Frédéric finit par venir sinstaller carrément chez moi, enfin, chez ma femme. Jétais devenu la boniche et le témoin de leurs ébats. Mon épouse était vraiment devenue une pute, qui se pliait à tous les désirs de son amant. Souvent, je devais laider à se préparer pour les séances de sexe. Il me fallait lui apporter ses sous-vêtements, laider à fixer ses bas au porte jarretelles, à mettre ses escarpins, et même à lubrifier ses parties intimes. Cétaient les seuls moments où jétais autorisé à la toucher. Jadorais glisser ses bas le long de ses jambes. Puis Frédéric arrivait, et il ny en avait plus que pour lui. Jétais autorisé à me placer près deux, à genoux, en slip. Je devais me tripoter le sexe pendant que Frédéric enfonçait son dard dans tous les orifices de Laurence. Car il la sodomisait régulièrement, et lui arrachait à ces occasions des gémissements encore plus forts que dhabitude. Elle se laissait manipuler comme un objet, tendant les fesses, cambrant la taille, ouvrant la bouche, baissant la tête, écartant les fesses pour offrir son anus lubrifié par mes soins. Elle aimait me regarder dun air vicieux quand elle goûtait à la queue de Frédéric.
Avec le temps, elle était finalement devenue plus dure que lui avec moi. Elle nétait plus que mépris et méchanceté. Un beau jour, après que Frédéric eut vidé ses couilles dans sa chatte, elle me fit lécher le sperme qui en dégoulinait. Je goûtais pour la première fois la saveur âcre de la semence dun autre homme. Je macquittais de ma tâche avec tellement de zèle, quelle jouit une nouvelle fois sous ma langue.
Ceci la mit en appétit pour de nouvelles humiliations. Un soir, Frédéric la lutinait comme dhabitude, mais elle lui dit « pas ce soir, chéri, je suis indisposée et fatiguée ». J’étais surpris, et Frédéric le fut aussi, il exprima sa mauvaise humeur. « Que dirais-tu de te taper la bonne ? » ajouta-t-elle ? Ils rigolèrent tous les deux. Je ne comprenais pas. Ces deux pervers me firent mettre les bas noirs de Laurence, et un petit tablier blanc qui masquait mon sexe. Laurence me maquilla. Ensuite, je dus magenouiller devant mon maître et prendre sa queue en bouche. Jai honte de dire que cela mexcitait beaucoup. Frédéric se donna longuement du plaisir dans ma bouche servile. Il alternait les petites tapes du bout de sa queue contre mes lèvres avec de grandes et profondes pénétrations jusquà ma glotte, qui me faisaient presque étouffer. Je lui dis que j’allais vomir, mais il continua, et en quelques mouvements rapides et profonds, il menvoya un jet chaud dans la gorge. Quand il se retira, je nai eu que le temps de courir aux toilettes.
Je croyais en avoir terminé, mais Frédéric avec la capacité de rebander rapidement. Laurence, toute excitée par la scène, lui avait servi à boire et avait commencé à le branler. Au bout de dix minutes, il était à nouveau assez érigé. Je fus rappelé, et j’ai dû me mettre à quatre pattes. Je nen revenais pas, Laurence me mit du savon de douche entre les fesses, et Frédéric se plaça derrière moi. Jétais terrorisé, je me trouvais à quatre pattes, dans mon propre salon, vêtu de bas résille et dun tablier en dentelle, et je tendais mon cul à lamant de ma femme. Frédéric appuya le bout de son gland contre mon anus, et poussa. Je poussais un cri, car cela faisait terriblement mal, mais Laurence laidait à mimmobiliser, et je ne pouvais me dérober. En quelques coups de reins, il avait complètement ouvert ma rosette, et je sentais les 20 cm de sa queue prendre possession de moi. Progressivement, je me relâchais, et sentais la chaleur de sa queue irradier mes entrailles. Je criais et gémissais, mais il continuait impitoyablement à me pilonner. Sa queue allait de plus en plus vite et de plus en plus loin. Je me rendis compte avec stupéfaction que jaimais cela. Frédéric était un amant merveilleux, dur et endurant. Je me suis donné à lui avec délice. Finalement, je nen pouvais plus et criais « vas-y, baise, moi, je ten supplie, baise-moi, jaime ça, cest bon, encule-moi ». Même Laurence était surprise de ma réaction. Mon maître me combla en me pilonnant encore pendant dix minutes, puis, il lâcha un jet qui menvahit le rectum et je jouis en même temps que lui. Jétais devenu sa pute soumise, et jaimais sa brutale domination.