Après mes innoubliables vacances de 2005, nous voilà à celles de noël, le premier trimestre c’est déroulé merveilleusement je suis content de mes résultats aucune note au dessous de 16/20 ce qui me vaut toutes les attentions de maman. Cela me fait plaisir et me gène à la fois car elle me met en avant en toute occasion, enfin c’est maman. Comme d’habitude elle n’arrive que sur les coups de 19hrs et moi je suis là à l’attendre soit dans ma chambre où je suis occupé à mon travail scolaire sinon je suis au salon devant la télé sur laquelle est branchée ma console de jeux.
Vincent, je suis là tu peux venir m’aider il y a deux gros paniers de courses à rentrer. Délaissant ma partie en cours je fonçais à l’extérieur et dans ma précipitation le baiser qui devait atterrir sur la joue de maman se scratcha sur ses lèvres.
Oh, pardon maman je ne l’ai pas fait exprès.
Je sais mon ange allez aide moi donc à rentrer tout cela. Et je pris les deux sacs et dit.
Rentre la voiture au garage, je m’occupe des sacs. Et je filais directement vers la cuisine pour vider les sacs sur le plan de travail en attendant maman pour le rangement. La voila maintenant dans la cuisine et il ne nous faut pas longtemps pour ranger le contenu des deux gros sacs, une fois fait maman me dit qu’elle aurait à me parler quand elle aurait fini de se doucher. Je me demandais ce qu’elle bien pouvoir me dire.
Bien je mets le couvert en attendant. Une fois les couvert disposés sur la table de la cuisine, je regagnais le salon pour me remettre à ma console en attendant. Oh je n’eus pas l’occasion de terminer ma partie que déjà maman était de retour, je délaissais mon jeu et lui demandais.
Bon qu’as-tu d’important à me dire maman ?
Cet après midi j’ai reçu un message de ton père il s’invite pour les fètes de fin d’année il compte arriver le 24 décembre et passer 15jrs avec nous, crois-tu que ce soit une bonne nouvelle?
Il est vrai qu’il est mon père je serai heureux de le voir, mais toi?
Ce n’est pas un problème pour moi, il aura la chambre d’amis et moi la mienne.
Bon d’accord pour moi dis-je à contre coeur. Et après m’avoir embrassé sur le front elle se rendit dans la cuisine préparer le souper. Entre la préparation et le souper par lui même 1hrs30 se passa et après avoir débarasser et mis les couvert dans le lave vaisselle, assis sur le canapé devant la télé je regardais le magazine de la mer sur la trois quand elle vint me rejoindre et avait déjà revétu sa tenue de nuit sur laquelle elle avait passé sa robe de chambre. Une bonne dizaine de minutes était passées quand elle me demanda.
Je te sens contrarié vincent est-ce par rapport à la venue de ton père où bien le fait de le recevoir chez nous ?
Non, non je vais bien ne t’inquiète pas pour moi. Et je continuais de regarder la télé, mais inconsciement les larmes qui perlaient aux coins de mes yeux me trahirent.
Tu vois que j’avais raison tu pleures. Elle me prit alors dans ses bras et me serrant contre elle m’affirma que j’étais son bien son trésor et que jamais personne ne passerait avant moi, niché contre elle je sentais ses seins contre ma poitrine et machinalement ma main vint se posait sur l’un deux sans même attendre soit une reflexion ou même une réprimande je me mis à le carresser par dessus le tissu, maman me laissa faire quelques instant puis me dit.
Ce n’est pas raisonnable vincent il faut cesser, allez s’il te plait. Arretant ma caresse, je me repositionnais à ma place et aussitôt le documentaire fini je me redressais, déposais un baiser sur ses joues.
Bonne nuit maman.
Bonne nuit trésor. Et je regagnais ma chambre, me mit au lit pour attendre le sommeil, qui arriva assez vite malgré le degré d’exitation dans lequel je me trouvais. Une douce caresse sur mon sexe me tira des bras de morphée, mais je fis mine de toujours dormir c’était maman qui après m’avoir découvert s’était mise à dorloter ma queue qui fièrement dressée ne demandait qu’à servir, complètement décalotée maman ne cessait de la faire coulisser entre ses doigts. Puis je l’entendis murmurer.
Je suis folle d’abuser de mon ange, mais son baton de chair m’attire mon dieu que suis-je entrain de faire.
Puis se penchant dessus goba ma bite et se mit à me pomper tout doucement, je sentais le plaisir m’envahir et ne pouvant plus feindre j’envoyais ma queue dans sa gorge. A cet instant elle s’apperçut que je n’allais pas tarder à éjaculer elle cessa sa fellation puis se déshabilla complètement sans aller trop vite afin que je retrouve mon calme une fois nue elle vint se positionner à califourchon au dessus de ma bite et s’empala elle même et me demanda de me laisser faire. Lentement elle se mit à faire coulisser ma queue dans sa fente et quand elle jugea que j’étais à point elle changea de position pour se faire prendre comme une chienne en levrette, je sentais mon gland butter au fond de sa chatte et à sa demande je me mis à la pilonner de plus en plus vite et après une bonne vingtaine d’allers et retours j’explosais en la remplissant de mon foutre.
Cette nuit là nous l’avons passée pratiquement pour moitié à faire l’amour et l’autre à dormir.
Pourvu que papa se décommande.