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Le pasteur pervers – Chapitre 8

Le pasteur pervers - Chapitre 8



Pasteur et maquereau 5

Pimped by Her Own Pastor – V

Coulybaca / Black Demon

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Cette histoire se suffit en elle-même, Cependant elle est aussi une suite directe de « Violée et subjuguée pendant les vacances », « Le Pasteur se fait maquereau », « Le Pasteur victime d’un chantage »,

Et « Pasteur et maquereau 1, 2, 3 & 4»

(Victim’s Violated Vacation & Pastor’s a Pimp 1 & 2,

Pimped by her own pastor 1, 2, 3 & 4)

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Depuis que son fiancé lui avait glissé sa bague de fiançailles au doigt à Noël, Kelly Garrison, attendait fiévreusement l’instant cet instant ou elle deviendrait madame Bill Hendricks.

Et depuis ce moment jusqu’à son retour aux vacances de printemps elle bâtissait des châteaux en Espagne au sujet de sa noce en juin.

Mais les choses avaient dramatiquement basculé après son retour à la fac de psychologie à la fin des vacances, et maintenant Kelly n’était plus qu’une boule de nerfs, elle se sentait indigne de Bill car elle n’était l’innocente jeune fille qu’il croyait épouser.

— Comment ?

— Pourquoi ?

Se demandait-elle au fond d’elle-même sans trouver de raisons objectives.

Elle se rappelait s’être rendue dans le bureau du professeur Thompson, son professeur de psychologie pour discuter de son dernier devoir… Mais elle ignorait totalement ce qui s’était passé dans la période de six heures une fois ses cours terminés.

Elle se rappelait seulement s’être brusquement retrouvée nue dans les bras du professeur Thompson qui la chevauchait âprement.

— Violée… Il l’avait violée… Cet horrible bâtard l’avait violentée… Tremblait-elle les yeux pleins de larmes.

Elle ne comprenait toujours pas ce qui avait pu la conduire à lui rendre visite à son domicile pour terminer nue dans ce lit où cet ignoble pervers avait cueilli son précieux pucelage.

Elle abandonna bientôt ses menaces de tout rapporter à la police lors-qu’il lui fit visionner une cassette où on la voyait clairement lui proposer de se donner à lui en échange d’une bonne note de fin d’année un "A", une chose qu’elle ne se rappelait avoir dite à aucun moment.

Comme elle avait toujours été en tête de sa classe et qu’elle savait que son travail valait un "A" il n’y avait aucune raison de lui proposer un tel marché, alors que cette saloperie de cassette prouverait à tout le monde que c’était bien le cas !

Kelly avait paniqué en se réveillant bien plus tard couverte de sueur et la chatte engorgée de foutre et de cyprine.

Son cauchemar lui revint à l’esprit lui rappelant qu’elle se trouvait allongée entièrement nue contre le corps du professeur Thompson qui frottait son épaisse mentule dans sa fentine.

Lorsqu’il avait insinué qu’elle avait proposé de coucher avec lui en échange d’une bonne note elle l’avait désespérément supplié :

— S’il vous plait… Non… Non… Ce n’est pas vrai… Jamais je ne suis venue pour vous proposer un marché aussi ignominieux… Je vous en prie… Non, c’est un viol ! Arrêtez !

— Aaieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee ! hurla-t-elle alors qu’il saccageait son précieux hymen.

Son cri de douleur avait empli la pièce mais elle ne réalisait que ses pleurs et ses ris semblaient une douce musique aux oreilles du professeur Thompson alors qu’il s’engouffrait en elle.

Alors qu’il fourrait brutalement sa monstruosité dans sa caverne inviolée Kelly criait de plus belle :

— Owwwwwwwwwwwwwwwwwwwww… Arrrêtez ! Arrêtez ! J’ai mallllllllllllllll ! Oh mon Dieuuuuuuuuuu… Aidez-mooooooooooi !

Les pensées de Kelly s’orientaient maintenant trois semaines en arrière, le jour de la remise des diplôme alors que sa famille et son fiancé la félicitaient chaleureusement le professeur Thompson s’approchait d’eux.

Alors que son vil professeur s’approchait d’eux leur souhaitant le bonjour et la congratulant en public, ce sale bâtard lui avait susurré à l’oreille :

— Réserve la suite nuptiale la veille de votre nuit de noce ! Prétexte que ce sera plus facile pour toi d’y enfiler ta robe pour te prendre à l’église… On baisera une fois encore… La nuit précédent ta nuit de noce ! Tu porteras ta robe de mariée avec le voile et tout le tralala !

Et ce soir dans la suite nuptiale, Kelly vêtue de sa tenue de mariage, se regardait dans le miroir en pied, retenant difficilement ses larmes, elle frémissait à l’idée que ce sale pervers allait de nouveau profiter de ses charmes.

Depuis l’âge de 5 ans elle rêvait de se voir toute vêtue de blanc avant d’épouser son prince charmant et voilà que son rêve s’était écroulé, elle se comportait en pute… Une sale pute de bas étage !

A une journée de ses noces, ce jour dont elle avait rêvé depuis sa plus petite enfance, Kelly se préparait à l’impensable, un autre homme que son futur mari allait abuser de son corps dans la suite nuptiale alors qu’elle serait vêtue de sa robe de mariée.

Elle savait pertinemment qu’elle trompait honteusement son futur époux de la façon la plus méprisable, mais elle l’aimait tant qu’elle ne pouvait supporter l’idée même de le perdre, même si cela impliquait que pour le garder, elle devait se soumettre aux actes dégradants que son maître-chanteur lui imposait.

Kelly priait pour que ce soit la dernière fois, espérant que la distance entre son lieu de vie à venir et la ville universitaire où évoluait son maître chanteur le dissuaderait de poursuivre ses assiduités, bien qu’elle suspecta que son chantage s’aggraverait encore dans le futur.

Le professeur Amos Thompson venait de pénétrer dans le complexe hôtelier de "Pinewood" où son ex-étudiante et son futur marié devaient célébrer leur mariage le lendemain.

Une fois installé dans l’ascenseur il pressa le bouton pour accéder au dernier étage où se situait la suite nuptiale.

Il jeta alors un oil sur sa montre, il arrivait juste à l’heure prévue, 17 heures 30, la future épouse devait l’attendre vêtue de sa tenue de mariée.

Il sourit alors que l’ascenseur montait se demandant à quoi elle ressemblait vêtue de sa robe blanche.

Tremblante comme une feuille alors qu’elle regardait le cadran de sa montre, Kelly sentit un long frisson froid lui courir le long de la colonne vertébrale.

— Mon Dieu je vais encore devoir subir cet infâme dépravé ! J’en suis malade ! Pensait Kelly en ouvrant nerveusement la porte de la suite nuptiale pour y admettre son ignoble prof de fac.

Il se tenait face à elle, souriant ironiquement de toutes ses dents, il referma la porte dans son dos et planta son épaisse langue dans sa bouche pour lui rouler un patin baveux, elle en frissonna de répulsion.

Le professeur Thompson ne tarda pas à frissonner de plaisir en sentant son ex-étudiante lui embrasser le gland de la façon qu’il lui avait apprise alors qu’il avait glissé les mains sous son voile blanc pour lui tenir la tête.

C’était exactement le genre de cajolerie qui faisait si bien vibrer sa bite, les lèvres refermées sur sa hampe turgescente, elle titillait de la pointe de la langue son sensible méat.

— Ah oui… Ohhh, tu te rappelles à quel point j’aime ces caresses ! Ouiiiii, lèche-moi ! Promène ta langue sur toute la longueur de ma mentule ! Ahhhhhhhhhhhhh… Et maintenant prends la en bouche ! Oh oui comme ça… Ouiiii… Oh ouuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiii !

Cette épreuve était terrible pour Kelly, elle avait refermé sa petite main gantée de blanc sur l’épaisse hampe de son ex-professeur alors que l’autre main plongeait dans son caleçon pour lui mignoter ses grosses burnes noires.

Il lui tenait la nuque au-dessus de son voile blanc tout en s’arquant sur les talons pour approfondir la pénétration de sa bite dans sa bouche as-servie.

— Oh oui ma petite salope… Où se trouve ton futur époux ? Il enterre sa vie de garçon ? Ce stupide petit blanc ne se doute sûrement pas de ce que fait sa petite chérie cette nuit ! S’il pouvait seulement voir ce qui se passe dans la suite nuptiale à cet instant même ? Allez suce ma grosse bite noire ! Oh oui… Ouiiiiiiiiiiiiiii… Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh… psalmodiait le pervers bâtard tout en se vidant les couilles dans sa bouche soumise.

Quelques instants plus tard, elle se sentait si dégoûtée d’avoir été utilisée comme un simple réceptacle à foutre par le pervers prof de fac…

Son estomac se contractait alors que son foutre s’épandait dans son ventre, allongée sur le dos sur son futur lit de noce, c’est alors qu’elle en-fonça ses talons dans le matelas pour s’arc-bouter

— Aggggggggggg… Ahhhhhhhhhhhhhhhh… Ohhhhhhhhhhhhhhh… Couinait Kelly alors que le professeur Thompson s’écroulait sur elle.

Il lui avait enlevé sa petite culotte et parcourait de la pointe de la langue sa fentine embrasée la rendant folle !

Pendant les trois mois qui avaient suivi la fin mars, Kelly avait baisé tous les soirs à plusieurs reprises avec son infâme maître chanteur pour, de-puis trois semaines ne plus avoir aucun rapport sexuel, le corps de Kelly répondait maintenant à toutes les sollicitations de son ignoble suborneur, elle était toute secouée par un orgasme qui la ravagea longuement sous les caresses expertes de la langue de son ex-professeur de fac.

Forcée d’être son esclave sexuelle lors de ces derniers mois, dévastée par de nombreux et incontrôlables orgasmes toutes les nuits de cette longue période, ce bâtard l’avait transformée en une salope lubrique nécessitent de nombreux rapports sexuels.

— Oh mon Dieu… Mon Dieu… Je… Je Jouisssssssssss ! Cria Kelly alors qu’il emplissait sa chatte de son épaisse semence crèmeuse. Bras en croix sur le lit, ses mains gantées empoignant fermement le couvre-lit, son jus intime coulait à flot sur la langue qui la mignotait si délicieusement.

Se débarrassant de sa veste Amos déboutonna fébrilement sa chemise et s’en dépouilla lestement avant de déboucler sa ceinture, quelques secondes plus tard, pantalon, chaussures et chaussettes enlevées, il empoignait la robe de mariée de sa proie pour la tirebouchonner autour de sa taille. Laissant courir ses mains sur ses jambes gainées de nylon, il la positionna selon ses voux, et planta son épaisse bite dans sa chatte frémissante.

A sa grande surprise le premier coup de boutoir ne fut pas décisif, il éclata de rire :

— Bordel je ne pensais qu’elle se resserrerait tant en trois semaines !

S’enfonçant de plus belle en elle sa bite la pénétrant à cour il ajouta :

— On va s’arranger pour faciliter les choses pour ton cornard de petit mari !

Les yeux baissés sur la jolie future mariée portant la tenue qu’elle arborerait le lendemain pour la cérémonie de mariage, Amos se réjouissait de voir ses yeux se remplir de larmes alors qu’elle sanglotait désespérée.

La bite bourrée au fin fond de sa caverne brûlante, à sentir ses sphincters vaginaux se crisper sur son épaisse mentule, Amos savait qu’il comblait de félicité les sens de cette petite salope, il s’esclaffa :

— Ah oui ma petite chérie… Comme ça… Bien à fond… Je t’ai manqué ! Je vais bien te ré-élargir la chatte, que vas penser ton futur quand il engloutira sa bite dans ton trou à bite ? Il ne voudra ja-mais croire qu’il dépucelle une jeune chatte vierge, c’est sur ! Tu feras bien de le faire mariner quand il ira au lit avec toi !

Chevauchant fougueusement la jolie future, Amos lui dispensa une mémorable séance de baise alors qu’elle verrouillait ses jambes autour de son torse

— Mon Dieu ce que j’aimerai que son fiancé voie sa précieuse à cet instant même, qu’il se rende compte quelle petite pute était sa future épouse !

— Penses-tu qu’il saura te satisfaire ! Qu’il te baisera à point ! Que cela te suffira hein salope ! Ironisait Amos se moquant de sa mal-heureuse proie.

Il la martelait maintenant au rythme d’un marteau piqueur, elle se mit à trembler de tous ses membres alors qu’elle s’arcboutait en couinant :

— Mon Dieuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu !

Un orgasme incongru la terrassait brutalement alors qu’il projetait un long jet de foutre au fin fond de sa caverne engorgée, puis il se retira projetant les dernières giclées de foutre sur la face interne de sa robe de mariée.

Une demi-heure plus tard, Amos traversa en rampant le lit puis tendit les mains pour empoigner les chevilles de la future mariée, la tirant au pied du lit, il la fit ensuite se retourner pour la disposer à quatre pattes.

Il retroussa le dos de sa robe de mariée sur ses reins dénudant sa croupe charnue, il caressa la douce chair blanche alors qu’il se disposait à sa convenance.

D’un coup de rein brutal il engouffra sa bite dans son tendre anus savourant le cri aigu qu’elle poussa :

— Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee !

L’attirant en arrière, il l’empala jusqu’à la racine sur sa mentule bandée, ses couilles velues frappant ses fesses alors qu’il gloussait :

— Tu cries à chaque fois que je t’encule ma douce chérie !

Une fois rhabillé, Amos jeta un oil sur la jeune femme sanglotante alors qu’elle demeurait à quatre pattes, sa robe de mariée tirebouchonnée au-tour de sa taille son beau cul blanc dressé en l’air.

Amos gloussa à la vue du flot de foutre épais qui s’écoulait de sa chatoune et de son trou du cul.

Tendant la main pour caresser la douce chair soyeuse de sa croupe il l’informa :

— Très bien, je suppose que je ferai mieux de te laisser te reposer pour que tu te prépares à l’épuisante journée qui t’attend demain ! Garde-moi une danse demain soir… Ce sera la première fois… Que je danserai avec une ravissante épouse que j’aurai sauté la veille de sa nuit de noce ! Et si ton cornard de petit blanc ne par-vient pas à satisfaire tes appétits sexuels, passe un coup de fil à ton vieux professeur il résoudra tous tes problèmes !

Le soleil brillait le lendemain après-midi la cérémonie de mariage, animée par le pasteur Knowlton, devait se tenir dans l’arrière cour du complexe hôtelier.

Le pasteur Richard Knowlton ne pouvait s’empêcher de rire à l’idée de présider à cette cérémonie d’autant plus qu’il avait ruiné l’innocence de la jeune future.

En fait, alors qu’elle se trouvait sous l’emprise hypnotique du pasteur Mollway courant mars, il avait eu l’occasion de jouer avec ses miches, de sucer ses mamelons dardés.

Et pour couronner le tout il avait eu l’honneur d’être le premier homme à sentir ses pulpeuses lèvres se refermer sur son chibre tendu, tout comme il avait été le premier à lui faire goûter son foutre épais.

Plus tard, lors de la lecture des cartes indiquant les places de chacun autour des grandes tables Amos s’était retrouvé entre deux délicieuses jeunes femmes, à sa gauche l’adorable femme du pasteur Knowlton qu’il commença immédiatement à peloter sous la table, et à sa droite la ravissante madame Kristin Goodman, l’ex mademoiselle Kristin Corbett, qui s’était mariée un an plus tôt, il savait qu’il se taperait cette succulente jeune femme deux jours plus tard.

Déjà la charmante Kristin avait reçu l’infâme coup de fil lui enjoignant de disposer de ce jour précis où elle devrait dispenser les plus savoureux plaisirs sexuels qu’elle pouvait offrir à un client qui louait ses services, sinon son aventure précédant son mariage deviendrait de notoriété pu-blique.

Les présentations faites Kristin Goodman se trouvait assise entre le prof de fac de la mariée et son délicieux amoureux.

Cherchant à profiter au mieux de cette joyeuse liesse Kristin faisait son possible pour calmer sa nervosité à l’idée du rendez-vous qui l’attendait avec un inconnu qui selon son interlocuteur avait loué ses services sexuels.

Son interlocuteur l’avait prévenue que si elle ne donnait pas toute satis-faction à son client, il montrerait à son mari si confiant des photos et une vidéo d’elle baisant avec ce colosse noir qui lui avait ravi sa virginité.

Kristin repensait à cette journée passée avec son suborneur noir dans une chambre d’hôtel de l’aéroport, c’était ce même homme qui l’avait rejointe dans la suite nuptiale le jour de ses noces alors que son jeune mari était parti faire une partie de golf avec ses témoins et qui l’avait baisée à couilles rabattues dans son grand lit nuptial lui dispensant les seules jouissances qu’elle ait éprouvées pendant sa lune de miel.

Cela s’était passé pendant un voyage programmé de son calendrier professionnel, un rendez-vous qu’elle ne se rappelait pas avoir consigné sur son agenda.

Elle était arrivée dans sa tenue de travail bleue marine, guindée et élégante, elle avait regardé un homme noir qui lui semblait familier s’approcher d’elle l’avisant :

— Je m’appelle Julius Simpson… L’homme qui doit te faire femme aujourd’hui même ! Suis-moi !

Son voisin, le professeur Thompson lui semblait être un parfait gentleman, affable et sympathique.

Comme tous les invités parlaient entre eux, Kristin se tourna vers lui pour lui demander :

— Avez-vous prévu de séjourner quelques jours dans notre petite ville professeur ?

— Oh oui, je pense rester à Presswood quelques jours, cette petite ville me semble bien plaisante ! Pourriez-vous me suggérer quelques loisirs agréables ? Je n’ai qu’une seule de programmée en vérité ! Lui répondit l’aimable professeur tout sourire.

— Quel genre de loisir vous intéresse vraiment professeur ? Et qu’avez vous noté pour l’instant sur votre agenda ? Poursuivit Kristin.

Portant la main à son menton, se ménageant une pause comme s’il ré-fléchissait, alors que le bruit de la salle les environnait, Amos se pencha sur l’adorable brunette et lui susurra :

— J’ai un rendez-vous fort excitant de programmé lundi ! Laissez moi vous conter ce que j’ai en tête… Vous ne me croirez pas mais… Une adorable brunette doit me rejoindre dans ma chambre d’hôtel à 8 heures et je vais disposer de ses charmes toute la journée ! Son mari pense qu’elle sera à son travail alors qu’elle se livrera à moi, parce que je détiens certaines photos extrêmement compromettantes d’elle baisant avec un autre que son mari… Baisant dans une chambre d’hôtel avant qu’ils se marient !

Kristin écarquilla les yeux d’horreur en réalisant que le professeur Thompson décrivait sa situation exacte et les arguments déployés par son maître chanteur pour la contraindre à se prostituer.

Discrètement il lui montra une photo renfermée dans la paume de sa main, une photo d’elle entièrement nue tirée le jour où elle avait perdu sa virginité.

Et voilà que maintenant ce pervers posait sa grosse main calleuse sur son genou dénudé.

Elle comprit alors que le professeur Thompson savait depuis un bon moment qu’elle était sa proie désignée.

Sa main grimpait lentement sous le revers de sa jupe lui caressant sans pitié la face interne des cuisses, elle ne pouvait que se figer alors qu’il lui murmurait à l’oreille :

— Je sens que ça va être un vrai plaisir de te baiser ma petite salope chérie ! J’espère pour toi que tu prends la pilule parce que moi je ne mets pas de capote et je ne saute pas du train en marche ! Oh oui je sens que je vais prendre mon pied !

Plus tard dans la soirée, alors que les invités dansaient au son d’une musique lascive, l’estomac de Kristin se souleva lorsque le professeur Thompson demanda à son mari la permission de la faire danser.

Naturellement son mari, inconscient de ce qui se tramait approuva convivialement.

— Bien sur mon ami !

Elle chancelait sur ses jambes en plaçant sa petite main dans la large main noire de son suborneur, Kristin savait très bien que ce salaud de bâtard qui lui souriait de toutes ses dents voudrait plus que lui tenir la main lorsqu’ils seraient sur la piste de danse.

Tremblante de peur elle se mit à transpirer d’angoisse en suivant le professeur Thompson qui la guidait sur la piste de danse l’entraînant dans un coin obscur à l’autre bout de la salle.

A la fin du slow Amos lui sourit railleusement en commentant :

— Nom d’un chien, ma chère madame Goodman vous dégoulinez de sueur, prenez donc mon mouchoir…

En fait la malheureuse jeune femme avait besoin d’un mouchoir pour essuyer, non pas sa transpiration mais le foutre poissant ses doigts.

Lorsqu’il s’était préparé pour venir à la réception, il n’avait pas enfilé de caleçon et avait déboutonné discrètement sa braguette sous la table avant de gagner la piste de danse.

Une fois en place sur la piste il avait positionné l’adorable jeune femme de façon à ce que son coté gauche se trouve face au mur, personne ne pouvait donc se rende compte que sa main allait et venait dans son pan-talon ouvert.

Amos avait retiré alors sa pochette noire de sa poche de poitrine et l’avait tendue à la jeune femme alors qu’elle susurrait aigrement :

— Vous n’êtes qu’un bâtard ! En s’emparant du mouchoir de la main droite.

Il la regardait fixement souriant de toutes ses dents lorsqu’elle le transféra dans son autre main pour nettoyer les doigts poisseux de foutre de sa main gauche.

La main posée sur sa taille, il la ramena à leur table il la vit avec ironie froisser le noir mouchoir pour le dissimuler à la vue de tous;

Elle l’avait divinement branlé sur la piste de danse sous la promesse de la ramener à leur table une fois qu’elle l’aurait fait juter entre ses doigts.

Juste avant d’arriver à leur table, il lui murmura à l’oreille :

— Ne cours pas aux toilettes, une fois que nous serons assis à notre table, je veux te voir remonter tes doigts jusqu’à ton visage pour mieux humer l’odeur de ta menotte.

Une fois assis à table, elle empoigna son sac à main qu’elle avait laissé sur sa chaise, elle l’ouvrit lestement et y fourra discrètement le mouchoir souillé de foutre.

Se pliant à l’humiliante demande de son suborneur elle frissonna de dé-goût tant l’odeur de ses doigts la rendait nauséeuse.

Elle sentit son estomac se soulever lorsque penché sur elle il lui susurra :

— Lundi matin je te ferai avaler une bonne dose de mon foutre.

Et, comme son mari était tourné vers son autre voisin de table, elle sentit la main du vil professeur se poser sur ses cuisses pour en palper lascivement la chair tendre, elle frissonna dévastée de honte en le sentant tendre le doigt pour suivre les contours de ses babines au travers de son fond de petite culotte.

Elle serra les dents en le sentant glisser ses doigts sous la bordure élastique de sa petite culotte pour lui palper la chatoune en toute liberté.

FIN DE L’HISTOIRE

26 avril 2008

Coulybaca ([email protected])

Avec l’aimable autorisation de l’auteur :

Black Demon ([email protected])

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