LE MALE ALPHA. 4
Un homme ne connaît réellement sa femme que lorsqu’il l’a vue faire l’amour avec un autre.
(Arthur Miller)
complice.
Ben mon cochon ! éructe l’amant. Je commence à comprendre ta réputation mon salaud ! Comme on dit : Ce n’est pas le flacon qui compte, mais ce qui est dedans, mais toi tu es le premier dans les deux catégories ! Et toi le cocu ! Viens nettoyer avec ta bouche le corps de ta femme !
Suite
Elle
Je n’en reviens pas des performances de ce jeune garçon à peine sorti de l’adolescence, c’est ce qu’on doit appeler un étalon avec en plus une bite de poney et des couilles pleines. Et comment j’ai pu faire une gorge profonde avec une poutre de cette taille sans mourir étouffée ?
Il s’assied sur la couche, le dos appuyé sur la tête de lit, la verge toujours tendue et m’ordonne :
Viens t’éclater la chatte !
Je ne comprends pas ce qui m’arrive, mais pour moi, je suis comme une femelle sans volonté rencontrant le Mâle ALPHA, mon mari et mon amant ne comptent plus devant lui. Je me déplace à quatre pattes sur le lit, prends pour la première fois en main son sceptre si gros que l’extrémité de mes doigts n’arrive pas à se toucher. Mes genoux sur le lit de chaque côté de son corps, mes pieds à cheval sur ses cuisses maigrichonnes et mes mains sur son torse d’ado attardé, je me redresse pour redescendre avec lenteur sur sa verge qu’il tient dressée.
Je veux cette énorme bite en moi, ayant je ne sais pourquoi à ce moment une pensée pour mon mari qui m’a autorisé de connaître le plaisir avec un autre homme. Je ne sais pas ce qu’il doit penser en cet instant, mais je vais le récompenser en assouvissant son fantasme de me voir troncher par une « grosse bite ». Mais là, c’est un format XXL…
Je suis trempée et tremblante devant ce qui m’attend. Ma chatte réclame avec avidité le gourdin de mon nouvel amant. J’entends Jean narguer mon mari :
Regarde bien comment ta femme aime se faire défoncer par un vrai mâle !
Je regarde alors Sébastien qui me fixe comme un petit chien puni par sa maîtresse, prenant conscience du fait que Claude est le « mâle dominant de la meute » qui soumet par sa force sexuelle uniquement un rival plus faible, mon mari, et même Jean, mon amant au corps puissant.
J’ai presque du mépris pour eux qui doivent regarder le mâle dominant sur le point de s’enfoncer en moi.
Un léger sourire sardonique aux lèvres, je cherche le membre reproducteur de « l’Etalon » en remuant langoureusement du popotin pour m’y empaler. Mon mâle Alpha n’a qu’à orienter son gourdin entre mes lèvres génitales. Je sens le gland trigonocéphale les forcer, je jette un dernier regard aux deux autres hommes avant d’enfoncer la verge tendue dans mon vagin, l’enfonçant tout doucement centimètre après centimètre, son engin disparaît dans mon intimité.
Je me sens envahie comme jamais, fière d’être honorée par le meilleur géniteur, sa grande bite en moi. Je m’interroge, « il va aller jusqu’où comme ça ? ».
Je sens qu’il bute au fond de mon vagin pas assez profond pour un tel paf, je commence à me pilonner doucement d’abord puis de plus en plus fort. Ma chatte est pleine de ce chibre énorme, au début, j’y vais avec prudence, ne ressentant pas de douleur. Mais il me bascule sur le coté et commence à accélérer le rythme, là, j’ai vraiment l’impression qu’il me déchire la chatte.
La douleur mêlée à l’excitation me rend folle. Le diamètre de sa verge dilate ma vulve, la forçant à épouser comme jamais cette formidable hampe. Je voudrais même qu’il me défonce encore plus, qu’il me laboure encore plus profondément. Je gémis, je crie presque sous les secousses brutales qu’il m’assène.
Oh ! Qu’elle est bonne ta queue ! Putain qu’elle est bonne !
Je jouis comme jamais. Il me pilonne, me défonce la chatte à grands coups de boutoir en ahanant, grognant de plaisir et ça m’excite. Il me bourre comme un dieu, de plus en plus fort, de plus en plus vite et j’en jouis encore en gueulant. Je me doute bien que je ne dois pas être la seule à son tableau de chasse, mais je m’en fous du moment que je prends un pied phénoménal.
Il se remet sur le dos, m’entraînant avec lui et s’adressant à Jean :
Il faut faire plaisir au mari, viens la prendre par-derrière. Ça fera d’une pierre deux coups, il verra sa femme se faire troncher par deux mâles et tu dilateras son cul avant que je ne m’en occupe !
Jean qui a repris un peu du poil de la bête s’exécute, ne se rendant même pas compte que ce n’est plus lui qui dirige les ébats. Je subis ma première « double » et pas avec de petits calibres…
Quelle sensation… Je ne suis plus qu’un garage à bites. Des larmes de douleur et de plaisir humidifient mes yeux. C’est assez sportif pour Jean qui fait tout le travail alors que Claude reste passif. Jean ne résiste pas bien longtemps et se vide entre mes fesses. Il reste dans mon cul quelques secondes, pour bien laisser tout son foutre s’écouler puis se retire, un filet de sperme dégouline le long du sillon fessier et graisse la queue de Claude qui a repris de l’activité.
Je suis pantelante, j’ai du mal à me remettre de cet orgasme fulgurant, de ce bonheur intense alors que je sens toujours au plus profond de moi la vigueur de Claude. Il accélère son rythme, je suis une lionne, s’accouplant au mâle dominant. J’en suis fière et comblée. Je hurle de plaisir à chaque coup de boutoir. Je remue de la croupe pour mieux recevoir les assauts toujours plus énergiques du mâle Alpha, fixant mon mari quand Claude lui ordonne :
Rends-toi utile et nettoie le cul de ta femme… je veux qu’il soit bien propre avant que je l’encule !
Sébastien ravale le peu d’orgueil qui lui reste, va chercher une serviette dans la salle de bain et s’approche sans un mot. C’est à peine si je remarque sa présence, complètement absorbée par les va-et-vient puissants de Claude. Sébastien essuie non sans mal mes fesses tressautantes. Claude stoppe soudainement, retire sa queue de ma chatte et ordonne à mon mari :
Prends ma bite et dirige là dans le cul de ta femme !
Lui
Je suis de plus en plus attiré par cette énorme matraque qui me rappelle celles des grands blacks des films pornos. Je bande à mort aussi en voyant la chatte de Corinne baillant et dégoulinant de mouille. J’aurais pu refuser, mais je crois qu’au fond de moi, je n’attendais que ça, je voulais toucher sa bite, mais n’osais pas alors qu’il m’y oblige…
Je ne résiste pas, prends d’une main ferme cette énorme matraque toute chaude, toute dure, j’en profite pour passer ma langue sur le frein, remontant vers le gland couvert de la cyprine de ma femme. Je goûte cette énorme queue si bien que j’en oublie le but demandé.
Eh le pédé ! C’est pas ce que je t’ai demandé, ma teub c’est pour son cul, pas ta bouche !
Je suis excité d’être réduit au rôle d’esclave soumis au plaisir de ma femme et au désir de son amant. Cela me procure des sensations inédites. J’assouvis mes fantasmes au-delà de mes espérances et Corinne a l’air d’aimer ça. Les gémissements qu’elle produit sous l’effet de l’introduction de l’énorme membre dans son cul se transforment en plainte déchirante. Ce qui se déroule sous mes yeux entretien mon érection dont je ne sais que faire.
Elle
Sébastien dirige le sexe de Claude entre mes fesses et le fait coulisser d’avant en arrière. A chaque passage, il presse le gland sur mon anus de plus en plus fort jusqu’au moment où une brèche s’ouvre et que son gland s’y engouffre sans hésitation. Je pousse un cri bref tout en empoignant les draps du lit. A cet instant, je croise le regard exorbité de Sébastien qui ne quitte pas du regard le défonce-cul de Claude qui continue sa progression pour aller jusqu’aux tréfonds de mon antre.
Je me mords les lèvres, grimaçant de douleur mêlée de plaisir. Malgré le passage de la pine de Jean, la douleur est atroce.
A suivre…