Le premier changement visible que Bernard m’a imposé fut de ne plus couper mes cheveux. Déjà un peu long, j’eus bientôt une coupe plus tendance, des cheveux long moderne qui me féminisait réellement, libre ou en queue de cheval, c’était bluffant et tellement équivoque….Les premières semaines, à mon boulot, les commentaires redoublèrent et les plus vindicatifs crièrent victoire…j’étais bien le petit pd qu’ils avaient reconnus de suite… une fois bien catalogué, les choses se mirent en place très facilement, je suppose que cela rassurait chacun quand à sa sexualité…en fin de compte… j’étais rentré dans la norme en quelque sorte..
Les autres petits changements furent vraiment effectués au fil des mois et sans jamais être spectaculaires… mes jean’s et autres pantalons étaient de plus en plus serrés et parfois même assez transparent, ils me moulaient maintenant systématiquement mon petit cul. Les vicieux pouvaient deviner la forme de mes petites culottes, je ne mettais plus que des strings de salope, en nylon transparent, en dentelle, en vinyle, avec parfois des dim-up dessous, avec des pantalons plus large je mettais un porte jarretelles et des bas…Je portais des petites bottes type western, des genres de petites santiag de fille, équivoque dans leurs couleurs et leurs finesses, cela me permettait d’avoir des talons, pas très hauts mais quand même des talons… Je suis déjà grand, cela ne faisait que m’affiner plus encore…
Bernard me faisait changer de garde robe, lentement mais sûrement…les coupes, les matières, les couleurs, sans jamais être excessif ou outrancier, je devenais véritablement une petite lope sans que cela puisse se contester vraiment. Mes collègues de bureau, (que des femmes dans le service de cet étage) acceptèrent facilement ma transformation, elles la prenaient comme une sorte de coming-out et elles avaient trouvées que je me sentais tellement mieux comme ça, c’était un peu leur façons de participer… souvent elles y mettaient du leurs… ce sont elles qui un jour, en essayant entres elles des senteurs différentes, me parfumèrent par jeu et trouvèrent un parfum qui, d’après elles, m’allait à merveille… j’étais presque admis à parler chiffon.. j’étais leur petit pd et elles adoraient ça…J’en étais ravis et surpris à la fois… les autres services de la boite que je ne connaissais que très peu m’ignoraient sans faire d’histoire….les mecs me mataient à la dérobée, des regards lubriques avec quand ils étaient en nombres, des commentaire salaces et parfois grossiers sur des propositions sexuelles explicites…. si l’un d’eux était seul avec moi, c’était toujours très poli et respectueux, indifférent et sans jamais d’allusions sexuelles, mais en groupe, si je devais descendre d’un étage, les filles de mon bureau disaient m’envoyer dans la fosse aux lions…. j’étais partagée entre excitation et frayeur…et je ne traînais jamais en route…bien trop content de retrouver les collègues féminine de mon étage qui c’étaient fait à l’idée d’avoir un petit gay à leur étage et ne boudaient pas cette petite distraction, prétexte facile aussi, je l’ai constaté de parler de sexe un peu vicieusement sans trop se dévoiler…
Bernard chaque soir était en webcam avec moi, il déballait sa grosse queue qu’il masturbais sans fin et il me faisait m’habiller avec des tenues totalement sexy, il me faisait tapiner dans mon petit appart sur des mules ou des escarpins à plateforme de 15cm, j’étais souvent corsetée, je devenais sa petite pute et j’adorais ça… Il m’avait payé des séances d’institut de beauté ou il laissait ses consignes et payait les notes, l’esthéticienne me recevait en toute fin de journée en dernier rendez-vous et me prodiguais les prestations qu’il avait commandées. Une épilation très progressive des sourcils, des gommages réguliers, de la manucure, et une épilation intégrale et définitive, longue et coûteuse…ma petite salle de bains ressemblait de plus en plus à une loge d’artiste….
En moins d’une petite année, je suis devenus une petite lopette parfaite, fringuée en petite salope, parfumée, toujours très moulée, mes petites fesses étaient offertes aux regards des mâles, une petite allumeuse de première qui tortille du cul… et j’adorais tellement ça… je me surprenais moi-même chaque jour par mon attitude, je m’épanouissais, exhibe et salope, je ressentais plus que jamais l’envie des hommes d’essayer, de m’essayer…moi la lopette de l’étage, la fiotte, le petit pd qui réclame de la bite… moi encore puceau et amoureux de mon Bernard, je n’avais plus qu’une idée en tête avoir un sexe d’homme pour moi seule, les vidéos x que Bernard, pour mon dressage, me faisait visionner chaque soir, trans, trav, fétish, racial, gang bang, sm, partouze… me montaient à la tête, je m’introduisais devant lui plug ou gode dans ma petite chatte anale selon ses envies et je me triturais mes petits tétons de lopette, parfois avec les pinces a seins, en me tortillant sur le plug, je jouissais seule et frustrée.
Le lendemain, je ne voyais plus chez chaque mâle croisé dans la rue ou au travail, que sa braguette, il y avait maintenant urgence, j’avais muée et j’étais prête, je le savais, Bernard le savait, tout le monde le savait, c’était si évident…..
