Jétais donc passé en quelques semaines du statut de patron à celui de sous-fifre, puis de cocu, et je me retrouvais maintenant pute soumise. Moi qui auparavant me moquais des « pédés », je mettais mis à quatre pattes pour me faire posséder par un homme. Plus jy repensais, plus javais envie de recommencer. Pendant deux semaines, Frédéric se consacra uniquement à ma femme, lhonorant pratiquement tous les jours devant moi. Puis, elle dû partir une soirée dans sa famille et je me retrouvai avec le maître. Je décidai de prendre les devants. Le soir, je préparai la table pour son repas, et quand il apparût dans la salle à manger, javais revêtu un porte-jarretelles, des bas noirs, des escarpins commandés en ligne dans une boutique spécialisée, et, bien sûr, mon tablier blanc en dentelle. Il nen crût pas ses yeux. Je métais entraîné à marcher avec des hauts talons, et je métais maquillé outrageusement. Bien que je ne sois pas très féminin, je ne me trouvais pas ridicule. Frédéric non plus, apparemment. Il me dévisagea avec contentement « eh bien, petite salope, on dirait que tu en redemandes ! ». Je baissai les yeux pudiquement. Il me fit me retourner, exhiber mes fesses, marcher de long en large dans la pièce. Je tortillais le derrière du mieux que je pouvais afin de tenter de lexciter. A un moment, il se précipita sur moi, et membrassa goulûment en me mettant la langue bien profondément. Mon cur battait très fort. Je me sentais devenir amoureux de ce mâle et comblé de fierté de lui inspirer du désir. Je me mis spontanément à genoux devant lui, et il baissa son pantalon. Son sexe était déjà bien dur et tendais son slip. Je len sortis avec amour, et le regardait pendant quelque secondes se durcir encore et sallonger dans ma main. Jétais totalement subjugué, et commençai à lécher le bout du gland, puis la hampe, et finalement, à lui sucer les couilles. Mon maître bandait pour moi. Ensuite, jengloutis son sexe dans ma bouche de fellatrice. Je mefforçais de saliver, afin quil se sente comme dans une chatte chaude et humide. Je me délectais de lodeur forte de mâle qui excitait mes papilles. Je le suçai très longuement, lui arrachant des grognements de satisfaction. Finalement, il me fit mallonger le torse sur la table, fesses bien tendues vers lui, et il plaça son gland contre mon anus. En quatre poussées, il eut introduit toute la longueur de son péris dans mon rectum. Je tressaillais de jouissance. Je sentais ses mains empoignant bien fermement mes hanches couronnées du porte jarretelle. Jadorais sentir ses cuisses frotter contre mes jambes gainées de nylon noir. Son sexe était un dard qui me faisait me sentir réduit au rang de femelle en rut. Je ne pouvais mempêcher daller au-devant de ses mouvement, en poussant mon cul ouvert vers lui. Je le suppliais de me défoncer. Il minsulta, me traita de sale pute, de salope, de chienne. Je me mis à couiner comme une guenon. Son sexe me brûlait lintérieur. Je me rendis compte que je ne pouvais plus me passer dêtre baisé comme une chienne. Je ferais dorénavant tout pour lexciter. IL lâcha son jet et resta un moment en moi. Il respirait lourdement. Lorsquil se retira, il me fit nettoyer sa bite avec ma langue. Jobéis.
Le jour suivant, Laurence fut surprise de ma tenue et de mon attitude. Elle commença par en rire, mais finit par sénerver lorsquelle vit que Frédéric prêtait autant , si pas plus dattention à moi quà elle. Le ton monta entre eux, et Frédéric lui dit que cétait plus excitant de dominer un homme quune femme. Laurence était furieuse et il sen fallut de peu pour quils nen viennent aux mains. Leur relation se dégrada peu à peu, jusquau jour où, Laurence sétant une nouvelle fois plainte dêtre délaissée, Frédéric disparût toute une soirée, pendant laquelle Laurence me fit une vie impossible. Lorsque Frédéric revint, il était accompagné de deux noirs, grands et baraqués. Mon épouse linterpella en demandant ce que ces gens venaient faire chez elle. Sans un mot, les deux noirs se saisirent delle et commencèrent à la peloter. Elle se débattait, mais contre ces deux colosses, elle ne faisait évidemment pas le poids. Frédéric leur donnait en coup de main pour la maintenir. Il lui jeta « tu te plaignais de manquer de bite, tu vas être servie » ! Il ne mentait pas. Lorsque le premier des noirs baissa son froc, je nen crus pas mes yeux. Je navais jamais vu une trique pareille, même dans des pornos. Laurence fut troussée, sa culotte arrachée, et tandis que Fred et lautre gars maintenaient mon épouse , le plus vieux des noirs lui enfonça son pieu dans la chatte. Laurence poussa des hurlements à tel point que Frédéric lui enfonça la culotte dans la bouche pour les étouffer. Elle fut baisée tant en plus, un noir succédant à lautre. Frédéric nétait toutefois pas satisfait et il leur ordonna de la sodomiser. Je men fus à la salle de bain chercher du gel douche, et aidai à lubrifier lanus de mon épouse épouvantée. Lorsque Dieudonné pénétra en elle, je crus quelle allait avaler la culotte quon lui avait fourrée en bouche. De grosses larmes jaillirent de ses yeux marron, et jimaginais son anus distendu à la limite de la déchirure. Frédéric me fit signe de magenouiller, et je lui fis donc une nouvelle fellation tandis que les deux complices changeaient de position. Jeus le temps de voir lautre sexe, tout aussi gros, pénétrer à son tour lanus de mon épouse. Celle-ci perdit connaissance quand le deuxième noir éjacula dans son fondement disloqué. A peu près en même temps, mon maître et amant lâchait sa semence dans ma bouche de cocu soumis.