et charnues, cela donnait, même de la distance d’où je l’observais, un aspect très particulier, pour ne pas dire obscène, à son sexe.
Evelyne se souleva un peu et sa main empoignât le membre de Léo pour le guider entre ses cuisses. Je vis le gland turgescent s’engager entre les deux grosses lèvres et les écarter lentement mais sans difficulté. Evelyne se laissa descendre un peu et le membre commença à la pénétrer, en même temps qu’elle fermait les yeux et gémissait légèrement. Elle semblait apprécier. Elle se laissa descendre encore et le membre s’enfonça aux trois quarts en elle. Je ne pus m’empêcher de penser qu’Evelyne devait être très excitée et humide, ce qui était compréhensible vu le temps depuis lequel elle suçait et branlait le membre de Léo. Cela ne pouvait l’avoir laissée indifférente ! Mais je ne pus également m’empêcher de penser que, de toute évidence, Evelyne était bien ACCUEILLANTE !! Déjà, les quelques rares fois où nous avions fait l’amour, c’était quelque chose qui m’avait troublé. Sans que sa vulve paraisse défoncée ou béante, j’avais ressenti en la pénétrant une telle facilité. J’avais alors mis cette OUVERTURE sur le compte de son excitation, mais après coup je n’avais pu m’empêcher de penser que si elle était ainsi ouverte, c’était peut-être aussi PARCE QUELLE AVAIT D?JÀ GOÛT? À DE GROSSES BITES !!! Et même la pensée m’effleura que peut-être ELLE SE MASTURBAIT AVEC DE GROS GODES !!! Mais je l’aimais trop pour imaginer ceci et je voulus chasser ces pensées de mon esprit. Ce fut peine perdu; plus j’essayais de chasser ces pensées, plus elles revenaient en force, surtout lorsque je la baisais, et alors c’était le fiasco à tous les coups ! Le plaisir montait malgré moi très vite, et je jouissais sans pouvoir me retenir…
De ce côté là, Léo n’avait rien à craindre! Ayant perdu une grande partie de sa sensibilité au niveau du sexe, j’avais pu voir quels efforts Evelyne avaient dû déployer pour l’amener à l’érection, mais cela n’avait pas que des inconvénients (sinon, malgré le plaisir évident qu’elle avait à pratiquer la fellation, elle n’aurait pris cette peine). Cela faisait déjà maintenant une bonne dizaine de minutes qu’Evelyne montait et descendait, à un rythme qui ne faisait que s’accélérer sur le sexe dressé de Léo. J’étais de plus en plus fasciné par ce spectacle. Le visage d’Evelyne reflétait le plaisir qu’elle éprouvait; les yeux mi-clos, la tête rejetée en arrière, la bouche entrouverte, elle respirait rapidement comme si elle manquait d’air en poussant des gémissement plaintifs. Toute à son plaisir, elle montait et descendait sur la bite dressée de Léo, à un rythme de plus en plus rapide. Manifestement elle ne se contrôlait plus vraiment et sa chevauchée devenait hystérique; de plus en plus vite, de plus en plus fort, elle se soulevait sur ses cuisses avant de se laisser retomber violemment avec un ’Han!…’ de bûcheron. Il y a belle lurette qu’elle s’empalait ainsi sur toute la longueur de la queue de Léo et cette bite qui cognait loin en elle semblait la rendre folle. Ses nichons ballottaient, montaient et descendaient au rythme de sa chevauchée mais elle n’y prêtait guère attention. Deux ou trois fois déjà je l’avais vu s’immobiliser, plantée à fond sur le sexe de Léo et se tendre, la main sur le pubis comme pour immobiliser le plaisir. Alors tout son corps se mettait à trembler et elle poussait une plainte de bête. Elle jouissait avec une intensité que je n’avais jamais vu chez aucune femme. Je m’attendais ensuite à la voir s’effondrer, s’affaler, complètement vidée, mais à chaque fois, après un répit elle avait repris son va-et-vient. D’abord lentement, puis très vite de façon hystérique,comme si à chaque fois il avait fallu y aller plus vite, plus fort. Et en effet, chaque orgasme était plus fortque le précédent. Une heure plus tard, Evelyne étaiten sueur, ruisselante, mais plus déchaînée que jamais. Je l’avais déjà vu jouir plus de dix fois et la bite de Léo était toujours aussi raide, toujours aussi droite. Visiblement crevée, à bout, Evelyne se souleva alors de sur le membre et se retourna, pour le chevaucher mais de face cette fois. Curieusement, dans cette position elle adopta un rythme plus lent, comme si après la fureur des premiers orgasmes elle voulait mieux goûter, mieux apprécier la bite sur laquelle elle s’empalait. Cette position devait être aussi plus propice aux confidences car je l’entendis lui dire:
-’Oh mon Chéri, comme tu m’as fait jouir encore… Hum ta bite je l’adore ! Comme elle est raide, comme je la sens bien… Si tu savais comme c’est sensible maintenant.’
Il sourit et lui dit:
-’Tu as le feu à la cheminée !…’ Elle rit.
-’Oh oui, tu me l’as tellement ramonée… Hum ! J’adore ça… Il y a tant de mecs qui jouissent si vite…’
-’Ah de ce point de vue là, pas de doute… Vas y, profite en bien… Enfile toi bien, empale toi… ’
-’Hum oui… C’est bon… Comme je la sens… Ah je crois que je vais encore jouir !’
Elle se crispa, je vis tout son corps vibrer en même temps qu’elle gémissait d’une voix chevrotante. Léo en parutlui même ému; il lui dit:
-’Tu es quand même une sacré salope !’
-’Ca te déplaît ?’
-’Bien sûr que non. Si ton FIANC? te voyait !’
(C’était la première fois, mais pas la dernière que j’entendais ce surnom que m’avaient donné les habitants du village. Sans toujours en connaître les détails, beaucoup de gens savaient que la vie sexuelle de la nouvelle infirmière à domicile était assez tumultueuse et c’était parune sorte de dérision qu’ils m’avaient surnommé ainsi. Les autres étaient ses amants et moi, le FIANC? qui venait la voir de temps en temps et était censé tout ignorer…)
-’Ce n’est pas mon fiancé’ répondit-elle en souriant, ’c’est un ami, rien d’autre.’
-’Un ami qui couche dans ton lit !’
-’Qui t’a dit cela ?’
-’Ce n’est pas vrai ?’
Evelyne hésita.
-’Si, mais ce n’est pas ce que tu crois…’ Il éclata de rire.
-’Ah oui… C’est ce que je disais, tu es vraiment une salope !’
-’Non’ se défendit-elle, ’Lui il est amoureux de moi, mais je ne veux plus m’embarquer dans une histoire sentimentale; alors j’ai cru qu’en lui ouvrant mon lit cela ferait qu’il m’idéaliserait moins’
-’Ah bon ! Toi si tu veux qu’un type ne t’aime plus, tu couches avec lui ?’
Evelyne ne répondit pas; cette discussion semblait l’ennuyer. Pour couper court elle se souleva et se retourna comme la première fois, le chevauchant en lui tournant le dos. Elle s’assit sur le ventre de Léo. La bite se dressait juste entre ses cuisses, ça avait quelque chose d’obscène. Elle l’empoigna et se mit à la branler énergiquement; si fort que j’entendis Léo gémir. La queue était toute dressée, striée de grosses veines gonflées et le gland en était violet tant il était tendu…
-’Je vais te faire cracher !’ lui dit-elle.
-’Déjà…’ protesta t-il.
-’Tu exagères ! Depuis le temps que je te la suce et que je suis dessus…’
-’Et alors c’est ce que tu aimes, non ?’
-’Oui, mais j’ai encore des patients à voir… Si je ne te fais pas cracher au poignet, dans une heure je suis encore dessus…’
-’Plains toi… Allez…’ Mais ses mots n?allèrent pas plus loin car Evelyne le branlait maintenant d?une poigne si énergique que Léo ne put s?empêcher de se mettre à gémir…
-’Ah… Salope… articula t-il entre deux soupirs, Tu en veux espèce de garce…’
Evelyne ne ralentit pas le moins du monde. Sa main serrait et coulissait tout au long du gros membre noueux, et son autre main alla même malaxer les grosses couilles.
-’Ah et bien puisque c?est ça, prends…!’ gémit l?homme…
Evelyne avait sans doute senti la bite se tendre et vibrer car elle se pencha brusquement. Mais trop tard ! Car soudain je vis l?éjaculation de Léo lui éclater violemment au visage.
-’Aaahh Salaud…’ hurla t-elle en se redressant brusquement.
Elle en avait partout; sur le visage, les yeux, lesjoues, le menton, et même dans les cheveux. Cette première giclée était faite d?un sperme épais qui collait bien à sa peau et dégoulinait en traînées épaisses. Mais Léo était loin d?en avoir fini et je vis une deuxième, une troisième, puis enfin une quatrième giclée, fuser du membre dressé, qu?Evelyne n?avait pas cessé de serrer. Peut-être est-ce pour cette raison, ou parce que ces giclées là étaient faites d?un sperme plus liquide, qu?elles jaillirent encore plus puissamment, arrosant abondamment Evelyne. Elle en reçut à nouveau sur le visage mais surtout cette fois sur les seins, le ventre; il en éclaboussa même ses cuisses…
-’Oh non… Salaud… Regarde ça !… Tu m?en as mis partout… Tu es vraiment un cochon…’ Léo éclata de rire:
-’C?est bien fait pour toi !… Tu n?avais qu?à pas retirer ta bouche et tout avaler; tu le fais bien d?habitude.’ Evelyne sourit, quand même amusée de la situation et lui répondit:
-’Oui mais je n?aurais plus eu faim ce midi.’
C?était la première fois que je voyais Evelyne couverte de sperme et j?avoue que je nepus résister à cette image. Je me branlai derrière mon buisson et déchargeai sur une motte de lavande. Evelyne avait filé vers la salle de bain. Je crus plus prudent de la laisser repartir la première, de crainte qu?elle ne me voit avant que j?ai regagné la voiture. Lorsque j?arrivai à la maison d?Evelyne, je lui dis que j?étais allé me promener.
-’Tu as bien fait, me dit-elle, j?ai été retardée par de nouveaux soins chez un client. La région est magnifique n?est-ce pas ?’
-’Oui, répondis-je ironiquement, il y a des tas de choses à voir; des points de vue merveilleux.’
Elle ne pouvait deviner. Je l?aperçus dans la salle de bain, elle était en train de refaire son maquillage…