Le lendemain de notre première relation incestueuse, mon épouse ayant dû s’absenter pour des raisons professionnelles, je décidai d’aller dans le sex-shop d’un centre commercial avec mes filles afin d’y acheter les instruments de domination dont elles auraient besoin.
À notre arrivée au centre commercial, le sex-shop se trouvant juste à côté de la sortie principale, par souci de discrétion, nous attendîmes que le hall fut un peu moins emprunté par les clients du centre.
Lorsque le hall fut un peu moins bondé, mes filles et moi entrâmes dans le sex-shop. Le magasin regorgeait de films, de livres et d’objets en tout genre liés au sexe. Décontenancé par cet univers nouveau pour moi, je jetai quelques regards perdus autour de moi, un peu mal à l’aise à la vue de tous ces articles. Ma fille Sandra me fit sortir de ma rêverie.
« Eh… Papa! Tu vois ces trucs, là, qui ont la forme d’une bite? Ça s’appelle des godes. Trouve-nous-en deux de bonne taille et de bonne largeur. Julie et moi allons regarder les autres instruments.»
Surpris par l’incroyable aisance avec laquelle mes filles étaient entrées dans ce monde à la fois étrange et fascinant du sexe, je ne pus m’empêcher de laisser échapper un petit rire suite à la comparaison entre ma vie sexuelle et la leur. La différence de mentalité face au sexe avait tellement changé en l’espace de vingt ans…
Je ressortis de ma rêverie et allai regarder les godes. Je fus incroyablement surpris de constater leur ressemblance avec le sexe masculin et les couleurs qu’ils pouvaient avoir. Leurs couleurs allaient de la couleur peau au rouge sang. Je pris ensuite les boîtes une à une, essayant de trouver des indications quant à ce que je cherchais.
Quelques minutes plus tard, Julie et Sandra revinrent à mes côtés avec une panoplie d’instruments que je ne connaissais pas et me demandèrent ce que j’avais trouvé.
« J’ai trouvé celui-là. Un gode bleu. 25 centimètres de long et 7 de large. Et celui-là. Un rouge. 28 centimètres de long et 5 de large. Les autres étaient en-dessous des 20 cm.»
« Moi, je préfère le bleu. Il est moins long mais plus large. Je pense qu’il sera mieux pour lui ouvrir le cul à cette salope qui t’a pris Fabrice. Et toi? Qu’est-ce que t’en dis, Julie?»
Julie hocha la tête en signe d’approbation et mes jumelles prirent ensuite deux godes bleus et les mirent dans un petit sac qu’elles avaient pris de la maison au préalable pour y mettre leurs achats.
Nous nous dirigeâmes ensuite vers la caisse pour payer nos achats. La vendeuse semblait plutôt jeune. Dans la vingtaine. Grande, blonde et poitrine assez généreuse. Elle avait le profil de l’emploi. La jeune femme nous fit la conversation.
« Voilà qui est peu commun. Un père et ses filles dans un sex-shop. Vous faites leur éducation sexuelle en quelque sorte?»
« Eh… Non. Pas vraiment. Ce sont plutôt elles qui font la mienne, si je puis dire. Je suis de la vieille école, moi, vous savez.»
La vendeuse eut un petit éclat de rire et, après avoir encaissé l’argent, nous salua et mes filles et moi rentrâmes à la maison.
Sitôt arrivées, Julie et Sandra me demandèrent de les attendre dans mon fauteuil du salon en me disant qu’elles allaient vite revenir.
J’obéis à leur directive et, quelques minutes plus tard, mes jumelles entrèrent dans la pièce.
Julie était nue tandis que Sandra portait des bas noirs ainsi qu’un porte-jarretelle et des gants également noirs. Elle avait pour accessoires un fouet, un des godes que nous avions achetés attaché au niveau de son bas-ventre ainsi qu’un objet à lanières de cuir que je ne connaissais pas.
Julie se mit à quatre pattes sur le sol tandis que Sandra m’expliquait en quelques mots ce qu’elles comptaient me montrer.
« Par ce jeu de rôles, Julie et moi allons te montrer comment les femmes matent les hommes et leurs rivales. Admire et fais-toi plaisir.»
Sandra saisit ensuite les hanches de Julie et enfonça le gode dans l’anus de sa sur jumelle. Sandra entama ensuite une série de puissants va et vient dans le cul de Julie, la faisant crier de plaisir.
« Tu es ici pour subir et non pour jouir, salope!» dit Sandra en donnant une claque sur les fesses de Julie.
« Oui, Maîtresse.» répondit docilement Julie.
Tandis que j’avais sorti ma queue de mon caleçon et me branlais joyeusement, Sandra continua à pilonner sa jumelle durant quelques minutes avant de se retirer d’elle et de lui asséner un coup de fouet sur les fesses. Stimulée par le coup (pas trop fort) qu’elle venait de recevoir, Julie se cambra davantage afin de s’offrir davantage à sa maîtresse du moment.
Sandra se saisit ensuite de l’objet que je ne connaissais pas.
« Ceci s’appelle une cravache. Très utile pour corriger les mauvaises filles dans son genre.»
Sur ces mots, Sandra donna quelques coups de cravache à sa sur avant de lui mettre son gode dans la bouche.
« Allez! Suce, salope!» ordonna Sandra.
Julie obtempéra et se mit à sucer le gode de sa sur. Après quelques va et vient dans la bouche de Julie, Sandra se retira et allongea sa jumelle sur le dos pour la pénétrer. Sandra enfonça lentement les 25 cm du gode dans le sexe de Julie et, une fois bien à l’intérieur de l’intimité de sa sur, elle accéléra la cadence, faisant jouir Julie.
« Alors? Tu la sens, ma grosse bite? Tu aimes ça, hein, salope?»
« Oui, Maîtresse. Baisez-moi comme la salope que je suis!»
Sandra accéléra encore le rythme dans la chatte de sa sur, la giflant par moments afin de l’empêcher de jouir et rester dans le jeu de rôle.
En voyant mes filles faire l’amour avec une telle complicité, je ne pus me retenir bien longtemps et éjaculai par puissants jets sur le sol du salon.
« Nettoie le sol, salope!» ordonna Sandra.
Julie s’exécuta tandis que Sandra s’était agenouillée face à moi et avait commencé à me sucer afin de nettoyer mon gland du sperme que j’avais éjaculé quelques secondes auparavant.
Après cette petite gâterie, mes deux filles s’assirent chacune sur un bras de mon fauteuil et m’enlacèrent le cou.
« Alors, papa? Tu as aimé?» demanda Sandra.
« Bien sûr, ma puce. J’ai adoré votre jeu de rôles. J’ai hâte de vous voir à l’uvre toutes les deux avec Fabrice et sa nouvelle copine.»
« On veut bien appliquer ce qu’on vient de faire sur eux mais on ne sait pas comment faire pour les attirer ici.» répondit tristement Julie.
« Ne t’en fais pas, ma chérie. J’ai une idée pour ça. En attendant, nous avons tous besoin d’une bonne nuit de sommeil. Cette nuit et toutes celles où nous serons seuls, vous dormirez avec moi, mes amours.»
Les filles et moi allâmes nous coucher, la tête pleine d’émotions et de rêves. Allongées à mes côtés, Sandra et Julie s’endormirent, chacune une main posée sur ma poitrine. À leur contact, j’apprenais déjà beaucoup et j’avais hâte d’en connaître davantage.